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If you don't shine, that's you didn't try enough. | William Lau Wang

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MessageSujet: If you don't shine, that's you didn't try enough. | William Lau Wang If you don't shine, that's you didn't try enough. | William Lau Wang Icon_minitimeJeu 8 Sep - 17:59

WANG William Lau
Hong Kong
Nom : Wang

Prénom : William Lau

Date de naissance : 01.07

Lieu de naissance : Un petit village près de Hong Kong

Âge : 15 ans

Année scolaire : 5ème

Maison : Gryffondor

Animal de compagnie : Une rate blanche appelée Wendy. Rigolez pas, c'est la prunelle de ses yeux ok.

Ascendance : Sang-mêlé

Fratrie : Deux frères plus âgés dont Yao et une cousine taïwanaise

Motivation : Il se fait recaler aux sélections pour l'équipe de Quidditch chaque année pour manque de sérieux. Frustré, il retente tous les ans, en vain.

Don : X

Baguette : Bois de Cerisier, Ventricule de Dragon, 34 cm, rigide

Patronus : Une fouine

Epouvantard : Le feu. Tout simplement.

Reflet dans le miroir du Riséd : Il n'en a pas. Tout ce qu'il pourrait voir serait vague et flou.

Odeur de l'Amortentia : L'odeur de la mer, d'un bon repas et une autre odeur qu'il n'arrive pas à décrire, mais qui lui est familière

Votre personnage peut-il voir les Sombrals : Non

Matière préférée : Arithmancie et Vol

Matière détestée : Botanique, Potions, Histoire de la Magie...

Options : Arithmancie et Soins aux Créatures Magiques
Attentif
Flemmard
Réfléchi
Renfermé
Sociable
Cynique
Intelligent
Gourmand
Loyal
Insolent
Courageux
Détaché
Caractère :
« William, range ta chambre.
- William, va aider aux champs !
- William, lève-toi.
- WILLIAM LAU WANG. »

Ah ça, son prénom, William le connait. Incontestable flemmard, il a un poil si long dans la main que c’en est devenu un cheveu. Petit, il était capable de se cacher dans le placard pour pas qu’on lui demande une tâche ménagère quelconque, c’est dire. Pourtant, mis à part ce point, ce n’était pas vraiment un enfant à problèmes. Plutôt obéissant dans l’ensemble, il mangeait sans faire d’histoires (et même trop) et allait se coucher quand on lui disait de le faire. La partie difficile étant de le lever ensuite. Gros dormeur, en plus d’être une feignasse, joli tableau.

Le pire, c’est qu’au fur et à mesure qu’il grandissait, le bougre développait une insolence insupportable. Monsieur a toujours raison, monsieur sait tout mieux que tout le monde, et si t’es pas d’accord ben t’es nul, vieux jeu ou débile, au choix. C’est comme s’il était bloqué dans une crise d’adolescence constante, mais eh, à 15 ans, quoi de plus normal. De ce fait, beaucoup pourraient lui trouver une magnifique tête à claques. Vous savez, ce gamin infâme que tout le monde a envie de frapper. C’est lui.

Ce qui était vraiment frustrant pour ses parents, c’est que malgré sa propension à ne rien foutre de la journée, c’était un enfant vraiment très intelligent. S’il rechignait à faire ses devoirs, il arrivait pourtant à résoudre les exercices de mathématiques rapidement et sans aucune faute. Ce qui marchait avant son entrée à Poudlard, mais les cours étant différents et défiants toute logique pour la petite éducation moldue qu’il reçut, il faut dire que niveau études, il est un peu paumé. Mais il reste intelligent de par ses capacités de réflexion et son aptitude à s’adapter peu importe les situations, ce qu’il a déjà bien prouvé au cours de son enfance compliquée.

Compliquée de par les événements qui s’y sont produits. William a développé une technique particulière pour tenir les drames et les pressions. Technique qui ne plaît pas à tout le monde, parce que sortir une blague en pleins funérailles lui a valu la punition de sa vie. Personne n’apprécie son humour noir, voilà tout. La vérité, c’est que le jeune homme cherche à tout prix à se protéger. Il s’est donc construit une carapace de garçon détaché et blasé, capable de plaisanter dans les pires situations, passant pour irrespectueux et sans cœur. Pourtant, un cœur, il en a un, immense, mais caché. Beaucoup d’enfants réagissent différemment devant une telle vie. Il y a ceux qui pleurent, qui sont traumatisés, qui ont besoin d’un suivi psychologique, qui ne sourient plus.

William, lui, il rit. Il chambre, il déconne, il plaisante, il fait des petites blagounettes qui n’amusent que lui. Parce qu’il a besoin de s’amuser.

Mais ne pensez pas qu’il s’amuse réellement, ou que c’est juste un gamin qu’on a envie de dégager à coups de pied dans le cul. Dans certaines circonstances, d’autres facettes de sa vraie personnalité apparaissent. Il deviendra alors l’ami le plus fidèle et loyal que vous aurez, si tant est que vous arriviez à en faire votre ami, c’est-à-dire à titiller suffisamment sa curiosité pour qu’il s’intéresse à vous. Car curieux, il l’est. Pas pour une carte au trésor ou pour les cours, que nenni. Pour les gens. Leur culture, leurs habitudes, pourquoi ils mangent tels plats de telle façon, pourquoi ils se comportent comme ça. Les différences le fascinent, si bien qu’il en deviendrait lourd avec toutes ses questions. Car une fois lancé, il ne s’arrête plus.

C’est aussi quelqu’un de réfléchi. William ne fonce jamais tête baissée, même s’il en donne l’impression. Une fois la situation bien analysée, c’est un être courageux, qui n’hésitera jamais à se mettre en avant pour la sécurité de ses proches. Téméraire, cela lui rapporte plus souvent des ennuis que des bonnes nouvelles, mais cela fait partie de ces choses qu’on change difficilement chez soi. C’est naturel en sa personne.

Si on ne lit pas en William comme dans un livre ouvert, c’est parce qu’il s’est renfermé. Mais il n’attend que de découvrir de nouvelles personnes qui pourraient, peut-être, l’aider à s’ouvrir aux autres, qui sait ? Après tout, tout est possible dans une école où on apprend la magie.
Physique :
Le matin, c’est toujours dur. Il faut se lever, parce que les cours vont commencer. En général, William est le dernier à quitter le dortoir des cinquièmes années de Gryffondor. Il se redresse difficilement et s’étire longuement. Sa première pensée va à Wendy, sa rate blanche, qui tourne en rond dans sa cage en attendant que son maître veuille bien la nourrir. Après lui avoir donné son repas et adressé quelques gratouilles affectueuses, il peut se préparer pour aller petit déjeuner, enfin, s’il a le temps avant d’aller en cours, parce qu’en plus de gratter des minutes de sommeil, il est d’une lenteur accablante.

Le jeune homme commence par sa petite toilette. Il observe son visage dans le miroir à la recherche d’un potentiel bouton à exploser (bon appétit), mais sa peau sèche n’en fait apparaître que très rarement. Ses yeux bridés sont encore embrumés par le sommeil, et ses cernes ont l’air dessinées au marqueur indélébile, car malgré les nombreuses heures passées dans son lit, elles refusent de s’effacer. Il ne perd pas son temps à épiler ses sourcils, parce que pour une raison qu’il ignore, il semble condamné à en avoir des très épais. Et par très épais, j’entends plus épais que ce que vous ne pourrez jamais voir sur la tronche d’un asiatique lambda.

William commence par se brosser les dents, bien alignées sans jamais avoir eu à porter d’appareils, c’est une chance. Après ça, il se passe une couche de crème hydratante. Être un flemmard n’empêche pas de perdre dix secondes de sa vie chaque matin pour hydrater sa peau sensible. Mais il n’en est pas encore au maquillage, on ne va pas abuser non plus. Sa coiffure, mûrement réfléchie (ou pas), est exécutée dans un mouvement de main qui consiste à ébouriffer le plus possible la tignasse brune décolorée du Hongkongais. Histoire qu’il ait encore plus l’air de sortir du lit. Enfin, dans des gestes précis et calculés au millimètre près, William remplit tous les trous de son visage (alors les pensées bizarres on va se calmer tout de suite) avec divers piercings, que ce soit à l’arcade, la lèvre, les oreilles, tout y passe. Une vraie passoire. Ils sont tous assez récents, en vérité, et il les avait faits plus pour agacer ses parents qu’autre chose. C’est qu’il est trop rebelle, vous comprenez. Mais au final, ce style lui plaît plutôt bien.

Ensuite, il enfile son uniforme aux couleurs de la maison du lion, puis il prépare rapidement son sac. Une dernière caresse à Wendy, et on file vers la grande salle. Dans les couloirs, William se fond plutôt dans la masse. Haut (c’est un grand mot) d’un mètre soixante-cinq, il se rassure en se disant qu’à 15 ans, il n’a même pas commencé à grandir, d’abord. Il n’est pas bien lourd non plus, et avec ses 52 kg, on pourrait presque voir ses côtes s’il soulevait sa chemise. Mais il ne la soulève pas, bien heureusement. Il veut épargner à la populace la vue d’une cicatrice qu’il définit d’ignoble. Couvrant son flanc droit, cette marque de brûlure le fait tellement complexer qu’il est du genre à garder un t-shirt pendant les camps de vacances d’été, quittes à ne pas profiter de la mer, au moins il n’a pas à craindre le regard des autres. Et c’est tant mieux.
Histoire :
« Will, tu t’en vas vraiment ? »

Appuyée dans l’encadrement de la porte, une jeune fille à peine plus âgée que William le fixait, les bras croisés sur une poitrine encore cachée. Ses longs cheveux noirs couvraient ses épaules. Ça faisait d’ailleurs plusieurs semaines qu’elle tannait ses parents pour pouvoir les teindre en roux, mais ils continuaient d’avancer qu’elle était beaucoup trop jeune pour modifier son corps de la sorte. Dans la même optique, William avait encore les cheveux tout noirs et aucun piercing en vue sur son visage. Il ferma sa valise et se redressa. Il détestait parler de magie avec elle, parce qu’elle n’avait aucun pouvoir alors que ses deux parents, l’oncle et la tante du jeune garçon, en avaient. Elle était une Cracmole. Il était un né-moldu. Quelque part, c’était vraiment injuste, mais il était vraiment pressé de partir pour Londres, et son égoïsme lui faisait ressentir qu’il n’échangerait sa place avec elle pour rien au monde.

« Ouais. Mais on pourra s’envoyer des lettres. »

A peine âgé d’onze ans, le visage du jeune garçon était déjà traversé par des cernes violacés. Il évitait soigneusement le regard de sa cousine, ne voulant pas être confronté à ses yeux qu’il savait déjà remplis de larmes. Elle s’approcha de lui et le serra fort dans ses bras. William tapota doucement son dos, un peu gêné. Il n’était pas du tout du genre contacts physiques, mais pour elle, il ferait un effort.

« T’as intérêt hein !
- Allez, pleure pas Irene.
- M’appelle pas Irene !!
- Ben tu t’appelles Irene j’y peux rien moi.
- Lan !
- Irene Lan. Irene est en premier.
- Ce que tu peux être casse-pieds ! »

Dans l’avion, William repensait à cette habitude qu’il jugeait idiote qu’avaient les Hongkongais à donner des prénoms anglophones, souvent mal choisis. Quand il était né, ses parents avaient voulu qu’il ait un tel prénom, pour qu’il réussisse mieux sa vie qu’eux ou ses frères et sœurs, pour qui ils considéraient que c’était trop tard. Il n’était qu’un nourrisson, et pourtant, ils avaient déjà décidé de l’envoyer à Hong Kong, où il aurait une vie de bien meilleure qualité qu’ici, au milieu des champs et de la pauvreté. Heureusement, le frère de la mère Wang était prêt à l’accueillir. Il avait une petite fille d’un an, Irene Lan.

Malheureusement, cela se passa autrement. William grandit au milieu de ses frères et sœurs. Il n’était pas plus chouchouté qu’un autre et n’avait qu’une petite ration de riz au repas, comme tout le monde. Les temps étaient durs pour la famille Wang, et le bambin d’habitude si flemmard était tout à fait en âge de comprendre lorsqu’il entendit son père et sa mère reparler de l’envoyer à Hong Kong. Depuis lors, il se montra extrêmement travailleur. Il allait aider aux champs du mieux qu’il pouvait, il mettait même parfois la table, dans l’espoir que ses parents ne se débarrassent pas de lui. Il voulait rester avec ses grands frères, et était fasciné par sa petite sœur qui venait de rejoindre la famille. Un si petit bébé, avec des mains encore plus petites que les siennes. Il voulait montrer que lui aussi, il était capable d’aider.

Peut-être que son subterfuge marcha, ou tout simplement que les choses se décidèrent autrement, mais il ne fût finalement pas envoyé vivre chez son oncle et sa tante. C’était un soulagement pour lui, qui ne voulait pas aller habiter avec des gens qu’il ne connaissait pas. Ce qu’il ne savait pas, c’est qu’il aurait bien mieux valu pour lui qu’il y aille. Qu’il s’éloigne de ce village trop pauvre, de ces parents tiraillés par les remords et les décisions à prendre, de ces grands frères toujours occupés à travailler, et cette petite sœur dont ils ne pouvaient plus s’occuper.

Il était trop petit. Il n’a rien vu venir. Il n’a rien pu faire quand son grand frère est parti avec la toute petite vers la rivière, et qu’ils ne sont jamais revenus. Il n’a rien pu faire quand son autre grand frère, lui, a quitté la maison pour une plus grande ville. Il n’a rien pu faire quand ils sont arrivés et ont tout ravagé. Aujourd’hui, sa mémoire est altérée, et il n’est pas sûr de tout bien se souvenir. Il ne se souvient pas vraiment de combien de frères et sœurs il avait au début. De combien sont morts et combien ont survécu. Il ne se rappelle que de cette douleur insupportable qu’il avait ressenti sur le flanc, alors qu’une poutre enflammée avait manqué de l’écraser.

William déglutit lorsque l’hôtesse lui proposa à boire et à manger. Estomac sur pattes, il accepta, et commença à grignoter en observant l’étendue blanche par le hublot. Sa vie s’était nettement améliorée après ce drame infâme. D’ailleurs, sa mémoire sélective lui a permis de ne pas être trop traumatisé, puisque ses bribes de souvenirs ne s’apparentaient qu’à des cauchemars. Le jeune garçon se demandait même parfois s’il n’avait pas inventé la plupart de ces événements, mais le trou béant de son arbre généalogique et sa blessure physique le rappellent souvent à l’ordre.

Quand il est arrivé chez son oncle et sa tante, tout changea. C’était une famille de sorciers qui ne lui cachèrent ses pouvoirs que jusqu’aux onze ans de leur fille. William était devenu très proche de sa cousine, et elle lui avait confié qu’elle attendait une lettre très importante pour son anniversaire, sans vouloir lui dire ce dont il s’agissait. Mais lorsqu’elle souffla les bougies et ouvrit ses cadeaux, aucune lettre n’arriva. Il ne comprenait pas pourquoi, pendant une semaine, elle s’était enfermée dans sa chambre. Il ne pensait pas qu’un bout de papier pouvait être si important.

Il ne comprit que lorsque le premier juillet suivant, alors que lui-même soufflait ses onze bougies, il reçut cette lettre qu’elle attendait tant. Elle ne lui en voulu pas. Son oncle et sa tante non plus. Mais il ressentait un immense malaise en lisant la lettre à voix haute. Alors, il était un sorcier. Un vrai sorcier. Avec des pouvoirs et tout ce qui va avec. Jamais pourtant n’avait-il manifesté de bizarreries comme la plupart des enfants avec des pouvoirs magiques le font. Son oncle prit le temps de lui expliquer que ça arrivait, qu’avec les événements qui s’étaient produits dans son enfance, il devait être un peu perturbé.

Autant perturbé qu’il était, c’est d’un air totalement détaché que William fit sa valise ce jour-là. Qu’il dit au revoir à son oncle et sa tante ainsi qu’à sa précieuse cousine au nom ridicule. Qu’il envoya une lettre à ses parents pour qu’ils sachent qu’il allait bien.

C’est tout aussi détaché qu’il découvrit le monde magique et posa les pieds sur le quai 9 trois quarts. Il espérait que peut-être quelque chose l’attendrait, dans cette école dont sa cousine lui avait fait l’éloge quelques jours auparavant.
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MessageSujet: Re: If you don't shine, that's you didn't try enough. | William Lau Wang If you don't shine, that's you didn't try enough. | William Lau Wang Icon_minitimeJeu 8 Sep - 18:06

Re-bienvenue <3

"MOTIVATION : Il se fait recaler aux sélections pour l'équipe de Quidditch chaque année pour manque de sérieux. Frustré, il retente tous les ans, en vain." -> Je suis désolée mais j'ai explosé de rire. /PAN
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MessageSujet: Re: If you don't shine, that's you didn't try enough. | William Lau Wang If you don't shine, that's you didn't try enough. | William Lau Wang Icon_minitimeJeu 8 Sep - 18:57

KanaKanaKanaKana! ♥♥♥ *te hug fort* BIENVENUUUUUUE ovo *ça se trouve, tu te souviens pas de moi, sobsob*
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MessageSujet: Re: If you don't shine, that's you didn't try enough. | William Lau Wang If you don't shine, that's you didn't try enough. | William Lau Wang Icon_minitimeJeu 8 Sep - 18:58

Bienvenuuuuuue !!
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MessageSujet: Re: If you don't shine, that's you didn't try enough. | William Lau Wang If you don't shine, that's you didn't try enough. | William Lau Wang Icon_minitimeJeu 8 Sep - 19:13

Eli : Bawé qui voudrait d'un branleur dans une équipe de sport estépé. :D

Kiku : Tu sais que Lukas c'était moi en fait ?/PAAAN
Mais bien sûr que je me souviens de toi omg. J'ai volé HK à ton copain sur EoE- Ehm.

Lud : Merci Merci :D
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MessageSujet: Re: If you don't shine, that's you didn't try enough. | William Lau Wang If you don't shine, that's you didn't try enough. | William Lau Wang Icon_minitimeJeu 8 Sep - 19:21

...................Wait, pourquoi j'étais pas au courant?! KESESE CETTE HISTOIRE LA?!/shot/
Dans ce cas, rebienvenue, et désolée de ne pas avoir capté la chose plus tôt u_u *se sent conne*
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MessageSujet: Re: If you don't shine, that's you didn't try enough. | William Lau Wang If you don't shine, that's you didn't try enough. | William Lau Wang Icon_minitimeJeu 8 Sep - 19:31

Ilu. ♥
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MessageSujet: Re: If you don't shine, that's you didn't try enough. | William Lau Wang If you don't shine, that's you didn't try enough. | William Lau Wang Icon_minitimeJeu 8 Sep - 19:58

Iiiiiih. ♥
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MessageSujet: Re: If you don't shine, that's you didn't try enough. | William Lau Wang If you don't shine, that's you didn't try enough. | William Lau Wang Icon_minitimeJeu 8 Sep - 20:22

J'ai lu et j'aime beaucoup ton personnage (copainnn d'épouvantard ;;)

Du coup, tu es validoche /0/
Les pensées suicidaires
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Citation: “What you gave me was a reason. Not an excuse. Because there’s sex, making love and fucking. And then there’s you.”
Francis Bonnefoy
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MessageSujet: Re: If you don't shine, that's you didn't try enough. | William Lau Wang If you don't shine, that's you didn't try enough. | William Lau Wang Icon_minitimeJeu 8 Sep - 20:35

Merciiiiiii. <3
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MessageSujet: Re: If you don't shine, that's you didn't try enough. | William Lau Wang If you don't shine, that's you didn't try enough. | William Lau Wang Icon_minitimeJeu 8 Sep - 20:43

I hate you.

...
...

But still I love you. *serre WILLIAM. UR OBVIOUSLY MINE*
;D
Petite COUUUILLÈRE
Petite COUUUILLÈRE
Arthur Kirkland

Mon personnage
Citation: London bridge is falling down, falling down, falling down...
Arthur Kirkland
If you don't shine, that's you didn't try enough. | William Lau Wang Eaac19f5f398cc87aac8235ae12ab8bc

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MessageSujet: Re: If you don't shine, that's you didn't try enough. | William Lau Wang If you don't shine, that's you didn't try enough. | William Lau Wang Icon_minitime

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