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Sujet: Qu'ai-je raté ? Jeu 12 Fév - 14:27 | |
| Il est vrai que nous ne pouvons pas toujours être présent sur la CB quand des choses importantes se passent. Ici est donc le meilleur endroit pour résumer brièvement vos aventures de RPCB ou bien même colporter des rumeurs... A la suite de ce message, vous devez raconter brièvement les événements qui se sont déroulés sur la CB. Il doit néanmoins s'agir d'actions ayant un impact sur l'évolution de votre personnage ou sur celui des autres. Il est donc très peu conseillé de mettre "Aujourd'hui, Antonio a mangé une tomate". Clairement on s'en fiche de ça. ♥ |
| Personnel ϟ Nation représentée : Rome Antiqueϟ Parchemins : 424 | | | Sujet: Re: Qu'ai-je raté ? Jeu 12 Fév - 17:27 | |
| Comme vous le savez probablement tous, Tonio est en couple avec Gilbert depuis un bon mois déjà!Et bien notre ami l'espagnol, malgré tout l'amour qu'il porte pour l'allemand, n'a pas pu s'empêcher d'aller voir ailleurs dès qu'il a eu le dos tourné. Avec qui?Lovino Vargas, le fils du directeur. Et il compte bien continuer cette double relation encore longtemps. Et oui, rien que ça. Quand Antonio se met dans la merde, il y va jusqu'au bout, vas-y Toniño~ |
| Baiseur de crocodiles ϟ Nation représentée : Espagneϟ Parchemins : 598 | | | Sujet: Re: Qu'ai-je raté ? Ven 13 Fév - 15:29 | |
| J'ai oublié de le dire mais hier soir, Madame Aodrena Bonnefoy était bourrée dans la Grande Salle et a commencé à danser sur les tables avec des élèves... J'ai honte...
La rumeur va faire le tour du château en très peu de temps !! |
| Les pensées suicidaires Mon personnage Citation: “What you gave me was a reason. Not an excuse. Because there’s sex, making love and fucking. And then there’s you.” ϟ Nation représentée : Franceϟ Parchemins : 1425 | | | Sujet: Re: Qu'ai-je raté ? Dim 15 Fév - 5:30 | |
| La soirée de Saint-Valentin s'est d'abord très bien passée mais elle a très vite dérapé. Entre Arthur qui a fini bourré à danser sur les tables, la petite blague d'Aodrena et les couples, il y avait de quoi. Pour commencer, Aodrena, certainement d'humeur trollesque, a pris une potion qui l'a fit rajeunir jusqu'à ses cinq ans. Tout le monde est tombé dans le piège et la tête déconfite qu'ils tiraient tous au final était vraiment extraordinaire, notamment Francis et Luciano qui s'étaient mis à lui tourner autour. Du côté de Francis et Arthur, l'écossais était terriblement jaloux de la proximité de son petit-ami avec sa mère avec qui sans le savoir, il flirtait mais il se moqua bien de lui à minuit quand elle reprit son âge d'antan. En pleine soirée, Arthur a fini bourré à danser sur les tables et ça être étrangement tactile et aimant avec Francis. Il a cependant terminé à s'endormir dans ses bras. Parlons maintenant du triangle amoureux que sont Gilbert, Tonio et Lovino. Tout avait l'air de bien se passer jusqu'à ce que, pendant qu'Antonio parlait affaire avec Tim et se fasse employer en tant que directeur en communication, son petit-ami et son amant commencent à se crêper le chignon. Heureusement, Tim et l'espagnol ont réussi à les arrêter et les calmer un peu mais une petite tension restait. Alors que pour montrer comment danser un tango à Gilbert, Tonio eut pris comme partenaire Lovino, l'allemand n'était que rempli de jalousie. Bonne amie qu'était Eli, elle allait dire deux-trois mots aux deux méditerranéens. Et par la même occasion, appris la tromperie de l'espagnol. Heureusement pour notre idiot d'espagnol, elle préféra aller se coucher, encore trop choqué pour faire quoique ce soit, raccompagner par Luciano. Gil et Tonio se disputèrent un peu mais finirent par aller se coucher ensemble, trop fatigués mentalement et physique pour se tirer la gueule. Mais entre toutes ses engueulades, il y eut aussi un baiser entre Gawain et Luciano, bien que le petit Kirkland soit parti bien vite, certainement trop troublé et encore sous le choc. Quelle sera la réaction d'Arthur en l'apprenant?RDV sur la CB pour le savoir~ Et si vous vous rappelez bien, Elizaveta penchait cruellement entre son amour pour Gilbert et Roderich. Et bien, elle s'est enfin décidée et les deux forment désormais un joli couple tout heureux ♥
Tout ça pour dire que la Saint-Valentin, c'est pas toujours la joie, ou pas à Poudlard en tout cas! |
| Baiseur de crocodiles ϟ Nation représentée : Espagneϟ Parchemins : 598 | | | Sujet: Re: Qu'ai-je raté ? Lun 16 Fév - 4:58 | |
| Elizaveta a posé un ultimatum à Tonio. Elle lui laisse une semaine pour avouer à Tonio sa petite aventure avec Lovino à Gilbert. Le soir même l'espagnol se décide et ça donne ça:
Gilbert Beilschmidt : *réagit à peine quand Antonio attrape son visage. À vrai dire, il le voit à peine. Ses yeux sont brouillés par les larmes, et son esprit est trop pris dans sa douleur. Il a mal, oh bordel, c'est comme si on était entrain de lui lacérer le coeur. Mais en même temps... Il se sent trahi aussi. Trahi par celui qu'il aimait, celui qui lui avait empli la tête de rêves qui n'ont d'un seul coup plus le moindre sens. La chute est difficile, douloureuse... Et c'est la voix de Antonio qui finit par le sortir de sa torpeur. "Je t'aime", voilà ce qu'il dit. Un mensonge, c'est la seule chose que Gilbert voit. Comme tout depuis le début, un mensonge. Mais il finit par reprendre, d'une voix aussi faible que tremblante* Non, Antonio... Tu m'as jamais aimé... Parce que sinon... Tu m'aurais jamais fait ça...
@ Antonio F. Carriedo : *sent son cœur se serrer dans sa poitrine en voyant les larmes apparaître dans ses yeux, tremble un peu plus. Il se sait même plus pourquoi il l'a trahit et comment, il ne veut plus savoir, tout ce qu'il sait c'est qu'il était entrain de perdre l'une des personnes les plus chères à ses yeux pour des conneries. A cause de ses conneries. Il s'en veut tellement, tellement qu'il aurait voulu le couvrir d'excuses mais il savait que ça ne servait à rien. Il l'avait déjà perdu, ça se voyait dans ses yeux. Mais Antonio osait espérer. L'amour le faisait espérer que tout n'était pas fini. Et même si cette lueur d'espoir était toute petite, il la prendrait sans hésiter. Car malgré sa trahison, il l'aime profondément* Gilbert s'il te plaît arrête...arrête ! *l'a secoué au dernier « arrête », ne voulant pas entendre de telles choses.* Ne dis pas n'importe quoi Gil. Tu le sais, je t'aime, je ne cesse et je ne cesserai de te le répéter.. *tente un baiser sur ses lèvres, mais les effleure à peine* Si j'ai fait ça c'est parce que je suis un idiot...Pardonne-moi Gil.
Gilbert Beilschmidt : *le fixe sans rien dire. Il le regarde, cherchant quelle réaction il devrait avoir, tout un tas de sentiments contradictoires l'empêchent de réfléchir correctement, et tout autant de questions se bousculent dans son crâne. Pourquoi ? Qu'avait-il fait de mal pour que Antonio lui fasse ça ? Mais surtout... Avec qui ? Avec qui avait-il fait ça, qu'est-ce que Antonio pouvait ressentir pour cette personne...? Il hésita. Était-ce réellement une bonne idée de demander ? Ne valait-il mieux pas rester dans l'ignorance..? Non... Il n'arrive pas à s'y résoudre. Quitte à perdre celui qu'il aimait.. Gilbert veut savoir au profit de qui.* Avec qui...? Antonio, est-ce que je peux au moins savoir ça..?
@ Antonio F. Carriedo : * a soudainement cette lueur d'espoir qu'il cherchait désespérément depuis tout à l'heure. Alors si il lui disait avec qui, tout allait s'arranger?Ils allaient faire une croix sur cette histoire et continuer d'être le couple heureux qu'ils avaient été jusqu'ici?Du moins c'est ceux à quoi Tonio croyait fort. Et qu'est-ce qu'il n'aurait pas fait pour le bien de son couple, maintenant qu'il l'avait déchiré. Il reprit les mains du blond et en embrassa les bouts des doigts * Oui, oui tu peux tout savoir mi vida, mi corazon... * il recommençait à sourire, le cœur plein d'espoir* C'est Lovino, je t'ai trompé avec Lovino... *il ne réfléchissait plus à rien et se jeta sur ses lèvres pour l'embrasser amoureusement, persuadé que Gilbert lui avait été tout pardonné.*
Gilbert Beilschmidt : *en entendant le nom de Lovino, c'est la colère qui s'empare de lui. Il aurait dû s'en douter, comment avait-il pu être aveugle à ce point ? Mais il n'a pas le temps de jeter un regard noir au concerné, qu'il sent les lèves de Antonio sur les siennes. Un baiser plein d'espoir, plein d'amour. Gilbert peut le sentir... Mais il n'y arrive pas. Il n'y prend plus aucun plaisir... Il ne ressent que du dégoût. Antonio espérait vraiment obtenir son pardon aussi facilement après l'avoir brisé comme il venait de le faire ?! Il allait apprendre, malheureusement, que les choses ne sont pas si faciles...* Mh ! *Gilbert le repousse, d'un seul coup, assez violemment. Il se lève, précipitamment, et s'écarte de quelques pas en arrière* Mais ça va pas ou quoi ?! Tu penses sérieusement que juste ça, ça va suffire pour que je te pardonne ? Mais tu réalises juste ou pas du tout ? Tu m'as trompé, tu m'as trahi, tu m'as menti, tu m'as brisé Antonio ! Je sais pas comment ça marche dans ton monde, mais dans le mien, c'est très simple. Je t'en veux. Je t'en veux, mais tellement ! Je sais même pas si je serais capable de te pardonner un jour... Alors.. Fous-moi la paix. J'ai pas envie de te revoir là. *il regarde qui il reste dans la salle, puis met ses mains dans ses poches* J'en viens à me dire que Swanhilde a raison sur votre compte. Vous n'apportez rien de bien. *parle bien des moldus et né-moldus en général, lawl* Maintenant, si tu veux bien m'excuser, y a quelqu'un que je dois retrouver~ *et il s'en va sans rien ajouter de plus vers la sortie*
Lovino Vargas :*De son côté, l'italien en avait marre d'entendre ses cries et pleures sans queue ni tête, il s'était donc levé de la table des Serpentard pour se diriger vers l'entrée de la Grande Salle, qu'il ne tarde pas à quitter pour finir son livre en paix.* Fais chier, je peux même pas lire tranquille !
Gilbert Beilschmidt : *ah nan, tu t'en tireras pas aussi facilement ! Il le suit~* Lovino Vargas, reviens ici ! Je crois que toi et moi, faut qu'on ait une petite discussion !
@ Antonio F. Carriedo : Il se sentait terriblement bien en sentant leurs lèvres enfin réunies mais il manqua de tomber quand il se fit violemment repousser. Il n'arriva pas à comprendre ce qui était entrain de se passer. Il croyait d'abord à une simple taquinerie mais il l'avait repoussé trop fort pour que s'en soit une. Bien de trop fort. * Mais Gilbert... * il se releva assez vite également, s'avançant vers l'allemand avec ce qu'il voulait être un sourire, ici complètement déformé par la tristesse et l'incompréhension. Il s’apprêtait à lui dire combien il l'aimait encore une fois mais cette phrase le fit taire et pour un bon moment. Jamais il ne lui pardonnerait...?Jamais?Il ne put rien ajouter, il était certainement tout aussi brisé que Gil mais surtout il s'en voulait. Ce goût de regret amer en bouche. Il avait envie de vomir. Plus envie de te revoir?Ces mots résonnaient un peu trop fort, et il se mordit le doigt pour le pas pleurer. Alors qu'il voulait s'écrouler par terre pour éclater en sanglots, il sentit des bras rassurants l'entourer. Il huma l'odeur et s'effondra en larmes dans les bras du français* Francis....je-je-....je suis désolé. * il serra avec force son meilleur ami contre lui, les larmes coulant à flot.*
Lovino Vargas : *entend son nom et se retourne, aperçois Gil en colère* CHIGI-GI, tu rêves enfoiré ! *s'enfuit, effrayé*
Gilbert Beilschmidt : *il a juste pas le courage de lui courir après- Il s'en occupera une prochaine fois, là, il va se contenter d'aller se coucher, et pleurer-*
Lovino Vargas : *continue de courir jusqu'à ne plus apercevoir Gil.* ... *reprend son souffle et serre son livre* P'tain, pourquoi il a fallu que j'sois à Serpentard, merde ! *veut pas retourner dans sa maison*
Au final, Francis et Antonio sont partis se réfugier dans la Salle sur Demande, Gilbert et Lovino dans leur dortoir. Comment tout ça va se finir?En tout cas, l'ambiance promet d'être morose. |
| Baiseur de crocodiles ϟ Nation représentée : Espagneϟ Parchemins : 598 | | | Sujet: Re: Qu'ai-je raté ? Mer 18 Fév - 3:50 | |
| Aujourd'hui, Tabitha a cassé le nez de Francis contre la table sans raison- Il a donc goûté à la souffrance du Episkey lancé par Keith. Quant à Tabitha, en plus d'avoir une coupe de cheveux bien fleurie (cheveux en pétales de fleurs et sourcils en forme de feuille-) elle doit rendre une punition à Aodrena, la maman poule.
Du nouveau du côté de l'ancien couple Antonio/Gilbert. L'espagnol a eu la brillante idée d'embrasser Lovino alors que Gilbert venait d'entrer dans la salle (en toute innocence et sans le remarquer évidemment) ce qui a énervé et brisé le cœur de l'Allemand qui a demandé des explications à Lovino, jusqu'à en sortir sa baguette. L'italien ne s'est pas laissé demonter et a dégainé la sienne tout en lui expliquant, je cite, qu'il "s'en branlait de leur couple, qu'il voulait juste que tout ça se termine". Francis en observant la scène et ne voulant pas que la Grande Salle finisse sens dessus dessous s'interposa (plus ou moins) dans la dispute, sa baguette à porter de main. Finalement, l'Allemand ne sortit sans piper suivit du Français. Quant à Lovino, il partit lui aussi dormir. |
| Les pensées suicidaires Mon personnage Citation: “What you gave me was a reason. Not an excuse. Because there’s sex, making love and fucking. And then there’s you.” ϟ Nation représentée : Franceϟ Parchemins : 1425 | | | Sujet: Re: Qu'ai-je raté ? Ven 20 Fév - 12:23 | |
| Le soir du 19 février, Yao avait sorti tout son attirail de feux d'artifices et de costumes traditionnel pour fêter le Nouvelle An Chinois, pendant plusieurs minutes, il a arrosé tout le monde de confettis et à fait voler 3 énormes dragons en tissus dans toute la salle (d'ailleurs Scone, le chat de Aisling, s'est aussi beaucoup amusé en s'accrochant à un serpent volant). Bien sûr quelques personnes se sont pris au jeu et se sont "déguiser" avec les tenues apportés. Sur excité, le chinois a vite lancer les feux d'artifices qui ont bien failli toucher des élèves, mais heureusement personnes n'a été blesser. Pour le final on a eu droit à énormément de feux d'artifices dans toute la salle et un solo de Tabitha avec une chaise retourné ce qui a provoquer, évidemment, un énorme boucan et a donné un bon mal de crâne à tout le monde. Heureusement cela s'est vite terminé et tout est rentré dans l'ordre ce qui as tout d'abord plongé la salle dans un silence de mort avant de retrouver la bonne ambiance habituelle |
| Invité | | | Sujet: Re: Qu'ai-je raté ? Sam 21 Fév - 23:00 | |
| Hier a eu lieu la mission du BFT. Pour la lire en détail, c'est iciAntonio est dans le coma, rien de grave apparement mais Francis et Gilbert sont restés toute la journée à l'infirmerie. C'est pourquoi vous ne verrez pas le BFT sur la CB aujourd'hui c: |
| Invité | | | Sujet: Re: Qu'ai-je raté ? Lun 23 Fév - 12:26 | |
| Ca n'a pas encore été fait, donc je le signale o/
Hier soir, Antonio est sorti du coma. Il s'est rendu dans la grande salle, où il a retrouvé Francis et Gilbert. A noter qu'il prétend ne pas se souvenir de ce qu'il s'est passé pendant la mission, il est donc impossible de savoir quoi que ce soit pour le moment :I
Et aussi, grande nouvelle ! Après une courte discussion, Antonio et Gilbert ont décidé de se remettre ensemble (eh ouais :T), en espérant que cette fois ça dure XD Allez, champagne, vous allez retrouvé votre Gil surexcité o/ |
| Tampon de sauvetage ϟ Nation représentée : Prusseϟ Parchemins : 1369 | | | Sujet: Re: Qu'ai-je raté ? Mer 25 Fév - 13:10 | |
| Hier soir Martin et Luciano ce sont battus!Par après que Gilbert ait bien fait sa garce ( <3 ) en appuyant sur le fait que la petite-soeur de Martin est une cracmol, il avait qu'une chose en tête; le faire payer à Luciano qui l'avait certainement cafté à l'allemand. Ça a fini en un Expelliarmus de la part de Martin et il s'est pris une bonne grosse......Punition de la part d'Aodrena~ ;D
Antonio en cours de soirée, alors que Lovino était encore de mauvais poil, a fini par lui proposer d'aller se bourrer dans une taverne mais reste encore qu'il ait le droit. Car la tromperie est encore toute fraîche et Gilbert est méfiant. Au final, il finissent par y aller tous les trois, ensemble.
Quand ils reviennent, plus tard dans la nuit, ils sont complètement bourrés. Gilbert un peu moins que les autres mais Antonio est le plus amoché. Vu dans lequel état d'esprit est Antonio sous l'emprise de l'alcool, ça a très très vite dérapé et ils sont vite allés tous les trois se coucher dans le même lit, et pas pour faire du tricot!
Quelles seront leur réaction au réveil, quand ils se verront tous les trois nus comme des vers dans un même lit?~ Rendez-vous sur la CB pour savoir :D
Dernière édition par Antonio F. Carriedo le Ven 27 Mar - 1:19, édité 1 fois |
| Baiseur de crocodiles ϟ Nation représentée : Espagneϟ Parchemins : 598 | | | Sujet: Re: Qu'ai-je raté ? Dim 1 Mar - 15:25 | |
| C'était beaucoup calme à Poudlard n'est-ce pas?~ Et bien en voici une nouvelle qui saurait vous glacer le sang. Ce matin, Arthur et Tonio ont commencé à se battre. D'abord dans la Grande Salle puis dans des couloirs peu fréquentés. Et voilà ce que ça donne:
Antonio : Bon attend qu'ils soient sortis de la Grande Salle pour le choper par les cheveux et écraser sa tête contre le mur. Tu disais, Kirkland?~
Arthur : ouch, l'encu-.. bien bien bien, c'est comme ça hein.. ok, maintenant qu'ils sont sortit de la Grande Salle, il va pas retenir ses coups Je disais... il serre les dents, est devenu un panda. Il donne un violent coup de coude dans la côte pour le décrocher et le plaque au même mur en enfonçant son genou dans le ventre Que tu allais t'en prendre plein la gueule, Carriedo.
Antonio : Il s'est replié sur lui-même avec le coup dans le ventre et a lâché parce qu'il faut dire que ça fait pas du bien. Il a à peine le temps de réagir qu'il se fait plaquer dans un mur et a un haut de cœur quand il lui enfonce le genou dans le ventre. Mierda... tâtonne comme il le peut et donne de violents coups de pied dans ses tibias pour le faire arrêter et le faire tomber en même temps Ferme ta petite gueule de merde, tu veux?
Arthur : il résiste deux secondes pour les coups dans les tibias mais ça fait quand même bobo, alors il s'écroule à ses pieds. Mais, ouais y'a un mais, dans sa "chute", il agrippe ses cheveux pour l'obliger à s'écraser avec lui. Il attend pas de pouvoir le clouer au sol qu'il passe la main des cheveux au col et lui donne un bon coup de poing qui le transforme en panda à part entière ♥ Va te faire foutre, te faire FOUTRE !
Antonio : Il se fait malheureusement entraîné dans la chute et pousse un râle mélangé à de la douleur et de la rage. Il a l'impression que l'écossais va l'achever mais en même temps, sa fierté le lui permettrait pas. Je vais te tuer...Te tuer! Il se jeta soudainement à son cou, le plaquant par terre, ses deux mains autour de son cou, à le serrer pour qu'il ne puisse plus respirer, rentrant ses ongles dans sa peau.
Arthur : ah quand même là on joue plus. Surprit, il n'a pas le temps de réaliser qu'il cherche vraiment à l'étrangler, et a juste pour réflexe de saisir ces mains autour de son cou. Aïe la peau, à ce train-là, il va être rouge. Il a enfin du mal à respirer et panique un peu en cherchant à le décrocher. Calme Arthur, tu ne vas quand même pas en arriver là.. ! Il secoue un peu les jambes dans la panique, puis vient cogner sa jambe contre son dos le plus fort qu'il peut (oui parce que la tête c'est pas possible elle est trop loin)
Antonio : hurle de douleur et le lâche en roulant sur le côté, en se tenant le dos. Il a mal partout à vrai dire. La colère le ronge autant que la douleur. Il n'arrive même plus à réfléchir correctement. Il lâche quelques larmes amers, toujours sur le dos par terre
Arthur : aaah respire ! Par Merlin il a vraiment un problème Hhu.. huu... il reprend sa respiration et se redresse doucement en toussant, passant un peu ses doigts sur son cou. Il a sans doute quelques traces un peu visibles. T'es vraiment... un enculé... il passe un revers de manche sur ses yeux larmoyants, à cause de la douleur. En arriver là.. faut vraiment... être une pute... Une pute de sang de bourbe comme toi, ça peut faire que ça... il reprend un peu son souffle encore
Antonio : Il sèche ses larmes d'un violent revers de main et étale au même passage le sang qu'il a sur le visage. Il en peut plus. Il est à bout. En plus de ça, depuis la mission, il est de plus en plus violent. Alors là, il n'arrive juste pas à contenir sa colère. Pas envers Kirkland en tout cas et pas après ce qu'il vient de dire. Il réagit au quart de tour au surnom "pute de sang de bourbe" Tu es allé trop loin.....Trop loin! Il plonge sa main dans sa poche et en ressort sa baguette, avant de la pointer sur lui
Arthur : il le regarde, ne sourit même pas, il sait qu'il dit des choses pas jolis mais ça sort tout seul. Toutes ces fois où Carriedo a cherché à l'enfoncer, il faut que ça ressorte. Il cherche sa baguette dans sa poche. Aah ça... Te foutre dans la merde, c'est tout ce que tu sais faire... A quoi ça sert que tu sois à Poudlard Carriedo, hein ? Le sang de bourbe, à quoi ça sert ?!
Antonio : Il a des larmes qui s'écoulent sur son visage déchiré par une grimace de rage. Des larmes de colère, de tristesse, de dégoût. Tout ce qu'il sait c'est qu'il a envie de tuer ce connard. Lui faire ravaler ses mots. Le voir souffrir. En temps normal, il n'est pas ce genre de personne mais là c'est trop. Et une voix dans sa tête, la même que celle avec qui il a signé ce pacte, lui hurle de le faire. La ferme! A ce dernier hurlement déchirant, il lance, pourtant sans le prononcer, un Sectumsempra.
Arthur : il n'a généralement pas peur lorsqu'il se prend un sort, même lorsqu'il est informulé. Mais lorsqu'il est propulsé quelques mètres plus loin, sur le dos, il se rend compte qu'il ne peut plus bouger sans ressentir une insupportable douleur dans tout son corps, si forte qu'il ne parvient pas à parler Ngh.. !! il voulait se relever, mais ses muscles ne lui obéissent pas, c'est même comme s'ils lui disaient que ce n'était pas la peine ... U-Uhhh... les yeux ronds, il laisse ses force l'abandonner lorsqu'il tourne la tête sur le côté et voit son propre sang commencer à s'étaler doucement autour de lui. C'est pas non plus le bain de sang mais il comprend quel sort Carriedo vient de lui lancer... Il a de nombreux soubresauts en pigeant qu'il est sans aucun doute tranché d'un peu partout..
Antonio : Il éclata en sanglots et s'adossa au mur, tout tremblant. Ses yeux se mirent à fixer le sang qui commençait à tacher la chemise d'Arthur et la flaque qui commençait à se former autour de lui. Il grimaça et mit sa main devant sa bouche pour empêcher un hurlement de dégoût de sortir de sa bouche. C'est vraiment lui qui venait de faire ça. Lui et seulement lui sur le coup de la colère. "Ta première victime" lui susurrait cette voix dans cette tête "ta première victime" LA FERME, LA FERME! hurlait-il de toutes ses forces et se tenant la tête, tout tremblant les pleurs secouant son corps. Après un temps, il se mit à quatre pattes et marcha ainsi jusqu'à Arthur, les mains dans son sang Je-je vais te sortir de là....Mais reste vivant..s'il te plait.. Il donnait quelques petites claques à ce dernier pour qu'il reste éveillé et regarda autour de lui en essuyant ses yeux de ses larmes, se salissant le visage de son sang Je suis désolé...je suis désolé Arthur...je vais trouver quelqu'un...! Il se releva soudainement en gémissant de douleur et se mit à courir comme il le pouvait pour aller chercher l'infirmière
Arthur : le voilà donc "abandonné" sur le sol, baignant dans le sang. Il est éveillé. Pour l'instant. Son torse se soulève et s'abaisse au fur et à mesure qu'il respire, mais difficilement. En plus, ça lui fait un mal de chien. Il ne peut même pas respirer sans que ça le fasse souffrir. Il garde les yeux plissés. Qu'est ce qu'il a été con. D'accord, il est facile à provoquer, mais il aurait dû se taire. Lui qui, en plus, n'accorde aucune importance aux liens du sang, mêlés, purs, moldus, il a fallu qu'il fasse la connerie de se comporter comme un sauvage et voilà le résultat... Mais il n'a pas l'intention de finir ainsi. Il va rester éveillé. En tout cas, il se force. Hors de question de... mourir, comme ça. Le temps passe et lorsqu'il ferme les yeux, gagné par la lourde fatigue qui pèse sur lui, Carriedo n'est toujours pas revenu
Antonio : C'est quelques longues minutes plus tard qu'arrivèrent enfin les infirmières avec un chariot pour mettre Arthur dessus. Elles s'exécutèrent, certes affolées mais avec professionnalisme. Une prononçait un sort pour que l'hémorragie se calme et d'autres pour calmer sa douleur et l'installer sur le chariot et l'emmener rapidement à l'infirmerie pour engager une procédure plus stricte. Antonio lui, regardait la scène, dans l'ombre, les mains rougies par le sang, son visage lui aussi taché. Il pleurait certes, mais en silence. Il avait dit qu'il l'avait retrouvé ainsi. Et les infirmières l'avaient cru. Bas voyons... Je suis pas un monstre, hein...? La voix dans sa tête se fit rassurante et le calma peu à peu. L'espagnol lui se contentait d'hocher la tête, ses pleurs se calmant peu à peu. "Maintenant va dehors, tu veux?Rejoins-moi dans la Forêt Interdite. J'ai quelque chose à te demander." Oui, oui... Il prit Paella entre ses mains et la déposa par terre, sans un mot avant de l'abandonner ici et partir se rincer et se changer. Après ça il partit dans la Forêt Interdite comme la voix le lui avait indiqué.
Suite à ça, Arthur sera à l'infirmerie. Attention, personne ne sait encore qui a fait ça à Arthur. ll n'y avait aucun témoin pendant leur bagarre. |
| Baiseur de crocodiles ϟ Nation représentée : Espagneϟ Parchemins : 598 | | | Sujet: Re: Qu'ai-je raté ? Mer 11 Mar - 18:42 | |
| Pour vous re-contextualiser l'histoire, Francis a acheté des feux d'artifices chez Zonko et a décidé de mettre un peu le bazar dans la Grande Salle avec ses amis. Sauf qu'Antonio s'est disputé avec Gilbert, du coup, il n'y a qu'Anto pour foutre la merde avec Francis, et voici ce que ça rend :
Francis Bonnefoy : Eh bien...c'est parti ! *oui, Francis veut éviter de parler de Gil car Anto a l'air vénère uuuhhh* Antonio F. Carriedo : *en allume un où c'est un gros phoenix de feu qui traverse toute la salle* Por dios- *se cache de ses bras* Arthur Kirkland : *... wait what-OMFG qu'est ce que c'est qu'ça ?!* Roderich Edelstein : *des feux d'artifices... Mais ils sont sérieux. Essaye de se tenir a l'ecart* Francis Bonnefoy : *ricane* c'est génial hein ? Ludwig Beilschmidt : *relève sa tête de ses lignes et regarde le phoenix... Mais qu'est-ce qu'ils sont en train de faire ??* Francis Bonnefoy : Vas-y, on en allume plusieurs en même temps !*lance un dragon tout rouge dans la salle* *juste au dessus d'Arthur* Elizaveta Héderváry : *regarde le feu d'artifice avant d'éclater de rire* Arthur Kirkland : *a un bref mouvement de bras, réflexe pour protéger son crâne, mais remarque la seconde d'après que c'est juste des feux d'artifice* .... *avada kedavrase Francis du regard* Gawain Kirkland : *En fait il est sur la table et il kiffe les feux d'artifices.* ... *Ah si il avait son appareil photo de grand.* Arthur Kirkland : *l'appareil, bro ♥* Gabriel S. Carriedo : *lève la baguette vers là d'ou provient le bruit * ............ Je vais commettre un fratricide.. Gawain Kirkland : *Je me connais il va l'avoir dans pas longtemps, je vais craquer .. * Roderich Edelstein : *est en retrait haha* Francis Bonnefoy : *fait un sourire narquois à Arthur* Antonio F. Carriedo : *en allume un où c'est un grand gryffon et un autre où c'est qui dispersent des sparkles partout* Roderich Edelstein : *mes sparkles sont mieux* Antonio F. Carriedo : *rit, s'amuse comme un petit fou* Arthur Kirkland : On fait ça à deux... *fusille toujours Francis du regard en prenant lentement sa baguette* Quand ils font leur conneries de groupe, je les déteste... Francis Bonnefoy : *en allume un qui explose en formant la tête de Romulus HAHA.* Ludwig Beilschmidt : *regarde les feux d'artifice, en espérant que personne ne va se mettre à brûler-* Francis Bonnefoy : *car les goodies de Poudlard, c'cool* Francis Bonnefoy : *les fantômes de la Grande Salle s'agitent avec tout ce boucan* Elizaveta Héderváry : *admire les feux d'artifice* Arthur Kirkland : *s'occupera personnellement de ton cas Francis ♥* Je m'occupe du vélane, toi de l'autre imbécile... Francis Bonnefoy : *que tu crois Arthur* *en balance un autre vers l'anglais en forme de serpent HISS HISS* Gawain Kirkland : *Regarde son frère et se dit que ça va chauffer, ça va être drôle.* Francis Bonnefoy : *de toute façon, Francis te fait toujours la gueule depuis hier~ (à Arthur) * Gabriel S. Carriedo : Compris. *Lance un sortilège de dispersion sur le serpent * Antonio F. Carriedo : *siffle entre ses doigts et attrape son balai qui vient d'entrer dans la salle* Passe-moi en d'autres! Arthur Kirkland : *là tu vois il ne sait pas comment le prendre... est-ce que c'est un message concernant son don ou pas, parce qu'il a tendance à paranoier avec ça* ...... *et ça, ça le fout en rogne* Arthur Kirkland : *heureusement que Gab est là pour le faire disparaître* ... Bien. *grince des dents, et approche des deux débiles* Francis Bonnefoy : *mais azyy on peut plus rigoler ici* *et grimpe sur le balais d'Anto au passage, à deux sur le balllaiiiis* Francis Bonnefoy : *lui en file* Vole ! Vole ! Ludwig Beilschmidt : *mein gott mais ils sont fous-* Gabriel S. Carriedo : .... Enflammer le balais de mon frère ça passe tu crois ? Roderich Edelstein : *a decide qu il allait profiter du spectacle* Elizaveta Héderváry : *lance discrètement un sort de bloque-jambe sur Arthur ~* Lovino Vargas : *Entre dans la Grande Salle* ... Génial même les idiots s'envoient en l'air. *soupire et va s'asseoir à sa table* Gawain Kirkland : *Il t'a vu Eli èé* .... Arthur Kirkland : Tout ce que tu veux Gabriel, fais toi plaisir. Elizaveta Héderváry : *Désolée Gawain, mais un peu d'amusement ça fait du bien à tout le monde ~* Arthur Kirkland : *... MAIS* Ludwig Beilschmidt : *les regarde faire. Y'a trop d'agitation pour faire ses lignes en se concentrant* Arthur Kirkland : *BORDEL....* Arthur Kirkland : *QUI A FAIT CA?* Ludwig Beilschmidt : *et il a besoin de concentration, sinon, au lieu de marquer "Je ne dois pas amener mon chien dans la grande salle", il va finir par écrire "Je ne dois pas laisser la prof de potion en vie dans la grande salle"* Antonio F. Carriedo : *s'envole avec Francis et vole au dessus de la tête des gens en riant* Francis Bonnefoy : *ricane* *sort sa baguette si quelqu'un vient BRULER LE BALAIS* Gabriel S. Carriedo : *lève la baguette vers Antonio et Francis * PETRIFiCUS TOTALUS Gilbert Beilschmidt : *bref, lui il a pas bougé, parce que trop de bruits- Normalement ça le dérange, pas, là il est malade comme un chien, alors il a juste l'impression que sa tête va exploser-* Putaaaiiin... *en plus ses potes s'éclatent sans lui, allez vous faire voir les mecs 3* Francis Bonnefoy : PROTEGO ! Aodrena Bonnefoy : *entre dans la salle avec un gros bouquin*.... Elizaveta Héderváry : *tapote la tête de Gil* Roderich Edelstein : *Feuer Frei !* Francis Bonnefoy : Antonio, il y a ton frère qui veut notre mort, il tente de nous pétrifier alors qu'on est en plein vole ! Aodrena Bonnefoy : QU'EST CE QUI SE PASSE ICI!? *sort son sifflet et avec un petit sort pour amplifier, souffle un bon coup* Francis Bonnefoy : *AHHH sa mère* Arthur Kirkland : Gabriel ! *lui montre ses jambes qui veulent plus bouger 3* Ludwig Beilschmidt : *sursaute en entendant le sifflet, se tiens droit, alors qu'il a rien fait-* Gawain Kirkland : *Va rejoindre Eli.* Je t'ai vu hein .... *èe* Gilbert Beilschmidt : *fout sa tête dans ses bras, là le sifflet de Ao l'a achevé-* Francis Bonnefoy : *Anto Anto, ma mère nous a vu, faut nous sortir de la grande salleeeeee* Elizaveta Héderváry : *fait un sourire innocent* Quoi donc ? Aodrena Bonnefoy : Les espèces de coucou volant vont se poser toute suite! Francis Bonnefoy : *et au passage, à cause du sifflet, il a failli tomber du balais* Antonio F. Carriedo : *fait exploser des feux d'artifices à paillettes en attendantmais regarde pas devant lui et fonce dans une fenêtre et tourne la tête devant et-* FRANCIS FRANCIIIS ON VA SE PRENDRE L-… *trop tard ils traversent en la brisant* Francis Bonnefoy : AHHH !!! *on entend un cri sourd* Arthur Kirkland : ...................... Gawain Kirkland : .............................. Arthur Kirkland : *mais ces gars sont..... cons* Benjamin M. Carriedo : ............. Ludwig Beilschmidt : . . . Gawain Kirkland : ..................... *FACEPALM.*
------------------------------------------------------- Après que les deux compères se soient défenestrés, les voilà :
Francis : AHHHHHHHHHHHHHHHH !!! ANTO FAIT QUELQUE CHOSE!!! Antonio: *essaye d'enlever les bouts de verre qu'il a sur lui surtout et a pas mal de coupures* J'essaye, j'essaye! *a le balai qui vrille, s'accroche bien à son balai* Accroche-toi à moi Francis ! Francis : -s'accroche à Antonio, fooooort- -sauf que le balais fait des looping là- SACREBLEUUUU! Antonio: POR DIOS JE VEUX PAS MOURIR SI JEUNE! *étouffe vu la poigne qu'à Francis autour de son ventre, s'accroche bien mais voit même plus ce qu'il fait, sait juste qu'il tombe en piqué* Francis : AHHHHHHHHHHH ANTONIO SACHE QUE JE T'AIME MON AMI ! AHHHHHHHHHH !!!
*Puis comme des cons, ils se crashent dans le Saule Cogneur *
Francis : *tombe comme une merde dans un trou au pied du Saule Cogneur* *K-O* *doit avoir un truc de cassé par contre* Antonio: *roule par terre quelques mètres plus loin et à un horrible mal de crâne mais est encore conscient* Eh....? *voit le saule cogneur qui est prêt à l'écraser et puise ses dernières forces pour sauter dans le trou et s'écraser sur Francis à la fin de sa chute* Oh..... *ferme les yeux, reste comme ça, a mal partout* Francis : *respire fort* ...oh...merde...*a mal de partout aussi* Antonio: *se rend compte qu'il écrase Francis et roule sur le côté en gémissant de douleur mais il s'en fou de lui, il s'inquiète juste pour son bff là* F-francis, tu vas bien...? Francis : Et toi ? *tousse, a de la terre dans la bouche* Antonio: *se rapproche de lui et pose sa main dans le dos de Francis* J'ai l'impression de me faire écraser par les boobs de Yekaterina... *lâche un petit rire mais même ça, ça lui fait mal* Francis : *rigole* Mais avoue quand même que ça valait le coup...*aiiie j'ai mal* Antonio: Plutôt deux fois qu'une... *prend sa main et la serre dans la sienne, sa joue contre le sol, le regarde en souriant comme il peut* Tu as le visage rempli de coupures... Francis : ça guérira, j'ai une super lotion. Même si je suis un peu embêter, on est pas à une bêtise près ! .......Tu sais où on est ? Antonio: *roule sur le dos et regarde autour de lui* On dirait.....Un tunnel. Francis : Tu...tu peux te lever ? Antonio: *essaye difficilement et gémit de douleur* S-si... *est seulement à quatre pattes* et toi? Francis : *se lève...difficilement* je crois que j'ai le bras cassé et je boîte... Antonio: *s'aide d'un bâton en bois par terre pour se relever* J-je suis désolé Francis... Francis : t'inquiète....*sourit; bisou sur la joue* *prend aussi un bâton, regarde les petits vieux* ....On revient d'où on vient ou on continue ? Antonio: *lève la tête* Tu crois sérieusement qu'on est assez en bonne état pour se hisser en haut...? *regarde le tunnel* On continue, on verra bien, de toute façon on a pas tellement le choix... Francis : *hoche la tête, ils continuent du coup* Antonio: *marche difficilement, a certainement la cheville cassée sinon les mains ça va, tient la main de Francis tout du long* On est y presque! *se force à lui sourire* Francis : oui...*l'aide à marcher, mais bon, ils se cassent PRESQUE la gueule à chaque pas* *puis finalement, ils arrivent au niveau d'une trappe* Antonio: *donne un coup d'épaule dans la trappe et va en premier* Francis... Francis : *l'aide à monter* Hm...? Antonio: On....on dirait un salon... *lui tend sa main pour qu'il monte à son tour* Francis : *monte difficilement* Ouah...ça a l'air poussièreux...*euurkk, de la poussière sur moi* Antonio: *va se laisser tomber sur le canapé* Ah... *enlève sa chaussure et sa chaussette et voit son pied tout gonflé* On est où....? Francis : *va s'asseoir à côté de lui* J'en ai aucune idée....*on entend des grincements....*........Tu penses qu'il y a quelqu'un ? *Tu pues des pieds amigo, au passage* Antonio: C'est peut être la maison de quelqu'un...? *se mord la lèvre* De toute façon, vu notre état...*ça c'est pas extrêmement gentil dis donc dis donc* Francis : Ouai.......Hominum Revelio ! *sortilège permettant de détecter la présence de quelqu'un, or il n'y a rien qui se passe* Nous sommes seuls... Antonio: *pose sa tête contre celle de Francis* Qu'est-ce qu'on va faire.....? Francis : ...Je ne sais pas....*caresse sa main* On va se faire tuer si on rentre...*ricane* Antonio: Qu'on crève ici ou là-bas.... *ricane aussi et lève les yeux pour le regarder en souriant tendrement mais un autre bruit se fait entendre* ....tu es sûr qu'il y a vraiment personne Francis? Francis : ...*sa baguette semble réagir à quelque chose* ....*le regarde trop....inquiet, une lueur de panique dans le regard* Antonio: *voit bien la lueur de panique et relève la tête, sert sa main dans la sienne* Francis....? *regarde autour de lui, n'a pas peur, il est prêt à se défendre, baguette à la main* ??? : *une ombre rentre* Francis : STUPÉ...!- ??? : Endoloris !!! *sur Francis car c'est une merde, de toute façon, il doit parler à Antonio* Francis : *tombe juste par terre et a des spasmes* Antonio: *paniqué, pointe l'ombre de sa baguette et regarde Francis tomber par terre* Francis!Francis!! *se jette sur lui en gémissant de douleur et le secoue, est complètement désemparé* Qu'est-ce que tu veux?! relève son regard vers l'agresseur, en grinçant des dents ??? : *l'agresseur arrête son sort* Antonio Fernandez Carriedo, j'ai à vous parler... Francis : *s'est évanouit* ??? : Le maître m'envoie... Antonio: *regarde Francis un instant et passe sa main dans ses cheveux blonds* Désolé Francis... *dépose un baiser sur son front et se relève à l'aide du bâton* Je t'écoute... ??? : Il demande où tu en es...dans ta mission... Antonio: *détourne le regard* J'y travaille j'y travaille.... *se mord la lèvre* Il me reste que deux jours c'est ça...? ??? : Le maître a été clément et te laisse une semaine de plus...puisque tu as l'air d'être un incapable *ricane* Et n'oublie pas ta seconde mission.... Antonio: *se frotte l'épaule et baisse le regard, silencieux pour l'instant *.... *inspire un grand coup* Dis-lui que ce soir la première mission sera effectuée... *tremble, ne se sent absolument pas bien* Pour la deuxième, il me faudra un peu plus de temps. *regarde Francis évanoui non loin de là* ??? : Bien...Très bien...*on ne voit pas son visage, il porte un masque, un masque semblable à celui de la personne qui était là, le soir où le serment inviolable a été fait* *regarde Francis* Ton ami, si tu veux qu'il reste en vie, il va falloir que tu tiennes ta promesse....Ce serait dommage qu'il lui arrive quelque chose n'est-ce pas.... Antonio: *sert sa baguette dans sa main* Ca-ça n'a jamais été dans le serment de blesser mes proches! Seulement moi! *oui car ça l'affecterait bien plus qu'on blesse ses proches plutôt que lui* J'effectuerai ma mission ce soir et la deuxième dans les deux mois qui suivent, je le promets mais ne vous faîtes rien! *se mord la peau du doigt* Ramène-nous à Poudlard maintenant, s'il te plait... *va mettre Francis sur son dos mais souffre de ses blessures, lâchant quelques larmes et tend son bras* ??? : Mais le serment ne mentionnait pas que l'on ne ferait rien à tes proches....Je vais vous ramener à Poudlard mais avant...*s'approche et point sa baguette dans le dos de Francis* Aegror Obscurus.... Antonio: *regarde l'homme au masque faire, sans un mot, est terrorisé par ce que vient de faire ce dernier* C'était quel sort au juste ça....? ??? : Oh, rien de bien méchant, si tu fais ce que l'on te dit....Dis toi que...si tu désobéis, ton ami en subira les conséquences...*on peut deviner qu'il sourit sous son masque* *lui prend le bras et ils transplanent, dans leur état, la douleur doit être horrible, limite ils ont de la chance de ne pas se faire désartibuler* *ils se retrouvent au bord du lac et l'homme disparait aussitôt après* Antonio: *gémit de douleur en plus a Francis sur son dos, mais n'a pas le temps de dire quoique ce soit qu'ils se retrouvent au bord du lac avec l'ombre disparue. Lessivé physiquement et mentalement, il laisse tomber Francis sur le côté puis lui et se met à pleurer à chaudes larmes sur le torse du blond, n'essaye même pas de les retenir* Je suis désolé Francis....je suis-...désolé....
(JE METTRAIS LA MISE EN PAGE PLUS TARD HAHA) |
| Les pensées suicidaires Mon personnage Citation: “What you gave me was a reason. Not an excuse. Because there’s sex, making love and fucking. And then there’s you.” ϟ Nation représentée : Franceϟ Parchemins : 1425 | | | Sujet: Re: Qu'ai-je raté ? Jeu 12 Mar - 15:21 | |
| Arthur et Aodrena, étaient partis à la recherche d'Antonio et de Francis, qui avaient fuit à balai suite aux bêtises qu'ils avaient causé dans la grande salle. Après avoir fouillait les alentours du Saule Cogneur, le groupe retrouva les deux élèves à proximité du lac, mais dans un sale état. Les deux étaient couverts de multiples blessures, Francis était inconscient et Antonio en pleure au-dessus de son camarade. Arthur et Aodrena les emmenèrent rapidement à l'infirmerie, où ils furent pris en charge par l'infirmière. Quelque heures plus tard Francis s'était réveillé, quand l'enseignante et le préfet des Serpentard tentèrent d'en savoir plus sur ce qui était arrivé, les deux blessés répondirent qu'ils ne s'en souvenaient pas. Et les deux élèves restèrent à l'infirmerie. |
| Invité | | | Sujet: Re: Qu'ai-je raté ? Dim 15 Mar - 11:14 | |
| Hier soir, Tabitha est entrée dans la grande salle après avoir inondé l'étage, en glissant sur le carrelage. Alfred et elle se sont amusés à éclabousser la salle alors Aodrena a gelé l'eau pour les arrêter. Tab est alors ensuite monté sur le dos d'Alfred et ils sont allés "attaquer" Ludwig qui cherchait juste la paix. Il se sont ensuite mis en route pour attaquer Gilbert mais ce dernier était un peu de mauvais poil alors pour les stopper, Antonio s'est mis à faire une danse plutôt étrange, compte tenu du fait qu'il n'avait rien mangé depuis plusieurs jours. Gilbert l'a alors emmené dans les cuisines pour lui préparer des pomme de terre avec des saucisses. Benjamin et Luciano était encore dans la salle quand Alfred, Tabitha toujours sur son dos, est allé embêter la mexicaine Maria. L'ambiance est rapidement devenue électrique et Maria a frappé Alfred au ventre. S'en suivit une pluie de coupe de Tabitha et Alfred sur Maria et Maria qui se défendait tout de même plutôt bien. La bagarre aurait pu très mal tourner si Luciano n'était pas intervenu, arrêtant ainsi Alfred qui s'en est voulu d'avoir frappé son meilleur ami. Cependant, seul l'intervention d'un sort lancé par la professeur Aileas Kirkland a pu séparer les deux filles qui roulaient encore au sol. La bagarre fini, Benjamin a été autorisé à aller chercher à manger en cuisine pour Luciano qui n'avait rien mangé non plus depuis longtemps. Aileas a ensuite ramener les élèves dans leurs dortoirs et l'incident était clos. |
| Invité | | | Sujet: Re: Qu'ai-je raté ? Dim 15 Mar - 13:59 | |
| "L'incident est clos" ? C'est beau de rêver~ Surtout qu'il est question ici de Aileas, hehehe.
Comme vous vous y attendez, des punitions sont tombées.
Luciano&Benjamin s'en tirent saufs, grâce à leur innocence plus qu'évidente l'affaire.
Pour ce qui en est de Maria, Tabitha, et Alfred, par contre... Tout trois allez devoir recopier quatre-cent fois la phrase "Je ne me battrai pas comme un sauvage, ici nous sommes civilisés." de manière propre et lisible. Si vous lui rendez un torchon, vous recommencerez tout depuis le départ, et devrez recopier la phrase cent fois de plus <3 A lui rendre avant mercredi les bichons. De plus, dans la semaine vous seront reparties cinq heures de colle pendant lesquelles elle vous surveillera. Une tache différente pour chacun, j'ai un peu la flemme de faire marcher mon imagination alors je vous laisse imaginer quelque chose de très très désagréable à faire <3 Dans la bonne volonté, et le silence total, évidemment. Sauf si vous désirez une nouvelle punition.
Aussi, de nombreux points ont été retirés à la maison Gryffondor (20 par tête), votre directeur de maison a été mis au courant de vos agissements, et vos parents ont tous reçu une lettre de la part de votre cheeeere professeur. <3
Oh et Quetz a bien évidemment été mise au courant pour le combat, l'impolitesse, et l'irrespect de sa nièce envers Aileas. De rien <3
Sinon, aussi blblblbl Vu l'état de Luciano la veille, elle l'a emmené à l'infirmerie, où il a passé la nuit. Benjamin est resté avec lui, je pense- |
| Invité | | | Sujet: Re: Qu'ai-je raté ? Dim 15 Mar - 15:56 | |
| Quetzal, par rapport à ce qu'a fait sa nièce, a décidé de passer à la vitesse supérieure. Non seulement elle aura des lignes à recopier en retenue mais aussi elle sera privée de trois matches de Quidditch, mesure radicale qui a su faire réagir la jeune Mexicaine ce dont Quetzal a profité. Sachez que c'est ce qui attend désormais ceux qui font partie des équipes et qui oseront la faire suer. |
| Invité | | | Sujet: Re: Qu'ai-je raté ? Dim 15 Mar - 18:40 | |
| Qu'est-ce qui se passe-t-il du côté Nord Irlandais et Brésilien ??
Comme vous l'avez surement su, Luciano s'est confessé à Gawain mais ce-dernier lui a dit qu'il "n'avait pas la tête à ça" et lui a fait comprendre que ce n'était pas vraiment partagé mais pour autant ils resteraient amis, chose qui paru difficile le jour suivant vu qu'ils ne se sont pas parlés ...
Puis arriva le jour de l'entrainement de Quidditch, Luciano et Gawain se sont disputés, et l'Ecossais lui a balancé des petits mots doux PAS DU TOUT sympathiques du genre "un sang pur ça peut pas être ton ami" ou encore "NE t'approche plus de moi" tellement d'amour ... Ce qui fait que Gawain est dans son humeur "je vais tuer tout le monde !" Je vous mets juste le moment d'engueulade pour que ça soit plus clair ... Vos feelz me remercierons plus tard.
Gawain : *Ne faibli pas devant le regard de Luciano.* Je n'ai pas besoin de tes conseilles ou de ta protection rapproché ! Pour qui tu te prends ?! Luciano: Je me prends peut être pour ton ami ! *La colère commençait à prendre le dessus sur ma raison...* Oh, je dirais même mieux. Je me prends pour la personne qui t'aime ! C'est normal que je m'inquiète pour toi ! Gaga : Et ça te donne le droit de me surveiller h24 ??!! Fais moi rire Luciano, qui t'as dit que je t'autorisais à empirer comme ça ? *Il chassa l'air d'un mouvement de bras sec.* J'en ai rien à cirer de ce que tu peux penser de moi ! Luciano: Ce n'est pas en interdisant de m'occuper pour toi que je ne le ferais plus ! Je te surveillerai toujours et m'inquièterai toujours, quoi qu'il arrive ! J'y peux rien moi si je t'aime, je ne l'ai pas demandé ça, tu vois ! *Je passais ma main dans mes cheveux, essayant de me calmer.* En tout cas maintenant je sais que ça ne sert plus à rien d'espérer. "Je n'ai pas la tête à ça" , quelle réponse stupide... C'était trop compliqué de me dire juste "Non" , plutôt que de me laisser espérer ? Gaga : *Serre les poings.* Tu cherches vraiment à ce que je sois méchant là Luciano !! Tu veux jouer à ça ? Très bien ! J'en ai rien à foutre de toi et de tes sentiments de victimes ! Laisse moi tranquille ! SI j'étais ton ami, c'est juste pas pitié pour toi avec ta tête d'amoureux des modus, si t'es si bien avec eux, retourne y ! Comment as-tu pu croire qu'un sang pur puisse être ami avec toi !! *La rage l'emporta sur toute once d'humanité ou même de réalisme dans le coeur de Gawain.* Luciano: *Tes mots finirent de détruire mon cœur déjà bien malmené. Je t'attrapais violemment par le col et te plaquais au mur. Je voulais te crier dessus, faire sortir toute la colère en moi. Mais je n'y arrivais pas, aucun son ne voulait sortir d'entre mes lèvres. Je donnais dans le mur un coup de poing, juste à coté de ta tête, même si la rage m'envahissait, je ne pouvais pas te frapper, je t'aimais trop pour ça, malgré tes mots blessant. Je te relâchais et réussi à murmurais.* Casse toi... Je ne veux plus te voir... Casse toi ! *Mes larmes envahirent mes yeux, je regardais mes pieds, attendant que tu partes.* Gaga : C'est ça frappe moi, on va voir ce que ça donne ....... *Une fois lâché, Gawain remit le col de sa chemise en place, toisant le pauvre Brésilien face à lui.* Ne t'approche plus de moi. *Le bouscule pour passer.* |
| Invité | | | Sujet: Re: Qu'ai-je raté ? Mer 18 Mar - 14:50 | |
| Dimanche, alors que Francis est en fauteuil roulant, Antonio a l'idée de descendre les escaliers avec. Ils y arrivent mais beaucoup de gens sont interpellés, notamment Aodrena qui file les voir et leur donner une punition. Voulant y échapper, c'est dès qu'elle eut le dos tourner que l'espagnol alla chercher Gil pour que le BFT tout entier parte avec une voiture volante à Londres. Ils ne firent pas long feu puisque le pépé Carriedo les chopèrent et leur firent prendre le train de retour pour Poudlard. Résultat des courses: des tonnes de lignes à faire, Poudlard à laver à la moldu pendant un mois et Gilbert et Francis se sont fait pendre une nuit par les pieds, la tête en bas.
Depuis, autant dire que le fameux BFT s'est vite fait calmé.
Est-ce que cette école connaîtra un peu de calme un jour?
Dernière édition par Antonio F. Carriedo le Ven 27 Mar - 1:17, édité 1 fois |
| Baiseur de crocodiles ϟ Nation représentée : Espagneϟ Parchemins : 598 | | | Sujet: Re: Qu'ai-je raté ? Mer 25 Mar - 13:18 | |
| C'est long mais... - C'est bon~:
[22:03:30 24/03/2015] Gilbert Beilschmidt : *eeeeentreuh*
[22:03:48 24/03/2015] Elizaveta Héderváry : *joue déjà au ficus dans la Grande Salle en faisant ses devoirs-*
[22:03:54 24/03/2015] @ Antonio F. Carriedo : *entre derrière Gil, va lui pincer les côtes*
[22:04:30 24/03/2015] Ludwig Beilschmidt : *bon bah, accompagne le coup, grognant un peu*
[22:05:26 24/03/2015] Roderich Edelstein : *entre*
[22:06:28 24/03/2015] Ulrich Beilschmidt : *est plutôt anxieux ... Ce sera la première fois depuis quelques années qu'il sera dans la grande salle ... Il espère qu'il n'y a pas grand monde ... Ou alors ... ... Il entre en silence, l'air froid et distant ...*
[22:07:18 24/03/2015] Gilbert Beilschmidt : *pousse un petit cri super virile parce qu'il est sensible-* Tonio !
[22:07:21 24/03/2015] Roderich Edelstein : *Voit son oncle entrer. Cela faisait un meomen qu'il ne l'avait pas vu ici*
[22:07:39 24/03/2015] Gilbert Beilschmidt : *a pas vu son Vati :c *
[22:08:42 24/03/2015] Ludwig Beilschmidt : *se retourne, pour voir qui est entrer, avant de lâcher son livre, surpris, et pourtant incroyablement calme* ... *qu'est-ce qu'il fait ici ?...*
[22:09:06 24/03/2015] Roderich Edelstein : *He is back*
[22:09:08 24/03/2015] Elizaveta Héderváry : *lève la tête vers Matti et lui sourit, parce que oui, elle l'a vu o/* *voit quelqu'un entrer dans la salle* Oh ?
[22:09:11 24/03/2015] @ Antonio F. Carriedo : *rit un peu* Si, c'est mon prénom!
[22:09:12 24/03/2015] Ulrich Beilschmidt : *tente de reconnaître des têtes ... Cela le rassure de voir Roderich au loin, et pas que ... Il est un peu plus serein.*
[22:09:44 24/03/2015] @ Antonio F. Carriedo : *tourne sa tête vers Ulrich* Oh?Je crois qu'on a un nouveau prof! *rit*
[22:09:53 24/03/2015] Roderich Edelstein : *C'est vrai que je suis beau. Enfin, va voir son oncle* Bonsoir M Beilschmidt
[22:10:09 24/03/2015] Roderich Edelstein : *très formel, droit et altier*
[22:10:11 24/03/2015] Ludwig Beilschmidt : *a un blocage complet, ne bouge plus*
[22:10:34 24/03/2015] Gilbert Beilschmidt : Ah bon ? Qui ? *tourne la tête pour regarder et freeze* ...
[22:10:41 24/03/2015] Ulrich Beilschmidt : *reste sans expression faciale ...* Bonsoir M Edelstein ...
[22:11:23 24/03/2015] Ludwig Beilschmidt : *on a donc deux statues d'allemands dans la salle*
[22:11:34 24/03/2015] Ulrich Beilschmidt : *est un peu mélancolique en jetant un vif coup d'oeil au plafond ... *
[22:11:45 24/03/2015] Elizaveta Héderváry : *hausse un sourcil et se lève* *tiens Roddy le connait* *va les voir* Bonjour ~
[22:11:52 24/03/2015] Roderich Edelstein : *petit signe de tête respectueux* C'est un honneur de vous voir ici. Que nous vaut votre présence ?
[22:13:05 24/03/2015] Ulrich Beilschmidt : *recentre son regard sur son interlocuteur* Je suis devenu le professeur d'histoire de la magie assez recemment ...
[22:13:56 24/03/2015] @ Antonio F. Carriedo : Ca va Gil....? *le secoue un peu, tient sa main*
[22:14:54 24/03/2015] Roderich Edelstein : *voit Eli arriver* Bonsoir. Oui c'est vrai. Avez vous eu l'occasion de parler a vos fils ?
[22:15:37 24/03/2015] Elizaveta Héderváry : *sourit à Roderich et se tourne vers le prof* Je suis Elizaveta Héderváry, enchantée ~ Vous êtes ?
[22:15:48 24/03/2015] Ulrich Beilschmidt : *est soudainement semblable à de la pierre pendant quelques secondes ... *
[22:15:55 24/03/2015] Gilbert Beilschmidt : *gros bug là, il fixe Ulrich* Tonio je...
[22:16:06 24/03/2015] Ludwig Beilschmidt : *s'approche lentement, silencieux*
[22:17:06 24/03/2015] Ulrich Beilschmidt : *reprend son calme puis répond doucement* Je ne nomme Beilschmidt Ulrich. Professeur d'Histoire de la magie.
[22:17:24 24/03/2015] Roderich Edelstein : C'est mon oncle.
[22:17:34 24/03/2015] Elizaveta Héderváry : *se fige quelques secondes* ... Beilschmidt ? Comme Ludwig et Gil ?
[22:17:40 24/03/2015] Roderich Edelstein : *Ils ont du se voir a des réunions de famille tout ca*
[22:18:02 24/03/2015] Roderich Edelstein : *des receptions au manoir*
[22:18:02 24/03/2015] @ Antonio F. Carriedo : Si...? *attentif, voit pas le problème*
[22:18:21 24/03/2015] Ulrich Beilschmidt : *se refige quelques seconde en entendant le prénom de son fils aîné*
[22:18:33 24/03/2015] Ludwig Beilschmidt : *justement, arrive et se plante face à Ulrich* Vati... Que faîtes vous ici ?
[22:19:50 24/03/2015] Ulrich Beilschmidt : *est soudainement très serein* Je suis celui qui enseigne l'Historie de la magie en ce lieu depuis peu ...
[22:19:51 24/03/2015] Gilbert Beilschmidt : ....C'est... *lâche Ulrich du regard pour regarder Antonio* C'est mon père...
[22:19:51 24/03/2015] Gilbert Beilschmidt : *celui quand j'ai pas vu depuis 15 ans*
[22:21:37 24/03/2015] Ludwig Beilschmidt : ... *le regarde dans les yeux* Cela vous va particulièrement bien. Je serais très heureux de suivre les cours avec vous. Je vous sait plein de connaissances.
[22:22:05 24/03/2015] Roderich Edelstein : Bonsoir Ludwig.
[22:22:18 24/03/2015] Elizaveta Héderváry : Histoire de la Magie....? Ah, tant mieux, l'ancien prof était un tant soit peu ennuyant ! J'espère que vous serez meilleur professeur !
[22:22:28 24/03/2015] Ulrich Beilschmidt : *le regarde aussi dans les yeux fièrement* Merci. Tu deviendras l'un de mes meilleurs élèves Ludwig.
[22:22:28 24/03/2015] Elizaveta Héderváry : *et sourit à Luddy aussi*
[22:22:55 24/03/2015] Ulrich Beilschmidt : *regarde Eli' sans rien ajouter ... Le silence lui sied bien*
[22:23:19 24/03/2015] Roderich Edelstein : *se garde de faire une sale remarque sur Gil*
[22:23:29 24/03/2015] @ Antonio F. Carriedo : *écarquille les yeux* Qu-quoi...? *serre sa main et appuie son regard sur Gilbert* Mais-...tu-... *trouve plus ses mots*
[22:23:38 24/03/2015] Ludwig Beilschmidt : ... Avez vous... Rencontrez Gilbert ?
[22:24:00 24/03/2015] Elizaveta Héderváry : *suit la conversation entre le père te le fils, ça l'intéresse, là-*
[22:24:13 24/03/2015] Ulrich Beilschmidt : *un peu troublé mais ne laisse rien paraître* Non.
[22:24:41 24/03/2015] Roderich Edelstein : J'espère que vous ne serez point.. décu
[22:24:45 24/03/2015] Ulrich Beilschmidt : *aurait aimé rajouter d'autres mots après ce "non." assez sec ... Mais rien ne lui vient à l'esprit*
[22:24:50 24/03/2015] Roderich Edelstein : *voila il a a pu s'empecher*
[22:25:52 24/03/2015] Ulrich Beilschmidt : *regarde Roderich, prend en considération ses paroles puis détourne le regard vers la salle, un peu dans le vague*
[22:25:54 24/03/2015] Ludwig Beilschmidt : Je vois. *reprend tout son sérieux* J'espère ne pas vous décevoir Vati. *lance un mauvais regard à Rody* Gilbert est quelqu'un de joyeux et de dynamique. Nous sommes très différents, mais vous saurez voir ses nombreuses qualités.
[22:25:55 24/03/2015] Elizaveta Héderváry : *frappe Roddy dans l'épaule- Doucement-* Roderich !
[22:26:25 24/03/2015] Gilbert Beilschmidt : Je... Je l'ai pas vu depuis que... Enfin, que Swanhilde m'a emmené à Leipzig. *baisse la tête, ça le perturbe vraiment, ose pas trop aller à son approche-*
[22:26:39 24/03/2015] Ulrich Beilschmidt : Je n'en doute pas. *dit-il froidement avec une once d'inquiètude*
[22:26:45 24/03/2015] Roderich Edelstein : *hausse les sourcils, il a rien dit*
[22:28:26 24/03/2015] Ludwig Beilschmidt : *aimerait ajouter quelque chose, mais ne sais pas quoi dire* ... C'est bon de vous revoir. *et sur ce, s'en va juste ainsi*
[22:28:28 24/03/2015] @ Antonio F. Carriedo : Mais-... *un grand sourire apparaît sur son visage* C'est super!Qu'est-ce que tu fais encore là?! *part en courant vers Ulrich, tire Gilbert* Señor!Señor! *le dit assez fort pour se faire remarquer et arrive devant lui, pousse un peu les autres*
[22:29:51 24/03/2015] Ulrich Beilschmidt : *se sent limité aggressé par l'élève qui vient de venir ... Néanmoins il a toute son attention*
[22:30:07 24/03/2015] Elizaveta Héderváry : *regarde Tonio arriver avec Gil* Oh, tiens, quand on parle du loup....
[22:31:00 24/03/2015] Ulrich Beilschmidt : *il remarque enfin l'autre élève ... sans bouger ni rien dire, ses yeux s'humidifient ...*
[22:31:23 24/03/2015] @ Antonio F. Carriedo : Hola señor! Je-.... *sait pas trop quoi dire alors pousse Gilbert devant lui* Gilbert. Gilbert Beilschmidt!
[22:31:34 24/03/2015] Roderich Edelstein : *les regarde de loin*
[22:32:00 24/03/2015] Ulrich Beilschmidt : *murmure* Gilbert ...
[22:32:24 24/03/2015] Gilbert Beilschmidt : *se fait tirer* Attend... Antonio...! *a à peine le temps de le réaliser qu'il se retrouve face à son père* .....
[22:35:33 24/03/2015] Ulrich Beilschmidt : *de délicates larmes perlent sur le bord de ses yeux ... Il ne sais pas comment s'y prendre pour exprimer sa joie d'avoir enfin son fils aîné en face de lui ... Il se contente donc de rester silencieux, le poser lentement sa main droite sur l'épaule gauche de Gilbert tout en regardant celui-ci dans les yeux*
[22:36:06 24/03/2015] Elizaveta Héderváry : *reste plantée là à les regarder*
[22:36:38 24/03/2015] Ludwig Beilschmidt : *regarde la scène de loin. Veut les laisse seul pour ceci.*
[22:37:03 24/03/2015] Elizaveta Héderváry : *recule pour leur laisser plus d'intimité*
[22:38:02 24/03/2015] @ Antonio F. Carriedo : *oh non, se cache derrière Eli pour chialer silencieusement, trop d'émotions, c'est mieux que mes telenovellas*
[22:38:37 24/03/2015] Elizaveta Héderváry : *tapote la tête de Tonio, a la larme à l'oeil*
[22:41:03 24/03/2015] Ulrich Beilschmidt : *reste longtemps silencieux, son esprit rempli d'espoir et son coeur rempli d'émotions ... Il ne sait pas vraiment ce qu'il doit faire ou bien dire ... Il espère simplement que sa joie est partagée ...*
[22:46:00 24/03/2015] Gilbert Beilschmidt : *lui il a du mal à soutenir son regard, il baisse les yeux. Il a un peu honte, parce que ça fait des années qu'il attend que ça, ça fait des années qu'il rêve de ces retrouvailles, ça fait des années qu'il rêve d'avoir un père, voir même tout simplement un parent... Mais là maintenant tout de suite, maintenant qu'il l'a ce père, il n'a aucune idée de la manière dont il doit réagir, ni ce qu'il est censé dire... Alors il reste là, bêtement, les bras ballants, n'osant qu'à peine regarder l'homme en face de lui... Regarder son père.* Je... *il hésite... les mots sont-ils vraiment nécessaires...? mais il en ressent le besoin, il veut parler. Alors il finit par relever les yeux, pour plonger son regard violacé dans celui bleu de son père, et il lui sourit, simplement, il sourit* Je suis content de te revoir enfin... Papa…
[22:52:30] Ulrich Beilschmidt : *Pense pour lui : "Papa ... ... Une seule larme tombe, caressant sa joue. Il ne bouge pas mais un sourire naît sur son visage, fragile mais rempli de sens. Il se rapproche doucement de son fils qui lui a tellement manqué puis le serre délicatement dans ses bras. Il lui murmure tout bas avec une intonation douce et aimante* Tu as tellement grandi ... Tu ... ... *puis il se tait sans vraiment savoir comment finir sa phrase, l'odeur de Gilbert l'apaise tout autant que sa présence. Il était enfin devant lui et réel ...*
[23:16:01] Gilbert Beilschmidt : *il ferme les yeux, et serre également son père dans ses bras. Ses yeux son humides, il serre le haut de Ulrich entre ses doigts, comme s'il avait peur de le voir partir à nouveau, comme si quelque chose lui criait en lui de profiter, avant qu'il ne disparaisse. C'était absurde, mais plus fort que lui : Il avait la sensation de retomber en enfance, de redevenir le gamin perdu qu'il était à l'époque, quelques rares souvenirs lui revenaient, de l'époque où ils vivaient tout les quatre, avant la séparation. Ils sont rares, lui, il a presque tout oublié, ne lui laissant que quelques bribes, quelques rires, quelques jeux, de l'époque où il avait une famille... Une vraie famille. Ce sont des souvenirs qu'il a chérit de tout son être pendant son enfance, alors qu'il n'avait plus frère, ni père, ni de véritable de mère, ce sont des souvenirs qui se sont ravivés quand il a revu Ludwig pour la première fois, ce sont des souvenirs qui ont été douloureux quand cet été, Swanhilde l'a jeté dehors. Là, ce soir encore ils reviennent, mais ils ne font plus mal. Sa voix est un peu différente, son père lui semble un peu moins grand qu'avant également, tout simplement parce que lui-même a grandit, lui-même a changé… Et il regrette que son père n'ait pas été là. Mais qu'y pouvaient-ils ? Le passé ne pouvait être changer, et maintenant, ils allaient pouvoir rattraper tout le temps perdu… Ils allaient pouvoir être une famille. Et alors qu'une larme coule sur sa joue, un sanglot lui échappe. Une seconde larme trace son chemin sur sa joue, puis une troisième, et beaucoup d'autres encore. Il n'arrive pas à parler tant sa gorge est serrée, alors il pleure juste, serrant son père dans ses bras. Ses idées sont floues, seuls quelques mots, prononcés en allemands et sans grand sens arrivent à se faire entendre. Mais une chose, et une seule et unique, était claire comme jamais dans son coeur : Gilbert, à ce moment précis, était heureux. Plus que jamais il ne l'avait été auparavant* Papa… Papa…! Ne repars pas… Je t'en prie...
[23:32:41] Ulrich Beilschmidt : *lorsqu'il sentit son fils lâcher un timide sanglot, son esprit tressailli laissant battre simplement son cœur d'émotions propres à sa condition de Père. Le sorcier était parti, l'érudit par la même occasion, seul comptait l'homme. Malgré des larmes de plus en plus nombreuses, le chagrin ne l'envahissait point. L'instant ce devait d'être heureux et non triste ... Son sourire était devenu radieux. Il serra un peu plus son étreinte comme pour avoir l'effet d'une protection, puis il ajouta ses quelques mots avec douceur* : "Plus jamais ... plus jamais mon fils ... Gilbert ..." *Il resserre un peu plus son étreinte et emprunte un moment de magie que même le temps ne pourra effacer* "Je t'aime …"
[00:05:18] Gilbert Beilschmidt : *aux mots de son père, un nouveau sanglot lui échappe, son coeur se serre, les larmes ne se calme pas. Il reste ainsi, le serrant contre lui, pleurant contre son épaules un long, très long moment. Il n'aurait su dire combien de temps, quelques minutes, peut-être plus qui lui avaient semblées n'être que de trop courtes secondes. Il se surprend à vouloir que ce moment soit éternel, que jamais rien ne s'arrête, que le bonheur qu'il ressentait à présent soit à jamais aussi fort, que plus jamais il n'y ait de tâche sur le beau tableau que pourrait être sa vie. Il avait un frère, un père, des amis, et un petit-ami qu'il aimait de tout son coeur. Il se plaisait dans ce qu'il faisait, et dans sa vie il ne trouvait plus l'ennui. Que pouvait-il demander de plus ? Rien, vraiment, rien. Il ne voulait rien d'autre, il voulait que les choses restent ainsi, que plus jamais rien ne change* Je t'aime aussi... *il se détache un peu de son père, mettant fin à leur étreinte. Son visage est baigné de larmes, et ses yeux sont rougis d'avoir trop pleuré. Il renifle, et un grand sourire déforme ses lèvres.* Danke schön… *il essuie un peu ses joues et ses yeux, il ne pleure plus, l'émotion intense ressentie jusque là lui est passée. Mais il est heureux, il le reste, et là, rien ne pourrait gâcher son bonheur*
[00:15:32] Ulrich Beilschmidt : *son visage avait reprit le peu de son sérieux habituel. L'esprit toujours embaumé par la joie des retrouvailles, peut-être même un peu perdu mais sans que cela soit pris pour un mal. Après avoir regardé Gilbert un court instant il regarde vivement Ludwig n'oubliant pas celui-ci. Sans le laisser paraître, il était heureux ... Pourtant, ses prochaines paroles peuvent sembler brutales* " Ne me remercie pas pour ça." dit-il en fronçant un peu les sourcils. *Il ne comprenait pas trop la raison de cette gratitude ... Ce qui l'avait peut-être poussé à être brusque ... Avant de soupirer doucement, il observe la salle ... Sans rechercher quoique ce soit ...*
[00:23:09] Gilbert Beilschmidt : *il penche la tête sur le côté, surpris plus que blessé par le ton employé par son père. Il se frotte un oeil, et préfère ne pas relever, il regarde dans salle aussi, avant que son regard ne revienne se poser sur son paternel* Mais dis.... Tu viens faire quoi ici ? *sa voix est légèrement enrouée*
[00:26:35] Ulrich Beilschmidt : *recentre son attention sur Gilbert et lui répond calmement malgré la moment passé* "Je suis dorénavant le professeur d'Histoire de la Magie de Poudlard. Je commence demain ..." *il ne sais pas du tout avec quelle classe, ni de quelle année ... Mais peu importe on dirait ... il était toujours content d'avoir revu ses deux fils, comme un rêve réalisé*
[00:28:39] Gilbert Beilschmidt : .... *grimace en entendant "Histoire de la magie" c'est un peu la matière qu'il aime le moins. Il a obtenu la BUSE, mais en règle général, ses résultats sont plutôt moyens...* ...Oh. *sait pas trop quoi ajouter, va pas lui annoncer "papa je trouve que cette matière est à chier" ça le fait pas vraiment*
[00:32:19] Ulrich Beilschmidt : *il semble avoir compris le message sans vraiment en voir le fond ... Il tente de rassurer son fils* "Tu n'aimes pas vraiment ça ... semble-t-il ... Peu importe ... *vient une douce pensée qui lui restera privée : "Comme sa Mère ..."*
[00:34:40] @ Antonio F. Carriedo : *l'émotion étant passé, il avait censé de voir des larmes s'écouler sur ses joues. Il n'allait probablement pas l'avouer mais sentir la chaleur d'Elizaveta contre lui l'avait calmé. Il s'écarta d'elle peu à peu, ses bras se retirant de l'étreinte dans être brusque et fit un pas en arrière, toujours sans un mot. Il réalisait peu à peu qu'il venait de prendre celle qu'il n'était censé ne pas supporter dans ses bras et de plus, avait apprécié. Il se mit à sourire très légèrement, gêné en se grattant l'arrière de la tête et tourna son regard vers les deux éléments principales de cette parfaite scène pour éviter tout regard. Il était si heureux pour son petit-ami et il aura voulu le prendre dans ses bras pour le lui exprimer mais il n'était pas encore égoïste au point de vouloir sembler intrusif. Il se contentait simplement de les regarder en essayant de réaliser ce que ça devait être pour Gilbert. Retrouver son père après des années...Ca le faisait soupirer, longuement, de plaisir. Après tout, il considérait que c'était de sa faute si Gilbert n'avait plus Swanhilde. Car elle l'avait délaissé en voyant qui était son petit ami. Un sang de bourbe. Pas qu'il croit à ce genre de choses, mais le souvenir de cette femme qui n'avait cessé de l'appeler ainsi pendant tout la durée du séjour lui donnait de longs frissons dans le dos. Mais même si elle était un être dont Antonio doutait de la moindre existence d'amour, autre que propre, elle restait la mère de Gilbert et par dessus tout, la seule famille qu'il avait connu jusque là. Quelque chose le fit pâlir. Du peu de choses qu'il savait son dîte « beau-père », il savait qu'il était sang-pur et il ne put s'empêcher de se sentir méfiant. Si la mère avait réagi ainsi en sachant la relation qu'il entretenait avec Gilbert alors quand serait-il avec le père?Ce moment de retrouvaille avait été si beau mais si tout recommençait jusqu'à se briser comme il avait vu l'allemand avec sa mère ?Il ne voulait absolument pas gâcher ça, pas une deuxième fois Il sentit son corps se raidir.* Je-...je vais aller me coucher... *murmura t-il d'une voix à peine audible. Il jeta un regard apeuré à Gilbert et salua le père d'un mouvement de tête et partit de la salle, presque en courant*
[00:40:56] Gilbert Beilschmidt : J'avoue que je préfère les cours de Sortilèges et ceux de Défense contre les Forces du Mal... J'aimerais devenir Auror alors... *petit sourire gêné et... Se retrouve surpris en voyant Antonio partir ainsi. Il comprend pas tout à fait, se sent perdu* ...Tonio...? *il lance un regard à son père, réfléchit, mais ne parvient pas à comprendre... Antonio ne devait-il pas être heureux, plutôt que de fuir ainsi...? Et ce regard... Cela l'inquiéta, mais il n'osa rien dire. Il n'allait pas faire son coming-out à son père le soir le leurs retrouvailles, encore plus pour lui annoncer qu'il était en couple avec un né-moldu... Un... Il écarquilla les yeux. Est-ce que...?* ...Papa ?
[00:46:03] Ulrich Beilschmidt : *écouta attentivement Gilbert jusqu'à ce qu'un élève sorte de la salle assez précipitamment "sans réelle raison" pour Ulrich. Il fut assez surpris et intrigué ... Mais la politesse qu'eut le jeune homme à son égard n'est pas vain. Un nouveau mystère à résoudre ? Non, ce n'est pas le moment. Son regard n'avait pas quitté le jeune sortant, mais lorsque Gilbert reprit la parole, il se tourna vers lui sans dire mot ... Attendant simplement, un sourcil levé d''appréhension*
[00:47:28] Gilbert Beilschmidt : Dis... Qu'est-ce que tu penses des moldus, et des né-moldu...?
Alors il manque la fin (haha-) mais en gros il s'est rien passé, Ulrich a répondu qu'il était plutôt indifférent aux né-moldu blablabla et ils sont allés se coucher c: |
| Tampon de sauvetage ϟ Nation représentée : Prusseϟ Parchemins : 1369 | | | Sujet: Re: Qu'ai-je raté ? Jeu 26 Mar - 1:30 | |
| Bon, alors, double-post mais, je suis obligée. Avant tout, je replace le contexte : Dans la journée, Gilbert a voulu faire le fier face à son père, et lui montrer son patronus. Or, ce n'est pas son aigle habituel qui est apparu, mais un taureau, patronus de Antonio, preuve irréfutable de l'amour de Gilbert... Malheureusement, Ulrich n'a pas vraiment bien réagit à la nouvelle, ce qui en a résulté à bin... La séparation pure et simple du couple. Et ouaip. Sous prétexte qu'ainsi "Gilbert ne risquait plus de perdre sa famille" (ou un truc du genre). Cela dit, vous vous doutez bien que ça a pas plut à Gilbert, qui a quitté la grande salle à la première occasion, vite suivi par Elizaveta. Un peu après, c'est Antonio qui partit à leur recherche. Le résultat ? Sous le spoiler ! - Spoiler:
Gilbert : *du coup, eeeeeest dehors. C'est bien dehors. A la fois en colère, triste, dégoûté, et tout tout. Bref, que de sentiments négatifs, parce qu'en une soirée, que dis-je, quelques minutes, il a tout perdu. Pour quoi ? Des conneries. Voilà. parce qu'une soit disant "pureté du sang" c'est des conneries, ça devrait pas exister, parlons même pas de l'homophobie, tout ça... Tout ça, ça lui bouffe la vie. Alors il hurle à plein poumons, donne des coups dans tout ce qu'il trouve : Sa cheville qui venait à peine de se remettre recommence à être douloureuse, ses poings sont en sang, mais toutes ces souffrances.. C'est tellement rien par rapport à tout la douleur que son coeur ressent...* PUTAIN DE MERDE !
Elizaveta : *Eli est donc sortie de la Grande Salle à la recherche de Gilbert, parce que cette histoire ne doit franchement pas lui faire du bien -encore- et qu'elle est inquiète. Donc, cherche un peu, et décide d'aller dehors parce que si y a un truc au moins elle le remarquera. Et donc forcément, oui, elle voit un truc, ou plutôt Gilbert. Elle l'entend crier et se précipite vers lui, voit au même moment qu'il saigne au niveau des mains.* Gilbert ! *Elle l'attrape par les bras pour éviter qu'il tape encore dans quelque chose.* Calme-toi ! S'il te plaît, calme-toi !
Antonio : *Il était parti en courant de la salle, renversant et poussant toutes les personnes qui s'étaient mis sur son passage. Il attrapa de temps à autre des gens pour leur demander si ils n'avaient aperçu Gilbert et c'est après une bonne demi-heure de course qu'il abandonna. Le blond était introuvable et Antonio n'en pouvait plus. Il n'avait plus la force autant physiquement que mentalement. Abandonnant ses recherches, il décida d'aller en haut de la tour d'astronomie, endroit dans lequel lui et l'allemand allaient pour un peu de calme et d'intimité. Il maudissait ses histoires de sang-pur et cette homophobie. Pourquoi est-ce que les gens ne pouvaient-ils pas considérer l'union, qu'importe les individus, comme juste de l'amour. Il monta les escaliers pour y aller mais un hurlement le fit sursauter. Il manqua de tomber en arrière de peur mais se rattrapa de peu et se dépêcha pour voir ce qu'il en traitait. Il resta silencieux, sa tête dépassant très légèrement, et il resta là, à les regarder, écoutant leur conversation*
Gilbert : *Lorsque quelqu'un lui avait attrapé les poignets, Gilbert manqua de lui donner un nouveau coup. Lorsqu'il avait aperçut Elizaveta, il s'était arrêté. Il ne voulait pas perdre quelqu'un d'autre...* Eli... *la colère ne s'était pas calmée, et le corps tout entier de l'allemand était pris de violents tremblements* Eli je... *Mais il ne pleurait pas... pas ce soir... Il ne voulait plus pleurer.*
Elizaveta : *Elle voyait son ami trembler. Eli se sentait désemparée, et ne savait pas trop quoi faire pour l'aider, ou même le consoler. Elle se sentait inutile et détestait vraiment cette sensation. Elle prend une grande inspiration.* Je sais que tu es en colère et je le comprends mais t'énerver contre ton père ou Antonio n'arrangera rien. Vraiment. Maintenant... Vas-y, crache-moi tout ce que tu as sur le cœur.
Gilbert : J'en ai marre... J'en ai juste marre... *il serre les dents, il sait pas trop comment exprimer tout ça* Hier soir j'ai retrouvé mon père, je me disais qu'il pouvait plus rien m'arriver, j'avais tout... Et maintenant... *il serre les poings* Lui il ne veut pas me comprendre et Antonio il... Il refuse de se battre ! Je me fais renier par ma mère pour lui, je déçois mon père, qui doit me détester à l'heure qu'il est, et lui, il fait quoi ?! Il me raconte que "le monde des sang-purs" c'est pas fait pour lui, il m'abandonne... Pile quand j'ai besoin de lui, il préfère me tourner le dos... Alors qu'il devrait savoir que le monde des sang-pur n'est pas fait pour moi non plus... *sa voix se brise un peu à la fin de sa phrase* Il a décidé de me larguer pile quand j'ai plus que lui à quoi me raccrocher...
Elizaveta : *La hongroise prend Gil dans ses bras. Elle a mal pour lui, là.* Écoute... Ce n'est pas forcément parce qu'il est partit comme ça que ton père désapprouve votre relation... C'est peut-être juste que... Il t'a retrouvé hier, Gilbert, après quoi, quinze ans de séparation ? La dernière fois qu'il t'as vu, tu n'étais qu'un bébé... Un enfant... Et il doit encore te voir comme ça. C’est dur de voir son enfant grandir, et peut-être encore plus pour ton père vu qu'il ne t'a pas vu pendant des années... Il a peut-être juste du mal à accepter l'idée que tu peux être simplement amoureux ? *soupire un peu et se sépare de son ami, tente de sourire* Tu sais, tu devrais lui parler. C'est peut-être juste ça, hum ? Quant à Antonio... C'est dans son caractère d'agir comme ça, je suppose... Même si en réalité il ne cherche qu'à te protéger... Sans forcément choisir la bonne solution.
Gilbert : *Il se laisse aller, l'étreinte le détend. Il la serre dans ses bras, enfouissant son visage contre ses cheveux, et murmure* Ca change rien au résultat... Toujours le même... J'ai plus rien...
Elizaveta : *Elle serre Gilbert contre lui, mais fronce les sourcils quand elle l'entend. Elle s'écarte un peu et pose ses mains sur les épaules de l'allemand.* Si ta vie se résume à ça, c'est bien triste. Tu as beaucoup d'autres choses, ou personnes, à commencer par Francis ou Ludwig. Que diraient-ils en te voyant dans cet état, hein ? Il ne tient qu'à toi d'avoir ce que tu veux. *Elle pose ses mains sur ses hanches.* Si c'est Antonio que tu veux, et bien fait-lui entendre raison une bonne fois pour toute. Il t'aime, ça se voit, tu l'aime aussi, donc je ne vois pas pourquoi il y a des problèmes entre vous. *Bon, à part votre connerie à tous les deux, mais elle préfère se taire.*
Gilbert : ....Je Eli... ca va peut-être te surprendre mais... Mais je sais pas. Je sais pas ce que je veux, je sais pas ce que j'ai envie de faire, avec Antonio... *il passe une main dans ses cheveux, et soupire* Je crois que ça marchera jamais. J'aurais beau l'aimer autant que je veux, on aura beau essayer encore, encore et encore... Il se passe toujours un truc... C'était la troisième fois, Eli ! La troisième qui foire ! Ca sert à rien de forcer... Je crois que l'oublier est la meilleure chose à faire... Parce que même si on s'aime, on peut pas... On est trop différents.... Même si on s'aime, ça marche pas...
Antonio : *Toujours accroché à l'échelle, il écoutait depuis tout à l'heure Elizaveta et Gilbert, silencieux. Il n'était pas très fier de ce qu'il venait de faire, vraiment, triste de ne pas avoir pu comprendre qu'il aurait du rester au près de Gil au lieu de le quitter. Mais il était également déçu, parce que Gilbert n'avait absolument pas compris pourquoi il faisait ça. Il faisait ça pour qu'il se trouve quelqu'un d'autre, qui serait certainement plus proche des critères de ses parents, qu'il récupère tout ce qu'il avait perdu avec lui. Tout ça, le faisait réfléchir longuement mais il n'était pas sorti de sa cachette et n'avait pas bougé. Il continuait à les écouter jusqu'à ce qu'il voulut reposer de manière plus confortable son pied mais au lieu de ça il perdit l'équilibre. Il tenta désespérément d'accrocher ses ongles mais c'était peine perdue et tomba en arrière, sur le dos. Il ne se fit pas vraiment mal, la chute avait juste eu le don de le sonner un peu mais tout ça avait fait un bruit monstre. Il cligna des yeux et secoua la tête pour reprendre conscience et se remit sur ses deux coudes en grognant.* Hostia…
Gilbert : Eli je- *alors qu'il s'apprêtait à parler encore, un bruit sourd de chute s'était fait entendre. Le sent de Gilbert se glaça, quand l'entendit, et la colère qui s'était calmée recommença à gronder quand il vit Antonio* .... Qu'est-ce que tu fous là ?
Elizaveta : *Elle se mord la lèvre en se demandant comment elle pouvait convaincre Gilbert de se bouger le derrière.* Je vois... Et juste pour ça, tu vas renoncer ? Si tu l'aime, tu ne peux pas l'oublier... Et surtout pas tes sentiments... *Elle sait de quoi elle parle, là.* La différence n’est pas une excuse, au contraire, je- *Elle est interrompue par un grand bruit, alors elle se retourne vers son origine.* … Qui est là ? *Elle voit Antonio et s'écarte un peu pour laisser plus d'intimité aux deux, mais restant assez près pour intervenir en cas de besoin.*
Antonio : *Le pauvre espagnol eut à peine le temps de reprendre ses esprits qu'une voix qui connaissait trop grondit. Il se sentait complètement désemparé, là, à être sur le dos, les jambes écartées, alors qu'il aperçut le visage de Gilbert et Eli se pencher pour le regarder. Il frotta ses yeux rouges du revers de sa main et se releva avec peine alors qu'il gémissant de douleur face à son dos souffrant.* Ouch, ouch…cariño, je-…je te cherchais- *il tenta un petit sourire mais ses yeux irrités par les larmes et sa voix frêle le trahissait* Bon d'accord je-…je vous espionnnais aussi…un peu seulement.
Gilbert : "Cariño" ? Je croyais qu'on était plus ensemble ? *sa voix sonne froide, et cache à peine tout les reproches que Gilbert lui fait... La colère est de nouveau là, et il ignore totalement le ton qu'a pu utiliser Antonio, ou bien ses yeux rouges. L'allemand n'avait en face de lui que celui qui lui avait brisé le coeur... Encore une fois.* Et t'as tout entendu j'parie ? Cool, j'aurais pas à répéter !
Elizaveta : *Elle reste debout, à regarder alternativement les deux, sans vraiment réagir. Elle tente de ne pas laisser paraître son inquiétude. Elle voit que Gilbert s'énerve de plus en plus, jusqu'à cracher ses mots au visage d'Antonio. Elle l'attrape encore une fois par le bras, quitte à se prendre un coup après, elle s'en fiche.* Gilbert ! *Elle commence à s'énerver aussi, elle aimerait qu'ils puissent discuter sans s'engueuler, mais sent que ça ne va pas être facile.*
Antonio : *Ses yeux lui piquaient et il mit ses mains sur son visage pour les cacher. Il eut juste assez le temps pour les voir se secouer là-haut mais c'est de sa petite voix, toute frêle qu'il tenta de leur dire* V-vous battez pas, je suis pas venu pour semer la pagaille… *Il tentait de se ressaisir comme il le pouvait et du mieux alors qu'il se remit à escalader l'escalier* Je-…je-… les deux on voit les choses de deux différentes façons! *Il tenta un sourire alors qu'il manqua de tomber en arrière une deuxième fois* Je m'en veux, que tu aies perdu contact à tes parents et avant moi tu n'avais pas de problèmes…le problème c'est que je t'aime et toi aussi!Et c'est égoïste de vouloir rester avec toi si c'est pour te séparer de ta famille, non? *il renifla un peu et s'arrêta un peu avant d'arriver tout en haut de l'échelle* Je te le répète, je ferais tout pour que tu sois heureux.
Gilbert : ....Le "problème" ? Parce qu'on s'aime, c'est le problème ? Mais... *il fronce les sourcils* Tu te fous de ma gueule, là ? C'est comme ça que tu vois notre relation, comme un putain de problème ?! *il repousse Eli* Avant toi, mais tu sais ce que c'était, ma vie ?! j'avais une mère qui me détestait, et que je détestais en retour, j'avais pas de père, j'en ai jamais eu ! Je suis né sang-pur, un titre qui me bouffe la vie depuis toujours ! Parce qu'à cause de ça je peux pas vivre ma vie comme je l'aimerais, je dois être un bon petit sorcier, un gentil petit Hohenlohe, celui qui écoute sa mère, celui qui méprise ceux qui ne sont pas "mes égaux", celui qui est au-dessus des autres, au-dessus des lois, ou du moins qui y croit... *son regard est noir, plein de haine* Et toi, dans tout ça,, t'étais pas mon problème ! T'étais mon oxygène, t'étais ce qui m'aidait à pas péter un putain de câble ! *il ricane* Mais tu penses vraiment que je le trouverai comme ça, le bonheur ? Ha ! Alors qu'il en soit ainsi, hein ? *il s'approche de Antonio, et s'accroupit devant lui* Et commençons alors, commençons ! Je vais profiter du fait que tu sois pas tout à fait en haut de cette échelle pour te faire passer un important message... *il attrape son haut entre ses doigts, et le serre* Ne m'approche plus jamais. *Et sur ces mots, il repousse Antonio, de toutes ses forces pour le faire tomber. Mais il ne regarde même pas la chute, il ne tarde pas à se redresser.* A partir d'aujourd'hui, je serai un bon petit Hohenlohe... Et ma mère sera fière de moi, pour une fois. *et sur ces derniers, mots, murmurés tandis qu'une seule et unique larme coulait sur sa joue, il s'en alla. Sans un regard en arrière, mais le coeur lourd... Lourd de regrets. Il serait un bon petit Hohenlohe à présent.... Au moins, ainsi, peut être que sa mère allait l'aimer...*
Elizaveta : *Elle se fit repousser par Gilbert et recula, à la fois surprise et énervée. Mais avant même qu'elle ne puisse réagir, Gilbert parla, déballant ce qu'il pensait. Elle l'écouta, son agacement et sa colère fondant de plus en plus vite en entendant les mots de son ami. Elle n'eut même pas le temps de réagir lorsqu'il poussa Antonio, ni même lorsqu'il partit. Quant enfin elle réussit à bouger, l'allemand s'éloignait déjà. Elle ne put que s'approcher de l'échelle pour descendre jusqu'à Tonio en pestant, son coeur se serrant au fur et à mesure que les paroles de Gil ressurgissaient dans son esprit. C'était étrange, ces mots blessaient autant Tonio qu'elle, mais certainement pas pour les mêmes raisons.* Mais quel abruti... *Elle se dépêcha d'aller jusqu'à l'espagnol, inquiète de son état. Il était tombé de haut...* Antonio... Tu vas bien... Physiquement ? *Elle se doutait bien que mentalement là ça irait pas du tout.*
Antonio : *Tonio avait écouté Gil ses yeux le fixant amoureusement comme si il s'attendait à l'entendre dire de belles paroles qui aurait su le rassurer. Mais plus que ça, il espérait qu'il comprenne combien il l'aimait et que c'est en l'ayant laissé qu'il le lui montrait. Il aurait voulu répliquer des millions de choses mais chaque parole avait été comme des coups de poignard. Le sourire qu'il avait sur son visage se déformait peu à peu mais il ne perdait pas espoir. Il continuait d'espérer qu'il comprendrait. Mais rien de tout ça, Tonio était juste trop aveuglé par l'amour et son optimiste permanent. C'est quand il se fit prendre par le col, qu'il voulu poser ses mains sur ses joues pour le calmer mais tout c'était passé trop vite. Il n'eut pas le temps de reagir qu'il se sentit expulser, littéralement. Il comprit. Combien il avait fait une erreur, encore une fois. Qu'il venait vraiment de le perdre. Qu'il venait de rejeter celui à qui il avait léguer son cœur. Si il l'avait largué c'était pour lui, si il s'était garanti un chagrin d'amour c'était rien que pour lui. Il aurait au moins voulu qu'il comprenne tout ça. Mais rien. La chute elle fut plus rude que la dernière tant il s'écrasa avec violence, le dos contre le coin d'une table. Il roula un peu plus loin en hurlant de douleur. Il essayait de maintenir le plus posssible son dos immobile mais la douleur était trop grande. Il se recrovillait par terre, en se mordant la lèvre et vit vaguement la silhouette de Gilbert disparaître à travers ses yeux embrumés par ses larmes. Quand il ne l'aperçut, plus, il relâcha tout et se mit littéralement à éclater en sanglots. Il était malmené dans sa vie. Est-ce qu'il devait vraiment cité tout ce qui n'allait pas dans sa vie, était-ce vraiment nécessaire?Lui qui était si optimiste, il devait dire qu'il avait du mal. Plus encore, la douleur de chien que lui faisait son dos était atroce. Il était en mal, autant physiquement que mentalement. Gilbert venait de lui arracher son cœur vif, et s'en était allé avec. Voilà ce qu'il ressentait. Il n'arrivait même plus à faire la différence entre ses deux maux. Il releva les yeux avec peine vers Eli et se renfrognait un peu plus sur lui-même, de lourdes larmes s'ecoulant sur ses joues. C'était même plus triste à voir. Il avait juste le don de faire pitié. Il aurait voulu éviter de se faire humiler ainsi, vraiment, surtout devant Eli, mais plus rien n'avait d'importance. Rien. Vraiment rien. Il regarda un instant Eli, la fixant de ses yeux rouges imprimés de larmes et sortit sa baguette pour pointer la jeune Gryffondor avec. Son corps était pris de tremblements, irréguliers de par ses sanglots mais la lueur qui était dans ses yeux était morte. C'est entre deux sanglots qu'il la supplia d'une voix déchirée et imprimée de larmes* Laisse-moi, je t'en prie laisse-moi-… *Tout de lui en ce moment implorait la pitié. Mais Antonio s'en fichait bien, seule la douleur avait l'air d'avoir une importance maintenant. La douleur d'un coeur brisé associé à la chute qu'il venait de se prendre. Il se demandait si il avait mérité tout ça. Toute cette haine toute cette douleur. Il ne savait pas, il ne savait plus mais tout ce qu'il voulait c'était pleurer, toutes les larmes de son corps et qui sait…peut être arriver à un moyen plus simple d'arrêter ses souffrances. Qui sait.*
Elizaveta : *Rien qu'a voir Antonio recroquevillé au sol, elle pouvait voir combien il allait mal. Il semblait tellement... Brisé. Elle ne fit pas attention àla baguette pointée dans sa direction. Elle posa sa main sur la tête de l'espagnol en larme, lui caressant les cheveux -comme elle le faisait avec Luciano-, et lui parla doucement.* Je ne te laisserais pas, Antonio. Pas dans cet état là. Je ne peux décemment pas te laisser seul ici. Il faut que tu ailles à l'infirmerie, au minimum. *Elle continua de caresser les cheveux de Tonio, ruminant toute la colère qu'elle pouvait ressentir contre Gilbert. La prochaine fois qu'elle le verrait, elle lui dirait sa façon de penser, à cet idiot. Elle soupira, se reconcentrant sur Antonio. Elle fronça les sourcils, et se mordit la lèvre.* Tu t'es fait mal au dos ? Tu peux te lever ? *Vu l'état dans lequel il est ça l'étonnerait mais elle préfère poser la question.*
Suite à ça, Elizaveta a emmené Antonio à l'infirmerie.
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| Tampon de sauvetage ϟ Nation représentée : Prusseϟ Parchemins : 1369 | | | Sujet: Re: Qu'ai-je raté ? Dim 29 Mar - 18:44 | |
| Avis à tous les élèves, Quetzal sera d'une humeur de chien pour un long moment pour des raisons qui sont expliquées dans le rp ci dessous. Petit topo, Alconahuacatl a décidé de rendre ses affaires de Quidditch à leur propriétaire, c'est à dire à sa nièce. Décision qu'elle regrette sûrement maintenant.
Quetzal: *Du coup marche jusque dans les cachots, passant dans la salle de potions pour accéder à son bureau* Maria: *elle la suit en silence et d'un pas vif car elle n'aime pas beaucoup l'ambiance glauque des cachots. Elle se demande encore comment font les Serpentards pour vivre la dedans* Quetzal: *Ouvre la porte de son bureau* Attendez ici et ne bougez pas. *Elle va chercher dans sa propre chambre, parce que son bureau, c'est trop évident comme lieu d'otage d'affaires d'élèves* Maria: Elle lui fait ce que Quetzal lui demande car elle aimerait vraiment récupérer ses affaires de Quidditch aujourd'hui. Elle détaille un peu le bureau du regard. Bien qu'elle se soit faite punir par sa tante des millions de fois, elle n'avait jamais vraiment pénétré dans cette salle* Quetzal: *Vu le nombre de choses confisquée qu'elle a, ça risque de prendre un peu de temps* Maria: *Les livres qu'elle porte depuis un moment déjà commence à peser. Et ce coin de bureau lui fait vraiment de l'œil. Et puis Zut ! Elle dépose doucement les ouvrages et s'étire les bras. Pas qu'elle déteste les livres sur les anciennes magies mais ils pèsent quand même* Pfiou... La prochaine fois j'en prendrais moins.. *elle commence fouiller du regard le bureau sur laquelle elle vient de poser les livres* Quetzal: *Le bureau ne possède pas grand chose, un encrier dans lequel se trouve une longue plume verte près d'une pile de parchemins sur lesquels sont griffonés les prochains cours, un crane de cristal aztèque et un cadre photo* Maria: *Elle sourit un peu en voyant le crane de cristal: il lui rappelle le Mexique et les différentes recherches qu'elle a pu faire sur ses ancêtres Aztèque. Son regard se pose sur le cadre photo juste à coté. Elle hausse un sourcil, se demandant de qui sa glaciale tante peut garder un souvenir* Quetzal: *Un couple se trouve sur la photographie, les deux personnes sont en tenue de noces traditionnelles des natifs mexicains nahua et yucatèques et semblent emplies de bonheur et s'animent en souriant à l'objectif et se regardant de temps à autre* Maria: *Elle se penche un peut vers la photo pour mieux la détailler* Qu'est-ce que... *Au départ, elle ne reconnaît pas Quetzal et lorsqu'elle se rend compte qu'il s'agit bien d'elle, elle bug. Sa tante ? Souriante ? Avec un homme ? Tous les deux en tenue de mariés de surcroit ? * Quetzal: *La porte s'ouvre et Quetzal prend sa nièce en flagrant délit* Que vous avais-je dit ? *La voix est plus froide que jamais* Maria: *Elle se fige à l'entente de la voix de la jeune femme et fini par lever la tête doucement. Son heure serait-elle venue ? Elle avale sa salive avec difficulté, consciente que toutes les conneries qu'elle a pu faire jusqu'à lors ne sont rien en comparaison de la conneries qu'elle vient de faire à l'instant. Elle n'aurait jamais du voir cette photo. Jamais.* Je..suis désolé... Quetzal: *Jette les affaires sur le sol près de sa nièce et dit simplement d'une voix glaciale, d'outre-tombe tout en la fixant avec une rage sans nom* Sortez... Avant que je ne change d'avis et vous tue. Sachez que j'en serai capable. Maria: *Elle regarde sa tante, ne sachant pas trop comment réagir. Son instinct lui cris de ramasser ses affaires et de fuir le plus loin possible. Par ailleurs, sa curiosité, elle, lui intime de rester et d'essayer d'en savoir plus.* Quetzal: *Hurle* SORTEZ. *Ce qui a dû s'entendre dans tout l'établissement et qui est bien différent de son calme habituel* Maria: *elle ramasse ses affaires en tremblant avant de sortir du bureau rapidement. Avant de partir, elle lance un dernier regard à Quetzal* Quetzal: *La regarde d'un air indescriptible, tant elle est furieuse avant de lui claquet la porte au nez et de passer ses mains sur son visage*
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| Invité | | | Sujet: Re: Qu'ai-je raté ? Mar 14 Avr - 23:13 | |
| Ce soir, le sort qu'a reçu Francis, dans la Cabane Hurlante (cf "Qu'ai-je raté ?" 11 mars - Francis Bonnefoy) s'est manifesté. Une marque noir s'est développé dans son dos et a commencé à se propager dans son corps. Il a commencé à avoir des douleurs dans le dos et à crier. Tout le monde s'est attroupé autour de lui et Francis avait tellement mal qu'il est tombé au sol et à commencer à avoir des compulsions, des spasmes. Il n'arrêtait pas de crier et a commencé à devenir violent, à se débattre. Arthur et Gilbert l'ont donc maintenu au sol. Quant à Antonio, il s'est éclipsé pendant la crise de Francis. Ce n'est que quand Antonio est revenu dans la Grande Salle que Francis s'est calmé... Arthur et Gilbert l'ont donc amener à l'infirmerie. Là-bas, ils ont découvert que Francis possédait une étrange marque noire sur le dos qui bouge légèrement quand on la touche mais qui ne lui fait pas mal. Quant au blond, il ne se souvient pas de ce qu'il s'est passé. En attendant, les trois dorment à l'infirmerie... |
| Les pensées suicidaires Mon personnage Citation: “What you gave me was a reason. Not an excuse. Because there’s sex, making love and fucking. And then there’s you.” ϟ Nation représentée : Franceϟ Parchemins : 1425 | | | Sujet: Re: Qu'ai-je raté ? Lun 15 Juin - 16:13 | |
| Hier, après avoir perdu un pari, Luciano s'est retrouvé habillé en fille pour la journée. (A savoir que le pari était qu'il ne devait pas parler de Gawain pendant deux heures... Il a lamentablement échoué.) Elizaveta s’est fait plaisir en le maquillant et en lui faisant des couettes, puis l'a traîné dans la Grande Salle.
Mis à part le bug de Gawain en le voyant, tout s'est très bien passé au début. Puis est venu Martin. En reconnaissant Luciano, Martin s'est emporté, et son comportement a rapidement agacé nos trois Gryffondor. Même Gawain a réagi. Franchement énervée, Elizaveta a fini par assommer le Serpentard d'un petit coup de poêle qu'elle petite nature. Bien sûr, Quetzal était là et en voyant l'action, a décidé de punir les trois Gryffondor. Elizaveta étant vraiment énervée, elle n'a pas hésité à répondre à la professeur, au risque d'aggraver son cas.
Bien plus tard dans la soirée, Roderich a rejoint Elizaveta, dont la colère et l'agacement couvait toujours. Malheureusement, il s'en est suivit une dispute plutôt violente entre les deux tourtereaux, Elizaveta finissant par dire qu'elle ne voulait plus le voir. Bien que blessés autant l'un que l'autre, ils ont convenus qu'ils remettraient tout au clair le lendemain... |
| Celle qui n'a jamais joui Mon personnage Citation: Le courageux n'est pas celui qui donne les coups, mais celui qui y résiste. ϟ Nation représentée : Hongrieϟ Parchemins : 1839 | | | Sujet: Re: Qu'ai-je raté ? Mer 17 Juin - 16:36 | |
| Madame Kirkland a donné sa grenouille Vabre à Francis, l'acceptant ainsi dans la famille ♥ c'est beau hein ? |
| Les pensées suicidaires Mon personnage Citation: “What you gave me was a reason. Not an excuse. Because there’s sex, making love and fucking. And then there’s you.” ϟ Nation représentée : Franceϟ Parchemins : 1425 | | | Sujet: Re: Qu'ai-je raté ? Mar 23 Juin - 12:50 | |
| Hier toute la journée, Arthur et Gil ont accidentellement échangé leurs corps en essayant les bracelets ♥ Bordel général, dont une nouvelle dispute SpaPru. Les deux ont retrouvés leur place le lendemain matin au réveil. |
| Petite COUUUILLÈRE Mon personnage Citation: London bridge is falling down, falling down, falling down... ϟ Nation représentée : Angleterre.ϟ Parchemins : 1002 | | | Sujet: Re: Qu'ai-je raté ? | |
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