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Cómo decir que me parte en mil las esquinitas de mis huesos | Ysabel R. I.

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MessageSujet: Cómo decir que me parte en mil las esquinitas de mis huesos | Ysabel R. I. Cómo decir que me parte en mil las esquinitas de mis huesos | Ysabel R. I. Icon_minitimeJeu 14 Déc - 16:47

Ysabel R. IGLESIAS
Hispanie
Nom : Romero Iglesias
Prénom(s) : Ysabel María
Date de naissance : 22/04
Lieu de naissance : Santiponce, Andalousie, Espagne
Âge : 31 ans
Poste occupé à Poudlard : Professeur en magie médicale
Directeur de maison : Oui, Poufsouffle ♥️
Animal de compagnie : Un british shortair au petit nom de Turrón...et qu’elle gâte sans doute un peu trop.
Ascendance : Sang-mêlée
Fratrie : Aucune a priori, lien à voir avec les ibériques bloop
Don : Aucun

Baguette : Poirier, crin de licorne, 22 cm, rigide
Patronus : Un lièvre ibérique
Epouvantard : Son père, un balai à la main, hurlant « ¡Bruja ! »
Reflet dans le miroir du Riséd : Sa mère l'enlace...
Odeur de l'Amortentia : L’odeur humide et vieille de la pierre, celle des agrumes fraîchement pelées et de pestiños chauds.
Votre personnage peut-il voir les Sombrals : Oui
Bienveillante
Exigeante
Consciencieuse
Sensible
Perfectionniste
Probe
Calme
Tactile
Travailleuse
Pieuse
Résistante
Naïve
Caractère : Il est dur de juger Ysabel en un regard. Son visage plutôt renfermé de prime abord montre son immense sang-froid et contrôle d’elle-même, acquis au fil des ans. En effet, ses expériences personnelles font qu’elle a rapidement dû apprendre à maîtriser les diverses passions qui pouvaient naître en elle – colère, amour, peur. Dans son métier, il faut savoir prendre la bonne décision du premier coup, et ce n’est pas en se laissant emporter qu’elle pourra y parvenir. C’est donc une femme extrêmement déterminée, voire tout simplement têtue, et il est difficile de la faire changer d’avis. Elle a également tendance, par déformation professionnelle, à faire passer autrui avant elle, ce qui lui donne un penchant agaçant pour l’abnégation. Il faut dire qu’Ysabel est une chrétienne convaincue, persuadée que Dieu est amour, et que chaque difficulté qui se présente à elle est une nouvelle occasion de prouver que le Christ n’est pas mort en vain – on pourrait la qualifier de naïve, de croire ainsi que l’humanité est fondamentalement bonne et mérite d’être sauvée. Ce ne sont cependant que des convictions et motivations personnelles qui ne viennent pas interférer dans son travail ou ses relations.
Il arrive cependant qu’elle se laisse submerger par ses émotions, qui dans ce cas-là n’en sont que plus violentes et mal gérées : elle se fait alors tout un monde pour quelque chose qui, objectivement, pourrait être réglé de façon nettement moins dramatique.
Bien que relativement mesurée dans ses propos et son nombre de prises de parole, elle n’en reste pas moins espagnole et de ce fait légèrement tactile. Il lui arrive parfois de mettre mal à l’aise certains interlocuteurs en touchant une épaule de façon amicale ou en se tenant trop près, ou encore en tapant une bise affectueuse à certains collègues enseignants, par habitude.
Elle est le plus souvent pensive, déjà en train de réfléchir au prochain devoir qu’elle donnera à ses élèves, et bien que stricte en tant que professeur d’université, elle est toujours à l’écoute de ses élèves ou tout simplement de son entourage, car elle est persuadée que la bienveillance est le moteur du monde. Extrêmement consciencieuse, elle est perfectionniste dans tout ce qu’elle entreprend et ne se pardonne jamais un échec ou une entorse morale tout comme elle ne pardonnera pas ceux des autres, parfois à tort ; elle exige le meilleur de tous, y compris elle-même. C’est une travailleuse acharnée qui ne croit que très peu en la chance en faveur des efforts personnels, ce qui ajoute une certaine endurance à son mental déjà d’acier.
Physique : Lorsqu’Ysabel finit par craquer, en revanche, c’est souvent dans la nourriture qu’elle va chercher le réconfort, ce qui explique en partie ses formes voluptueuses - gordita, qu’on lui disait, lorsqu’elle était enfant. Aujourd’hui, elle peut se vanter de posséder la silhouette en sablier ayant si souvent fait envie aux femmes lors des années 50, mais qui la complexe cependant, alors que son surpoids n’est que léger. Lorsqu’elle se regarde, elle voit des seins trop lourds, des hanches trop larges, des fesses trop bombées, et elle n’ose même pas imaginer ce que cela risque de donner en continuant à vieillir, maintenant qu’elle a dépassé la trentaine. Son visage porte légèrement les marques de ces trois décennies, bien qu’elle fasse un peu moins que son âge, car elle prend soin de sa peau. On peut distinguer de discrètes rides du sourire au coin de ses yeux bleus, en amande, qui contrastent avec sa peau légèrement tannée par le soleil du Sud, véritables saphir parmi un sable d’or fin. Son nez est court et rond, trônant au dessus de lèvres pulpeuses, et fidèles à l'influence latine de ses origines ; tandis que son visage est de forme plutôt carrée et ses pommettes hautes, lui donnant une allure fière. Ses cheveux bruns constamment indisciplinés sont souvent retenus en queue de cheval sobre ou par un foulard en été, habitude gardée depuis son enfance en Andalousie. Ils n’en paraissent que d’autant plus volumineux et bouclés lorsqu’elle les relâche, lui donnant l’air d’une sauvageonne un peu ronchonne. Sa nature assez inexpressive donne d’autant plus de valeur et de sincérités à ses sourires et rires qu’elle juge disgracieux, notamment car elle ne sait pas rire en silence.
Ysabel est d’autre part, en plus de ses rondeurs, assez petite, atteignant tout juste le mètre soixante – mais il ne faut pas se méprendre, une petite boule hurlant en espagnol et menaçant d’une chancla un élève paresseux peut tout de même paraître menaçant, bien qu’elle préfère ne pas en arriver là. Son style vestimentaire est généralement assez discret, puisqu’elle a tendance à s’interdire toute « vanité », mais il lui arrive de craquer et d’acheter notamment des boucles d’oreilles assez voyantes, chez la célèbre marque Moldue Desigual. Ses goûts sont plutôt féminins et délicats, avec une préférence pour des motifs fleuris ou colorés si elle doit faire une quelconque fantaisie. Globalement, son physique reflète bien son état d’esprit : elle essaie de ne pas se faire remarquer, de se contenir, mais sa personnalité en réalité marquée finit toujours par pointer le bout de son nez de quelque manière que ce soit.
Histoire : En se levant le matin, Ysabel se dit parfois qu’elle a parcourut un immense chemin, maintenant qu’elle a obtenu son poste à Poudlard, l’une des plus grandes écoles de magie du monde – il faut bien dire qu’elle l’a mérité.
On ne va pas se mentir, enfant, Ysabel était un calvaire. Intenable, toujours à pleurer, rire trop fort, jouer trop loin, sur la route, dans la boue, avec qui il ne fallait pas et bien trop tard par rapport à l’heure prévue. Les punitions, les cris, les menaces, rien n’y faisait ; elle était un esprit libre, indomptable, sauvage. Quelque part au fond d’elle, cette enfant subsiste encore - « Dios te perdone », lui disait parfois son père en frottant ses cheveux bouclés et pleins de terre, récoltée en allant jouer du côté des ruines de Sevilla la Vieja, cette cité romaine hispanique à l’origine de nombreuses légendes. Son père ne voulait pas qu’elle fréquente ces lieux encore emplis d’esprits et de magie païenne, parce que la seule chose que son père avait à la bouche, hormis le goulot de sa bouteille, c’était Dieu – Dieu Dieu Dieu, tout le temps, partout, omniscient et omnipotent. Elle se souvient encore avec un sourire avoir un jour demandé à table si Dieu la voyait même lorsqu’elle allait aux toilettes, et elle se souvient de la pichenette décochée par son père en réponse - « Come y callate, niña. »
Avec le recul, elle sait que son exigence envers elle-même vient sans doute de celle de son père, qui ne la jugeait jamais assez bien dans quoi que ce soit. C’était dur, d’autant plus que comme n’importe quelle autre petite fille, son père était pour elle l’amour de sa vie, et lorsqu’elle décevait son père, elle décevait aussi Dieu. C’était comme si les deux figures se confondaient dans son esprit d’enfant.

Naturellement, le secret de sa mère et le sien finirent par éclater au grand jour lorsqu’elle commença à montrer des signes de magie spontanée. Elle était à la fois horrifiée et fascinée par ce don – ou malédiction – qui était sien, et c’est après avoir été chassées à coups de balais que commença leur vie d’errance. De Séville, elles allèrent à Valence, sa mère et elle, vendant des prédictions comme des gitanes, souvent à tort regardées de travers. Elles connurent la misère, la faim, le froid, bien que relatif en ce Sud de l’Espagne. Près de Valence, elles participaient aux fêtes d’Alcoy ; de retour en Andalousie, elles aidaient à la récolte des agrumes ; du côté de Barcelone, c’est sur la célèbre Rambla que sa mère tirait les cartes.
Baladées au bon gré du destin et du hasard, leur vie et leur bourse sur le fil du rasoir, elles avaient bien vite fui l’Espagne franquiste pour l’Angleterre c’est à ce moment-là qu’Ysabel se souvient avoir commencé à lire la Bible, seul souvenir de son père qu’elle eût conservé, et à prier ce Dieu soi-disant plein d’amour pour qu’il les aide, sa mère et elle.
Cette aide inespérée, elle la reçut en sa lettre pour l’école de Poudlard, rejoignant les Poufsouffle ; Ysabel n’était pas une sorcière naturellement douée, loin de là. Elle devait passer des heures sur des parchemins, à s’esquinter les yeux sur des livres trop vieux et trop compliqués, les plantes mourraient lorsqu’elle s’en occupait, elle était incapable de discerner Jupiter de Vénus, elle était médiocre en duel...Ses quelques points forts résidaient en sa détermination infatigable, et ses talents en sortilège et métamorphose, mais surtout en potions. Si elle ne pouvait pas faire pousser ses ingrédients elle-même, elle ne se trompait jamais ni dans les doses ni la constitution d’un breuvage.
C’était une jeune fille assez intouchable, toujours dans son coin avec un livre, sans jamais avoir la prétention de repousser les autres mais sans les accueillir non plus, avec des superstitions à la fois magiques et chrétiennes qui faisaient d’elle une espèce d’hybride indésirable parmi tous ces enfants qui avaient été bercés par les contes de Babitty Lapina plutôt que par les psaumes aigris du Lévitique – et pourtant, Merlin ne lui était jamais venu en aide, lui.

Ysabel s’est toujours sentie très seule, et ce sentiment ne fit que s’accentuer lorsque sa mère tomba malade. Une maladie terrible, un nénuphar qui mangeait petit à petit ses poumons déjà rongés par la cigarette. C’est à ce moment qu’Ysabel finit de se renfermer sur elle-même ; elle passait ses nuits et ses jours à étudier, à chercher un remède magique à cette maladie Moldue encore crainte par tous, cette fatalité qui une fois encore s’abattait sur elles. Dieu la testait, et elle saurait relever le défi. Avec la motivation du désespoir, Ysabel se mit à travailler tant et tant qu’elle en oubliait de dormir, de sortir, de se laver, de manger – ce n’était pas sain, les kilos glissaient sur ses os comme les larmes s’échouaient sur les lettres de sa mère de plus en plus faible. Elle était simplement anéantie à l’idée que cette femme qui avait tout donné, alors qu’elle avait été abandonnée par tous, disparaisse ainsi, au gré d’un petit crabe qui grossissait de jour en jour. Pour une fois, Ysabel voulait avoir une prise sur son sort ; elle sauverait sa mère, quoi qu’il lui en coûte, même sa propre santé.
Elle échoua.
Que pouvait une simple enfant, en même temps, face à un cancer ?

Les années qui suivirent furent très difficiles pour elle, mais ces épreuves lui permirent au moins de trouver sa voie : la médicomagie. Elle voulait aider, elle voulait sauver, mais elle devait commencer par se sauver elle-même. Cette tragédie lui avait au moins permis d’ouvrir les yeux sur son propre état de squelette, véritable morte vivante à l’intérieur comme à l’extérieur ; une situation pointée du doigt par son professeur de Défense contre les Forces du Mal, Romulus Vargas, qui malgré ses résultats désastreux, ne la laissait pas s’effacer au fond de la classe. Aujourd’hui encore, Ysabel lui porte une reconnaissance et une admiration sans borne pour l’avoir aidée à se sortir de ce trou sans fond qu’elle continuait pourtant à creuser. Petit à petit, elle recommença à manger – pour ne plus jamais vraiment s’arrêter. Ses notes grimpèrent assez pour lui faire obtenir ses BUSEs, puis ses ASPICs, bien que de justesse, car pas totalement remise, mais c’est en soignant le monde qu’Ysabel se soigna véritablement elle-même, et apprit à se maîtriser. Les émotions étaient trop dangereuses pour son propre bien.
Épanouie parmi les malades qu’elle voyait reprendre des couleurs, c’était une façon pour elle de s’excuser auprès de sa mère pour avoir été aussi incapable à l’époque ; en contre partie, le revers n’en était que plus dur lorsque certains patients mourraient dans ses bras.
Elle hésite encore parfois aujourd’hui à essayer de reprendre contact avec son père, seul lien qui lui reste avec son Andalousie natale. Mais que lui dire ? Être chassée une fois lui a suffi, et elle aurait peur que sa mère voie cet acte comme une trahison, si elle était encore de ce monde. Peut-être que lui aussi est mort, après tout. Et Ysabel a beaucoup plus de travail auprès des vivants, de toute manière, d’autant plus maintenant qu’elle enseigne à Poudlard. C'est presque un soulagement lorsqu’elle regarde la pile de copies qui lui reste à corriger.
Hay un trozo de luz en esta oscuridad para prestarme calma.  
Pseudo : Kikki-Danette
Âge : 18 ans et dEMI *n’est plus un bébé :T*
Sexe : Assez régulièrement B)
Comment avez-vous connu le forum : ouH LA longue histoire. Je change juste de peau pour un peu plus de soleil :D Olé.
Commentaire : Je suis une boulette, et même pas suédoise. :’c Also, t h i c c. Et oui, je m'en suis encore prise à une maman. Fite me.
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Dernière édition par Ysabel R. Iglesias le Jeu 14 Déc - 21:07, édité 6 fois
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MessageSujet: Re: Cómo decir que me parte en mil las esquinitas de mis huesos | Ysabel R. I. Cómo decir que me parte en mil las esquinitas de mis huesos | Ysabel R. I. Icon_minitimeJeu 14 Déc - 17:05

gooood shit Prof en médicomagie, Shan va être contente.
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MessageSujet: Re: Cómo decir que me parte en mil las esquinitas de mis huesos | Ysabel R. I. Cómo decir que me parte en mil las esquinitas de mis huesos | Ysabel R. I. Icon_minitimeJeu 14 Déc - 20:13

Tu es validé !
Bienvenue officiellement sur Pasta Kedavra! et chez les professeurs ! Maintenant que tu es validé, tu vas pouvoir faire plein de choses !

Tu as maintenant la possibilité de venir RPCB avec nous ! N'hésite pas de faire un tour sur Bellatrix, notre chatbox.

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J'vous jure que le gif était bien, du coup je l'ai quand même laissé.
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Cómo decir que me parte en mil las esquinitas de mis huesos | Ysabel R. I. 8Buv79B

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MessageSujet: Re: Cómo decir que me parte en mil las esquinitas de mis huesos | Ysabel R. I. Cómo decir que me parte en mil las esquinitas de mis huesos | Ysabel R. I. Icon_minitime

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Cómo decir que me parte en mil las esquinitas de mis huesos | Ysabel R. I.

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