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Dossier d'une hongroise || [UPDATE FINIE]

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MessageSujet: Dossier d'une hongroise || [UPDATE FINIE] Dossier d'une hongroise || [UPDATE FINIE] Icon_minitimeDim 11 Jan - 21:28

Héderváry (Erzsébet) Elizaveta
Hongrie
Nom : Héderváry
Prénom : Erzsébet « Elizaveta »
Date de naissance : 20 août
Lieu de naissance : Budapest, Hongrie (supposé du moins)
Âge : 18 ans
Année scolaire : 8ème année
Maison : Gryffondor
Animal de compagnie : Un adorable hiboux Grand-Duc offert par son père et nommé Erõ, « force » en hongrois. Il est très câlin et très protecteur envers Eli, qui en retour lui confie tous ses secrets.
Ascendance : Sang-mêlée mais déclarée Sang-pur
Fratrie : Pas de sang, mais elle considère Luciano comme son petit frère et à plus forte raison la plupart des Gryffondor (exceptés deux-trois PNJ -Max et Logan, on pense à vous- et le roumain).
Motivation : Elle sait frapper, donc batteuse dans l'équipe de Quidditch de Gryffondor <3 Sinon, préfète des Gryffondor (et récemment préfète-en-chef), car elle se soucie du bien-être de ses camarades. Elle a le contact facile avec les plus jeunes et sait se faire respecter. Et elle veut pouvoir être une grande sœur pour tous <3
Don : Maniement de la poêle quasi-surnaturel, ça compte ? ~

Baguette : Prunellier, plume de phœnix, vingt-huit centimètres et demi, assez flexible.
Patronus : Un magnifique cheval ~  
Epouvantard : Voir son père et ses proches se faire attaquer par un loup-garou.
Reflet dans le miroir du Riséd : Elle, en tenue d'Auror, avec, légèrement dissimulée, une alliance à la main.
Odeur de l'Amortentia : L'odeur du paprika ; l'odeur du Whisky Pur-Feu ; l'odeur des tulipes
Votre personnage peut-il voir les Sombrals : Oui, depuis le campement.
Matière préférée : Défense Contre les Forces du Mal
Matière détestée : Astronomie... Surtout à cause des horaires, en fait, puisqu'elle se débrouille pas si mal quand même.
Options : Soins aux Créatures Magiques, Etudes des Moldus, Arts et Musiques Magique.
Courageuse
Têtue
Douce
Impulsive
Loyale
Fière
Joyeuse
Obstinée
Optimiste
Casse-cou
Libre
Susceptible
Caractère :
Comment décrire Elizaveta simplement ?

Eh bien, cette jeune fille, presque femme, est à la fois fière et courageuse, n'hésitant pas à se battre pour ses convictions et ses amis, prête à s'engager dans n'importe quel combat à leur côté – ce qui fait d'elle une personne très loyale, assurément. Sa fierté la pousse parfois à se comporter d'une façon qu'elle regrettera par la suite – mais cette même fierté l'empêchera de s'excuser auprès des personnes concernées. Seulement quelques unes auront le privilège de la voir abandonner toute fierté pour privilégier l'entière honnêteté avec eux, et elles sont rares.

Mis à part cela, notre Gryffondor est très têtue et obstinée – elle campe sur ses positions sans jamais les abandonner, même si elle se sait en tort, surtout dans ces cas-là, en vérité. Si elle se sait détenir le juste raisonnement, elle n'en sera aussi que plus tenace – après tout le vrai est avec elle, alors elle peut se permettre d'insister encore et encore, non ?

Sa loyauté, encore une fois... Peut la pousser à aller dans l'extrême. Même si elle ne s'est jamais retrouvée dans une position pareille, elle sera certainement prête à tuer pour protéger les êtres qui lui sont cher. Elle sera toujours très inquiète en cas de blessure ou de dispute, prouvant alors l'étendu de son instinct maternel – qui se réveille autant en présence des plus jeunes élèves que certains Gryffondor dont elle est vraiment proche, tel Luciano, ou même celui qu'elle considère comme son fils de cœur, Feliciano.

Les gens autour d'elle peuvent rapidement se rendre compte de la douceur dont elle peut faire preuve, de son calme souvent qu'apparent – après tout, elle monte rapidement sur ses grands chevaux et passe rapidement du calme à la joie exprimée très clairement, voire la colère – ainsi que de son optimisme. Mais tout cela n'empêche certainement pas la jeune fille de réfléchir à une situation et de prendre des décisions dans la rapidité, possédant de bons réflexes acquit grâce à un travail constant pour les cours. Cette impulsivité la pousse cependant à agir sans réfléchir la plupart du temps. Cette manière de régir au quart de tour se traduit par sa susceptibilité – si elle connaît l'autodérision et n'hésite pas à l'appliquer au besoin, elle accepte moins les critiques négatives envers sa personne et surtout envers ses protégés. Cependant, sa fonction de préfète la pousse à prendre en maturité et à rester plus calme dans de pareilles situation – mais la chute n'en est que plus dure pour les personnes en face.

Le courage dont elle fait preuve est poussé jusqu'au bout, si bien qu'elle en devient casse-cou et à la recherche de l'adrénaline. Pour autant, elle ne va pas chercher exprès les ennuis – mais un petit défi de temps en temps, c'est toujours excitant, non ? L'adrénaline qui te fouette le sang est une sensation agréable pour elle, plus elle frôlera l'interdit plus elle profitera de la situation.

Mais Erzsi, c'est également une personne avec un grand cœur, aimante et toujours prête à donner un coup de main. Oh, bien sûr, certains de ses condisciples peuvent cordialement aller se faire voir pour qu'elle leur accorde quoique ce soit, mais notre préfète fait de son mieux pour être impartiale et juste dans ses jugements – bien que cela lui soit parfois difficile. Elle aime voir les gens heureux, surtout ses amis et seconde famille ; elle n'hésitera pas à faire tout ce qui est en son pouvoir pour concrétiser ce bonheur.

Si il y a bien un défaut qu'elle n'a pas, par contre, est la possessivité. Très peu souvent jalouse et tenant à sa liberté, elle conçoit parfaitement que les gens autour d'elle tiennent à la leur aussi ; si bien qu'elle n'en fera pas cas si on lui demande de l'espace ou autre. Cependant, si elle constate que la personne en face d'elle ne va pas bien, elle fera tout pour l'aider. Elle a aussi parfois du mal avec les personne à tendance trop possessive ou jalouse, et ne mâchera pas ses mots pour le leur faire remarquer.

Mais Erzsébet, Elizaveta se traduit par un mot, un seul – après tout, qu'importe le gens autour d'elle, elle seule se dicte sa propre conduite : liberté.
Physique :
A quoi ressemble Elizaveta ?

C'est une jeune femme qui, du haut de son petit mètre soixante-et-un (et demi, elle y tient), en impose pourtant. Toujours droite, le port fier, elle plante ses yeux dans ceux de son vis-à-vis pour lui parler et ne détourne que rarement le regard – souvent elle est gênée ou ment à cet instant. Elle hausse souvent les sourcils, comme pour demander des explications ou exprimer son incrédulité ou surprise face à un événement. Elle aura aussi tendance à s'avachir à chaque coup de barre, perdant alors toute la noblesse des Sangs-Pur que son père lui a enseigné. Habituée aux jurons, elle en profère de temps en temps – même si elle évite face aux plus jeunes -, et ne se gêne que très rarement dans son comportement. Son comportement se rapproche parfois – souvent – de ce qu'on appelle un « garçon manqué » ; après tout, le fait que son père l'ait élevé comme un homme Sang-Pur se devait de se refléter quelque part.

Mis à part dans son comportement, Erzsi ressemble à une vraie femme dans son physique. Petite et supposée souvent à tord fragile – ceux qui le pense l'oublient souvent quand ils la voient manier sa batte de Quidditch – elle possède des formes indubitablement féminines, et quelques rondeurs traînent au niveau de ses cuisses, ventres, hanches et poitrines. Oh, elle n'est pas grosse, loin de là – son poids, une bonne cinquantaine de kilos, est normal pour sa taille – mais la bonne chaire dont elle se nourrit laisse ses traces sur son corps. De plus, les muscles qu'elle possède et qu'elle s'est acharnée à développer à une époque sont encore là et lui donnent ses formes également. Oh, n'allez pas croire qu'elle ne sait plus se défendre à présent – elle a encore pas mal de force, de réflexe et de muscles, elle a juste laissé tomber ses entraînements réguliers lorsqu'elle est devenue préfète.

Sa peau, représentative des magyars, ne peut être définie comme claire ou bronzée, mais possède une carnation plus ocre. Plutôt lisse, le caractère casse-cou de la jeune femme a laissé ses traces sur son corps – une cicatrice en arc de cercle au-dessus du genoux gauche, quelques unes sur les doigts de ses mains, une au niveau du coude droit, et une sur le côté droit de sa tête mais cachée par ses cheveux.

D'ailleurs, ses cheveux, parlons-en. Une crinière châtain qui lui atteint le milieu du dos, toutes en ondulations, souvent désordonnées, attachée à ses convenances – lorsqu'elle fait du sport, ou qu'elle travaille, particulièrement. Elle les a toujours gardé long – même au temps où elle se prenait encore pour un garçon, avant sa rentrée à Poudlard. La particularité de sa chevelure, est d'être décorée par une tulipe perroquet blanche et rouge – la tulipe est, de plus, l'emblème floral de son pays natal, la Hongrie. Cette fleur lui a été offerte lors de sa première rentrée, par son père, qui lui a d'ailleurs jeté un sort pour qu'elle ne fane jamais – depuis ce jour, Erzsi en prend grand soin.

Ses yeux, quant à eux, sont d'un vert profond, souvent rieurs ou moqueur, tendre ou aimant, mais peu porté à exprimer de la colère. Ils sont souvent assombrit par une pointe marron clair qui vient ternir son regard, à l'image souvent du temps à l'extérieur. Encadrés par des cils plutôt long, et surmonté de sourcils naturellement fins, plantés de part et d'autre d'un nez droit et fin, ses lèvres fines complètent son visage. Visage qui a perdu ses dernières rondeurs d'enfants, laissant place à des pommettes hautes, des traits fins quoiqu'un peu rudes.

On ne peut pas dire qu'Erzsi est un canon de beauté, mais elle possède un certain charme dont elle n'est elle-même pas forcément consciente. Elle se sent très bien dans sa peau, et ne ressent pas vraiment le besoin de se maquiller ou autre – elle se laisse cependant faire quand on lui propose gentiment une manucure ou un maquillage.

Elle possède également, depuis l'été dernier, une tulipe sans couleur, tatouée, qui a la particularité d'éclore et de s'étendre sur son dos lorsqu'elle ressent des émotions fortes. De plus, depuis l'attaque du campement, elle garde une cicatrice sur le bras gauche.

Au niveau des vêtements... Sans surprise, elle fait attention à son uniforme et à le porter correctement – cependant il se pourrait que sa cravate ne soit pas toujours entièrement ou simplement nouée. Mais sa chemise est toujours bien mise, et son badge de préfète-en-chef bien visible, ainsi que le symbole de Gryffondor dont elle est très fière. Par contre, au niveau des chaussures, elle préférera des bottes à talons plats – ou avec talons, par ailleurs – à celles demandées.
En dehors des cours, elle porte des robes, jupes, pantalons et pull indistinctement. Dans un sens tout, autant couleurs qu'habits, lui convient, elle n'est pas foncièrement difficile. Elle prend grand soin à paraître propre sur elle – même si cela ne dure pas bien longtemps – et à ne pas abîmer ses vêtements.


Histoire :
Le jeune femme repousse une mèche de cheveux collée à son front trompé de sueur, avant de s'adosser au meuble qu'elle vient de déplacer avec l'aide de quelques jurons et menace de mort envers la commode récalcitrante. Elle reprend une inspiration avant de se baisser, cherchant du regard l'objet qu'elle a vu tomber suite à la porte qu'elle avait claqué. Ses yeux verts accrochent bientôt la couverture usée d'un vieil album photo, et Erzsébet s'en saisit, piquée de curiosité.
Elle se relève, l'objet en main, et retourne s'asseoir sur son lit, prête à retomber dans ses souvenirs...

La première photo sur laquelle elle tombe en ouvrant l'album représente un homme et un bébé. Erzsi sourit doucement, passe son doigt sur le visage souriant de son père, puis sur sa bouille d'enfant.
Elle ne sait pour ainsi dire rien sur sa naissance. Elle ne connaît pas sa mère, ne sait pas où elle se trouve aujourd'hui, si elle est vivante ou morte. Elle sait juste que de toute sa vie, elle n'a eu que son père à ses côtés, pour l'élever et lui donner tout l'amour dont elle avait besoin.
Une date brillait à côté de la photo – 20 août 1974... Son anniversaire, ses un an.

Un sourire étire ses lèvres, et elle passe à la suivante.

Sur celle-là, elle est plus vieille, au moins quatre ou cinq ans, et en compagnie de ses grands-parents. Leurs relations avaient au départ été plutôt conflictuelle, mais ça c'était arrangé au fil du temps – le fait qu'elle soit leur unique héritière avait dû y être pour beaucoup. Tiens, d'ailleurs, il faudrait qu'elle pense à passer chez eux...

La page se tourne, doucement, et le regard de la hongroise tombe sur une autre photo. Elle est plus vieille, à cheval sur un balai magique, un éclat de rire la saisissant, son père couvrant ses arrières.
Son enfance avait été joyeuse, cette photo en elle-même le prouvait. Mis à part sa mère éternellement absente de sa vie, l'éducation de Sang-Pur un peu dure que lui donnait son père, elle savait s'affranchir du reste et n'en faisait souvent qu'à sa tête.

« J'étais une vraie peste... » murmure-t-elle, amusée en ce remémorant ces moments.

Et puis, un frisson la parcourt en ce rappelant les événements s'étant ensuivit.
Son père était parti en mission – banale, il devait traquer un loup-garou, encore une fois. Et elle, tellement curieuse, rongée par l'envie de voir ce que faisait son père, elle avait faussé compagnie à ses grands-parents devant la garder et avait suivit son père.
Inutile de dire que ça n'avait pas été son idée la plus brillante.
Elle n'avait pas imaginé, à l'époque, que le métier de son père pouvait être dangereux – à huit ans, oui, définitivement, elle ne le pensait pas. Mais tout lui avait sauté à la figure quand ce loup-garou l'avait vu, elle, seule et sans défense, qu'il avait voulut attaquer.
Heureusement, son père avait été là, comme à chaque fois – elle s'était prit l'engueulade de sa vie, mais ce moment restait gravé dans sa mémoire. Elle avait eut peur pour elle, bien sûr, mais avait encore plus peur pour son père à chaque fois qu'il partait. Et si il lui arrivait quelque chose ? Elle, elle était trop petite, trop faible pour l'aider...

Un soupir s'échappe des lèvres d'Erzsi. Encore aujourd'hui, ce souvenir la hante. Mais elle a réussit, au fil des années, à passer au-dessus, à garder confiance en son père, à le laisser partir sans avoir peur. Et malgré tout ce qu'il peut dire, elle n'arrive pas à haïr les loups-garou comme lui le fait...

La photo suivante la montre, encore une fois, faisant signe au photographe, souriant de toutes ses dents, dans son bel uniforme de Gryffondor, peu après sa rentrée.
Elle en garde le précieux souvenir dans sa mémoire également. Le Poudlard Express, la rencontre avec d'autres premières années, les barques sur le lac, et puis le château, dans toute sa splendeur... La Grande Salle qui l'avait et l'émerveille toujours... Le Choixpeau, le Choixpeau qui se pose sur sa tête, hésite – Poufsouffle éliminée, Serpentard tombe, Serdaigle tente de s'imposer mais pour elle c'est Gryffondor qui l'emporte.
Sa Maison, ses nouveaux amis... Toute cette joie qui l'envahissait à l'idée d'apprendre tant de nouvelles choses.
La découverte de son vrai sexe, aussi, bien qu'elle en riait à présent – elle était tombé des nues en voyant qu'on lavait mis dans le dortoir des filles, l'avait refusé un tant, avait causé des soucis aux préfets de l'époque.
L'acceptation est venue plus tard...

Erzsi passe doucement à la suite, observant la photo suivante, toujours le même sourire aux lèvres.
Elle y est, bien sûr, mais pas seule. La photo a été prise au cours de sa sixième année – elle le voit au badge de préfète sur sa poitrine – et la présente avec ses amis. Anri, Kiku, Francis, Gilbert, Antonio, Luciano, Feliciano, Roderich... Tant de personnes qui comptent pour elle. Elle les regarde, semble figée dessus – et peut-être que l'envie de les voir est toujours là, au fond, en elle, bien enfouie mais qui tambourine contre son cœur.

Sa vie... Son enfance si joyeuse et casse-cou, à courir partout tout en tentant de mettre en pratique l'enseignement de son père... Son adolescence à Poudlard, ses rires et colères, ses amitiés et amours...
Et puis, cette histoire de marque, de serpent géant, d'homme corbeau...

Erzsi ferme les yeux, inspire. Elle ferme l'album, se lève doucement, le pose à sa place initiale – et son sourire revient sur son visage alors qu'elle ouvre la porte de sa chambre.

Elle ira voir son père, et l'embrasser sur la joue, et s'excuser pour son comportement. Elle lui proposera une balade à cheval, ou peut-être que lui se transformera en faucon, et qu'elle le suivra tranquillement. Et puis, ils iront près du feu, et ils riront encore une fois, tous les deux seuls dans cette grande maison. Et puis, surtout, elle profitera de tout ça, encore et toujours, retournera à Poudlard, sourire aux lèvres.
Elle a encore tant de chose à vivre, après tout.
Pseudo : Aelig, mais je suis maintenant plus connue sous mon surnom, Sido o/
Âge : Bientôt 18, au moment où j'actualise cette fiche c:
Sexe : Femme, encore et toujours.
Comment avez-vous connu le forum : C'est la faute à Aly. Je suis venue, j'ai vu, vous m'avez vaincue. Voilà.
Commentaire : PK LA VIE PK LA MORT JE VOUS AIME LES GENS <3
Code du règlement : Fait o/



Dernière édition par Elizaveta Héderváry le Dim 30 Oct - 22:27, édité 14 fois
Celle qui n'a jamais joui
Celle qui n'a jamais joui
Erzsébet Héderváry

Mon personnage
Citation: Le courageux n'est pas celui qui donne les coups, mais celui qui y résiste.
Erzsébet Héderváry
Dossier d'une hongroise || [UPDATE FINIE] 477931700full

ϟ Nation représentée : Hongrie
ϟ Parchemins : 1839
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MessageSujet: Re: Dossier d'une hongroise || [UPDATE FINIE] Dossier d'une hongroise || [UPDATE FINIE] Icon_minitimeDim 11 Jan - 21:49

Bonjour, bienvenue chère madame à poêle !

Je n'ai pas grand chose à dire, ton avatar est bon.
Je te demanderais juste de remplir ta fiche de personnage et ton profil en entier ^^ (soit ta baguette, tu mets un / pour le don et tu peux mettre préfète + batteuse dans tes titres ;) )

Je vais te rajouter tes 30 gallions pour commencer et te donner ta couleur !
Les pensées suicidaires
Les pensées suicidaires
Francis Bonnefoy

Mon personnage
Citation: “What you gave me was a reason. Not an excuse. Because there’s sex, making love and fucking. And then there’s you.”
Francis Bonnefoy
Dossier d'une hongroise || [UPDATE FINIE] HQmg43HO6B1tLLZts_RHMJnvfBE

ϟ Nation représentée : France
ϟ Parchemins : 1425
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Dossier d'une hongroise || [UPDATE FINIE]

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