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El fuego Iberico

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MessageSujet: El fuego Iberico El fuego Iberico Icon_minitimeJeu 9 Avr - 19:27

PERURENA CARREIDO Alegria
Ibérie
Nom : Perurena Carreido
Prénom : Alegria
Date de naissance : 28/11
Lieu de naissance : Pampelune, Navarre, Espagne
Âge : 37 ans
Poste occupé à Poudlard : Professeur d'Etude de Moldu
Directeur de maison : Oui (Poufsouffle)
Animal de compagnie : Pouillot ibérique du nom d'Enrico
Ascendance : Né-moldu
Fratrie : Tante des Carreido
Don : Nada.

Baguette : Aulne, plume de phoenix, 24,6 cm, etrangement flexible
Patronus : Auroch
Epouvantard : Elephant qui charge
Reflet dans le miroir du Riséd : Se voir tenant un enfant dans ses bras. Son enfant
Odeur de l'Amortentia : Ambre, viande grillée, feu
Votre personnage peut-il voir les Sombrals : Non
Qualité
Défaut
Qualité
Défaut
Qualité
Défaut
Qualité
Défaut
Qualité
Défaut
Qualité
Défaut
Physique : Alegria
Como la luz de la vida




C'est d'abord un éclat de rire sortant d'une bouche aux levres pulpeuses et vermeil. Des pans d'étoffe colorées, un épais nuage aux dominantes écarlate. Il lui mettait dans les cheveux de grosses fleurs d'été dont le soleil d'Espagne n'avait pas eu raison et son rire raisonnait tandis que les pétales graciles venaient se noyer dans son abondante mer capillaire brune. Ce n'étaient plus des enfants, pourtant en ce coucher de soleil l'homme et la femme folâtraient dans l'herbe jaunie et sèche. Sa voix montait et descendait en des trilles heureux passant aisément du grave à l'aigu, pleine. Tout n'était que courbes chez elle, aucun angle, aucune rude aspérité. Elle se stabilisa dans l'herbe assise, et devora l'homme de son regard de feu, d'un vert pénétrant frangé de cils rehausses, maquillés.

Elle était ardente, le soleil décroissant de l'espagne illuminant ses bijoux d'or lui donnant une aura de flamme. Alegria cessa de rire, sa grasse gorge déployée reprit sa position initiale. Une main lourde passa pour débarrasser sa crinière bouclée de la présence florale. L'ibère ne voulait pas se redresser et rentrer, elle ne voulait pas qu'un avion l'emporte de nouveau loin de la péninsule du soleil. Elle savait que lui non plus ne voulait pas la voir repartir. Son sourire, avec toutes ses fossettes lui fut offert. Le soleil décroissant faisait une auréole à l'hispanique, sublimant son teint cannelle, halé. Son visage maquillé gardait une certaine insouciance, et elle était parée de bijoux dont elle changeait souvent à l’exception des grands anneaux d'or passés à ses oreilles.

Alegria était ronde et potelée, son abondante poitrine mise en avant par le décolleté de sa robe. Sa corpulence était forte sans être trop massive, due a ses rondeurs qui la rendaient agréable à l'oeil. Elle n'était pas des plus grandes par ailleurs. Sa robe ample était colorée avec une dominance rouge et de multiples motifs. Rares étaient ceux a l'avoir vu vêtue autrement qu'en robe ou jupe colorée. Cela contribuait à son aura radieuse, ardente...
Caractère : Alegria
Como un payaso que grita



Elle se redressa finalement lorsqu'elle remarqua qu'il guettait l'heure avec une angoisse certaine.

"Fabio, estupido, si tu veux rentrer on rentre. On pourra rester ensemble le temps d'attendre le taxi"

De nouveau ce rire, mais bref et leger. Alegria était comme le nom qu'on lui avait attribué joyeuse. Elle s’énervait vite, mais c'était bref, une éruption volcanique, globalement elle était heureuse. Et aimante, attachée. Elle pouvait s'enticher de n'importe qui, mais Fabio restait toujours spécial, parce qu'elle s'était mariée avec lui, qu'il avait accepté sa stérilité, qu'il l'avait aidée à l'accepter, qu'il aimait sa famille et lui donnait beaucoup d'amour à elle. Alegria avait eu beaucoup de mal à accepter le fait de ne pas avoir d'enfants et s'était mise à considérer ceux de son frère comme les siens.

Elle était forte, dans toute les sens du terme. Apte a surmonter l'insurmontable comme a tenir tête à des hommes parfois plus grands et athlétiques qu'elle, l'ibère était fière et elle cédait n'importe quoi à cette fierté. Alegria ne supportait pas l'insulte, tournée vers elle comme vers ses proches et avait une forme de courage entêté lorsque cette fierté était bafouée. Notre femme n'a également qu'une parole. Loyale, cela ne l’empêchait cependant pas de partager son amour de temps en temps. Autrement amatrice d'art et plus particulièrement de sculpture, elle ne se lassait pas d'admirer certains travaux d'artisans sur les marchés. Marchés pendant lesquels elle se faisait une joie d'écumer les étals, de chercher des bijoux d"or ou d'argent et des vêtements de couleurs vives.

Alegria était un soleil, ardente et vivante, énergique malgré son poids et ses rondeurs. Elle communiquait sa joie de vivre à son entourage ou se permettait des crises de nerfs lorsqu'elle en ressentait le besoin. C'était une femme de l'instant, une femme de passion. Une femme de passion dont l'une des passions se situe dans la nourriture et la cuisine, souvent grasses, choses à blâmer pour sa corpulence, vouant une adoration certaine à l'huile d'olive. Lorsqu'elle avait des convives elle tenait à bien les nourrir et ne souffrait pas de remarques sur ses talents culinaires. Sauf de la part de ses neveux à qui elle passe tout. Ou presque.
Histoire : Alegria
Del estupendo grito
De la tristeza loca


Pampelune. Ou à coté. Quelle importance. Elle était née, elle avait un grand frère aimant, une famille. Alegria était née dans la joie et avait reçu ce prénom qui ferait toute sa vie, la déterminerait car elle devait porter toute sa vie l'instant de bonheur qui avait suivit sa naissance. Allégresse.

Le soleil chaud de l'Espagne ne l'avait jamais brûle, elle et sa peau de cannelle. Petite, elle était déjà ronde et se développait ainsi, tout en rondeur, avec ses multiples fossettes et son caractère de volcan. Elle avait une famille moldue et ne connaissait rien de la magie, de près ou de loin. Tenue loin des activités des adultes la personne de sa famille la plus proche d'elle était son frère. Un frère qui ne lui avait appris que des choses de garçon, à se battre, à jouer au football, à dire des gros mots pour faire pâlir les adultes. Alegria était un garçon manqué mais se fichait bien de l'avis des autres. Jusqu'a ce que sa mère la voyant grandir, décide de la reprendre en main, lui donner une éducation plus féminine. Elle parlait basque et espagnol, car elle était basque de sa mère, mais l'anglais lui était inconnu, ainsi la lettre à son nom, marquée d'un sceau à 4 couleurs qu'elle reçut pour ses 11 ans elle ne sut la comprendre. Les adultes en parlèrent longtemps, entre eux, lorsqu'il fut décidé qu'elle irait à Londres car c'est ce que les messieurs de la lettre voulaient.

On la prit, elle fut emmenée, elle ne comprit pas. Sa mère lui expliqua au mieux, c'était elle qui la conduisit pour tout cela. Pas son père qui devait rester au pays. Les affaires des grands n'avaient jamais été les siennes. On lui apprit que les contes de fées étaient un peu vrai, que au final la magie existait vraiment et qu'elle était un peu comme une fée parce qu'elle avait des pouvoirs. Difficile à croire. Mais elle s'y fit comme au reste. Comme à devoir apprendre l'anglais sur le tas dans une école ressemblant à un château amenée la avec plein d'enfants venant d'horizons diverses. Elle fut projetée à Poufsouffle. Se liant d'amitié rapidement grâce à sa personnalité marquée, elle ne restait pas inaperçue. Le monde des sorciers devint sa seconde famille alors qu'elle se faisait à l'anglais, a cet autre environnement.

Elle en sortit diplômée. Non excellente mais elle avait toutes les clefs en mains pour sa vie. Elle retourna sur la péninsule ibérique, trois fois plus grande, deux fois plus large, avec plus de plomb dans la tête. Alegria fut embauchée à Lisbonne pour travailler dans les relations entre sorciers et moldus. Un travail qui lui plaisait autant que le Portugal, dont elle apprit la langue. Sa vie coulait comme un fleuve sur lequel elle ne voulait pas avoir trop d'emprise. Son frère se maria, et elle dut retourner au pays pour le voir avec sa femme. Les enfants étaient à prévoir pour bientôt et elle s'en réjouissant, éprouvant un bonheur fou à l'idée d'être tante, et bientôt mère à son tour. Dans le cadre de son travail, retournée au Portugal, elle fit la connaissance de Fabio. Un casanova à n'en pas douter. Don Juan lui même. Elle adorait ce tempérament séducteur, sa présence d'homme. Au début ils n'étaient que des amants, ils finirent par se marier avec la promesse que tant qu'ils n'auraient pas d'enfants chacun serait libre d'aller avec qui il veut. Et cela lui allait très bien.

Les enfants Carreido naquirent. Ele prit pour eux le plus grand soin, espérant être comme une seconde mère, à les couver, s'occuper d'eux leurs parents absents. Elle avait rangé sa baguette magique pour ses neveux. Elle voulait être la mama. Plus tard, déplorant de ne pas avoir de descendance elle même, fut découvert qu'elle était stérile. Tout ses projets d'avenir s'étaient effondrés avec cela et elle en resta troublée plusieurs semaines ou Fabio fit tout pour lui faire reprendre goût aux choses, la faire redevenir Alegria. Elle décida que les enfants de son frères seraient comme les siens. Jusqu'a ce qu'une lettre de l'école qui l'avait attiré dans le monde de la magie leur parviennent à tous, petit à petit, les arrachant à elle. L'ibère les suivit. Ce directeur d'école ne pouvait pas les lui enlever, elle partirait avec eux, et tant pis si l'école ne voulait pas d'elle, elle ferait tout pour se faire engager. Rien ne résiste à l'hispanique quand elle est déterminée. Elle finit par décrocher un poste à l'étude des moldus à Poudlard et s'y installa. Avec un grand regret pour son ibérie natale mais l'heureuse perspective d'être proche de ses neveux...
Pseudo : Kanji, Léa
Âge : 17
Sexe : F
Comment avez-vous connu le forum : en roulant
Commentaire : c'est blblblbl ici
Code du règlement : dum dum



Dernière édition par Alegria P. Carriedo le Jeu 27 Aoû - 2:35, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: El fuego Iberico El fuego Iberico Icon_minitimeJeu 9 Avr - 22:57

Un nouveau professeur ! Bienvenue \o/
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El fuego Iberico

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