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“One good thing about music, when it hits you, you feel no pain.” || Liechtenstein / Liliane Zwingli

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MessageSujet: “One good thing about music, when it hits you, you feel no pain.” || Liechtenstein / Liliane Zwingli “One good thing about music, when it hits you, you feel no pain.” || Liechtenstein / Liliane Zwingli Icon_minitimeSam 16 Juil - 23:54

Lili Zwingli
Liechtenstein
Nom : Zwingli
Prénom : Liliane, surnommée Lili
Date de naissance : 15 août 1976
Lieu de naissance : Vaduz
Âge : 16 ans
Année scolaire : 6e année
Maison : Pouflsouffle
Animal de compagnie : un petit hibou du nom de Vivaldi
Ascendance : Née-moldue, mais sa famille adoptive, les Zwingli, est de sang pur
Fratrie : Basch Zwingli, son frère adoptif, qu'elle considère malgré tout comme son frère de sang
Motivation : Depuis sa première année, Lili avait toujours rêvé de faire partie de l'équipe de Quidditch. Elle n'est pas fervente de vitesse, mais sa petite taille et son poids plume lui permettent d'en gagner très facilement, ainsi son professeur de vol lui avait conseillé de tenter le poste d'attrapeur. Malheureusement, cette place étant déjà prise, elle s'était résignée à essayer de s'inscrire en tant que poursuiveuse. C'était sans compter sur Basch, qui craignait plus que tout de voir sa petite sœur adorée se blesser. Il lui a donc interdit de prendre une poste si dangereux, où les chances d'être la cible d'un batteur était bien plus élevées. Mais voyant sa conviction à vouloir intégrer l'équipe, il a accepté qu'elle prenne le rôle de remplaçante, qui la tiendrait relativement éloignée du match.
Don : //

Baguette : Bois de poirier, pétale de fleur aux pétales d'or (apparentée à la neroli viviparum lily, fleur nationale du Liechtenstein), 25 centimètres, assez fine, relativement souple
Patronus : un Kestrel
Epouvantard : se retrouver seule au monde
Reflet dans le miroir du Riséd : Elle se voit diplômée de Poudlard, aux côtés de son frère, qui est fier d'elle
Odeur de l'Amortentia : Chocolat suisse, fondue, odeur des vieux timbres
Votre personnage peut-il voir les Sombrals : Non
Matière préférée : Métamorphose, vol et art et musique magique
Matière détestée : aucune en particulier
Options : Soin aux créatures magiques, art et musique magique (clarinette)
Sincère
Brother complex
Sociable
Tête en l'air
Bienveillante
Gourmande
Généreuse
Naïve
Sage
Frêle
Polie
Influençable
Caractère : Contrairement à ce que son physique de fillette fragile et surprotégée pourrait laisser penser, Lili est loin d'être inaccessible. Tous ceux qui la connaissent s'accordent à dire qu'elle est la douceur incarnée. Là où Basch est quelqu'un de méfiant et n'accorde sa confiance qu'à peu de gens, pour la jeune fille, un inconnu n'est qu'un ami que l'on ne s'est pas encore fait. Ainsi, elle ne refusera jamais un service, même à une personne qu'elle ne connaît pas. Jamais elle ne jugera un camarade sur sa réputation, et préférera se faire son propre avis sur la question. C'est la raison pour laquelle on la retrouve souvent en étrange compagnie, comme des élèves plus âgés ou plus espiègles qu'elle, ce qui inquiète souvent son frangin. Mais loin de s'attirer des ennuis, la Poufsouffle a souvent réussi à découvrir des qualités insoupçonnées chez ces personnes, voire à avoir une bonne influence sur eux. C'est la raison pour laquelle elle est si populaire et a tant d'amis, même les plus étranges. Nombre de grosses brutes avaient été transformées par sa gentillesse et sa générosité, en total contradiction avec l'égoïsme de Basch, et elle s'attira vite beaucoup d'admirateurs, sans le savoir. Bon courage néanmoins à celui qui voudrait capturer son cœur, car bien des garçons ont déjà tenté de la courtiser, et elle n'a jamais montré d'intérêt pour quiconque autre que son frère adoré. Beaucoup de rumeurs circulent d'ailleurs sur cet étrange lien. Mais lorsque l'on interroge la concernée, elle répond simplement que Basch est la personne la plus importante au monde pour elle, mais qu'elle ne le considère comme rien de plus que son frère aîné, aussi protecteur soit-il. Ceux qui la connaissent bien précisent de plus qu'elle n'a jamais exprimé d'idée belliqueuse sur sa relation avec le suisse. Et si l'attention du Serdaigle envers sa cadette peut sembler démesurée, cette dernière n'est pas en reste non plus.

Si la bienveillance de la demoiselle est pour beaucoup évidente, si vous avez le malheur de vous en prendre à son frère, elle montrera un tout autre visage. Adieu le sourire d'ange, le ton sucré et mielleux. Son regard se fera accusateur, et son ton sec comme un coup de trique. Elle ne sera pas du genre à s'énerver, ce qui est sans doute pire. Il n'y a rien de plus effrayant que quelqu'un qui vous sermonne sans hausser le ton. Et Lili ne s'embêtera même pas à vous insulter. Vous ne mériterez pas qu'elle salisse sa langue pour vous. Elle se contentera de vous démontrer par a+b, avec cette colère froide, que vous avez tord et que son frère est le meilleur du monde. La réflexion qui est la plus fréquente, mais aussi la plus drôle, est sans aucun doute "Mon grand frère n'est pas radin, il est économe". Généralement, c'est à ce moment-là que l'adversaire cesse de la prendre au sérieux.

Cette facette de sa personnalité montre cependant qu'elle est loin de n'être qu'une gentille bonne poire qui encaisse la méchanceté sans répliquer, car elle sait se montrer franche. Cette sincérité est d'ailleurs l'une de ses plus grandes qualités, puisque là où certains ont ce franc-parler direct, brutal et parfois froissant, Lili prendra garde à donner son avis sans blesser son interlocuteur. Elle ira même jusqu'à conseiller la personne en détresse pour lui venir en aide ou soigner un défaut. À ses yeux, les mots sont le plus beau des remèdes. Se mettant au service des autres, elle n'hésite pas aussi à appeler au secours lorsque c'est elle qui se trouve dans l'embarras. Pour elle, c'est un échange naturel. Elle ne craint pas de déranger qui que soit avec ses questions, tant que c'est demandé avec politesse et écouté avec attention.

En cela, la jeune fille a une grande confiance en elle, sans pour autant être arrogante, ce qui est assez rare. Il est si facile de tomber dans le mépris et de se croire supérieur aux autres, lorsque l'on est plus intelligent ou plus fortuné que ses semblables. Étant née-moldue mais ayant aussi vécu une partie de sa vie avec des sangs-purs, elle a pu constater que beaucoup de familles recherchaient un traitement de faveur sous prétexte qu'elle valaient mieux que les autres. Loin de profiter de sa nouvelle richesse et de se prétendre sorcière par hérédité, elle a conservé ce statut de naissance, ce qui ne l'empêche pas d'être confiante dans ce qu'elle entreprend. Elle veut montrer à tous qu'être enfant de moldus n'est pas un handicap dans la pratique de la magie. Et en cela, la Poufsouffle est un bon exemple. Douée en Quidditch, qui est le plus pratiqué des sports magiques, elle est également passionné par la métamorphose et toutes les autres pratiques de la magie, comme les sortilèges et la Défense contre les forces du Mal. À ses yeux, des possibilités infinies s'ouvrent à elle avec ce talent, et elle se voit déjà embrasser une brillante carrière d'Auror, idée souvent encouragée par ses professeurs. Mais la matière qui parle le plus à son cœur est sans aucun doute celle des Arts et Musique magique. Elle passe en effet une grande partie de son temps libre, en dehors de ses devoirs, à pratiquer à l'aide de sa clarinette, et en sept ans, elle a acquis un niveau plus que respectable.

En lisant ce portrait, on pourrait croire que c'est Basch lui-même qui l'a dressé, tant il fait l'éloge de la demoiselle. Cette dernière n'est pourtant pas sans défaut, sa relation avec son frère en étant en partie responsable. Ayant été couvée par le suisse une partie de sa scolarité, la jeune fille a toujours été tenue loin des conflits, ainsi est-elle restée une enfant très naïve. Si ceux qui son attendris par son apparence et sa bonté n'ont pas l'idée d'en profiter, les élèves qui y résistent ont tendance à tenir compte de cette faiblesse et à s'en servir contre elle. Et dans ces cas-là, il arrive que la jeune fille adhère au comportement de son vis-à-vis. Car Lili est une fille très influençable. Cette tare couplée à son optimisme, on la retrouve parfois au milieu de situations périlleuses, comme des bagarres ou des réunions hors des dortoirs. Elle est souvent réprimandée pour se laisser entraîner de la sorte. De plus, si vous souhaitez l'appâter, le meilleur moyen d'y parvenir est de vous servir de son pécher-mignon: la nourriture. Que l'on parle de pâtisseries, de sucreries, de plats salés ou même de spécialités, la jeune fille répond toujours présente. Malgré la distinction avec laquelle elle mange, elle reprend toujours au moins deux fois sa part à chaque repas. Mais dans ce cas, comment fait-elle pour conserver une ligne enfantine avec un tel appétit, me demandez-vous? Et bien... Nous n'avons qu'à dire que c'est magique. Non, en réalité, le Quidditch aide beaucoup. Enfin, une dernière chose qu'elle aime beaucoup sont les timbres. Elle-même ne parvient pas à expliquer cette fascination pour ces petits rectangles colorés. Elle les collectionne en masse, même les plus banales, mais possède aussi une sélection rare provenant de pays ou d'époques différentes, et dont elle est particulièrement fière. Elle grondera quiconque tentera d'en déchirer un ou de s'en débarrasser.
Physique : Étrangement, beaucoup s'accordent à dire que Lili ressemble énormément à son frère Basch, ainsi sont-ils étonnés d'apprendre que ces deux-là ne sont en réalité pas liés par le sang. En effet, cette similitude physique est purement fortuite, bien que la jeune fille soit fière d'être décrite comme le portait craché du suisse. Cependant, nombre de différences subsistent encore.

Pour commencer, Lili est bien plus frêle et menue que son grand frère. Contrairement à lui, elle n'est pas du genre très sportive, si l'on exclue les cours de vol qui la passionnent, et qui pour elle requièrent surtout de la vitesse et de l'agilité. Il ne faut surtout pas lui demander de remplacer un batteur dans son rôle, ou la victoire de l'équipe des Poufsouffles risquerait d'être compromise. Sa petite taille est néanmoins un avantage dans tous les autres postes de Quidditch, et l'on peut lui faire confiance pour filer entre les doigts de ses adversaires, le Souaffle ou le vif d'or en main. De ses membres fins à son visage enfantin, de ses petites mains délicates à sa taille mince, tout en elle n'est que légèreté. Tous ces points de son anatomie sont aussi la raison pour laquelle beaucoup la croient plus jeune qu'elle ne l'est. À quinze ans, elle est encore vue comme une poupée fragile, innocente et vulnérable. Cela peut-être assez vexant pour elle, voire agaçant. Fut un temps, elle avait même tenté de se donner l'air plus âgé grâce à du maquillage ou des talons. Mais cela avait été un échec sur toute la ligne puisqu'elle n'avait, étonnamment, pas assez d'équilibre pour supporter la hauteur des chaussures, et que le maquillage, loin de la rendre plus jolie, donnait davantage un aspect vulgaire à son minois angélique. Son frère avait été horrifié de la voir user de tels artifices pour se donner une illusion de maturité. Il s'était évertué à lui faire comprendre qu'elle n'avait nullement besoin de cela et que son aspect juvénile ne faisait que la rendre plus belle. Qu'elle pouvait en être fière. Il préférait que sa sœur soit pure et naturelle. Entendre cela de la bouche de son aîné avait suffit à la convaincre de ne plus recommencer, et même, de mettre en avant la beauté qu'elle possédait déjà.

Car malgré ses caractéristiques enfantins, Lili est loin, très loin d'avoir l'air d'une gamine. Son charme subtil, néanmoins présent, la rend élégante, dans ses gestes comme dans sa démarche, cette dernière étant harmonieuse et aérienne. Son visage chétif, aux pommettes rebondies, lui donne tout de suite une figure très attachante, et sa peau douce et claire ne dissimule que de discrètes mais mignonnes tâches de rousseur. Ce faciès déjà adorable est souvent habillé d'un joli sourire, devenant tendre lorsqu'elle est en présence de ses amis ou de son grand frère. Quant à ses yeux, d'un bleu turquoise resplendissant au soleil, ils sont entourés de courts cils ordonnés, lui donnant un regard captivant. Enfin, pour couronner ce profil attrayant, de courts cheveux blonds encadrent ses joues, souvent décorés d'un ruban coloré offert par Basch. Avant son adoption par la famille Zwingli, la demoiselle avait de longs cheveux ondulés qu'elle disciplinait en nattes enfantines. Mais son désir de ressembler à celui qui l'avait acceptée comme sa protégée et sa petite sœur avait eu raison de cette habitude, ainsi avait-elle coupé elle-même ce symbole de féminité, ce qui lui avait donné une allure garçonne pendant quelques temps. Certaines connaissances de la famille avaient tendance à confondre Liliane avec son aîné, ce qui la rendait fière, mais lui faisait aussi prendre conscience de son absence d'attributs. Elle avait par la suite fait des efforts pour ressembler davantage à une fille, soignant son apparence et ses manières, qui étaient devenues ce qu'elles sont aujourd'hui. Ainsi Lili avait-elle acquis cette grâce recherchée, qui loin de faire d'elle une femme attirante et aux formes surnaturelles, lui donnait tout de même un charme que peu de gens pouvaient nier (en particulier son frère, qui faisait souvent les éloges de sa cadette).
Histoire : Généralement, lorsque l'on entend le mot "orphelin", on imagine immédiatement les pires catastrophes, les mauvais traitements et la solitude de celui qui a été frappé par ce triste sort. On se met à le plaindre, à trouver toutes les excuses du monde à ses moindres bêtises. "Pauvre enfant, cela a dû être terrible!". La plupart des adultes parlent sans savoir, et on entendra les adolescents sans famille soupirer devant tant de bêtise. Liliane, quant à elle, se contentera de garder poliment le silence, mais n'en pensera pas moins. Car la fillette, malgré sa condition d'orpheline, avait eu une enfance plutôt heureuse. Avant de devenir la cadette de la famille Zwingli, elle est née fille de deux moldus, jeunes et inexpérimentés, qui n'avaient malheureusement pas l'argent nécessaire pour s'occuper de leur enfant. Espérant qu'elle trouverait une meilleure vie dans une autre maison, ils l'avaient confiée peu après sa naissance à un orphelinat de Vaduz, sous la protection d'une riche famille suisse. N'ayant aucun souvenir de ses parents, elle avait vécu à son gîte dans l'insouciance la plus totale. Bien entendu, elle s'était souvent demandé ce qu'il était advenu de ses géniteurs, pour en avoir discuté avec des pensionnaires plus âgés. Certains lui racontaient leurs premières années, où ils avaient grandi au sein de familles unies, avec leur frères, sœurs, cousins, avant d'être laissés dans cet hospice pour telle ou telle raison. Manque d'argent, fratrie trop importante, mauvais traitements... Tous les enfants avaient une histoire différente, quand ils n'ignoraient pas leurs origines, et Liliane écoutait avec attention tous ces récits qui pour elle avaient des allures de contes que l'on lit avant de s'endormir. Elle aussi devait sans aucun doute avoir un telle histoire à exposer. La curiosité l'avait poussée à demander à la directrice la raison de sa présence ici, et cette dernière lui avait simplement répondu "Tes parents t'aimaient mais n'avaient pas les moyens nécessaires pour t'élever". Bien qu'un peu déçue, cela lui avait suffit, et elle ne posa plus jamais de question sur eux. N'ayant jamais vécu avec son père et sa mère, leur présence ne lui manqua pas, et elle grandit simplement dans cet endroit qui était désormais son foyer. Avec une maturité étonnante pour son âge, elle se disait qu'il fallait juste l'accepter. C'était sa vie, à présent.

Ses années à l'orphelinat furent paisibles. Elle se fit des amis de confiance avec qui elle inventait toutes sortes d'histoires pour oublier leur situation. Bien sûr, il y avait toujours un ou deux enfants plus turbulents qui tentaient de prendre le contrôle du navire en s'en prenant aux autres, mais il suffisait que Liliane verse une larme pour qu'ils s'excusent immédiatement et la laissent tranquille. Grâce à cela, elle comprit vite qu'elle possédait une protection naturelle contre les ennuis, et s'en servit pour veiller sur les plus jeunes qu'elle et éviter les querelles. Elle se chargeait d'accueillir les nouveaux pensionnaires et les aidait à s'intégrer, et beaucoup de bambins la considérèrent vite comme leur protectrice ou leur grande sœur, malgré son jeune âge. Mais la fillette rencontra son plus grand challenge à l'âge de huit ans, rencontre qui l'éloignerait à tout jamais des amis qu'elle s'était fait pendant toutes ses années. Un matin, l'une des nourrices amena parmi eux un garçon bien plus grand que la normale. C'était un rouquin au nez retroussé et aux taches de rousseur apparentes, du nom de Leroy. Il avait apparemment douze ans, et beaucoup des pensionnaires furent étonnés de voir débarquer quelqu'un de si âgé. Généralement, les orphelins s'installaient à l'institut dans leurs jeunes années, et y grandissaient. Il en était ainsi pour tous les habitants qui y dépassaient dix ans. Une fois la majorité atteinte, ils pouvaient décider de quitter l'hospice ou de rester un peu plus, à condition de trouver un travail en ville pour subvenir aux dépenses qu'ils coûtaient à leur chez-eux. Mais ce garçon-là arrivait seulement en début d'adolescence. Beaucoup se questionnèrent sur la raison de son abandon dans cet endroit. Ses parents étaient-ils décédés? Avait-il fait une faute si impardonnable que l'on avait eu d'autre choix que de l'exclure de la demeure familiale? De nombreuses rumeurs circulaient sur lui dès son arrivée, et le principal concerné semblait en avoir pleinement conscience. Il faisait mine de ne pas remarquer les messe-basses qui se faisaient sur son chemin, mais on pouvait sentir dans son regard que cela l'irritait au plus haut point, et que quiconque oserait le questionner sur ses origines repartiraient les pieds devant.

Quelles que soit les théories farfelues qui circulaient sur cette personne, Liliane s'était fait un devoir de rassurer chaque nouveau venu et de l'aider à se faire des amis. Même si elle était bien plus jeune que lui, elle se donna pour mission de l'amadouer et de découvrir un côté plus docile de sa personnalité, sous ses airs de méchant garçon bourru et renfermé. Elle fut la première à aller vers lui, et ses camarades se demandèrent si elle n'avait pas perdu la tête. Elle vint simplement lui dire bonjour et se présenta, pour lui montrer qu'elle ne venait pas en ennemi. Mais sa tentative ne fut pas fructueuse, puisqu'il l'ignora de manière superbe, malgré sa douceur. Même la plus grosse des brutes n'y résistait pas, en temps normal. Ses amis lui disaient de laisser tomber, que l'on ne tirerait rien du jeune Leroy et qu'il viendrait vers eux lorsqu'il se serait décidé. Mais la jeune fille n'en démordit pas. Cela lui faisait de la peine de le voir si isolé, alors elle s'acharna à venir lui parler lorsqu'elle en avait l'occasion. Elle lui proposa de dessiner avec eux, de lire des histoire ou de faire des châteaux de cartes. Chaque fois, Leroy la snobait ou décrétait que c'était des pratiques de bébé, et qu'il ne voulait pas y participer. Mais plus il cherchait à fuir son étreinte, plus la fillette s'accrochait. Elle commit cependant une erreur en essayant de le prendre par les sentiments et de lui parler de ses parents. Alors que le petit roux tentait de nouveau d'échapper à ses propositions, elle tenta de l'arrêter avec ces mots:

"Nous sommes tous comme toi ici! Je ne sais pas pourquoi tu es là, toi aussi, ou ce que sont devenus tes parents mais... ici, à l'orphelinat, nous sommes comme une grande famille! Tu peux nous faire confiance!"

Mais cela ne sembla pas produire l'effet escompté. Il se stoppa à ces paroles, et lorsqu'il se tourna vers elle, la rage s'était emparée de ses yeux. Levant le poing, il hurla simplement, sous les regards paniqués des enfants et des nourrices:

"Ne parle pas de mes parents!"

Mais au moment où il allait frapper la demoiselle sans résistance, une bourrasque parcourut la pièce, et le garçon fut soudainement repoussé, se retrouvant projeté à l'autre bout de la pièce, contre le mur. Tremblant au sol, il commença à pleurer en se plaignant d'une douleur au bras, causée par sa chute. Face à lui, Liliane était toujours debout, sans une égratignure. Il y eut un instant de silence où chaque témoin tenta de comprendre ce qu'il venait d'arriver, en vain. Une des nurses courut avertir la directrice, pendant qu'une autre s'occupait de Leroy, qui gémissait au sol. Et pour la première fois depuis son arrivée dans l'institut, Liliane se sentit seule. Personne ne vint vers elle pour lui demander si elle allait bien, ni comment elle avait fait ça. Ils l'observaient tous de loin, comme effrayés à l'idée qu'elle ne recommence ce qu'elle avait fait pour les blesser eux aussi. La fillette elle-même était terrorisée, regardant ses mains sans comprendre ce qu'il s'était passé. Lorsque la gérante les rejoignit enfin, elle ramena la petite à sa chambre et lui intima de ne pas en sortir, avant de la quitter. La fillette ne vit personne pendant plusieurs jours. On lui apportait de quoi manger, mais aucun camarade ne venait lui rendre visite, si l'on excluait les pensionnaires qui jetaient un oeil dans sa chambre lorsqu'elle était ouverte, avant d'être chassés par la nourrice qui avait apporté le repas. Elle attendit en se demandant ce que l'on allait faire d'elle. Si elle pouvait blesser ses amis de la sorte, peut-être allait-on l'envoyer en prison, pour qu'elle ne cause plus aucun mal? Ou bien avait-elle imaginé le vent, cette sorte de pouvoir qui avait repoussé son attaquant? Elle l'avait peut-être frappé elle-même pour se protéger, et n'en avait pas eu conscience. Peut-être était-elle folle...

Toutes ses interrogations trouvèrent une réponse le 29 mars, soit neuf jours après l'incident qui avait forcé Liliane à rester cloîtrée seule dans le silence. Au petit matin, la directrice vint lui rendre visite, lui annonçant qu'elle pouvait faire sa valise. Une famille allait venir pour l'adopter. Elle n'en crut d'abord pas ses oreilles. Elle avait fait du mal à quelqu'un, alors on se débarrassait d'elle? Et qui voudrait d'une enfant comme elle, avec ces étranges pouvoirs, ou simplement atteinte de folie? Elle s'éxecuta néanmoins, folle de joie à cette idée. Un ou plusieurs tuteurs avaient décidé de la prendre sous leur aile, de l'élever dans leur maison. Elle ne pouvait être plus heureuse. Lorsqu'elle descendit dans le hall, elle ne croisa personne. Elle aurait volontiers fait ses adieux à ses amis, mais doutait qu'eux aient envie de l'approcher. Même si cela la rendait triste, elle était trop excitée à l'idée de découvrir ses nouveaux parents pour pleurer. Lorsqu'elle arriva enfin à l'entrée, sa valise à peine remplie à la main, la gérante lui présenta les deux adultes qui lui faisaient face: M. et Mme Zwingli, les bienfaiteurs de l'orphelinat. Voilà donc la riche famille suisse qui survenait aux plus grosses dépenses de l'institut. Elle les salua avec toute la politesse dont elle était capable, souhaitant faire bonne impression. Ils lui rendirent, le sourire aux lèvres, puis le père s'écarta un peu, demandant à quelqu'un qu'elle ne voyait pas de se présenter, lui aussi. Elle remarqua enfin un autre enfant, à peine plus grand qu'elle, qui se tenait derrière ses  nouveaux tuteurs. Il avait des cheveux coupés aux carrés, du même blond éclatant que les siens, et semblait assez timide, bien qu'il se tienne droit comme un i pour ne pas se laisser impressionner. Apparemment, c'était le fils unique des Zwingli. Son patriarche lui présenta Liliane comme sa nouvelle petite sœur. Le garçon resta figé, l'observant comme s'il la jaugeait pour savoir ce qu'il pourrait tirer d'elle. Après ce qui semblait être pour lui une analyse suffisante, ses joues se colorèrent et il tendit la main à la fillette, avec ces simples mots:

"Est-ce que... cela te convient si je t'appelle Lili?"

C'est ainsi qu'elle rencontra Basch Zwingli, qui deviendrait par la suite son grand frère bien aimé.

Peu après son arrivée dans son nouveau chez-elle, où elle put choisir une chambre pour elle seule, et d'une taille qu'elle n'avait encore jamais vue, Lili se débarrassa de ses nattes, bientôt décrite comme la copie conforme de son frère. Ils devinrent rapidement très proches, Basch étant très protecteur envers sa petite sœur. Il lui faisait découvrir les alentours de leur maison, lui montrait les sommets des montagnes avoisinantes et couvertes de neige, lui faisait goûter au meilleur chocolat de la Suisse, et passait ses journées à jouer avec elle et à lui raconter des histoires. Ils gambadaient dans le jardin, inventant mille aventures, et personne n'aurait pu croire que ces deux-là n'étaient pas liés par le sang. On trouvait rarement deux enfants aussi attachés l'un à l'autre. C'est le suisse qui se chargea d'expliquer à Lili tout ce qu'elle avait besoin de savoir sur le monde des sorciers. Il lui appris qu'il en était un lui aussi, et qu'ils possédaient tous les deux des pouvoirs destinés à de grandes choses. Il la rassura en précisant qu'elle apprendrait à les contrôler dans une école spécialisée, où ils rencontreraient d'autres sorciers. Lili lui demanda s'il s'agissait d'une maison pour les fous, ce que le suisse s'empressa de lui enlever de la tête. Quoi qu'il en soit, elle avait hâte de rejoindre ce collège en Écosse et d'étudier la magie avec son aîné. En attendant, elle s'essayait juste à de petits tours, comme faire voler brièvement des objets, ou tentait de reproduire un bouclier comme la première fois qu'elle l'avait fait. Elle et Basch étudièrent la sorcellerie adaptée à leur niveau avec beaucoup de sérieux pour prendre de l'avance, et découvrir toutes les possibilités qui s'offraient à eux avec un tel don.

C'est une soirée d'hiver, l'année de ses neuf ans, que la fillette décida de commencer à toucher à la musique. Leurs parents leur proposèrent de les accompagner pour assister à un concerto pour clarinettes composé par Vivaldi. Curieux, les deux enfants acceptèrent, et écoutèrent les symphonies du virtuose à leurs côtés. Devant cette scène, Lili fut émerveillée. Jamais elle n'avait entendu quoi que ce soit d'aussi beau. C'était sa première représentation, et elle était sure de ne jamais l'oublier. Dès leur sortie de la salle de concert, elle demanda à ses parents s'il était possible de prendre des cours pour apprendre à faire la même chose. Devant son enthousiasme et son ardeur à vouloir jouer d'un instrument, ils ne purent lui refuser cette demande, mais la prévinrent que la pratique musicale était très difficile et demandait beaucoup d'investissement. Cela ne l'arrêta pas et elle décida tout de même de se lancer, prête à faire tous les sacrifices possibles. Son frère, qui l'encourageait, ne faisait que la motiver d'autant plus. Elle commença ses cours de clarinette dès la rentrée suivante, et alors que Basch rentrait à Poudlard, elle travailla d'arrache-pied avec sa compagne, ainsi que dans ses cours de magie. Elle ne rêvait que d'une chose: faire la fierté de ses parents et de son frère, et devenir une personne talentueuse et appréciée, quel que soit son métier futur. Musicienne, membre du ministère, professeur... Peu lui importait, tant qu'elle pouvait réaliser ses rêves.
Pseudo : Lea, revenue pour faire les quatre cent coups!
Âge : Immortelle, esh, vous vous débarrasserez jamais de moi
Sexe : Je suis du genre humain, et je suis enfant
Comment avez-vous connu le forum : Grâce à moi-même, lol
Commentaire : Dans mon pantalon, il a de la DETERMINATION
Code du règlement : À envoyer par MP à un admin



Dernière édition par Liliane Zwingli le Mar 19 Déc - 20:32, édité 13 fois
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MessageSujet: Re: “One good thing about music, when it hits you, you feel no pain.” || Liechtenstein / Liliane Zwingli “One good thing about music, when it hits you, you feel no pain.” || Liechtenstein / Liliane Zwingli Icon_minitimeSam 16 Juil - 23:57

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Citation: "Les Serdaigle, en particulier, s'imaginent que tous les plus grands sorciers sortent forcément de chez eux." - J.K Rowling
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MessageSujet: Re: “One good thing about music, when it hits you, you feel no pain.” || Liechtenstein / Liliane Zwingli “One good thing about music, when it hits you, you feel no pain.” || Liechtenstein / Liliane Zwingli Icon_minitimeDim 17 Juil - 0:03

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MessageSujet: Re: “One good thing about music, when it hits you, you feel no pain.” || Liechtenstein / Liliane Zwingli “One good thing about music, when it hits you, you feel no pain.” || Liechtenstein / Liliane Zwingli Icon_minitimeDim 17 Juil - 0:07

>>Lud: Hello beau gosse ;D

>>Artie: Owimoiaussijeveuxblblbl <3
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MessageSujet: Re: “One good thing about music, when it hits you, you feel no pain.” || Liechtenstein / Liliane Zwingli “One good thing about music, when it hits you, you feel no pain.” || Liechtenstein / Liliane Zwingli Icon_minitimeDim 17 Juil - 1:13

Owiiiii Liliiii <3

(OMG Lili est en 4ème année à Poufsouffle ? Elle va passer en 5ème année ? OCÉANE VA ENFIN AVOIR UNE CAMARADE DE CHAMBRE ? /PAN)
Celle qui n'a jamais joui
Celle qui n'a jamais joui
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Citation: Le courageux n'est pas celui qui donne les coups, mais celui qui y résiste.
Erzsébet Héderváry
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MessageSujet: Re: “One good thing about music, when it hits you, you feel no pain.” || Liechtenstein / Liliane Zwingli “One good thing about music, when it hits you, you feel no pain.” || Liechtenstein / Liliane Zwingli Icon_minitimeDim 17 Juil - 1:19

Ouiii, Eli ;DD *coupiiiiine <3* *danse avec Océ*
Poufsouffle
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Liliane Zwingli

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Citation: "You took me and showed me love when I had nowhere to run. You offered me your everything"
Liliane Zwingli
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MessageSujet: Re: “One good thing about music, when it hits you, you feel no pain.” || Liechtenstein / Liliane Zwingli “One good thing about music, when it hits you, you feel no pain.” || Liechtenstein / Liliane Zwingli Icon_minitimeDim 17 Juil - 1:26

Ma reine d'un autre univers ♥
Les pensées suicidaires
Les pensées suicidaires
Francis Bonnefoy

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Citation: “What you gave me was a reason. Not an excuse. Because there’s sex, making love and fucking. And then there’s you.”
Francis Bonnefoy
“One good thing about music, when it hits you, you feel no pain.” || Liechtenstein / Liliane Zwingli HQmg43HO6B1tLLZts_RHMJnvfBE

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MessageSujet: Re: “One good thing about music, when it hits you, you feel no pain.” || Liechtenstein / Liliane Zwingli “One good thing about music, when it hits you, you feel no pain.” || Liechtenstein / Liliane Zwingli Icon_minitimeDim 17 Juil - 2:58

Mon roi d'un autre univers, agrahouuuuu :3 ♥
Poufsouffle
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MessageSujet: Re: “One good thing about music, when it hits you, you feel no pain.” || Liechtenstein / Liliane Zwingli “One good thing about music, when it hits you, you feel no pain.” || Liechtenstein / Liliane Zwingli Icon_minitimeDim 17 Juil - 10:53

AH BLBLBL MA CHÉRIE QUE J'AIME FORT ON VA SORTIR ENSEMBLES, FAIRE NOS VIES ENSEMBLES ET ONT AURA PLEINS DE BÉBÉS TOUS AUSSI BEAUX QUE TOI JOLI ANGE <3 TU ES LA MAGNIFICENCE, LA RADIEUSE ROSE DE MON MAGNIFIQUE PAYSAGE <3 *oui j'aime bien d'un compte à l'autre te menacer de mort ou te faire une déclaration* Et les autres je vous surveille c'est ma chérie maintenant è-é
Serdaigle
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MessageSujet: Re: “One good thing about music, when it hits you, you feel no pain.” || Liechtenstein / Liliane Zwingli “One good thing about music, when it hits you, you feel no pain.” || Liechtenstein / Liliane Zwingli Icon_minitimeDim 17 Juil - 11:02

O/////O

Basch dans le lointain: QU'EST CE QUE TU VIENS DE DIRE À MA SOEUR, PETIT CON?!

(Fais gaffe, Leo, elle n'est pas encore ta copine ;D il va falloir la courtiser si tu la veux *lololololol*)
Poufsouffle
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MessageSujet: Re: “One good thing about music, when it hits you, you feel no pain.” || Liechtenstein / Liliane Zwingli “One good thing about music, when it hits you, you feel no pain.” || Liechtenstein / Liliane Zwingli Icon_minitimeDim 17 Juil - 11:24

FAIRE MA VIE AVEC QUE ÇA TE PLAISE OU NON

(Mais je vais la coutiser! Et je vais l'avoir! Et même qu'on aura des bébés magnifiques! *^* *rêve, roule, et kyatte*)
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MessageSujet: Re: “One good thing about music, when it hits you, you feel no pain.” || Liechtenstein / Liliane Zwingli “One good thing about music, when it hits you, you feel no pain.” || Liechtenstein / Liliane Zwingli Icon_minitimeDim 17 Juil - 11:24

Bienvenue jolie Lady !
*smile smile smile*
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MessageSujet: Re: “One good thing about music, when it hits you, you feel no pain.” || Liechtenstein / Liliane Zwingli “One good thing about music, when it hits you, you feel no pain.” || Liechtenstein / Liliane Zwingli Icon_minitime

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“One good thing about music, when it hits you, you feel no pain.” || Liechtenstein / Liliane Zwingli

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