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Der Waltzerkönig.

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MessageSujet: Der Waltzerkönig. Der Waltzerkönig.  Icon_minitimeDim 11 Jan - 9:56

EDELSTEIN Roderich
Autriche
Nom : Edelstein
Prénom : Roderich Karl Amadeus Teodor(on l'appelle Roderich parce qu'il n'a jamais mentionné ses autres prénoms)
Date de naissance : 26/10
Lieu de naissance : Innsbruck, Autriche
Âge : 17 ans
Année scolaire : 7ème
Maison : Serdaigle
Animal de compagnie : Wolfgang, un hibou grand duc
Ascendance : Sang-pur
Fratrie : Frère de Léopold, cousin de Gilbert et Ludwig, neveu d'Ulrich
Motivation : Préfet. Roderich est un élève qui ne fait aucune entorse au règlement et sa rigueur est exemplaire. Il est réputé pour sa grande attention et participation en cours, et pense que le poste lui permettrait d'aider ses camarades à être plus disciplinés (officiellement) puis cela lui confère un certain pouvoir de sorte à ne plus trop être embêté (officieusement)
Don : Aucun.

Baguette : Orme - Licorne - 31cm - Fine et cassante
Patronus : Chamois (Cheval)
Epouvantard : Son père lui disant qu'il n'est digne de rien, qu'iléchoue tout le temps, qu'il est déshérité.
Reflet dans le miroir du Riséd : Elizaveta et lui en tenue de mariage
Odeur de l'Amortentia : Bois de pin, chocolat, papier journal
Votre personnage peut-il voir les Sombrals : Oui depuis très récemment
Matière préférée : Arts et Musiques magiques
Matière détestée : Vol sur Balai
Options : Art et musiques magiques, Arithmancie et Divination.
Rigoureux
Froid
Sérieux
Rationnaliste
Artiste
Hautain
Protecteur
Jaloux
Vif d'esprit
Faible de corps
Maîtrise
Austère
Physique : La perfection n'existe pas. Elle est simplement le but que se donnent ceux qui sont constamment insatisfait ou arrogants. Pourtant, on puit en brisant un être et en le formatant à sa guise faire de lui l'expression conforme de certaines valeurs, d'une caste, d'une idéologie. Ainsi, selon certains regards l'être en apparaît un divin modèle alors que selon d'autres il ne sera jamais rien d'autre qu'un être synthétique, dépourvu d'émancipation propre. Ces propos me diriez vous n'ont jamais souffert d'aucune illustration notable. Si ils furent appliqués, sans doute que l'objet de ces pratiques avait fini d'une manière ou d'une autre par avoir la folle envie de sortir des rails, d'imposer sa conscience...

Il avançait d'un pas cadencé, que l'on aurait même pu qualifier de gracieux, un pas plein de rigueur et d'assurance. Son corps, droit, les épaules en arrière, la tête haute, avait ce maintien régalien qui ne sied qu'aux plus hautes castes sociales, rois ou princes. Jamais affaissé, cela conférait à son aura une prestance majestueuse qui imposait le respect. Tout était calculé dans ce but. Lorsque vous le suiviez du regard jamais il ne daignait détourner les yeux vers vous, et si vous lui adressiez la parole, il vous regarderais droit dans les yeux, vous toisant de cet air froid et hautain vous faisant bien sentir qu'il est noble lui, qu'il à du mérite lui. L'autrichien sculptural savait qu'a un moment ou à un autre il serait l'objet des regards ainsi tenait toujours à parfaitement paraître.

Dans l'hypothèse ou vous lui auriez adressé la parole donc, il vous aurait répondu d'un ton des plus calmes et neutre, accrochant votre regard de sorte à ce que vous puissiez remarquer des yeux frangés de cils bruns aux iris d'un bleu profond que l'on croirait violet sous un certain éclairage. D'aucun sans chercher plus loin auraient qualifié cette insolite coloration d'"améthyste", mais nous lui préférerons le terme d'"indigo". Ce regard était subtilement souligné par des lunettes aux montures fines, car souffrant d'une hypermétropie il était vain de lui demander de lire un texte lorsque le livre était tenu trop proche, dépourvu de cet accessoire. Or cela il possédait un visage fin, sans une once de graisse, presque sec, d'une carnation pâle dénotant d'une très faible exposition solaire en définitive. Ses lèvres fines n'arboraient que rarement un sourire bien souvent léger, ainsi vous constateriez sans doute une expression très fermée. Ses sourcils bruns s'arquaient souvent pour présenter une position haussée lorsque sir Edelstein était intrigué ou exprimait du dégoût, ou froncée lorsque votre sujet d'observation en venait à s'agacer voir à s’énerver. Il faut pour conclure l'étude du faciès précédant l'écoute du propos préciser qu'il porte un grain de beauté notable sous la lèvre ne gâchant en rien l'harmonie faciale.

Roderich s'exprimait d'un ton calme et neutre et sa voix n'était point désagréable. A vrai dire, on la situerais entre le ténor et le baryton et nul doute qu'il ferait une bonne voix pour des lieder ou des opéras. Il n'haussait jamais vraiment le ton.

Dans l'hypothèse ou vous n'auriez décidé de vous approcher de lui pour lui parler, ce qui implique que vous vous seriez contenté de l'observer de loin vous auriez remarqué une carrure et une structure globale fragile, des membres longs et fins mais peu appropriés à l'effort. Un artiste, un érudit avant tout. Un homme ayant laissé les disciplines du corps pour celles de l'esprit. D'un apprêt impeccable tant au niveau de la coiffure, d'un brun sombre toujours arrangée vers l'arrière en dépit des mèches plus courtes balayant son front présentant pour seul signe rebelle un épis capillaire formant une boucle, un insolite point d'interrogation sur sa chevelure, qu'au niveau de l'habillement, sans un pli de trop, l’uniforme porté comme demandé et non autrement sa cravate bleu toujours droite, l'insigne de préfet en évidence. En dehors de l’uniforme il ne portait rien d'autre que du sobre et formel, le plus souvent dans les tons sombres ou terne, avec bien sur toujours une chemise blanche. Pas de bijoux ou d'ornementations ostentatoire, rien ne venant égayer l'ensemble.
Caractère : Qu'ajouter de plus au tableau si ce n'est sa psychologie ? Composée de couches successives, sa psyché globale ne se laissait point entrevoir aisément. Il fallait bien le connaitre pour pouvoir prévoir ses pensées réelles et même ainsi cela restait ardu. Ce que nous pouvions affirmer tout d'abord était que notre homme en toutes circonstances montrait la tenue d'un aristocrate. Un port altier, un vocabulaire étudié, des formulations alambiquées, un vouvoiement omniprésent et une courtoisie qui cependant n'admettait jamais de sourire. Impassible et impénétrable il pouvait soit vois toiser d'un air hautain et suffisant, soit vous traiter avec égards et considération en fonction du fait qu'il vous connaisse ou non, qu'il vous apprécie ou non. Par défaut il sera envers une personne de laquelle il n'a aucun a priori rien de plus que distant et calme. Il montrait un aisance particulière dans les société mondaines, bien que toujours très secret à propos de lui même, tâchant de se montrer "parfait". Perfection et Noblesse, sans doute ses deux maîtres mots auxquels s'ajoutait parfois Souvenir. De façade on pouvait donc le décrire insensible et noble, en toute circonstances. Hypocrite également car il se montrait conciliant lorsque l'exigeait la situation, prenant sur lui. Austère, rigide, froid auraient été tant d'autres adjectifs lui seyant à merveille. En effet l'on ne voyait que rarement d'autres expressions sur son visage que celle marquées par les mouvements de ses sourcils. En outre, il s'appliquait une rigueur, des règles, une ligne de conduite si stricte qu'il n'avait moyen d’être autrement qu'ainsi.

Sous cette carapace de glace, on voyait qu'il était intelligent. Calculateur. Roderich comprenait parfaitement les ressorts de l'âme humaine, mais ne voulait tout simplement pas faire l'effort d'être en compagnie de certaines personnes et en compagnie tout court, parfois. Il arrivait qu'il s'éloigne volontairement des autres. Depuis sa plus tendre enfance il avait vécu dans l'optique d'être à l'apogée de la réussite qui impliquait une réussite scolaire et plus tard sociale et économique, au sommet du monde. Mais cela ne l'avait pas rendu heureux, prisonnier de son carcan d'obligations dont il ne voulait pas se défaire. Cela ne l’empêchait pas d'envier la liberté de certains autres, une liberté qui quand elle prenait trop d'ampleur il pouvait chercher à réprimer.

Mais il y'avait à coté de tout ce qui pouvait l'agacer des plaisirs qu'il s'accordait. Le premier et le plus représentatif était la musique. Lorsque l'on était attentif on pouvait deviner que l'homme et la musique ne faisaient qu'un et n'étaient point deux entités différentes. Toutes ces émotions que le noble ne montrait pas ses morceaux les exprimaient, les sublimaient. La musique au delà d'être une passion était un refuge ou un défouloir. Toujours était il que l'aristocrate restait un virtuose, un véritable maître dans cet art. A coté de cela il aimait entre autre, les ouvrages de philosophie, les activités calmes telles que les jeux de société, cuisiner et étudier.

Sous ses dehors froids et insensibles il n'en était pas moins une personne dotée de sentiments. Il avait sa sensibilité à lui simplement. Roderich appréciait particulièrement les élèves les plus jeunes en âge qui avaient tendance à s'émerveiller de son grade et à le respecter, ayant parfois tendance à être moins strict envers eux. Autrement sir Edelstein était capable d'aimer, mais simplement une seule personne. Cependant cette personne recevait tout ses égards et sa plus entière fidélité. Droit en amour comme dans la vie il savait être passionné, mesuré et attentionné sur ce plan la. Cette personne répondait au nom d'Elisaveta et que le sentiment qu'il ait pour elle soit réciproque ou non il gardait pour elle la même attention. Il convient de préciser que dans ses autres relations il devait s’accommoder à une personne pour réellement s’intéresser à elle ou même en venir à l'apprécier.

Par contre il n'avait pas de problèmes notables avec les animaux. Il possédait lui même un hibou grand duc qu'il transportait parfois sur son épaule. Il se rendait souvent à la volière pour observer les oiseaux. Attachés aux traditions, surtout les traditions alpines il apparaissait qu'il avait une certaine connaissance de la faune et la flore des Alpes. La légende voudrait que si on avait de la chance on pouvait le surprendre a yodeler... Autrement, danseur émérite, de par son éducation notamment, les danses telles que la valse lui étaient familières, aussi bien que ce qui était issu de son folklore natal.
Histoire : Le piano encore une fois faisait entendre sa complainte. Cela imposait à la salle des Serdaigles une atmosphère particulière entre le silence religieux par respect pour le musicien et le bruit des plumes grattant les parchemins. Il jouait souvent tard si bien qu'il avait souvent un auditoire restreint, mais sans doute le faisait il exprès car il estimait que sa musique n'appartenait qu'a lui. Roderich profitait de ces moments qu'il s'accordait pour peut être revoir le cours des seize années de son existence. Du moins si tel était le cas son jeu était toujours égal, sans fausse note, sans instant d'égarement...

Innsbruck. Pas la plus grande ville d'Autriche et de loin, ni sans doute la plus belle, mais nichée au cœur des Alpes, elle accueillait une large population de Moldu. Seconde ville d'Europe se situant au cœur des montagnes par la taille et le nombre d'habitant elle n'en avait pas moins un héritage culturel important, auquel la pratique des sports d'hivers ne nuisait pas. La, en périphérie de la ville, installé dans les montagnes, se situait le grand manoir de la famille Edelstein. Un manoir immense, superbe, profitant de la beauté de l'architecture autrichienne classique et des avantages dus à la condition de sang-pur de ses habitants. Les moldus n'y pénétraient jamais et jamais n'avaient l'idée de monter visiter le domaine ainsi, reclus de la ville traversée par l'Inn, ils ne s'y rendaient que pour le nécessaire ou pour trouver les quelques rares lieux attribués aux sorciers. L'Autriche ne comptait que peu de sorciers en comparaison d'autres pays tels que les britanniques ou encore les slaves mais ceux ci étaient bien organisés, et centralisés souvent autour de Vienne ce qui constituait en ce lieu une communauté non négligeable. Les sorciers de la nation alpine étaient connus dans le monde pour leur grande maîtrise des arts magiques et en particulier la musique. A défaut de produire des mages de combats les familles  nobles s'étaient tournés vers les arts qui ne risquaient pas d'engendrer des pertes au moins. La famille Edelstein, dans ce contexte, pouvait être vue comme une anticonformiste attachée aux vielles valeurs, vivant dans le passé. Alors que la majorité des grandes familles se modernisaient et rejoignaient Vienne, ils restaient parqués dans leur nid d'aigle, entre anciennes traditions et une absolue rigueur.

C'était dans cet environnement qu'était né Roderich. Une famille qui à force de se retrancher avait contracté des tares, qui pour préserver son sang s'était donnée à l'inceste. Sans doute l'une de ses arrière grands mères s'était elle donnée à son frère ou quelque cousin, oncle ou tante, mais lui l'ignorait et cela ne transparaissait pas sur sa personne. Roderich en soi était un prénom ancien, peu commun, mais lourd de sens. Signifiant d'une certaine manière "gloire" et "puissance", les ambitions étaient hautes sur le petit enfant, non le petit héritier tout juste arrivé dans le foyer. A peine né il allait être formé pour entrer dans le moule de sa catégorie sociale, adopter la pensée et les activités de ses ainés, devenir "l'héritier parfait" comme le désiraient ses géniteurs. Géniteurs et non parents car ceux ci ne lui donnaient point d'amour, simplement de quoi pouvoir devenir un grand sorcier et porter haut le nom Edelstein.

Très vite, l'on s'empressa de vérifier si le jeune garçon n'était pas un Cracmol. Quel disgrâce pour la famille si c'était le cas ! Il se trouva très malhabile avec les balais jouets que l'on lui présenta, très tôt, dès qu'il put marcher et gambader sur ses deux jambes. Cela causa la désapprobation de ses parents, mais l'enfant étant de constitution fragile l'on n'insista pas. Cependant, toutes les pratiques magiques furent passées au crible pour déterminer les dons de l'enfant. L'on espérait peut être qu'il manifeste des talents incongrus mais apparemment il semblait destiné a devenir un sorcier du commun. L'enfant fut pris en charge par une foule de précepteurs, venus parfois de loin et payés à prix d'or pour en faire l'héritier "parfait". La perfection étaient le but que les fiers parents voulaient pour leur enfant aux détriments d'autres choses, mais cette perfection était celle selon leur point de vue. L'on nota que s'il apprenait rapidement avec application, l'on avait au moyen de sortilège d'Impero endigué ses volontés enfantines de résistance à cet apprentissage forcé. Toute velléité de résistance avaient été annihilée. On le mit dans le culte du travail, prônant que l'échec n'était guère tolérable.
Lorsqu'il mettait un pied en dehors de la ligne tracée pour lui il était battu. Lorsqu'il disait quelque chose n'entrant pas dans l'ordre de pensée de sa famille il se faisait rabrouer. Mais très vite il prit le pli. Il sut quels étaient ses territoires autorisés et interdits. Il gagna rapidement en maturité pour trouver ses espaces de liberté et cette liberté il la trouva dans la musique. Roderich trouvait en cette discipline, notamment le piano un échappatoire, une manière d'exprimer son véritable ressenti biaisée. Mais, formaté à sa condition il devint l'image de ce noble au manières policées, au vouvoiement omniprésent à la tenue impeccable, impassible en toute situation respectant le protocole au mot près. Ainsi il faisait réellement la fierté de ses parents montrant une grande intelligence dans les domaines de l'esprit et une accablante nullité dans les domaines un tant soit peu sportifs. Seule la randonnée en montagne était une activité physique à laquelle il s'adonnait volontiers, pour observer les nombreuses créatures habitant l'espace naturel des Alpes. Ces sorties étaient toujours accompagnée car le garçonnet restait jeune mais pour lui merveilleuses, car il n'était plus coincé dans le manoir.

Naquit au terme de sa 5ème année d'existence son jeune frère. Bien entendu ce qui est mentionné plus haut s'étendait sur plus long de 5 ans mais ce frère était négligé dans la famille. Roderich n'avait pas de temps pour lui et lui même était trop centre de l'attention pour que l'on se préoccupe du jeune garçon. Garçon qui eut plus de soin de la part des nourrice, qui eut une enfance bien plus normal que celle de son frère. La relation des deux frères était difficile à qualifier. Roderich semblait tenter de se rapprocher de lui en lui enseignant certaines choses mais le plus petit avait tendance à n'en faire qu'a sa tête et être bien plus sujet aux extravagances. Pour ses autres relations, Roderich avait sa familles et les enfants des amis de ses parents. Les nobles autrichiens avaient des contact avec de nombreuses familles de sang-pur germanique, notamment la famille Beilschimdt. Les deux familles souhaitant créer des liens forts et ayant deux enfants du même âge avaient imposés a leurs fils de sympathiser, mais les deux enfants voyant la une bonne occasion de s'émanciper se mirent à se détester d'un commun accord.

Cette période toucha sa fin lorsqu'une lettre de Poudlard, la prestigieuse école de sorcellerie britannique convoqua l'aîné de la fratrie. Bien sur tout le monde  fut étonné qu'il ne soit pas convoqué à l'école de Bavière comme l'étaient ses aînés mais il fallait se plier aux décisions des hautes administrations. Alors s'ensuivit un voyage à Vienne pour acheter le matériel nécessaire. Vienne fut pour l'autrichien un émerveillement. Son statut de sang pur le poussait à ignorer voire à mépriser systématiquement les moldus, mais les sorciers... Il n'en avait jamais vu autant. Le jeune montagnard qu'il était découvrait la capitale de la musique classique et de la culture d'Europe centrale. Cette excursion loin du folklore alpin lui plut, mais il était conscient qu'a peine arrivé dans cet environnement il devrait le quitter. En un sens il était ennuyé à l'idée de quitter sa terre natale, ses Alpes, ce qu'il avait toujours connu entre autre. Se séparer de sa famille ne lui causait en revanche aucun problème. Ces gens qui ne lui avaient jamais accordé rien d'autre qu'une attention purement intéressée ne pouvaient pas obtenir un amour qu'il était incapable de donner. N'ayant jamais réellement reçu celui ci, Roderich s'était constitué un cœur de glace, rejetant toute sentimentalité au profit de la rationalité.


Son entrée à Poudlard fut pour lui un événement d'importance. Pour la première fois il côtoyait des jeunes de son âge n'étant pas de sa famille ou des enfants des amis de ses parents. Il avait pour les autres une sorte de fascination, qu'il dissimulait bien. Directement, sans trop tergiverser on l'envoya à Serdaigle. Le Choixpeau et sa propre volonté s'accordaient sur cela. Bien vite, il créa des liens avec les autres, peut être par curiosité ou car il estimait ne pas avoir le choix. Quelle ne fut pas sa surprise de retrouver les fils Beilschmidt. Si sa décision arbitraire d'entretenir une mésentente avec Gilbert était toujours valable, il n'avait rien contre son jeune frère, Ludwig, trouvant au contraire qu'il était respectable et respectait de bonnes valeurs.

Ce fut également la première fois qu'il tomba amoureux. Novice en matière de sentiments, il n'en connaissait pas moins ce qu'il convenait de faire lorsqu'il s'agissait de séduire une jeune femme. Cela faisait partie des codes que l'on lui avait inculqué...
Pseudo : Kanji
Âge : 17
Sexe : ._.
Comment avez-vous connu le forum : Par les admins la.
Commentaire : I'm too old for this shit
Code du règlement : C'est déja validé bitchies



Dernière édition par Roderich Edelstein le Mar 23 Juin - 17:34, édité 5 fois
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MessageSujet: Re: Der Waltzerkönig. Der Waltzerkönig.  Icon_minitimeDim 11 Jan - 12:54

Bonjour et bienvenue sur le forum (même si je ne sais pas si c'est nécessaire, depuis le temps que tu es ici :3)

Bon j'ai lu ta fiche et je n'ai rien à dire, à part que c'est parfait comme d'habitude~ ;) d'ailleurs tu m'as fais pensé que j'ai oublié de parler de la naissance de Monaco dans la fiche de France, tellement j'étais pressée de finir la fiche pour hier soir (bonjour le travail bâclé).

J'ai bien reçu le code de règlement ~
Vu que je suis sur portable, je ne sais pas si tu l'as fais, mais rempli bien en entier ton profil + ta feuille de personnage. Rajoute dans les titres que tu es préfet des Serdaigle car ça te va à merveille et on le valide ;)
Ton avatar est bon et aux bonnes dimensions, c'est parfait !

Je m'en vais te mettre ta petite couleur et te donner tes 30 gallions du début ~ n'oublie pas de venir réclamer ta bourse chaque mois à Gringotts !
N'oublie pas également de faire ton journal de RP avec tes relations :)

Bon jeu Roddy ^^
Personnel
Personnel
Romulus Vargas

Mon personnage
Citation: Si vis pacem, para bellum
Romulus Vargas
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ϟ Nation représentée : Rome Antique
ϟ Parchemins : 424
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MessageSujet: Re: Der Waltzerkönig. Der Waltzerkönig.  Icon_minitimeMar 23 Juin - 17:34

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MessageSujet: Re: Der Waltzerkönig. Der Waltzerkönig.  Icon_minitime

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