Clélia est une fille très gaie, d'agréable compagnie, voir aussi très affectueuse, elle se débrouillera toujours et fera tout son possible pour venir en aide à ces proches.
Cette jeune fille sautillante, aime vivre au grès de ces envies, libre comme l'air, sa liberté elle l'apprécie grandement. Sa grâce rappelle aisément celui d'un papillon, son rire est aussi léger qu'un battement d'aile, et son sourire aussi chatoyant que les vives couleurs teintant les ailes.
Pacifiste et diplomate, elle attaquera jamais la première et cherchera tout d'abord à trouver une solution via la discussion. Légère dans ces propos, elle attaque rarement verbalement quelqu'un, même si on la pousse à bout. Elle s'adressa le plus souvent aux élèves d'une façon très polie.
Comme le papillon, Clélia est une fille fragile, très émotive, elle se fera un sang d'encre pour ses proches, elle viendra toujours les réconforter quelque soit la situation.
Elle connaît ses faiblesses, mais elle fait toujours en sorte de les changer en force, à la sueur de son labeur. Clélia est une travailleuse, elle n'hésitera à s'investir corps et âme dans ce qu'elle entreprend. Elle a d'ailleurs une passion pour tout ce qui est artistique, mais ce qu'elle préfère c'est la sculpture. Donc si vous la voyez voleter dans un couloir, au lieu de lui arracher les ailes, il est plus beau de la regarder s'élever.
Clélia étant timide elle n'ira pas aisément à la rencontre des autres, ou même demander de l'aide, parfois un simple « Bonjour » prononçait à son égard, peut teinté légèrement ses petites joues. Vous pouvez facilement déterminer le degrés de timidité que vous lui provoquez en vous servant de la couleur de ses joues, attention si vous arrivez au rouge vif, il est fort possible que vous ne tiriez plus un mot de Clélia.
Par contre si vous entrez dans son cercles de proches elle vous parlera plus facilement, et vous gagnerez une amie fidèle.

    Adorable jeune fille, son physique n'est en rien exceptionnel, une fille comme les autres. Une stature mince, un corps de fillette, mais ayant des doigts magiques, capables de dessiner, de peindre, de sculpter, de produire ce qu'elle désire.
Avec son teint frais comme l'égopode dans les sous-bois, coupé par ses douces pommettes roses, qui la mette délicatement en valeur, le tout orné d'un sourire aussi blanc que la porcelaine. Beaucoup ont assimilé son apparence, aux anges peuplant les fresques que l'on peut trouver dans les églises. Ces cheveux aubruns, sont mi-long, et légèrement ondulés, souvent décorés d'un ruban ou bien d'une petite fleur. Ils sont souvent sillonnés par de petites boucles ou mèches rebelles, ils paraient que c'est un trait de famille, qui vient plus du côté paternel de sa famille. Et c'est un fait avéré, non mais observez bien ses cousins par exemple, vous retrouverez cette fameuse mèche caractéristique au Vargas. Son doux regard est de couleur ambrée, on peut ressentir une douce chaleur réconfortante en émaner, se posant avec bienveillance sur ses proches. Ses prunelles peuvent tout aussi bien être aussi scintillant qu'une nuit étoilée, lorsqu'une joie indescriptible la prend, ou alors se noyer dans un flot de larmes quand l'émotion et trop forte pour son petit cœur, ou encore refléter une faible lueur d'inquiétude. Si la curiosité vous tentes, vous pouvez essayer de plonger dans l'abîme de ses yeux, au delà des riches couleurs de ses deux gemmes dorés, vous pourriez trouver un dédale solidement fermé, qu'il ne sera possible d'ouvrir que si elle vous a remit la clé de sa confiance.

      C'est dans la commune de Saint-Marin (dans la Principauté de Saint-Marin) que Clélia vit le jour, non loin du mont Titano, au sein d'une petite famille aimante. Ses parents étaient tout deux des sorciers, mais également des artistes, son père était sculpteur, aimant manipuler la pierre, sa mère était dessinatrice et adorait réaliser des timbres pour la poste de la commune. Clélia se rappelait que haute comme trois pommes, elle aimait observer ses parents réaliser toutes ces œuvres et surtout de les voir animés avec la magie ces dernières.
Leurs arts pouvaient être simples, 'moldu', ou bien enchanté, comme le fameux jeu d'échec version sorcier que son propre père avait fabriqué, et qui lui avait offert. La petite Clélia avait beau ne pas comprendre comment on jouait aux échecs, à cause de son jeu âge, mais elle restait fascinée par ce plateau où circulait des pièces enchantées. Elle montra très tôt des signes de magie précoce, ces parents en étaient ravis, impatients de transmettre à leur fille leurs arts si particuliers.

         Tout se passait bien dans le meilleur des mondes, mais brutalement son enfance fut bouleverser par un accident, Clélia ne s'en souvint pas très bien, mais voilà les courts fragments qui lui reste...
C'était durant la nuit de son anniversaire, son père s'amusait à mettre la dernière touche au gâteau, sa mère et elle jouait dans le salon.


On entendit toquer, quelqu'un était devant la porte de notre maison. Clélia vit son père sortir de la cuisine, il avait un air soucieux, doucement sa mère lui caressa la tête.


Clélia attendit que sa mère se mette face au mur, et qu'elle commence a compté, puis parti se cacher dans le placard en persienne du salon, se plaçant entre les longs manteaux pour mieux se cacher. Elle observait un peu via les bandes de bois du placard, mais ce n'était pas grand chose. La porte du salon s'ouvrit, un grand bruit éclata, des cries aussi, puis soudain un grand flash verdâtre. La petite terrorisée se mit le plus au fond possible dans le placard, et se cacha dans l'un des manteaux. Doucement dans la maison, on entendit que des cris étouffés, semblable a un animal blessé, puis un léger susurrement, une litanie douloureuse, répétant inlassablement le prénom de sa mère, et le sien. C'était la voix brisé de son père, elle sortit du placard, le salon était entièrement ravagé, les lampes tombées au sol éclairent faiblement le salon, elle aperçut enfin son père au coin de la pièce. Elle ressentit toute la peine et la douleur qui émanait de son père, qui s'accrochait désespérément au corps de sa mère, Clélia la regarda, elle semblait dormir, curieuse, elle tendit la main, effleurant le bras de sa mère. Glacé... il était glacé...


Son père ne lui répondit pas, elle approcha sa main de son épaule, mais à peine le contact établit que ce dernier releva la tête et poussa un hurlement terrifiant. La petite effrayée recula vivement, elle marcha malencontreusement sur quelque chose de mou, c'était tout ce qu'il restait de son gâteau d'anniversaire.




     Pour Clélia le reste fut flou, après l'accident des personnes sont venus dans sa maison, certain on tirait de force son père dans une ambulance, sa mère aussi fut emporté, caché par un drap. Puis dans son champ de vision, la petite Clélia vit une paire de chaussures noirs bien cirées, elle leva doucement la tête pour voir a qui elle appartenait. Puis dans son champ de vision, la petite Clélia vit une paire de chaussures noir bien ciré, elle leva doucement la tête pour voir a qui elle appartenait. Face à elle se tenait un jeune homme imberbe, les cheveux bruns courts, légèrement bouclés, il lui souriait doucement, ce n'était pas un sourire hypocrite pour dissimulé l'horreur qui venait de se passer, non, un simple sourire qui se voulait réconfortant. Le jeune homme se baissa à la hauteur de la petite fille, et lui parla doucement.
« Je m'appelle Marinus. Je suis là pour t'amener dans un endroit, où se trouve d'autre enfant. Le temps que ton Papà aille mieux. »
Il lui tendit la main, mais la petite Clélia partie dans sa maison, se réfugiant dans l'atelier de ses parents, serrant contre elle son échiquier, pleurant à chaude larme tout ce qu'elle voulait, c'était être avec ses parents, mais cela n'était plus possible.
La petite serait la manche de la veste de Marinus de toutes ses forces, ce dernier lui portait son échiquier, tout deux étaient face à l'orphelinat, là où désormais Clélia allait vivre. Il lui avait expliqué, que le Père et la Mère de la petite avaient tout prévu dans leurs testaments, et que désormais, il serait son tuteur, le temps que dura le séjour de Remus Vargas à l'hôpital Sainte Mangouste.

       Les années à l'orphelinat lui semblait terriblement longues, malheureusement Clélia n'avait pas beaucoup d'amis, pas qu'elle n'arrivait pas à s'en faire, bien au contraire son sourire avait le don d'attirer les autres. Le souci était plutôt qu'une frayeur indescriptible la tiraillait, cette lueur verte la hantait. De temps en temps Marinus lui rendait visite, il était toujours gentil avec elle, lui rapportant des objets de ses parents. Parfois ensemble, ils partaient en visite dans Saint-Marin, Clélia appréciait grandement ces sorties, c'était son oxygène, la forteresse de Guaita était son endroit favori. La vue était magnifique.
À ces onze ans, elle reçut une lettre, elle était étrange, et le contenu encore plus. C'était une lettre d'administration pour l'école Poudlard, l'école de sorcellerie, Clélia en resta songeuse, immédiatement, elle montra sa lettre à Marinus, après tout, il était sorcier. Avant leur départ à Londres Clélia se rendit une dernière fois au Mont Titano, pendant sa ballade, elle entendit un faible pépiement venant d'un buisson. Dans ce buisson Clélia trouva un petit faucon blessé, elle le ramena avec elle, et étrangement même une fois soigné, le petit faucon resta avec elle. La fillette ravie décida de garder le petit faucon, comme animal de compagnie pour son cursus à Poudlard.
« Marinus ! Marinus, je vais l'appeler Gnocchi !
-Vraiment ? Même si c'est une femelle ?
-Comment tu sais que c'est une femelle ?
-Je suis un sorcier, ne l'oublie pas-»

      Une fois arrivait à Londres, Clélia avait l'impression d'arriver dans un nouveau monde, heureusement que Marinus la guidait, surtout au Chemin de Traverse, il y avait tellement de choses, qu'elle savait plus où regarder. Le moment le plus exaltant pour elle fut quand elle acheta sa baguette chez Ollivander, et une fois tout ses achats terminées, elle quitta Marinus sur le quai de la voie 9¾. Le voyage en train se passa bien, Clélia était tout excitée de voir cette fameuse école de magie, et quand elle la vit, elle ne fut pas déçue, un immense château !Une fois arrivait à Londres, Clélia avait l'impression d'arriver dans un nouveau monde, heureusement que Marinus la guidait, surtout au Chemin de Traverse, il y avait tellement de choses, qu'elle savait plus où regarder. Quand on lui posa le Choixpeau, tout se passait bien, jusqu'à qu'il prit la parole, d'abord effrayé, puis sa peur se changea en amusement, elle voulait absolument un chapeau qui parle.
« POUFSOUFFLE ! »
Clélia vit tout les membres d'une table se lever, et lui faire de grand signe, alors voilà sa maison, sa « famille », elle s'installa timidement à une place, ils avaient tous l'air si chaleureux.
À Poudlard tout se passait bien, elle était sur son petit nuage, elle s'était découvert une passion pour les cours de vol, les professeurs étaient la plupart sympathique, elle rencontra même des cousins, timide au début, elle n'osa pas leur parler.

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