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« Suck my vowels »

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MessageSujet: « Suck my vowels » « Suck my vowels » Icon_minitimeSam 30 Avr - 16:47

THOMASSEN Lukas
Norvège
Nom : Thomassen
Prénom : Lukas
Date de naissance : 17.05
Lieu de naissance : Trondheim, Norvège
Âge : 17 ans
Année scolaire : 6ème année
Maison : Serpentard
Animal de compagnie : Une sale teigne, euh pardon un chat norvégien blanc répondant au doux nom de Kjeks.
Ascendance : Sang-mêlé
Fratrie : Fils adoptif d'Oswald, frère adoptif de Matthias et Berwald, frère de sang d'Andrés.
Motivation : Ça va pas non ? Il ne prendrait pas le risque de salir ses ongles ou d'abîmer son joli nez, enfin.
Don : Perfection. Ah, c'est pas un don...?

Baguette : Bois de Sapin, Crins de Licorne, 22 cm, fine et rigide.
Patronus : Un Cerf Elaphe, Hjort pour les intimes.
Epouvantard : Il est au milieu des personnes qu'il aime, mais personne ne le voit ou l'entend.
Reflet dans le miroir du Riséd : Il est l'heureux papa de trois joyeux bambins, et est un sorcier reconnu.
Odeur de l'Amortentia : Le bois brûlé, la forêt après la pluie et une odeur sucrée qu'il ne définit pas.
Votre personnage peut-il voir les Sombrals : Oui
Matière préférée : Potions et Etudes des Runes
Matière détestée : Vol
Options : Etudes des Runes, Divination
Intelligent
Hautain
Rusé
Indélicat
Loyal
Vaniteux
Sincère
Manipulateur
Attentif
Égocentrique
Protecteur
Mesquin
Caractère :

Voilà un bien odieux personnage, pensez-vous.

Car Lukas a un don pour regarder les gens de travers. Il a des à priori, et si sa froideur naturelle a été quelque peu calmée par sa fratrie comptant deux gros niais en chef, il ne reste pas moins le genre de personne qu’on voit comme intouchable. C’est qu’il prend les gens de haut, le bougre, persuadé d’être meilleur que tout le monde, de toute façon. La vanité lui colle à la peau, et il ne s’en cache pas. Alors c’est vrai, il juge vite. S’il ne connait pas, il sera froid, hautain, à la limite de l’insupportable. Comme de toute façon il cache ses émotions la plupart du temps, il parait bien vite détestable, ce qui lui sied puisque n’étant pas un master socialisation, il se fiche bien d’être entouré ou pas. Un cœur de glace, très certainement, ou pas.

Lukas n’est pas un insensible. Au contraire. C’est une boule de sentiments, plus ou moins contradictoires, qu’il retient en lui pour ne rien laisser paraitre. C’est sûrement pour ça qu’il a l’air plus froid qu’il ne l’est réellement. Il détient ce qu’on appelle l’amour, oui oui, ça existe derrière cet air suffisant et son ton limite moqueur à chaque fois qu’il daigne ouvrir la bouche. Il a des proches, il les porte dans son cœur, derrière la carapace de glace. Il n’est juste simplement pas démonstratif, et il préfère des gestes discrets et lourds de sens plutôt que des gros câlins à tout va, n’en déplaise au Danois (rekt).

Il est doté d’une patience plus ou moins conséquente et dépendant des personnes. Vous verrez bien vite que de toute façon, son comportement dépendra toujours ou presque de ses interlocuteurs. Aussi son seuil de patience peut varier entre 0 et 100, 0 pour Matthias, 100 pour Andrés, variable selon l’humeur et le temps qu’il fait ainsi que la température et le taux d’humidité de l’air. Qu’il perde patience ou non, les réactions de Lukas ne sont jamais expansives, et il faut vraiment y aller ou toucher un point bien sensible pour le faire sortir de ses gonds. De par sa carapace gelée quotidienne, il est quasiment impossible de le voir sourire, rire ou pleurer. Son visage neutre est un avantage qu’il utilise de bien des façons.

Car Lukas est un charmeur. Il ne profite pas seulement de son physique avantageux, mais aussi de son intelligence et sa culture qui lui permettent de se jouer d’à peu près qui il veut. S’il aime taquiner et agacer ses frères de façon permanente, il peut vraiment devenir méchant avec d’autres, non pas qu’il soit foncièrement mauvais, je dirais même qu’il est plutôt profondément gentil, mais il veut réussir, et voyez-vous, monsieur ne reculera jamais devant quoi que ce soit pour obtenir ce qu’il veut. Il le vaut bien. Il le sait.

Ambitieux oui, beaucoup, mais pour revenir sur sa gentillesse cachée, parce que notre damoiseau, il me plaît à croire, ne possède pas que des défauts. Quand il aime quelqu’un, il l’aime pour de bon. Et s’il ne le montre pas, ne le dit pas, parait même exécrable avec certains, il n’acceptera jamais qu’on puisse faire du mal à ses proches, ou se jouer d’eux, même dans le plus minime des buts. Il les insulte, oui, mais lui, il a le droit. Toi, t’es qui, pour oser dire du mal de ses frères ou de son père ? Personne. Pour Lukas, tu n’es personne, et tu seras toujours personne, à moins que tu ne réussisses à gagner sa confiance, et alors là, chapeau.

Parce que pour avoir la confiance de notre Norvégien, il faut s’armer de patience, d’un bon faciès, et surtout, ne pas être un gros lourd insupportable, parce que la place est déjà prise par son aîné et qu’il n’a pas le cœur à en supporter un deuxième de toute façon. Lukas est difficile, parce qu’il a été habitué à dédaigner les autres quand il était petit, et il est compliqué pour lui de considérer les autres comme égaux à lui-même, qui se voit au-dessus de tout, pour ne pas dire qu’il se place sur un piédestal de son propre chef. Je vous raconte pas l’état de ses chevilles. Mais réussissez à vous frayer un petit chemin dans son cœur, et il vous adorera plus que de raison. Encore une fois, ce ne sera certainement pas évident, mais s’il menace quelqu’un qui vous ennuie à coups de baguette, c’est que vous êtes important à ses yeux, et ça n’a clairement pas de prix.

Il parle peu, il parle bien. Sans transition, comme ça. Limite muet, il n’ouvre la bouche que pour lancer des piques ou réconforter. Il préfère écouter que parler, et il n’a jamais gâché sa salive. Il est une bonne épaule pour pleurer, à défaut de pleurer lui-même. C’est un ange, juste un peu déchu. Un sale troll, agaçant, et agacé. Il crache son venin tout en chérissant ceux qui lui sont chers. C’est un ambitieux, têtu, travailleur, mesquin, rusé, sans aucun tact, du genre à te balancer tes quatre vérités sans demander son reste. C’est un homme, blessé, mais qui se relève toujours parce qu’il est hors de question que qui que ce soit le voit à terre. C’est un ami précieux. Il faut prendre la peine de gratter la glace ou, plus efficacement, la faire fondre.
Physique :

Lukas est beau.

Clair, net, précis, c’est posé, c’est fait. C’est qu’il a hérité des traits délicats de la belle Helga, sa mère. Son visage est fin, comme tous les éléments qui le composent. Un nez long, droit, une de ses fiertés. Des yeux bleus foncés, qui ont l’air de sonder l’âme de ceux qu’ils croisent, ce regard méprisant dont il est maître. De longs cils blonds, tout comme ses sourcils, aussi fins que le reste. Ses lèvres sont d’un rose très pâle, en accord avec le reste de sa peau, d’une blancheur immaculée, pure. Seule une teinte rouge vient tacher ses joues quand il fait froid, ou chaud, ou pour d’autres raisons qu’il se gardera d’avouer.

Ses cheveux sont d’un blond platine. Il prend un soin tout particulier à les coiffer. Ils sont plutôt ondulés, aussi Lukas préfère-t-il prendre son temps pour les arranger comme il le veut, bien souvent sur le côté gauche de son visage, rangeant les quelques mèches rebelles à l’aide d’une barrette en argent, dont il ne se sépare quasiment jamais. Ce qui le rend un peu plus féminin qu’il ne l’est vraiment, il faut l’avouer, mais cet accessoire est à la fois une coquetterie et un procédé bien pratique pour ne pas avoir les cheveux dans les yeux. De toute façon, il est inutile de se moquer de lui, les remarques glissent sur lui comme du beurre sur une plaque en métal. Voilà, j’ai casé le beurre, maintenant on n’en parle plus, merci.

Lukas n’a pas une carrure imposante, malgré sa taille honorable, il passe assez facilement pour pas très grand aux côtés de ses asperges de frères. Il est mince et entretient toutefois sa musculature. Il aime courir, par exemple, et il n’est pas rare de le voir faire des tours de château pour garder la forme et bien se réveiller. Si on détaille son anatomie, on remarquera ses grandes mains, fines et délicates, mais fermes quand il le faut, et ça ne fait jamais du bien de se prendre un poing dans la figure de sa part, même s’il préfère jeter des mauvais sorts que de se salir les mains.

Très propre sur lui-même, on pourrait en venir à penser qu’il est maniéré, et ses attitudes approchent parfois celles des petites précieuses, à ne pas vouloir mettre les mains dans la saleté ou à se sentir mal si l’un de ses vêtements a le malheur d’être taché. Ses vêtements, parlons-en. Toujours bien mis, impeccables. Il fait toujours attention à son uniforme, effectuant son nœud de cravate d’une main de maître, lui valant parfois un air de premier de la classe, chemise boutonnée jusqu’en haut, robe de sorcier sans aucun pli et pull bien lissé sur le pantalon. Ne lui déplaise.
Histoire :

Au risque de paraître cliché à la première ligne de l’histoire, il neigeait le jour où Lukas est né. Cela n’était pas rare, bien que le mois de mai fût déjà bien entamé, qu’il neige au Nord de la Norvège à cette période de l’année. Trondheim était en fête ce jour-là, certainement pas pour les pleurs du nouveau-né, mais parce que ses habitants célébraient le 17 mai, comme partout en Norvège. Il y avait des défilés dans la rue, des drapeaux du pays accrochés à tous les bâtiments, même aux voitures. Les gens riaient, buvaient, dansaient dans leurs costumes traditionnels. C’était la plus grande fiesta en Norvège, la plus attendue, celle qui rendait heureux chaque Norvégien pure souche. Ce qu’ils ne faisaient pas pour revendiquer leurs couleurs, leur indépendance, leur identité nationale qui grandissait sans cesse. Ah oui, le 17 mai, c’était quelque chose.

Helga, elle, ne festoyait pas. Elle tournait de l’œil pour la troisième fois depuis l’accouchement, et Jan, l’heureux papa, dû une nouvelle fois prendre son petit garçon dans les bras, laissant la mère se reposer. La tâche n’avait pas été facile, madame Thomassen avait perdu beaucoup trop de sang, mais elle avait été sauvée de justesse. Le père du petit Lukas n’avait jamais eu aussi peur de sa vie lorsque les médecins admirent qu’il serait difficile de la garder en vie. Aussi, la voir endormie, entendant sa douce respiration et sentant la paume de sa main chaude n’avait jamais fait autant plaisir à son mari, qui était fou d’elle.

Quand elle fût totalement rétablie, la petite famille pu rentrer dans son foyer. Les Thomassen étaient des parents aimants, et Lukas un petit garçon en bonne santé, joufflu et gourmand, parfois trop, si bien qu’il avait vite mal au ventre à ne pas savoir s’arrêter, et sa mère dû le bercer de longues heures avant qu’il puisse s’endormir. Elle lui chantait des berceuses dont il a aujourd’hui de vagues souvenirs, bien qu’il n’ait en mémoire aucune image de famille heureuse et épanouie. Il ne se souvient pas non plus de la naissance de son petit frère, un an après, qui se passa bien mieux que la sienne, puisqu’Helga resta consciente tout le long et qu’il n’y eut aucune complication. Il était bien trop jeune pour se souvenir du bambin qu’il allait pourtant adorer par la suite.

Son petit frère, c’était un peu comme son rayon de soleil quotidien. Ils jouaient toujours ensemble, et Lukas aimait prendre la position du grand frère protecteur, et gare aux fesses à celui qui voudrait embêter Andrés. Il devenait difficile pour lui d’être séparé de lui, et même s’ils avaient le luxe d’avoir une chambre chacun, il n’était pas rare de les retrouver au petit matin endormis l’un contre l’autre, dans un fort de coussins et de couvertures, cachés sous les nombreuses peluches de la fratrie. Ce qu’Andrés savait et que les parents ignoraient, c’est que l’aîné avait développé un don curieux. Il arrivait à déplacer les choses, à les faire léviter. C’est comme ça qu’ils réussissaient à faire des cachettes pour rire, attraper les cookies que mamma cachait en hauteur, ou encore faire voler les peluches dans la pièce. Cela renforçait leur complicité.

Bien sûr, il gardait ça bien pour lui et avait fait promettre à son cadet de ne pas en parler aux parents. Il n’avait encore jamais vu personne faire ça, et il avait peur de se faire réprimander s’ils savaient qu’il s’amusait à créer des courants d’air dans la chambre pour faire voler les rideaux. Tout bascula le jour où Jan, pêcheur de son métier, avait accepté d’embarquer ses garçons sur son bateau pour les emmener au large. Il confia à Lukas la responsabilité de surveiller son petit frère ce qui, du haut de ses six ans, l’empli de fierté. Bien évidemment, il lui avait dit d’un ton plaisantin, amusé de voir le plus grand si protecteur envers le plus jeune, et s’était attelé à ses filets, surveillant lui-même du coin de l’œil ses deux enfants.

Mais ça s’était passé bien trop vite. Un moment d’inattention, une sirène des fjords vorace, un ensorcellement, et voilà qu’Andrés sauta à l’eau sans demander son reste, attiré par l'envoûtement de l’hideuse créature. Lukas hurla, voulu sauter à la mer pour aider son frère sans réfléchir davantage, mais le paternel le tira en arrière et plongea à sa place, dégainant sa baguette pour faire lâcher le monstre. Le petit Norvégien resta hébété devant le spectacle de son père, trempé, qui appuya à plusieurs reprises sur le torse minuscule de son petit frère pour lui faire recracher l’eau. Il ne put bouger que lorsque son cadet se mit à tousser, montrant ainsi le premier signe de vie depuis son saut dans les profondeurs. Si aujourd’hui Lukas se souvient nettement de quelque chose, c’est bien de la peur qu’il ressentit ce jour-là. Quelque chose qu’il ne voudrait jamais, au grand jamais revivre.

Cet événement annonça une longue série de tragédies presque caricaturales d’un mauvais drame. Helga, qui ignorait la nature magique de son mari, ne put supporter ce qui venait de se passer. Lorsque Lukas balbutia qu’il pouvait lui aussi faire ce genre de choses, dans le but de convaincre sa mère de rester, le résultat n’en fut qu’empiré. Elle prit le plus jeune contre elle, son petit garçon, celui qui ne l’avait pas blessée à la naissance, celui qui n’était pas dangereux, qui ne faisait pas de choses bizarres, qui était le plus adorable petit garçon du monde, son fils, son préféré, persuadée que le plus vieux n’était qu’un monstre comme son mari. Elle partit sans demander son reste, et le divorce suivi peu de temps après. Lukas était perdu. On lui avait arraché son soleil, sa mère qu’il aimait tant et qui venait de le renier purement et simplement, et son père sombra dans l’alcool et la tristesse.

Regardant son père déchanter lentement mais sûrement, il comprit qu’il allait vite devoir se débrouiller seul. C’était un enfant très intelligent, et il apprit rapidement à se faire à manger, aller à l’école tout seul, et surtout développer sa magie, bien qu’il ne fût pas particulièrement doué pour lancer des sorts. Il ne savait pas comment faire, et son père était bien souvent trop ivre pour lui apprendre quoi que ce soit. C’est ainsi que, un peu malgré lui, l’enfant gagna vite en maturité et se détacha de ses camarades. Il ne voulait pas être ami avec eux, ils lui paraissaient stupides, ignorants, affreusement gamins. Et surtout, la plupart lui rappelaient son petit frère si joyeux, et ça ne l’amusait pas du tout. Ça lui serrait le cœur.

Jan Thomassen mourut pendant l’été. Il faisait bon, et le ciel était dépourvu de nuages. Lukas resta stoïque face à son père qui crachait ses poumons. Il vomit plusieurs fois. Le fils nettoya. Il délirait, appelait Helga. Il jurait. Il buvait. Et puis, plus rien. Le vide. Il fût enterré quelques jours plus tard et le petit blondin fût expédié en orphelinat, ni une ni deux. L’enfant ne pleura pas. Il ne dit jamais rien. Il ne sourit pas. Il se fondait dans la masse de ces enfants qu’il dédaignait. Il aurait dû souffler ses huit bougies cette année-là. Mais on n’a pas toujours le luxe d’avoir un gros gâteau fait par mamma, surtout si on a pas de mamma, comme 100% des gamins présents, puisque c’est en fait le principe d’un orphelinat.

Lukas s’habitua à la vie dans cette chambre partagée avec trois autres garçons. Il y avait Nils, le plus jeune, un peu bizarre, il louchait. Markus et Kris étaient turbulents, et notre jeune Norvégien les méprisait au plus haut point. Il devenait hautain, et surtout, de plus en plus renfermé. Il les ignorait purement et simplement. Tout ce qu’il attendait, c’était sa majorité, pour pouvoir sortir d’ici et commencer, enfin, à avoir une vie normale. Mais sa vraie vie commença bien plus tôt qu’il ne pensait.

Il y avait cet homme. Il était impressionnant. Grand, avec une barbe et des yeux perçants. Il avait l’air froid. Comme lui. Certains enfants étaient effrayés à sa venue, mais lui, il resta de glace. C’est peut-être pour ça que le dénommé Oswald choisit de l’adopter. Peut-être une curiosité pour cet enfant au visage d’ange et au regard presque méchant. Lukas ne savait pas pourquoi lui et pas un autre, mais il fit ses valises sans demander son reste, pliant soigneusement ses quelques vêtements et casant les deux livres qu’il avait pu récupérer dans une poche de son sac. C’est ainsi qu’il rencontra Matthias, un joyeux luron un peu trop bruyant, et Berwald, un garçon aussi silencieux que gentil. Dorénavant, ils seraient ses grands frères, pour le meilleur mais m’est avis que c’était surtout pour le pire. M’enfin.

Pour ses onze ans, Lukas reçut une lettre d’admission à la grande école de sorcellerie de Poudlard, dont son nouveau père était le professeur d’études des runes. Il y entra en même temps que Berwald, un an après Matthias. Si son frère lunetteux fût envoyé à Serdaigle, lui fût envoyé à Serpentard, la maison des ambitieux. Maison qui lui allait très bien, il avait de toute façon été plutôt charmé par les traits dominants des verts. Et même si ses frères étaient gentils et aimants, quand ils ne se foutaient pas tous les trois sur la gueule, le Norvégien ne put s’empêcher de développer un sentiment de rivalité vis-à-vis d’eux. Il voulait être le meilleur.
Pseudo : Kana
Âge : 19 ans
Sexe : Féminin m'sieur
Comment avez-vous connu le forum : Il est connu et en plus j'ai été recrutée par les admins il y a environ 500 ans je pense.
Commentaire : Je sais que j'étais attendue avec Tchéquie maiiiiis c'est de la faute de Sue et Kikki aussi !!
Code du règlement : Envoyé !



Dernière édition par Lukas Thomassen le Dim 5 Juin - 20:57, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: « Suck my vowels » « Suck my vowels » Icon_minitimeSam 30 Avr - 16:51

Coupain o/ Avec un peu de patience, on aura enfin le Magic Trio... *se seré tré trist sinnon*

Bienvenue ~♥
Petite COUUUILLÈRE
Petite COUUUILLÈRE
Arthur Kirkland

Mon personnage
Citation: London bridge is falling down, falling down, falling down...
Arthur Kirkland
« Suck my vowels » Eaac19f5f398cc87aac8235ae12ab8bc

ϟ Nation représentée : Angleterre.
ϟ Parchemins : 1002
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MessageSujet: Re: « Suck my vowels » « Suck my vowels » Icon_minitimeSam 30 Avr - 16:57

Spoiler:

*se sentait obligé de poster de la merde*

Bienvenue !
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MessageSujet: Re: « Suck my vowels » « Suck my vowels » Icon_minitimeSam 30 Avr - 17:11

Bienvenue ! <3
Poufsouffle
Poufsouffle
Océane Mancham

Mon personnage
Citation: Puisqu'il faut vivre, autant le faire avec le sourire !
Océane Mancham
« Suck my vowels » 369124tumblrinlinenfytm2CvVy1t5d5ze

ϟ Nation représentée : Seychelles
ϟ Parchemins : 283
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MessageSujet: Re: « Suck my vowels » « Suck my vowels » Icon_minitimeSam 30 Avr - 17:43

Bienvenue ici ♥
Je n'ai rien à dire, ta fiche et parfaite ! (c'est beau les fics où on n'a rien à redire ♥)
J'ai bien reçu le code du règlement o/
Tu as bien rempli ta fiche de personnage..

Du coup je vais te valiiiiiider /o/ Amuse-toi bien parmi nous ♥
Les pensées suicidaires
Les pensées suicidaires
Francis Bonnefoy

Mon personnage
Citation: “What you gave me was a reason. Not an excuse. Because there’s sex, making love and fucking. And then there’s you.”
Francis Bonnefoy
« Suck my vowels » HQmg43HO6B1tLLZts_RHMJnvfBE

ϟ Nation représentée : France
ϟ Parchemins : 1425
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MessageSujet: Re: « Suck my vowels » « Suck my vowels » Icon_minitimeSam 30 Avr - 17:55

Merci beaucoup à tout le monde et merci pour la validation :D <3
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MessageSujet: Re: « Suck my vowels » « Suck my vowels » Icon_minitime

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