Nom : Edelstein Prénom : Roderich (sur ses papiers d'identités il en a un tas d'autres qu'il n'utilise jamais) Date de naissance : 26/10 Lieu de naissance : Innsbruck, Autriche Âge : 18 ans Année scolaire : 8ème Maison : Serdaigle Animal de compagnie : Wolfgang, le hibou grand duc Ascendance : Sang-pur Fratrie : Frère de Léopold, cousin de Gilbert et Ludwig, neveu d'Ulrich Motivation : Préfet en chef : Ayant une bonne compréhension des élèves et une certaine autorité, en plus de résultats exemplaires, Roderich était tout désigné pour le poste. Puis comme tou Don : Rien. Il a juste un swag incomparable.
Baguette : Orme - Licorne - 31cm - Fine et cassante
Patronus : Chamois Epouvantard : Le Basilic, qu'il a entrevu. Etant donné qu'il a vu une fille se faire tuer a coté de lui lorsque le grand serpent est sorti, il en garde un souvenir terrible. Reflet dans le miroir du Riséd : Un magnifique Bösendorfer (piano autrichien maggle) qu'il verrait bien chez lui ou dans la grande salle. Odeur de l'Amortentia : Papier journal, bois (ou les odeurs des chalets), café Votre personnage peut-il voir les Sombrals : Oui Matière préférée : Art et Musique magique Matière détestée : Vol sur Balai Options : Art et musiques magiques, Arithmancie et Etude des runes
Compréhensif
Rationaliste
Artiste
Jaloux
Sérieux
Austère
Bienveillant
Orgueilleux
Vif d'esprit
Gourmand
Ponctuel
Envahissant
Caractère : 00 : 00
La salle était vide. Les plus petits dormaient, les plus grands étaient sorti et il était seul sur la grande table de la tour. Il était devenu un élément du décors de cette salle, le préfet en chef. Son visage se complaisait dans une impassibilité dans sa solitude, qui pouvait se muer en une expression plus débonnaire aux contacts de certain. Non Roderich n'était pas impossible d'accès. Si il voulait donner l’impression d'être d'une sphère supérieure, il n'en était rien après tout. Il se considérait comme méritant un certain degré de respect, sans que ce soit excessif.
L'autrichien récupéra sa plume et un carnet, dans lequel il avait commencé à écrire, ces dernier jours, depuis le moment ou il avait pris la ferme résolution de ne plus se montrer davantage dans la grande salle. Résolution que maintenant, il briserait sans remords.
« En résumé, ces jours ont été pour moi autant de questions sans réponses et de troubles. Si dépression est un terme un peu fort pour désigner ma période de semi absence, il est sur que je fus hautement occupé à faire la part des choses dans ma vie. Maintenant je me retrouve, autant dans ce que je suis mentalement que physiquement, et peut être qu'il serait tant de faire un point sur cela.
Comme nombreux le savent, j'accorde au respect une certaine importance. Cela valant autant pour moi que pour les autres, j'estime, etant donné ma position qu'il y'a un minnimum d'efforts a fournir. Hors cela, je suis bien capable d'être quelqu'un d'agréable, cela pourrait surprendre plus d'un à quel point je puis être de bonne compagnie. Bien entendu cela n'exclu pas que s'attirer mes foudres reste une chose bien peu recommandable.
Je tiens à conserver un langage soigné et soutenu la plupart du temps. Bien entendu, les registres de langues ne sont pas quelque chose qui m'est étranger, au même titre que ce n'est pas parce que j'écoute davantage de musique classique que je n'aime que cela. Je comprendrais les conversations dans le langage le plus ordurier qui soit sans pour autant m'y mêler. Ce n'est pas nécessairement par éducation, c'est surtout par choix. J'ai tendance à considérer que la langue se déprécie, ainsi je contribue à ce qu'un usage le plus exhaustif possible en soit fait.
Mais je suis loin d'être infaillible à ce sujet, disons que je suis un dilettante de la langue, connaissant mieux toutes les aspérités de l'allemand que de l'anglais. Il est d'autres choses sur lesquelles je me montre exigeant, telles que la ponctualité et la propreté. Je dis bien la propreté et non l'organisation, moi même j'ai tendance à répandre mes affaires, prendre la place laissée libre. En tout cas il est toujours aberrant de voir que les gens sont constamment en retard lorsqu'il s'agit de réunions.
Pour parler de sujets moins austères je dirais que je suis très sensible à l'art. Toutes formes d'art. L'art moldu autant que l'art sorcier. Si je privilégie la musique, en tant que musicien, compositeur ou simplement auditeur, je suis également sensible a toutes formes d'arts graphiques et aux arts de la table (je dois dire que les pâtisseries sont mon « péché minon »). Je dessine moi même un peu, bien plus à but humoristique que réellement esthétique ceci dit.
Je m'interresse également à la littérature et a de nombreuses théories scientifiques. Si nous considérons que Freud était à la croisée du littéraire et du scientifique, il n'est point si aberrant que malgré des écrits quelque peu étonnant, j'adhère a nombreuses de ses thèses.
La panorama sur ma psyché est ici peu exhaustif, mais peut être qu'avec le temps et de l'introspection j'en apporterais les éléments manquants ... »
Physique : 01 : 25
Son pas régulier se fit entendre dans les escaliers menant aux dortoirs. Sous ses longs doigts fins était calé le petit carnet brun, insignifiant, qui contenait sa vie de ces derniers jours. Sans un mot pour le reste le chambrée, qui de toute façon était livrée à d'autres occupations, il s'assit sur le lit qui était sien et commença à se défaire de son ample cape ainsi que de sa cravate. Son corps était tout de longueur. Son visage était long et anguleux, tout ses membres s'harmonisant avec cela. Assis, il ouvrit le carnet en question, repris sa plume pour compléter de quelques lignes :
« Physiquement je ne suis pas qualifiable d'athlète. Ma carrure n'est pas des plus impressionnantes, bien que je sois de haute taille, je suis quelqu'un de globalement fin. Cela ne veut pas dire qu'il ne m'est possible d’effectuer aucun sport, au contraire, et beaucoup des mes camarades seraient impressionnés en me voyant sur des skis à n'en pas douter. Je n'ai pas d'aversion profonde pour le sport, quoi que je puisse en montrer.
J'aime cultiver cette image que l'on m'a attribuer, car il est tranquille de ne rien avoir à prouver. Cependant, il est vrai que le vol sur balai me reste impossible. Ce depuis ma plus tendre enfance, il m'est inconcevable de faire ne serais ce que le trajet le plus court sur un balai. Sans doute un blocage psychologique.
Hors cela, je peut être qualifié d'agréable au regard selon les critères européens, du moins à ce que j'en considère. J'ai une peau claire, sans éruption cutanées (je dois préciser ici que j'en prends grand soin), un corps, bien en proportions quoi que peu musclé, une taille avoisinant le mètre 80 (un peu plus, un peu moins, il fait un temps que je ne me suis pas mesuré). J'ai des yeux clairs, bleus pour être plus précis, cela étant évidemment un atout physique. Malgré tout je refuserais de recevoir pour ma personne des qualificatifs féminins, car cela ne fais pas de moi un être gracile (et D.ieu merci toutes les femmes ne sont pas des êtres gracile). Je pense surtout que c'est adhérer aveuglement à des idées non égalitaires que de commencer à faire mention de cela.
Du reste, j'ai les cheveux courts, dont je prends également grand soin, je n'ai aucun stigmate physique (bien que ces derniers temps il fut possible de me voir avec de disgracieuses cernes). Pour ce qui est de mon habillement il est généralement des plus simples, je porte l'uniformes sans fioritures, en toutes autres occasions je reste dans le sobre, tant que cela reste dans une certaine mode actuelle.
Mon « style » ne s’inscrit pas dans le passé. Alors certes il se trouve que généralement, j'aime à observer les choses datées, collectionner dans une moindre mesure ce qui n'est plus au goût du jour, mais malheureusement pour mes détracteurs, je ne vis pas un siècle en arrière. Ma façon de penser, de me vêtir et de comprendre mon entourage est des plus modernes. »
Histoire : 01 : 40
Puisqu'on en était à cette heure de la nuit ou la principale difficulté revient à trouver le sommeil, il se retournait dans son lit. Puis, méditant, il se repencha sur ce qui avait fait sa vie jusque la. Une vie qui avait généralement été bien droit, sans problèmes, sans perte de proches prématurées, sans toutes ces choses que sont le contexte historique par exemple. Du moins, si sa famille avait eu une légère implication (et avait été très disparate sur le sujet) au cours de la seconde guerre mondiale, il n'en subsistait aucune trace au sein du foyer.
La début de toute cette histoire était du à Christoph Edelstein. Un père respecté et aimé par son fils, au point que celui ci en était evenu un modèle de vie. On parle de complexe d'Oedipe, mais le fils Edelstein n'adhérait pas à cette hypothèse. En réalité, tout avait commencé à Mariatrost .
Christoph n' était qu'un jeune diplôme à l'époque, sa première pensée avait été de s'éloigner de la demeure familiale d'Innsbruck. Il avait en lui cette volonté d'émancipation des jeunes hommes insouciants, de découvrir le monde. Mariastrot était la ville avec la plus grande proportion de sorciers d'Autriche il était donc normal que quelqu'un ait le poste de faire en sorte que les modus ne voient rien de l'activité sorcière. Il était chargé de réguler cela et le faisait avec zèle. Théresia Beilchmidt, en vacances avec sa famille, venait pour la première fois visiter l'Autriche. Les deux se connurent rapidement, et l'histoire de leur amourettes fut rapidement rapportées aux familles respectives.
S'ensuivit ce qu'il s'ensuit dans toute belle histoire, les deux familles reconnurent chacun une autre famille de sang pur respectable de qui l'on pouvait espérer un beau mariage et ils se rangèrent chacun, appelé à vivre dans le grand manoir d'Innsbruck. Théresia n'était pas une très grande amatrice de montagnes contrairement à son mari, et cherchait toutes les excuses possibles, soit pour aller voir sa famille, soit pour se rendre dans la petite maison d'Opatija sur la cote adriatique, achetée à sa demande. C'est dans ce contexte familial que Roderich naquit. Il n'était pas un enfant brimé, quoi qu'on puisse en penser. Il jouissait de tout le confort matériel que l'on puisse avoir.
Bien entendu il était l’héritier, il l'avait rapidement compris, puisque enfant sérieux, on avait rapidement commencer à lui donner les cours que ses parents jugeaient élémentaires. Il connaissait peu les autres enfants d'Innsbruck, car le manoir en était quelque peu retranché. Le parc entourant la maison étant en pente, ils avaient un dahu. Lorsque Théresia était à la maison, la plupart du temps, c'était elle qui régentait tout, elle donnait des ordres à chacun et on s'écrasait devant elle.
Elle invitait sa famille dès qu'elle le pouvait, Swanhilde, Ulrich, leurs enfants, que Roderich connut donc très tôt. D'ailleurs il fut sans doute plus proche de Ludwig que de son propre frère par la suite, l'écart d'âge faisant tout. Théresia et Swanhilde étaient deux femmes habituées à avoir un certain pouvoir, entre les deux on sentait souvent une tension forte, que chacune communiqua à son fils. Theresia lui reprochait souvent de causer du mal à son frère, lorsque l'autre germanique n'était pas la et la posait souvent comme représentation de la femme la plus détestable du monde.
En tout cas, pendant que Roderich apprenait à profondément détester le vol sur balai et se rendre comme que le piano était une activité qui lui plaisait beaucoup, il avait beaucoup plus de rapport avec son père, un homme autoritaire et calme. Les deux avaient le goût de la montagne, de la musique, ils allaient parfois randonner chercher des edelweiss ensemble, bien que sa mère puisse considérer que ce n'était pas une activité digne d'un sang pur. Quand elle partait seule voir sa famille en tout cas, père et fils découvraient souvent ensemble plusieurs choses hors du monde sorcier, ils allèrent faire du ski ou autres.
Parfois, ce qui était généralement après la naissance de Léopold, ils allaient tous ensemble à la plage à Opatija, bien que Roderich ait un attrait très limité pour les plages, ils s'y plaisaient.
Globalement et hors des quelques nombreuses exigences parentales, son enfance fut heureuse. Son appel à Poudlard fut également une bonne surprise, surtout étant donné que dans les jours qui suivirent la lettre, ils se rendirent tous à Vienne pour acheter ce qu'il fallait au jeune sorcier. Vienne fut pour lui une source d’émerveillement constant. Il y était déjà passé auparavant, mais jamais aussi longtemps que la semaine ou il lui fallut prendre sa baguette, son hibou, quelques livres, etc...
Puis Poudlard, fut une grande découverte puisqu'il parlait peu anglais au début. En tout cas, le reste de sa scolarité fut tellement mouvementé que parfois, il serait possibe qu'il en regrette un peu ces temps de jeunesse.
Pseudo : Cro (ouais j'ai changé) Âge : La majorité Sexe : Comme ta maman Comment avez-vous connu le forum : J'ai cherché Commentaire : I M BACH BITCHES Code du règlement : Dispensée encore une fois
Invité
Invité
Sujet: Re: Guess who's Bach ? Lun 28 Mar - 1:06
Tu roxx du poney Roddy. <3 (Bref u know pour la fiche)
Les pensées suicidaires
Mon personnage Citation: “What you gave me was a reason. Not an excuse. Because there’s sex, making love and fucking. And then there’s you.”
Francis Bonnefoy
ϟ Nation représentée : France ϟ Parchemins : 1425
Sujet: Re: Guess who's Bach ? Lun 28 Mar - 1:08
Pfff.
*kick*
èWé
Celle qui n'a jamais joui
Mon personnage Citation: Le courageux n'est pas celui qui donne les coups, mais celui qui y résiste.
Accueil
Sujet: Guess who's Bach ? 
Lun 28 Mar - 0:56
