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Oh ! Un serpent ! ... GYAHHH ! UN FANTÔME JUSTE DERRIÈRE !

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MessageSujet: Oh ! Un serpent ! ... GYAHHH ! UN FANTÔME JUSTE DERRIÈRE ! Oh ! Un serpent ! ... GYAHHH ! UN FANTÔME JUSTE DERRIÈRE ! Icon_minitimeVen 24 Juil - 2:34

Njoya Aasir
Kenya
Nom : Njoya
Prénom : Aasir
Date de naissance : 12/12
Lieu de naissance : Au Kenya, dans une tribu Masaï
Âge : 14 ans
Année scolaire : il rentre en quatrième année
Maison : Gryffondor
Animal de compagnie : une jolie et mignonne biquette naine, nommée Tybiscuit *ouais, le nom de ma biquette naine qu'on a donné et qui a eut un petit o/*
Ascendance : Né-moldu
Fratrie : /
Motivation : éleveur de chèvres, y'a ?
Don : être toujours effrayé par les fantômes de l'école, même après trois ans à les cotoyer. Ça relève pas du don, ça ?

Baguette : bois de poirier, plume de phœnix, trente-deux centimètres
Patronus : rhinocéros
Epouvantard : Voir toute sa tribu disparaître
Reflet dans le miroir du Riséd : fait l'honneur de sa tribu, en étant devenu un grand sorcier, mais aussi un homme modèle pour la tribu.
Odeur de l'Amortentia : les odeurs des différents thés qu'il a bu à de nombreuses reprises, la mangue, un fruit qu'il adore, ainsi que la terre sur laquelle il courait étant petit, à la poursuite des nombreuses chèvres et moutons de sa tribu.
Votre personnage peut-il voir les Sombrals : Non
Matière préférée : Astronomie
Matière détestée : Histoire de la magie
Options : Soins aux créatures magiques, Étude des Runes et Divination
Franc
Trop franc
Sportif
fainéant
attentif
timide
Sens de l'humour
Grand
Gentil
Maladroit
Optimiste
Susceptible

Caractère :
Aasir, ce n'est pas un gars du genre peureux, sauf dans certains cas, surtout quand ça touche au ''paranormal''. Mais déjà, il n'a peur d'aucun animal vivants dans ce monde. Il a même tendance à les approcher, même si ils sont dangereux. Une tarentule, un serpent, un lion, rien ne l’effraie. Sur ce point, on pourrait le décrire aussi comme fou. Oui, fou des bêtes sauvages. Mais si on lui parle d'esprits, de fantômes et de tout ce qui va avec, il peut devenir très tendu. Il n'aime pas vraiment ces êtres étranges et autres créatures leur ressemblant. Il en avait même peur à son arrivée à l'école, se figeant à chaque rencontre avec Sir Nicolas ou autres de ses camarades. Et il en a peur encore aujourd'hui. Dès qu'il voit un fantôme… il hurle. Comme une fille.

C'est un garçon très croyant, et un grand pratiquant dans la religion chrétienne, enfin, surtout avant son entrée à l'école, lorsque la religion faisait aussi parti de son quotidien. Il est très sensible pour tous les sujets se rapprochant de la religion, en particulier du christianisme, dont il est adepte depuis tout petit. Et même si il est sorcier, il n'aime pas qu'on critique sa croyance et qu'on blasphème devant lui. En parlant de sorcellerie, il est maître pour faire des gaffes en jetant un sort. C'est pourquoi il préfère les matière ne nécessitant pas ou très peu sa baguette magique.

Sinon, c'est quelqu'un d’extrêmement attentif et toujours à l'écoute des autres. Ce n'est pas un garçon très bruyant, au contraire, il sait se faire discret dans n'importe qu'elles conditions, surtout quand le moment est mal choisi pour se faire remarquer. Il est même un peu timide, voire trop avec ceux qu'il connaît pas. Mais quand on le connaît, il est beaucoup plus ouvert ! Lorsqu'on devient ami avec lui, c'est pour très longtemps, et il sera toujours prêts à apporter son aide à quiconque (cela dépend tout de  même de la nature de l'aide). Mais il est aussi très franc, méprisant le mensonge au plus haut point. Que votre look soit catastrophique ou que votre nourriture soit infect, il le vous dira sans ménagement.

Aasir est aussi quelqu'un de très TRÈS frileux. Ayant vécu les premières années de sa vie dans la savane, il a du mal à supporter l'hiver anglais. Quand il neige, il ne sort quasiment jamais, et lorsque les températures sont en dessous de 0°c, c'est à ne pas y tenir. Il essaye toujours de se réchauffer un maximum, quitte à porter sur lui tous ses vêtements et ressembler à bibendum.

Il n'est pas un grand fan des cours, mais il apprécie grandement une bonne partie des matières proposées à l'école. Il aime particulièrement l'astronomie, où il découvre le ciel et ses nombreuses étoiles, ou encore la divination. Il aime aussi la botanique, et s’intéresse surtout sur leurs propriétés médicales. Ayant vécu dans une tribu masaï, il connaît de nombreuses choses vis à vis des plantes, mais beaucoup de celles entreposés dans les serres de l'école (pour ne par dire toutes) lui étaient inconnus, et il avait adoré en apprendre plus sur celles pouvant guérir. C'est aussi une raison pour laquelle il aime les cours de potion, pour toujours en apprendre plus sur toutes les potions pouvant avoir un quelconque effet sur le corps humain.

Il aime faire du sport, et dès que les températures commence à se faire douce, il sort dehors se défouler, et principalement faire le tour du lac en courant. Il apprécie aussi le Quidditch, mais le fait que les balais volent, il a encore du mal. En fait, la magie, c'est toujours pas son truc. Mais il se débrouille comme il peut, et il finira sûrement par devenir un grand sorcier !

Physique :

Grand. Très grand. Trop grand même, diront certains de moins de 1m60. Car oui, Aasir, de ses 1m83, est de très grande taille, et il n'a pas fini sa croissance ! Beaucoup de son âge se doivent de lever la tête pour lui parler, mais tout le monde dans son environnement s'est habitué à devoir faire de grand efforts au niveau cou pour lui parler, tandis que lui baissait la tête.

Un visage plutôt arrondi, avec des yeux foncés en amande, et des sourcils légèrement broussailleux.  Et puis il a une large bouche, et des oreilles légèrement décollés, avec aussi un nez assez volumineux et un peu aplati. Et c'est cheveux, court, parfois tondus à la racine, mais lorsqu'ils repoussent, ils s'emmêlent, boucles en forment comme une moquette, ce tapis que vous posez sur le sol, souvent mauve où turquoise, remplis parfois de miettes de pains, reste d'un ancien goûté. Sauf que là, ni miette de pain, c'est propre, et c'est d'un noir d'encre. Et sa peau elle aussi est très foncé, comme du chocolat noir, avec 70 % de cacao.

Il est aussi musclé, à force de travailler avec les troupeaux de moutons, de chèvres, vaches, mais aussi à d'autre travaux nécessitant de la force au sein de sa tribu. Car de la force, il en a pas mal, mais c'est pas superman non plus. Et dès qu'il fait froid, il est toujours chaudement habillé. Quand il neige, c'est tout juste si il a pas sa grade robe en entière sur lui, et il fini souvent pas ressembler au bonhomme Michelin là… ah oui ! Bibindomme ! C'est ça ! Bon, après tout, le ridicule ne tue pas. Mais sinon, il porte des vêtements simple, souvent fait par ses propres moyens, à la main, avec le tissus qu'il achète ou qu'il empreinte. Des vêtements déchirés ? Il les répares, et quand c'est aux autres, il s'en occupe aussi et le refait comme neuf. Ses chaussures, il les portes souvent que par nécessité Il préfère aussi être pied nu, pour un meilleur contact avec le sol et la terre. Mais si une couleur reviens souvent dans ses vêtements, c'est le rouge, symbole de puissance, omniprésente sur les habits des membres de sa tribu.

Histoire :

« GYAAAHHHH! »
Et le voilà encore qui s'enfuit à l'autre bout de l'école. Et pourtant, Sir Nicholas lui avait juste fait un signe de main, et dit un simple bonjour. Mais rien y fait, il faut encore qu'il soit effrayé, qu'il pousse ce foutu cri de femmelette avant d'aller se réfugier dans un coin tranquille, qui souvent est dans son lit.
Mais Aasir, qui connaît son passé, à ce garçon profondément terrifié par les fantômes et tout ce qu'il appelle ''ces choses paranormales'' ?
Il est né très tôt, le 12 décembre 1976, dans une tribu masaï qui perpétuait encore bon nombre de traditions ancestrales, et dont le nombre de vaches, de moutons et de chèvres étaient considérables.
Dès le début, on l'a très peu entendu, le Aasir. Il ne pleurait presque jamais, et il se fallait de le forcer pour voir sa bouille se déformer avant qu'il ne se mette à brailler, comme le faisait les nouveaux nés. Mais lui, dès le début, il se différenciait des autre, mais au moins, il laissait ses parents dormir en paix les nuits où tout autre bambins auraient hurlés pour un peu de lait maternelle.
« Qu'il est sage, et qu'il est vigoureux ! » Gazouillait sa mère dès qu'elle lui donnait le sein.
Puis il a grandit, toujours aussi discret, puisqu'il ne pleurait toujours que très rarement. Il préférait ne pas gaspiller son énergie pour plus vite partir à la rencontre du monde, d'abord à quatre pattes, puis debout, s'échappant souvent de son petit berceau fabriqué à la main par sa mère, qui était une forte et brave femme, qui se devait toujours de ramener le petit Aasir à la maison lorsqu'il s'enfuyait dehors et se cachait entre les différentes maisons de terre et de paille.
Bien vite, il a apprit à marcher, à courir, à chasser et à élever les animaux tels les vaches et moutons. Il s'est vite créer un lien fort avec toutes sortes d'animaux, et il n'avait jamais peur de prendre dans ses mains un serpent ou d'approcher un lion pour en caresser la crinière, pour ensuite éviter un coup de griffe de l'animal et rentrer en courant chez lui, puis se faire tirer les oreilles et entendre sans relâche les remontrances de sa mère.
Quant à son père, quand maman, avec les autres femmes, s'occupaient du repas du soir, il emmenait le jeune Aasir apprendre à mieux chasser, mieux se cacher dans les fourrées hautes, ou encore, il lui apprenait à reconnaître certaines plantes à certains effets médicales, comme guérir de maux de tête ou de vilaines blessures. Et en plus de tout cela, Aasir fut baigné dans la religion chrétienne, religion qui avec le temps a remplacé les anciens dieux que vénéraient autrefois les Masaï.
C'est vers ses huit ans que, sans prévenir, une vieille tante de la tribu, qui avait quitté cette vie de massai pour la ville dans la capitale, revint parmi les siens. Cette bonne femme avait déjà quelques rides, et quelques cheveux gris, mais elle était très gentille. Et tout ce qu'elle avait appris en allant à l'école en ville, elle l'enseigna à sont tour à tous les jeunes enfants de la tribus, qui n'étaient toutefois pas très nombreux, puisque certains n'étaient encore que des bébés ou trop jeunes, et les plus âgés finissaient leur apprentissages de tout bon massai auprès des adultes, si bien qu'on ne trouvait comme élèves que ceux âgés de 8 à 14 ans. La tante, elle apprenait aux plus jeunes la base des mathématiques, de la géographie, mais aussi de l'anglais, tandis que dans la tribu, on ne parlait que le Swahili, une des deux langues officielles du pays.
Mais en plus des cours qui seraient basiques pour un enfant de huit ans, la tante leur parlait de religion, mais aussi de choses paranormales qu'elle aurait vu ou entendu, comme l'existence de fantômes dans certains endroits dit hantés. Ces histoires, elle les racontait dans la soirée, au moment où le feu de bois commençait doucement à s'éteindre, faisant frissonner de terreur les plus jeunes, et rire les adultes, qui savaient reconnaître dans les paroles de la tante une part de mensonge. Mais ce qu'elle racontait semblait tellement réel aux yeux du jeune Aasir. Car dans ses rêves, il se voyait flottant dans le ciel, croisant des animaux les plus improbables qu'il n'aurait pu imaginer, ou encore des être translucides à l’allure déformé parcourant les couloirs de maisons et de châteaux sinistres, parfois barbouillés de sang. Et la description qu'en faisait la tante le terrifiait encore plus, si bien qu'au bout d'un moment, il ne pouvait plus supporter ces histoires, et se couchait immédiatement le repas terminé, lorsque le soleil peinait à descendre et se cacher sous l'horizon. Cela faisait d'autant plus rire les adultes, de le voir ainsi réagir et se planquer dans son lit, mais sa mère finissait par s'inquiéter.
Et c'est justement un soir comme celui là qu'Aasir découvrit que quelque chose ne tournait vraiment pas rond chez lui. Sa mère venait de s'asseoir à ses côtés, sur le bord du lit. Elle lui caressait doucement les cheveux toujours coupés court, mais lui la repoussait, en grognant qu'il avait besoin d'être seul. Mais elle a insisté pour rester, ce qui énerva au plus au point Aasir, qui se releva et juste avec un geste de la main, fit valser, sans comprendre comment, une table et des chaise se trouvant au centre de la maison, et qui se fracassèrent sur les parois de leur habitation.
« Je… Je ne veux plus qu'on parle de ce genre d'histoire, celles avec les fantômes et le paranormal… Et je ne veux pas qu'on parle de ce qui vient de se passer. »
Et plus le temps passa, et plus il faisait ces rêves dont il en avait horreur, se réveillant en sursaut à chaque nuit où ça lui revenait, tout transpirant.
Mais en oubliant ces nuits difficiles, la vie continuait calmement pour Aasir. Et avec le temps, il lui une amitié profonde avec une gentille chèvre naine, qu'il nomma Tybiscuit, et il la gardait sans cesse avec lui, même quand il se devait de chasser avec les adultes. Et bizarrement, quand elle dormait avec lui, Aasir ne faisait plus ces horribles rêves.
Et puis, un jour bien ensoleillé, une étrange lettre est parvenu jusqu'à la vieille tante, et qui portait dessus le nom d'Aasir. Elle la lui donna, curieuse, en particulier pour la précision de l'adresse marqué au dos de l'enveloppe. Le jeune Kenyan l'ouvrit d'un simple geste, gardant la lettre dans la main, et donnant le reste à manger à sa chèvre.
Et dans cette lettre, on parlait d'une école, d'une inscription, au Nord de l'Europe, au Royame-Uni.
Des sorciers.
De la magie.
Poudlard.
Il s'est évanoui.
Et même si aujourd'hui, il est élève à Poudlard depuis trois années, et est prêt à entamer sa quatrième année, sa peur fantômes et du ''paranormal'' est toujours aussi présente.

Pseudo : louna-Kiddo
Âge : 17 piges ma gueule !
Sexe : je sais plus...
Comment avez-vous connu le forum : Poker !
Commentaire : euh… J'ai faim et envie de dormir...
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