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L'âme slave est la moins hypocrite qui soit. [Rus' de Kiev - Svitlana Alkaev)

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MessageSujet: L'âme slave est la moins hypocrite qui soit. [Rus' de Kiev - Svitlana Alkaev) L'âme slave est la moins hypocrite qui soit. [Rus' de Kiev - Svitlana Alkaev) Icon_minitimeDim 16 Aoû - 22:47

Alkaev Svitlana
Rus' de Kiev
Nom : Alkaev
Prénom : Svitlana
Date de naissance : 06/01
Lieu de naissance : Toundra, Russie
Âge : 42 ans
Poste occupé à Poudlard : Professeur de vol
Directeur de maison : Non
Animal de compagnie : Un rat roux borgne nommé Evy
Ascendance : Sang-mêlé
Fratrie : Yekaterina Braginskaya (fille aînée), Ivan Braginsky (fils), Natalya Braginskaya (fille cadette)
Don : Occlumens

Baguette : 29cm, bois d'ébène, cheveux de Drioma
Patronus : Une louve blanche
Epouvantard : Ses anciens supérieurs du Ministère de la Magie soviétique en train de torturer ses enfants
Reflet dans le miroir du Riséd : Yekaterina en uniforme de Médicomage, son diplôme à la main
Odeur de l'Amortentia : Sang frais, métal, sexe
Votre personnage peut-il voir les Sombrals : Oui
Furtive
Perfectionniste
Résistante
Froide
Entraînée
Rustre
Franche
Brutale
Protectrice
Pas maternelle
Courageuse
Méprisante
Caractère : S’il fallait choisir une métaphore pour décrire la personnalité de Svitlana, ce serait probablement celle d’une pierre précieuse brute, non taillée. Sous une apparence poussiéreuse, rayée, cabossée, aux arêtes tranchantes et à l’aspect peu avenant, elle cache un cœur scintillant et incassable. De nature plutôt posée et silencieuse, la maîtresse du ciel apparaît tel un animal sauvage qui vous jauge et détermine si cela vaut le coup de vous trancher la gorge ou non.

Elle préfèrera néanmoins vous imposer un doux mépris teinté d’une indifférence magistrale pour peu que vous ne l’agaciez pas de trop. Bien que l’âge l’ait assagie, elle n’est qu’apprivoisée et reste une louve sauvage aux réactions imprévisibles. Son amitié et sa confiance ne sont pas des choses faciles à gagner, mais une fois acquises, elles sont à toute épreuve et traverseront le temps et les épreuves sans s’érailler.

Svitlana est une fervente adepte du paganisme slave, et ses croyances vont vers les anciens Dieux. Elle leur dédie sa magie, et ainsi, il est rare de la voir utiliser ses pouvoirs lorsque la situation ne l’exige pas. Si une tâche peut être réalisée sans faire appel à ses pouvoirs, elle préfèrera s’en charger manuellement. À ses yeux, toute magie est précieuse et doit être conservée, afin de n’être utilisée que pour servir ses idéaux.

Elle ne semble pas très maternelle au premier abord, et il est vrai que même en privé, elle est assez peu affectueuse. Ses étreintes sont fortes, revigorantes et cherchent plus à remettre sur pieds qu’à consoler. Néanmoins, elle a un fort instinct de protection envers ses enfants et tout particulièrement envers son aînée Yekaterina, souvent cible des mauvaises langues. Quiconque aura le malheur de faire une remarque mal avisée à son propos dans le champ auditif de Svitlana se verra puni, d’une manière ou d’une autre.

Etrangement, elle n’est pas tant sévère mais exige de la rigueur dans le travail. Son travail, comme elle aime à le rappeler, est de rendre les meilleurs encore meilleurs, pas de rendre bons les élèves médiocres. Tout talent est basé sur une pratique régulière et approfondie, et bien que certains aient des facilités, Svitlana juge que n’importe qui peut atteindre un niveau plus que correct en vol en y mettant l’application nécessaire.

D’ailleurs, qu’est-ce que vous faites encore ici ? Allez sur le terrain et plus vite que ça !
Physique : Plutôt grande (1m70 environ), Svitlana est plutôt élancée et surtout très athlétique. Sous les lourds vêtements en cuir qu’elle porte, elle cache une musculature relativement développée qu’elle entraîne régulièrement. Sa peau est claire, légèrement rougie au niveau du nez et des joues, et sa voix est quelque peu rugueuse et grave.

Elle a de longs cheveux blonds, dont elle prend soin, et qui sont coiffés de manière différente selon le jour et l’occasion. Généralement, ils sont lâchés dans une cascade dorée qui coule dans son dos, et ornés de tresses auxquelles sont accrochés des petites amulettes et des rubans. Il lui arrive néanmoins d’opter pour une unique tresse pour le côté pratique.

Ses yeux sont d’un bleu légèrement indigo et ont une élégante forme d’amande, et sont ornés de longs cils clairs souvent maquillés de noir. D’ailleurs, il n’est pas rare de la voir avec des peintures légères sur le visage, en dessous des yeux par exemple. Elle a un nez légèrement grossier mais qui n’altère pas sa beauté sauvage, et surmonte des lèvres pleines.

Elle est souvent vêtue de lourds vêtements, dont elle se débarrasse pour les leçons de vol, mais garde tout de même une couche de cuir épaisse, aussi bien pour se protéger du vent glacial de la vitesse que des accidents.

Svitlana a une bonne résistance physique et une force non négligeable : sportive, elle est endurante et ne tombe pas facilement malade. Il lui arrive de forcer ses élèves à se dépasser, de manière fort peu délicate…
Histoire : Je suis née dans le froid et la douleur de l’hiver, quelque part au nord de la Russie, en pleine toundra. Mes parents n’étaient que de simples gens, et on parvenait difficilement à vivre avec ce que cette terre nous donnait. Malgré tout, on n’était pas malheureux, non, j’ai de bons souvenirs de mon enfance… On s’occupait bien de moi et j’étais aimée. Je me suis toujours dit que j’aimerais avoir un foyer comme ça, plus tard. Avec plus de nourriture et de confort peut-être, mais avec autant d’amour.

Ma mère était une sorcière, ou, comme on dit chez moi, une ved’ma. Mon père vivait très bien cette particularité et ne semblait jamais jaloux de ses pouvoirs, mais je n’ai réalisé ça qu’en y repensant des années après : étant petite, j’avais en tête l’idée que la magie était une chose féminine et que nous étions les seules à avoir ce don. Evidemment, comme je l’apprendrai plus tard, il existait bien des sorciers et toutes les femmes n’étaient pas des sorcières.

Je n’ai pas vraiment appris quoi que ce soit, avant d’aller à l’école. Ma mère ne se servait pas constamment de son don, et me répétait souvent que c’était précieux, secret, et qu’il ne fallait pas faire n’importe quoi avec.

Aussi ai-je été particulièrement surprise, lorsque pour mes 11 ans, je rejoignis l’école de magie la plus proche de chez moi (qui était à plusieurs heures de train). J’appris donc que les gens de mon « espèce », c’est-à-dire de sang-mêlé, étaient moins bien considérés que les autres car nous n’avions pas une lignée de sorciers purs. C’était évidemment pire pour les enfants nés-moldus.

Quelque chose se tortillait dans mes entrailles, me mettait mal à l’aise, dans cette façon de penser. Mais mes parents avaient dépensé toutes leurs économies pour que je puisse étudier ici, alors, je me devais de rentrer dans la marche. J’évitai simplement de lancer des insultes gratuites à l’encontre des autres, et restait avec les élèves les plus supportables de ma promotion, en attendant chaque année avec une impatience de plus en plus précoce l’arrivée de l’été.

Mes résultats étaient brillants, et loin de moi l’idée de me vanter en disant ça, mais c’est une précision nécessaire, car ils attirèrent bien vite l’œil intéressé du Ministère de la Magie. Lors de ma dernière année d’études, je reçus en parallèle un cursus fort particulier, afin de devenir occlumens. J’avais d’ores et déjà accepté l’offre de travail du Ministère, et si je n’avais pas idée de ce à quoi ils pouvaient bien me destiner, je me doutais que la formation d’occlumens était là pour me préparer.

Une fois mes études terminées, on me donna quelques semaines pour rassembler mes affaires et dire au revoir, ou plutôt adieu, à mes parents. Je mentirai en disant que cela a été facile, mais le regret n’a pas été de la partie, du moins pendant un moment.

Pendant plusieurs années, j’habitai à Kiev. Le Ministère de la Magie continuait à me former, et je comprenais peu à peu qu’ils faisaient de moi une arme discrète et efficace : un agent secret à leur service. Mon don nouvellement acquis d’occlumens était fort utile, et je n’étais pas mauvaise non plus lorsqu’il s’agissait des sortilèges et enchantements.

Ce travail impliquait des horaires erratiques : il m’arrivait de passer 24h sans dormir tant l’activité était intense, ou parfois une semaine sans qu’il n’arrive quoi que ce soit. Lors de mes temps libres, l’un de mes passe-temps préféré était le vol en balai. J’appréciai le Quidditch également, mais je n’étais pas toujours présente aux entraînements. J’assistai à une coupe du monde dans ma jeunesse, et je n’ai jamais vraiment cessé de voler.

C’était la seule liberté que j’avais.

Le Ministère cherchait toujours à restreindre mes contacts avec les moldus, car mes activités hautement secrètes auraient pu dévoiler notre existence. Néanmoins, je cherchais toujours à échapper à cette règle, ce qui me valut de nombreux ennuis à partir du moment où je commençai à fréquenter un homme de mon âge sans talent magique.

Au bout d’une longue bataille avec le Ministère pour le faire rentrer au sein du protocole, je parvins enfin à lui faire obtenir un statut spécial, et quelques mois après, j’accouchai de ma première fille, Yekaterina. Comme le voulait la tradition, elle prit le nom de son père en version féminine, Braginskaya. Nous n’étions pas mariés et ça n’était pas dans nos priorités.

Peu après la naissance de Katy, je reçus une promotion et le Ministère me fit muter à Moscou, et deux ans plus tard naissait mon fils, Ivan.

Les affaires politiques moldues et magiques étaient alors tendues et notre système s’effondrait lentement sur lui-même. Cela faisait des années que je pressentais venir la catastrophe. Le régime allait tomber, et je ne pouvais pas attendre que mes enfants en subissent les conséquences. Les missions se faisaient également de plus en plus rares, et l’argent de plus en plus absent.

Mon compagnon décéda six mois après la naissance de ma dernière fille, Natalya, d’une silicose terrible, car il travaillait à la mine pour subvenir à nos besoins en argent moldu. Il me fallut deux jours pour me raisonner, et je décidai alors que mes enfants devaient passer avant tout. J’avais entendu parler d’une école de magie britannique du nom de Poudlard, et en secret, j’envoyai un hibou à l’intention du directeur, afin de lui demander s’il ne pouvait pas pourvoir un poste pour moi et assurer l’éducation magique de mes enfants.

À ma grande surprise et à mon grand soulagement, il répondit par l’affirmative, et nous déménageâmes au Royaume-Uni juste à temps pour commencer la scolarité de Katy. « Déménager » est peut-être un terme un peu faible, car j’ai agi avec toutes mes années d’expérience derrière moi, pour ne laisser aucune trace. Je sais que le gouvernement me réclame, mais Romulus Vargas a été bon avec moi et m’a assuré une protection jusqu’à aujourd’hui.

Maintenant que le régime est tombé, nous n’avons plus rien à craindre. Je suis devenue professeure de vol. Pour la première fois de ma vie, je suis entièrement libre…
Pseudo : Sue
Âge : 19 ans
Sexe : Féminin
Comment avez-vous connu le forum : C'est mon DC bby blblblbl
Commentaire : La biatch slave is back.
Code du règlement : À envoyer par MP à un admin



Dernière édition par Svitlana Alkaev le Lun 17 Aoû - 17:19, édité 5 fois
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MessageSujet: Re: L'âme slave est la moins hypocrite qui soit. [Rus' de Kiev - Svitlana Alkaev) L'âme slave est la moins hypocrite qui soit. [Rus' de Kiev - Svitlana Alkaev) Icon_minitimeDim 16 Aoû - 23:01

L'AMORTENCIA PLZ

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L'âme slave est la moins hypocrite qui soit. [Rus' de Kiev - Svitlana Alkaev)

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