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Si tu me cherches pas, ça ira

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MessageSujet: Si tu me cherches pas, ça ira Si tu me cherches pas, ça ira Icon_minitimeDim 18 Jan - 8:25

Sion Eliraz
Israël




IDENTITÉ

❯ NOM :  Eliraz
❯ PRÉNOM :  Sion
❯ SEXE :  Féminin
❯ DATE DE NAISSANCE: 14/05
❯ LIEU DE NAISSANCE :  Ashkelon
❯ AGE :  14 ans
❯ ANNÉE SCOLAIRE :  4ème année
❯ MAISON :  Poufsouffle
❯ ANIMAL ÉVENTUEL :  Un petit chat de gouttière nommé Az
❯ ASCENDANCE : née-moldue


❯ BAGUETTE : Cèdre, crin de licorne, 24 cm, solide
❯ PATRONUS : Une panthère
❯ EPOUVANTARD : Des silhouettes hautes et sombres, de forme humaine mais sans visage, qui ne cessent de rire d'une façon cruelle en l'encerclant
❯ MATIÈRE PRÉFÉRÉE : Défense contre les forces du mal
❯ MATIÈRE DÉTESTÉE : Vol
❯ OPTIONS : Etude des runes, divination et soin aux créatures magiques




►FRATRIE (facultatif) : fille unique (lien à voir avec un éventuel Palestine)

►MOTIVATION (facultatif) : Non, pas vraiment.

►DON PARTICULIER : Aucun






Caractère
Laisse-moi tranquille...



Malgré sa petite taille, Sion n'est pas une personne très accessible. Peu sociable, elle a tendance à rester dans son coin, dardant sur les autres un regard boudeur, voir agacé si on s'approche un peu trop. Si vous la regardez avec trop d'insistance, vous risquez de recevoir LE regard, celui qui dit clairement "tu veux ma photo ou mon poing dans la gueule?". Lorsqu'on lui parle, son ton est souvent sarcastique, ou ennuyé. Et lorsque quelqu'un essaie de se rapprocher d'elle trop vite, elle devient rapidement suspicieuse et le repousse.

Sion est très fermée, elle ne peut pas s'empêcher de se méfier de tout le monde. Elle est très susceptible, accorde difficilement sa confiance, et lorsqu'elle le fait elle garde toujours une certaine réserve. Il faut beaucoup de patience et de persévérance pour briser cette carapace dure comme la pierre qu'elle s'est forgée au fil du temps.

Car oui, ce caractère désagréable n'est rien d'autre qu'une carapace. Derrière, se cache une fille avec un cœur grand comme ça et une morale aussi irréprochable qu'indestructible qui a dut longtemps supporter les brimades et l'isolement. Elle a un grand besoin d'amour que sa méfiance l'empêche d'assouvir.

Derrière son masque d'indifférence, Sion est une âme attentive à ce qui l'entoure et à la souffrance d'autrui. Elle est très compatissante, même si la plus grande consolation que l'on peut obtenir d'elle ne va pas plus loin qu'une légère étreinte en privé ou qu'un frottement de la main dans le dos. En revanche, si vous êtes à l'origine d'une injustice, il vaudra mieux l'éviter. Sion ne supporte pas de voir la moindre bassesse.

Préparez-vous à courir car cette petite teigneuse ne vous lâchera pas avant d'avoir exprimé le fond de sa pensée de façon crue et honnête. Les grosses vulgarités sont assez rares chez elle, mais ça n'empêche pas ses mots de frapper là où ça fait mal. Elle n'en viendra pas aux poings par elle-même mais si vous l'ennuyez trop elle peut très bien se défendre. Malgré sa taille, elle est souple, agile et sait où frapper.

Elle est assez studieuse, dans la moyenne, bien qu'elle ait une préférence marquée pour le cours de défense contre les forces du mal. Elle apprécie l'histoire de la magie et l'étude des runes car elle éprouve une sorte de fascination pour le passé. Elle apprécie également la divination pour le caractère un peu mystique de la discipline et le soin aux créatures magiques. En revanche, s'il y a un cours qu'elle n'a jamais supporté, c'est bien le cours de vol. Sion n'est simplement pas capable de tenir sur un balai. Elle est terrorisée par la hauteur.

Sion est juive et pratiquante. Elle suit assidûment la Loi juive et a fait sa Bat Mitzva il y a deux ans, pendant les vacances d'été, bien que la tradition voulait qu'elle la fasse le jour même de ses douze ans. Malgré une foi ferme, elle n'en est pas moins tolérante avec ceux qui ne partagent pas ses convictions, même si elle peut se montrer méprisante lorsqu'on commence à parler religion, c'est pourquoi elle préfère éviter le sujet. Elle est aussi facilement exaspérée par les clichés sur les juifs. Attention lorsque vous faites de l'humour!


Physique
Tu sais ce qu'elle te dit, la naine?


Sion a toujours été petite pour son âge. A treize ans, bientôt quatorze et déjà réglée, elle ne fait qu'un mètre quarante cinq pour trente-sept kilos. Ses membres sont assez osseux, même si un peu de muscle recouvre ses os solides. Son visage, en revanche, a conservé quelques rondeurs de l'enfance, lui donnant une allure de gamine boudeuse.

Attention, cependant! Ce n'est pas parce que Sion est grande comme trois pommes et épaisse comme une tige de bambou qu'il faut la prendre de haut. Elle a appris à se battre depuis longtemps et sait utiliser à son avantage sa silhouette menue. Vous avez déjà réussi à attraper un écureuil? Eh bien elle, c'est pareil. Malgré son jeune âge, elle cours vite, elle se glisse partout et elle mord là où elle peut. Bon, pas littéralement mais vous avez sûrement compris.

Elle a une peau bronzée à cause du soleil du proche-orient mais a tendance à s'éclaircir maintenant qu'elle étudie au royaume-uni. Ses cheveux bruns foncés et légèrement bouclés sont souvent lâchés dans son dos et lui arrivent à la taille. Ses yeux d'un vert profond sont deux acteurs de talents lorsqu'il s'agit de jouer l'ennui ou l'indifférence. C'est une fille jolie. Pas réellement belle mais jolie.

Elle n'est pas vraiment du genre à faire attention à ce qu'elle porte et peut manquer de féminité. Son corps mince et sa poitrine peu développée, elle ne cherche ni à les cacher ni à les montrer. Son seul ornement est présent en permanence sous la forme d'une étoile de David argentée accrochée sur une chaîne autour de son cou. Elle se demande néanmoins si elle se percera les oreilles un jours.






Histoire
T'es si curieux que ça? Bon, t'as de la veine, je suis de bonne humeur.


Le 14 Mai 1976. Il ne s'est rien passé, ce jour-là. C'était un jour incroyablement ordinaire. On ne fêtait le centenaire d'aucun obscur événement historique, à part peut-être pour les profs d'histoires un peu dépressifs qui essayaient d'enthousiasmer leurs élèves en leur apprenant que c'était le jour du couronnement de Louis XIII ET de Louis XIV. Deux Louis successifs couronnés à la même date, si c'est pas cool ça? Ah, et puis, ici, on fêtait la journée de l'indépendance. Ici, c'est-à-dire, chez moi, à Ashkelon. En Israël.

Le 14 Mai, c'est le jour où je suis née. Ma mère travaillait depuis le matin pour me faire sortir de là. Sûrement qu'elle devait en avoir franchement marre, j'avais presque une semaine de retard sur le rendez-vous. J'ai fini par pousser mon premier cris après une lutte acharnée de plusieurs heures. On m'a raconté que, lorsque la sage-femme m'a mise dans les bras de ma mère, je ne tenais pas en place, je criais beaucoup et je gigotais dans tous les sens, en donnant des petits coups de poings et de pieds dans les airs, comme si j'essayais d'attraper des fantômes. J'étais un beau bébé, en pleine forme. La sage-femme a dit que je porterai chance à mes parents puisque j'étais née un jour de fête. Je me demande si elle disait ça à toutes les mères qui accouchaient ce jour-là.

A l'origine, mes parents voulaient un garçon. C'était quelque chose qu'ils voulaient depuis toujours alors ils ont prié pour que j'en sois un, de toutes leurs forces. Pas de bol, l'Adonaï a sûrement jugé bon de leur rappeler qu'il n'était pas un génie dont on frotte la lampe à tout va pour obtenir un vœu. Lorsqu'ils se sont rendu compte que je n'avais pas exactement la morphologie qu'ils attendaient, ils ont été un peu embêtés. Au final, ils m'ont donné le nom qu'ils auraient voulu donner à leur fils : "Sion". Je ne m'en plains pas, ce prénom me va bien, je trouve.

J'étais une enfant très agitée, je jouais beaucoup et je m'ennuyais facilement. J'avais beaucoup d'amis en maternelle, j'étais très sociable et, d'après ma mère, j'étais comme la petite psy de ma bande. Mes amis me racontaient tous leurs secrets, et j'en faisait autant. J'étais très ouverte. Mais ça n'a pas duré. Mon corps a grandi très lentement, j'ai eu un retard de croissance vers cinq ans, je crois. Il s'est à peu près corrigé mais j'ai toujours été plus petite que les enfants de mon âge. On me surnommait "la naine" dans la cour de récréation, au tout début de la primaire. C'était la première fois qu'on se moquait de moi de façon régulière. Au début, je ne ripostait pas beaucoup, au pire, je leur demandais d'arrêter de m'appeler comme ça parce qu'on dirait pas mais, au bout de la cinquantième fois, ce surnom court un peu sur le haricot.

Ils n'ont pas arrêté. Ils trouvaient visiblement ça très amusant de se moquer de ma taille jusqu'à ce que je me mette à bouder. Très vite, tous mes amis se sont mis à participer à ce petit jeu. Alors je les boudait aussi, et rapidement ils ne furent plus mes amis.

Les surnoms évoluèrent, de plus en plus imaginatifs, sublimant le moindre de mes défauts. "Araignée noire" à cause de mes cheveux en bataille. "Sac d'os" à cause de mes bras de squelette. "Gros pif", le jour où une abeille m'avait piqué le nez, m’offrant un visage digne d'une foire aux monstres. "Truie", le jour où je suis allée récupérer une pièce tombée dans les ordures. J'en passe et des meilleures. Pour finir avec "sorcière", la fois où les enfants qui me poursuivaient de leurs insultes sont tous tombés à la renverse à cause de mauvaises herbes qui, selon eux, avaient essayé de manger leurs chaussures. Bizarrement, c'est le surnom qui m'a blessée le plus.

Les insultes se sont muées en bagarres. J'ai arrêté d'être joyeuse et agitée. J'avais le sentiment d'être haïe, et je les haïssais en retour. Simple justice, je pense. Je me suis retrouvée très seule. Mes parents étaient là mais, pour me sentir bien à l'école, j'avais besoin d'amis, pas de parents. Comme pour me venger, je faisais exprès d'avoir de bonnes notes, ce qui les rendait jaloux et attisait encore la haine des deux côtés. Je me suis mise à savoir répondre aux insultes, à savoir rendre les coups qu'on me donnait, à savoir courir vite et loin, à savoir quels endroits éviter.

L'hiver précédent mes onze ans, j'ai croisé un groupe de mômes dans la rue. Ils avaient des bâtons avec lesquels ils agaçaient un chaton sale et rachitique, abandonné dans un carton sur le trottoir. Il avait à peine la force de remuer ses pattes pour contrer les morceaux de bois avec lesquels ces stupides gosses lui piquaient les flancs. Quand j'ai vu ce spectacle, je me suis arrêtée. Je me suis avancée en silence au milieu du groupe, en leur donnant des coups de coude pour qu'ils me laissent passer. Je leur ai fais face. Ils étaient tous plus jeunes mais faisaient ma taille. Le plus grand s'est approché avec un sourire débile, un bâton en avant, comme s'il voulait me proposer de participer aux réjouissances. J'ai pris le bâton et je lui ai donné un coup sur le crâne avec. Il s'est mis à crier et deux ou trois de ses copains ont voulu me donner le rôle du punching-ball pendant que les autres s'enfuyaient, ces lâches. Je me défend bien avec mes poings, mais ils étaient trois contre moi. Quatre avec le grand qui chouinait. Alors je me suis défendue mais ils m'ont quand même amochée, ce jour-là. Enfin, j'ai quand même rendu deux bons yeux au beurre noir et j'ai griffé le plus petit jusqu'au sang. Le plus grand boitait en partant.

Ils ont fini par partir parce que la pluie s'était mise à tomber. Je me suis relevée, j'ai essuyé le sang que j'avais sur les lèvres et j'ai regardé derrière moi. Le chaton me regardait, comme si il s'inquiétait. Lui aussi avait du sang sur la fourrure. Les pointes lui avaient percé la peau et il grelottait sous la pluie froide. Je l'ai regardé quelques secondes. Puis je l'ai pris dans mes bras, je l'ai calé sous ma veste et j'ai couru jusqu'à chez moi.

Mes parents m'ont punie pour m'être battue mais j'ai eu le droit de garder le chaton. Je l'ai appelé Az. Il était si mal en point que j'ai bien cru qu'il allait mourir. Surtout que ses blessures s'étaient infectées. Mais, au bout de deux jours, il était sur pied et miaulais dans toute la maison. A partir de ce jour, je me suis mise à sourire de nouveau pour quelqu'un d'autre que pour mes parents.

Et puis, l'été qui a suivi, j'ai reçu une lettre. J'ai cru qu'on se moquait de moi alors je l'ai jeté sans la lire en entier. Mais j'en ai reçu une autre, identique, puis une autre lorsque je l'ai jetée à nouveau, et j'ai fini par la lire sérieusement. Et là j'ai eu ce qu'on appelle un choc.

Je n'ai pas voulu le croire. D'abord. Puis je me suis souvenu de toutes ces étranges coïncidences qui s'étaient produite auparavant. La façon dont je m'en était toujours sortie lorsque je fuyais et que mes poursuivants étaient aux prises avec des plantes ou des insectes. Ou encore quand Az avait guéri si vite. Mais, même si je n'arrivais pas à me mentir, je ne voulais pas être une sorcière.

Le soir où j'ai lu cette lettre, je me suis couchée sans manger et et j'ai pleuré toutes les larmes de mon corps. Un passage de la Torah dit "La sorcière, tu ne la laisseras point vivre." Est-ce que cela voulait dire que je devais me suicider? Az est resté collé à moi pendant que je pleurais et a ronronné si fort que j'ai fini par le prendre dans mes bras pour le serrer contre mon cœur.

Puis ma mère est entrée, inquiète. Je ne l'ai pas entendue arriver et elle a vu la lettre qui traînait au pied de mon lit. Elle l'a lu, l'a retournée dans tous les sens, a examiner l'encre et le papier. Entre temps je m'étais aperçue qu'elle était là et j'ai fait de mon mieux pour disparaître dans les plis de mes draps. Mais elle n'a pas parut en colère, ou triste. Elle m'a sourit, avec un de ses petits sourires simples et tendres qui font tout chaud dans la poitrine.

Elle m'a raconté que son cousin avait reçu une lettre identique, lorsqu'elle était petite. Je lui ai demandé de quel cousin elle parlait. Elle ne m'en avait jamais parlé. Sa famille toute entière l'avait rayé de leurs esprits. Parce que, comme moi, il était sorcier et qu'ils en avaient peur. Mais elle, elle avait toujours été très proche de ce cousin et savait qu'il n'avait pas choisi de pouvoir faire de la magie. Elle savait qu'il s'était débrouillé pour réussir et qu'il vivait quelque part, au royaume-uni, non-loin de cette école. Poudlard.

Elle m'a parlé toute la nuit. Je n'avait jamais autant discuté avec ma mère, étant plutôt quelqu'un de secret depuis longtemps. Elle m'a dit qu'y aller serait une bonne chose pour moi. Que j'y verrai sûrement des choses merveilleuses et que je me ferai des amis (j'ai eu un petit sourire en coin à ce moment. Comme si j'étais capable de me faire des amis). Que si j'avais ces pouvoirs de sorcière, il devait bien y avoir une raison, et que je ne pouvais pas faire un affront à Elohim en refusant ce don qu'il m'avait octroyée. Tous ce temps-là, Az ronronnait comme un fou sur mes genoux.

Je me suis laissée convaincre.

Nous n'avons rien dit à mon père. Nous lui avons seulement dit que j'allais étudier à Londre, que j'avais été acceptée dans un collège privé bien côté et que c'était une vraie chance. Il a accepté. Un peu plus tard, je suis partie en avion avec Az et je suis allée vivre chez cet oncle dont je ne savait rien.

Il était sympathique mais sans plus. Il m'a payé mes fournitures scolaires et m'a hébergée jusqu'au jour du départ. Je n'ai pas réussi à avoir une vraie conversation avec lui, je n'arrivais pas à lui parler. Je prenais légèrement conscience d'à quel point ces années de brimade avaient détruit ma capacité à communiquer avec les gens.

Au moment de la cérémonie du choixpeau, j'ai bien cru qu'il ne se déciderait jamais. Il a parlé de m'envoyer à Serpentard mais hésitait. Je n'aimait pas ce nom, je n'aime pas les serpents. Ils ont l'air perfides. Au final, il m'a envoyée à Poufsouffle et je me suis sentie mieux. C'est une maison pleine d'imbéciles heureux, mais j'aime bien être là, ça me change. Mais ce n'est pas pour autant que mon comportement a changé.

La première année fut agréable. La seconde aussi. Tout comme le début de la troisième. Ma mère avait raison, Poudlard est bien un endroit enchanteur, c'est le moins que l'on puisse dire. Je n'ai pas de vrais amis, seulement des connaissances qui me parlent de temps en temps. Mais c'est mieux que rien. Et j'ai Az, qui me soutient en ronronnant contre moi, le soir. J'ai découvert que j'aimais prendre soin des animaux et étudier les vieilles formules magiques. J'ai découvert que j'aimais la magie, même si j'ai longtemps cru que c'était une chose impie. Je n'ai jamais autant eu la foi.

Je ne regrette pas de ne pas m'être suicidée.





❯ PSEUDO : Tori-chan
❯ AGE : 18 ans
❯ SEXE : Féminin
❯ COMMENT AS-TU CONNU LE FORUM ? J'arrive de Hetalia Steam World. Je fais pas Romano finalement mais c'est pas plus mal après tout.
❯ NIVEAU RP : bon, j'ose espérer (mais j'ai besoin d'aide pour le codage)

Au fait, j'aimerai précisé que ce personnage est largement inspirée de la OC!Israël d'Emimix3. Je pense qu'il faut rendre à Caesar, ce qui revient à Caesar.

Le code du règlement est à envoyer aux admins une fois la fiche terminée


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MessageSujet: Re: Si tu me cherches pas, ça ira Si tu me cherches pas, ça ira Icon_minitimeDim 25 Jan - 2:48

Bon bah, bienvenue donc.
Ta fiche est bonne :3 J'ai bien reçu le code !
Tu as bien rempli ton profil et ta fiche de personnage !

Tu peux maintenant être validé ♥ Bon jeu !
(et on a hâte de voir ton avatar définitif ;) )
Personnel
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Romulus Vargas

Mon personnage
Citation: Si vis pacem, para bellum
Romulus Vargas
Si tu me cherches pas, ça ira Tumblr_o96iadVfsG1si0ebuo7_540

ϟ Nation représentée : Rome Antique
ϟ Parchemins : 424
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Si tu me cherches pas, ça ira

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