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[01/05/1990] La valse des souvenirs {feat Ewarnn Kirkland}

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MessageSujet: [01/05/1990] La valse des souvenirs {feat Ewarnn Kirkland} [01/05/1990] La valse des souvenirs {feat Ewarnn Kirkland} Icon_minitimeLun 4 Mai - 20:30



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Luciano s'était levé tôt ce matin, le soleil pointait à peine le bout de son nez que notre jeune brésilien était déjà sorti de son lit. Malheureusement il n'avait pas son air grognon habituel et ne resta pas cinq minutes à profiter de la chaleur de son petit nid douillet. Il sortit directement de sous la couette, le visage triste et des cernes sous les yeux, puis il se dirigea le plus discrètement possible vers la salle de bain. Il ne fit pas un bruit, on entendait juste la douce mélodie des gouttes d'eau qui coulaient lorsqu'il prit sa douche de manière assez rapide. Il passa devant le miroir mais n'osa pas regarder sa sale mine dans la glace et s'habilla en vitesse, mais pas avec l'uniforme réglementaire de Poudlard. Il enfila juste un pantalon noir et une chemise blanche, plus rien n'indiquait qu'il appartenait à une des quatre maisons de Poudlard, de toute façon il allait sécher les cours aujourd'hui.

Il sortit de la salle d'eau, ses camarades de chambré dormant toujours, puis il jeta un regard vers sa table de nuit. Elle était vide, Luciano avait confié son pot de bébé jonquille klaxon à Madame Bonnefoy hier soir. Il savait qu'elle s'occuperait bien de João, Morgane et Cristina pendant son absence. Notre jeune brésilien pris ensuite son sac, le vidant totalement sur son lit, puis il remit dedans juste son briquet, ses cigarettes, un petit album photo et un carnet. Il se couvrit ensuite de sa cape pour ne pas attraper froid, puis il prit son sac et sortit du dortoir des cinquièmes années à pas de loup. Toute la maison gryffondor était encore endormie à cette heure, il n'y avait personne dans la salle commune.

Il se balada ensuite dans le château tout en essayant de ne pas se faire repérer par le concierge, traversant de nombreux couloirs avant d'enfin pouvoir sortir dans le parc. L'air frais du matin le fit légèrement frissonner, Luciano regarda le ciel qui était légèrement nuageux, il espérait de tout son cœur qu'il n'allait pas pleuvoir, car il voulait passer la journée dehors. Il se dirigea d'abord vers les serres de Madame Bonnefoy pour cueillir discrètement quelques fleurs moldus et en faire un bouquet, puis notre jeune brésilien longea la forêt interdite, s'enfonçant légèrement dans les sous bois jusqu'à une petite clairière non loin de la cabane du garde-chasse. Il avait découvert cet endroit en première année, lorsqu'il cherchait un endroit tranquille pour penser à sa mère.

Notre petit cinquième année déposa le bouquet de fleur au pied d'un arbre et s'assit à côté, laissant la rosée du matin mouiller ses vêtements. Il aurait préféré fleurir la tombe de sa mère plutôt qu'un arbre, mais elle était enterrée au Brésil, affreusement loin de lui. Il prit délicatement dans ma main le chapelet que sa mère lui avait offert et y déposa un doux baiser avant de murmurer en portugais.

-"Tu me manques Maman... Tu me manques tellement... Ça fait déjà dix ans aujourd'hui..."

Luciano regarda le ciel à travers les feuilles des arbres, vu la position du soleil, les élèves devaient se réveiller tout doucement pour aller en cours. Il ferma les yeux, se repliant sur lui-même et laissant les larmes couler. Les bruits de la forêt l'apaisait malgré que les perles d'eau salées continuaient d'envahir ses yeux. Il resta comme ça toute la matinée, dans la même position, il ne bougea même pas pour aller manger à midi. Notre petit brésilien ne sortit de sa mélancolie que dans le milieu de l'après-midi, une voix l'avait extirpée de ses tristes souvenirs de sa mère...




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MessageSujet: Re: [01/05/1990] La valse des souvenirs {feat Ewarnn Kirkland} [01/05/1990] La valse des souvenirs {feat Ewarnn Kirkland} Icon_minitimeMer 6 Mai - 12:07

[01/05/1990] La valse des souvenirs {feat Ewarnn Kirkland}  



Il était tôt ce matin là. Trop tôt pour qu'un élève ne viennent jusqu'ici... Intrigué Dylwenn leva le nez et fixa le jeune homme qui passa devant son enclos. Que faisait ce gamin là ?! … Puis il sentit … et en deux mouvements de dents la porte de son enclos s'ouvrit. Quoi ?! Il avait bien plus de 40 ans, et les serrures quelles qu'elles soient n'avaient plus de secrets pour lui. Poussant la porte de son nez il suivit discrètement le jeune Gryffondor avant de regarder vers la cabane. Pendant toute la matinée il avait fixer le petit, tapis dans l'ombre pendant toute la matinée le Kelpy revivait une partie de sa jeunesse. Mais ce gamin... après l'heure de midi le Kelpy se décida. Trop c'est trop et comme il ne connaissait personne d'autres que Lui, qui comprendrait cette douleur, et qui Lui était doué de la parole.

Sortant de l'ombre, Dylwenn retourna à la cabane et défonça joyeusement la porte d'un coup de tête.


-
Ewarnn était assis a la table, dans la cabane du garde chasse. Pour une fois qu'il était déterminé a corriger ses interrogations, mais un léger défonçage de porte. Abandonnant la tour de Pise que constituait ses copies et fixait son Kelpy. Cet air étrange … ses oreilles en arrière, son regard... Lui il voulait quelque chose. Et comme de juste, Dylwenn attrapa sa veste et le tira hors de cabane.  

« Dylwenn ! Lâche moi, je te suis mais lâche ma veste » dit-il doucement.

Le roux suivit son Kelpy silencieusement et trouva le petit Luciano recroquevillé sur lui-même. Doucement le professeur s’accroupit face a lui et ébouriffa doucement les cheveux de Luciano. Dylwenn lui se coucha près d'eux, sans faire plus de vague. Quant a Ewarnn il fixa le bouquet, le chapelet puis soupira. Ah oui, lui aussi.

« Aye fella... » dit-il la voix légèrement cassé.

Les souvenirs de ses 14 ans revinrent comme une claque. Un étrange sentiment qui remonta et enserra son cœur, comme si il se remettait à la place de Luciano. Comme si il revivait  la douleur encore une fois. Il comprenait maintenant pourquoi Dylwenn avait démonter sa porte, il comprenait pourquoi il était ici. Oh oui il ne savait que trop bien. S'asseyant dans l'herbe à côté du brésilien, il passa un de ses grands bras musclé autour de ses épaules et le serra un peu contre lui.

« Qu'est-ce qu'il y a ? » demanda-t-il calmement.

Ewarnn n'était peut-être pas le meilleur prof du monde, car un prof normal l'aurait engueuler pour ne pas avoir été en cours. Mais Ewarnn était un papa, avec un cœur peut-être trop gros pour son propre bien et voir un enfant pleurer, c'était de loin l'une des choses qu'il détestait le plus au monde.

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MessageSujet: Re: [01/05/1990] La valse des souvenirs {feat Ewarnn Kirkland} [01/05/1990] La valse des souvenirs {feat Ewarnn Kirkland} Icon_minitimeVen 8 Mai - 19:36



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Luciano avait levé ses yeux chocolat remplis de larmes vers la personne qui l'avait dérangé dans sa mélancolie. Il reconnut de suite Monsieur Kirkland, son professeur de soin aux créatures magiques, accompagné de son Kelpy appelé Dylwenn. Notre petit brésilien aimait beaucoup ce professeur, il le trouvait drôle, ses cours étaient passionnant et la matière qu'il enseignait captivait Luciano.

Mais notre jeune cinquième année ne connaissait pas Monsieur Kirkland juste comme un professeur, il le connaissait aussi à travers les anecdotes que lui racontait Gawain sur sa famille. Dans ces récits, Luciano avait l'impression que le petit troisième avait un père aimant, drôle et gentil. Un père de rêve quoi, notre petit brésilien avait toujours rêvé d'avoir un père comme ça à la place du minable qui lui servait de géniteur. Luciano savait qu'au fond, il enviait un peu les enfants Kirkland pour ça, ils avaient une grande famille avec des parents géniaux. De plus, ils étaient tous ensemble réunis à Poudlard...

Luciano sentit une grande main ébouriffer sa tignasse brune alors que le père Kirkland s'accroupit en face de lui. Il s'aperçut aussi que le Kelpy s'installa non loin d'eux. Le petit attrapeur n'osait rien dire, il savait que s'il essayait de parler, sa voix se casserait dans un sanglot. Les perles d'eau salées continuaient de dévaler ses joues, partant de ses yeux rougis par les pleurs puis cessant leur course en disparaissant dans le cou bronzé de notre petit américain du sud ou en s'écrasant sur le sol de la forêt.

Deux énormes bras qui aurait pu casser en deux notre frêle Lulu l'entourèrent doucement et le serrèrent délicatement contre le professeur. Luciano sentait que Monsieur Kirkland essayait de le réconforter, il trouvait que l'étreinte du roux avait plus l'air d'un câlin paternel que d'une accolade que donnerait un simple professeur. On voyait qu'Ewarnn était un père avant tout, là où un autre professeur aurait disputé Luciano pour avoir séché les cours, Monsieur Kirkland le consolait.

En entendant son professeur lui demandait ce qu'est ce qui le rendait si triste, Luciano ne put que se décider à tout lui avouer. Il prit une grande inspiration pour se donner du courage et réfléchit un peu pour trouver ses mots avant de commencer à parler.

-"Aujourd'hui... Enfin, il y a 10 ans... Ma mère est décédée d'un accident de la route."

Les larmes de Luciano redoublèrent alors que sa voix tremblait sur la fin de la phrase. Il avait toujours du mal à accepter le fait que sa mère soit morte. Il n'avait pas bien compris quand il était jeune ce qu'il s'était passé quand le camion avait renversé sa mère. Il n'avait pas compris non plus pourquoi on mettait sa mère dans une boîte sous terre. On lui avait dit qu'elle s'était endormie pour toujours, mais enfant Luciano n'y croyait pas. Il pensait que sa mère allait bien finir par se réveiller et revenir vivre avec son père et lui. C'est pour ça qu'il avait attendu sur le palier pendant des semaines que sa mère revienne, il voulait être le premier à lui faire un câlin quand elle serait de retour. Il avait même protesté quand son père lui annonça qu'ils allaient déménager. Il avait eu peur que sa mère ne les retrouve jamais s'il changeait de maison.

Mais aujourd'hui, Luciano n'était plus un enfant, il savait qu'elle ne reviendrait jamais et qu'il n'aurait jamais l'occasion qu'elle la sert à nouveau dans ses bras. Luciano avait grandi, il avait compris le tragique évènement, il savait maintenant que la mort pouvait vous faucher à n'importe quel instant et qu'elle était irréversible.




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MessageSujet: Re: [01/05/1990] La valse des souvenirs {feat Ewarnn Kirkland} [01/05/1990] La valse des souvenirs {feat Ewarnn Kirkland} Icon_minitimeJeu 4 Juin - 13:21

[01/05/1990] La valse des souvenirs {feat Ewarnn Kirkland}  


Ewarnn fixa le petit brésilien et se mordit la lèvre, le serrant davantage contre lui. Si a Poudlard beaucoup de professeur pouvait comprendre ce que c'était que de perdre un être cher, lui, Ewarnn ne savait que trop bien ce que c'était que de perdre une mère. Sa mère était morte alors qu'il avait le même âge que Luciano aujourd'hui. Et accepter que sa maman, cette force de la nature, cette sorcière unique et excentrique avait pu mourir si jeune, c'était encore aujourd'hui difficile. Caressant doucement les cheveux de Luciano le grand roux essaya de rassembler son courage et sourit un peu..

« Je sais ce que c'est Luciano » dit-il doucement.

Oh la phrase habituellement utiliser, pour dire : « hey gamin chiale pas, tout le monde passe par la »... mais Ewarnn n'était pas les autres, et ravalant la fierté du professeur et du père de famille. Il continua la voix brisé.

« ça va faire 36 ans que ma maman est morte et il ne se passe pas un jour sans que je ne pense a ce qu'aurait été ma vie, si ma mère était toujours vivante.  » Il marqua une pause et ravala sa salive pour essayer de reprendre une voix correct. « Vivre sans sa mère c'est pas facile hein fella ? Mais au final on a pas le choix... » de son pousse il essuya les larmes du petit brésilien et le regarda dans les yeux. « Mais devenir papa a mon tour, m'a appris une chose. Aucun parent qui se respecte, n'aime voir son bébé pleurer. Je suis sur que ta maman, ou qu'elle soit, ne voudrais voir de larmes dans tes yeux. » Puis il leva les yeux vers le ciel et afficha un petit sourire « En tous cas, si moi je venais a disparaître, je ne voudrais pas qu'on me pleure, mais qu'on rit »

Les souvenirs de ses 14 ans étaient maintenant bien loin et en 36 ans, beaucoup de choses avaient changer. Son père aussi était partit... ses fils et sa fille étaient entrer dans sa vie et il avait découvert ce que ça signifiait d'être un père. Mais il avait aussi découvert les joies de l'enseignement, les angoisse aussi et puis étant le papa poule qu'il était, Ewarnn ne pouvait s'empêcher de materner les enfants des autres. Il ne supportait pas de voir un gamin pleurer.. c'était comme devenu un réflexe. Les larmes n'étaient pas faite pour couler sur les joues d'un enfant qui n'avait rien demander, les larmes n'avaient pas lieu de couler sur les joues d'un enfant a qui le destin avait probablement tout arracher. Les larmes devaient couler de bonheur, des fou-rires trop intense, de l'amour innocent, mais pas de douleur et de peine.

Lentement, car le sol était pour le moins bas, Ewarnn se redressa un peu. Il s'accroupit devant Luciano et lui offrit un sourire.

« Ta maman serrait très fière de toi. » dit-il avec un doux sourire sur les lèvres « Mais si tu veux bien, on va aller discuter à l'intérieur de la cabane, car l'herbe humide, c'est bon pour attraper un rhume, et ni toi, ni moi ne souhaitons nous moucher alors que les beaux jours vont arriver, n'est-ce pas ?  »

Se relevant d'un coup, le grand roux tendit la main au petit brésilien pour l'aider a se lever. C'était à lui de voir, si il acceptait l'aide du professeur ou si il restait la, seul. Mais ce que Luciano ne savait pas, c'est qu'a partir de ce moment la Ewarnn allait veiller sur lui, comme il veillait sur ses propres enfants.

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MessageSujet: Re: [01/05/1990] La valse des souvenirs {feat Ewarnn Kirkland} [01/05/1990] La valse des souvenirs {feat Ewarnn Kirkland} Icon_minitimeDim 28 Juin - 3:09



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Luciano écoutait sans rien dire ce que lui racontait le professeur, ses larmes ne se tarissaient pas malgré le tendre réconfort que lui apportait le grand roux en caressant la tignasse du petit brésilien. Notre jeune attrapeur n'avait jamais été aussi proche d'un professeur, Ewarnn avait vécu la même chose que lui, l'adulte avait aussi perdu sa mère quand il était enfant. Luciano sentait que la douleur d'avoir perdu un parent était toujours présente chez Monsieur Kirkland, mais il voyait aussi que le temps avait rendu supportable cette affreuse souffrance, le professeur arrivait maintenant à vivre avec. Luciano fut un peu surpris mais laissa Ewarnn essuyer ses larmes, c'était rare qu'un adulte soit aussi proche de lui. Il acquiesça quand le roux évoqua la difficulté de vivre sans sa mère, puis il rajouta en murmurant, plus pour lui-même que pour le professeur.

"-Les parents qui se respectent sont rares alors..."


En prononçant cette phrase, Luciano accusait son père. Un père dévasté par la mort de sa femme, un père qui arracha notre jeune brésilien à sa famille maternelle et son pays natal pour essayer d'oublier la femme de sa vie, un père qui n'éleva pas son enfant préférant se noyer dans sa tristesse. Luciano en voulait à son père qui, depuis la mort de sa femme, n'avait rien fait pour son enfant. Rien. C'était João qui lui avait enseigné l'espagnol, Antonio qui avait partagé son goûter avec lui, Benjamin qui lui avait montré comment faire ses lacets, Sebastian qui lui avait appris à faire du vélo... Même le nourrir et le loger, son père ne savait pas faire cela correctement ! Luciano était sûr que les parents Carriedo l'avait bien plus vu grandir que son propre père.

Luciano avait tout fait pour attirer l'attention de son père. Il eut de très bonnes notes, puis de très mauvaises, il se faisait remarquer en classe, essayait d'être turbulent, bavard... Mais rien de tout cela ne fonctionnait. Depuis quelques années pendant les vacances, l'attrapeur s'était même mis à découcher ou à rentrer tard le soir, mais ça n'inquiétait pas plus que cela son paternel. Le jeune brésilien avait fini par comprendre que son père ne se remettrait jamais de la perte de sa femme, que l'homme heureux et joyeux qu'il connaissait et qui s'occupait de lui était mort en même temps que sa douce aimée. Son père ne vivait plus, il survivait. Et Luciano ne considérait maintenant plus ce survivant comme son père. Il n'était plus qu'un géniteur ne faisant plus parti, dans le coeur de notre petit cinquième année, de sa famille.

Luciano n'ayant plus de vraie famille, il avait donc décidé de s'en former une grâce à ses amis. Il s'était d'abord entouré des Carriedo, puis de Daniel et Sebastian... Mais après sont arrivées à Poudlard, école qui est devenue pour Luciano un véritable foyer, notre petit joueur de Quidditch étendit sa famille à toute la maison Gryffondor. Malgré tout, notre jeune attrapeur rêvait de pouvoir avoir un jour une famille de sang. Toutes une smala d'enfants criant, jouant et riant dans une maison convenable et un époux aimant, voilà tout ce que demandait Luciano. Ca serait pour lui le futur parfait, il n'en demandait pas plus pour être heureux. Il voulait juste créer la famille qu'il aurait souhaitée avoir pendant toute son enfance.

La voix du grand roux fit redescendre Luciano sur terre, il écouta la proposition du professeur, pesant le pour et le contre... Le petit brun finit par accepter l'aide de Monsieur Kirkland, attrapant la main du professeur, puis ramassant ses affaires une fois debout. Le brésilien avait besoin de parler à quelqu'un, mais une personne adulte, pas à un de ses camarades qu'il ennuierait avec ses problèmes. Luciano suivit le professeur de soins aux créatures magiques jusqu'à sa cabane, ne se remettant à parler qu'une fois à l'intérieur de celle-ci.

"-Je ne pense pas vraiment que ma mère soit fière de moi... Je ne suis pas le fils parfait... Je fais souvent des conneries et j'ai des sales notes en classe... Il doit y avoir des enfants mille fois mieux que moi... Au moins, ce qui me rassure, c'est que je ne dois pas être le seul qui lui fait honte quand elle nous regarde de là-haut..."




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