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Hola, quieres ver mi churro?~

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MessageSujet: Hola, quieres ver mi churro?~ Hola, quieres ver mi churro?~ Icon_minitimeDim 11 Jan - 22:42

Antonio Fernandez Carriedo
España
Nom : Fernandez Carriedo
Prénom : Antonio
Date de naissance : 12 février
Lieu de naissance : Huelva
Âge : 18 ans
Année scolaire : 8ème année
Maison : Poufsouffle
Animal de compagnie : Paella, une petite tortue terrestre, très exactement une Trachemys dorbigni, un crabe de feu du nom de Fuego et une collection de limaces dans sa chambre.
Ascendance : Né-moldu
Fratrie : Il est le demi-frère de Benjamin et João est son grand-frère malheureusement.
Motivation : Il fut pendant trois longues années, le préfet des Poufsouffles. Energique et charismatique, cette boule d'énergie est également le chef de l'équipe de Quidditch en tant que gardien.
Don : Je ne suis pas sûre qu'on puisse appeler ça un don mais il est loup-garou.

Baguette : Aulne, 21 cm, rigide, coeur en plume de phoenix.
Patronus : Taureau maggle
Epouvantard : Lui-même. Il se voit, un "lui" réaliste et pessimiste qui lui dit ce qu'il essaye d'oublier. Sa pire peur, c'est son vrai lui. Celui qu'il cache derrière son sourire.
Reflet dans le miroir du Riséd : Une grande famille, avec ses parents, ses frères, ses tantes et ses oncles, lui main dans la main avec Gilbert, tous souriant.
Odeur de l'Amortentia : L'odeur de l'herbe fraichement coupée, des moelleux au chocolat tout juste sortis du four et l'odeur d'un bon gaspacho.
Votre personnage peut-il voir les Sombrals : Oui
Matière préférée : Botanique all the way sisi RPZ les plantes
Matière détestée : Cours de siesta....Ah pardon Histoire de la magie.
Options :  Etude des Moldus (c'est des points dans la poche) et Arts et Musiques magiques.
Généreux
Insouciant
Trop bon
Trop con
Aimable
Possessif
Souriant
Déviant
Protecteur
Naif
Dat Booty
Hypocrite
Caractère : Antonio n'a rien d'un être vraiment compliqué. Il vit de l'amour qu'on lui offre et ne voit jamais très loin dans l'avenir. Vivre l'instant même, il l'exécute avec brio. Il aime faire l'idiot et se mettre des oeillères sur les problèmes pourtant bien existants autour de lui, lui donnait cet petit air d'idiot heureux qui à l'air de convenir à tout le monde, en particulier lui. Car celui que l'on surnomme Tonio se cache en permanence derrière ce masque de joie, et ornera toujours ce grand et adorable sourire bienveillant. La vie n'a rien d'une chose toute rose et pelucheuse et pourtant c'est ce dont l'espagnol essaye de se persuader depuis tout petit.

La colère, la tristesse et la peur n'a pas l'air de toucher le brun au grand coeur et pourtant il y est souvent proie. Il fait cependant tout pour ne pas les montrer et garde tous ses sentiments négatifs, bien caché au fond de lui. Pourquoi?De peur de perdre les gens qu'ils aiment. Car la force de rester souriant et aimable en toute circonstance, Tonio la détient de ceux qu'ils l'aiment. Sans eux, il n'est rien et la solitude est l'un de ses plus grands démons. Alors il tache d'être le plus souriant possible, pour donner envie aux gens de rester avec lui mais également en jouant le rôle du clown, l'idiot du village, celui qu'on ne prend jamais au sérieux.

Mais rappelez vous qu'il est un être comme un autre, doté lui aussi de sentiments et si vous allez vraiment trop loin, vous atteindrez certainement les limites les plus sombres d'Antonio. Et sachez que c'est les personnes les plus souriantes qui possèdent les colères les plus conséquentes. Il ne s'est énervé que deux fois dans sa vie et ses crises ont toujours amenés à de lourdes conséquences mais lui-même ne préfère même pas s'en rappeler. Faites du mal à ses proches et soyez sûrs que vous entendrez parler de lui, de très près. Rassurez-vous, il est pratiquement impossible de le mettre dans un tel état et tant qu'il vous considère comme son ami, vous pouvez continuer à rire, vous amusez, et faire les quatre cents coups avec notre très cher ami Tonio.

Grand protecteur, il s'en veut facilement dès qu'il arrive malheur à un de ses proches. Si il s'attache à vous, il saura vous le faire savoir. Extrêmement tactile, il ne faut pas être surpris si il vous câline très virilement, sans raison apparente, dépose un baiser sur votre joue et vous caresse l'épaule d'une façon tout à fait amicale. A bien noter qu'il adore les câlins. Ça peut certes en choquer plus d'un mais c'est tout à fait normal pour lui. Si vous l'intéressez, il viendra vers vous et vous draguera sans gêne employant les grands moyens en déballant tous les proverbes espagnols qu'il connait et toute sorte de phrases romantiques déjà toutes faites depuis longtemps jusqu'à avoir ce qu'il veut tirer de vous. Jeu auquel il s'adonne souvent accompagné de son grand ami Francis. Il est très joueur et un peu espiègle parfois, notamment avec ses deux meilleurs amis avec qui il est inséparable, Gilbert et Francis. Il est également du genre à parler fort et à faire des grands gestes quand il parle, le rendant facilement reconnaissable de loin.

Cependant, Antonio est très maladroit et à du mal à jouer sur les mots en plus du fait que l'anglais ne soit pas sa langue maternel. Il pourra donc vous dire ce qu'il pense, d'une façon parfaitement honnête, presque cruel alors qu'il fait juste ça par pur amitié et considère qu'entre ami, on doit tout se dire. Il a souvent du mal à trouver les bons mots ce qui le fait placer quelques mots en espagnol, quelques fois, par-ci par-là dans ses phrases.
Physique : Antonio a un physique plutôt avantageux, il faut le dire. Il est un peu ce stéréotype qu'on se fait des tombeurs espagnols qui parlent avec ce petit accent espagnol à couper au couteau en plongeant leur beau regard vert dans le votre, une rose à la main. Oui, ça c'est Tonio. Il est le stéréotype même des espagnols.

D'une taille moyenne, 1m70 très exactement, il est plutôt bien bâti de muscles qu'il entretient en faisant beaucoup de sport, notamment son fameux jogging du dimanche matin qu'il ne raterait pour rien au monde. Possédant de larges épaules et un torse large, ce n'est pas que de la musculature car oui, il a aussi des petites poignées d'amour qu'il assume très bien. Il est gourmand, il le sait et mais ça ne lui donne qu'un peu plus cet air de grand câlin bien heureux. Ce n'est pas parce qu'il se dépense beaucoup en énergie qu'après il ne se goinfre pas de choses souvent grasses qui donne à son fessier une magnifique et large courbe. Car oui, il faut le dire, ses fesses ont de quoi faire tourner les têtes. Il a même été jugé par le journal de Poudlard comme "numéro 1" en matière de croupe. Vous voulez tâter Allez-y de vous-même, il ne vous dira rien de toute manière et rira en vous souriant comme un idiot comme il sait si bien le faire.

Oui, car un Tonio sans sourire, ce n'est pas Tonio, tout simplement. Toujours souriant, il a ses petits sourires bien à lui avec des significations différentes;
Il y a le sourire habituel, celui tout gentil, un peu niais sur les bords et qu'il orne en toute situation autant dans les meilleures que les pires.
Mais il y a aussi celui du sourire au coin, un bout de sa lèvre coincé entre ses dents parfaitement alignées et blanches accompagné d'une paire d'yeux perçante, qui saura se plonger dans votre regard et ne plus vous lâcher. Quand il vous dévore ainsi du regard, c'est qu'il vous veut, vous et seulement vous à cet instant précis. Vous pouvez être sûr qu'il ne vous lâchera plus.
Le plus beau de ses sourires reste quand même celui qui reste le plus vrai et le plus tendre de tous. Celui aimant et doux qu'il peut afficher en murmurant un "je t'aime" ou en vous remerciant. Ceux là sont rares mais tellement agréables.
Mais il y a ce sourire déformé par une once de sentiment indéchiffrable mais terriblement amer. C'est dans ce cas qu'il préféra partir dans un endroit calme pour prendre l'air et aller se réfugier dans sa serre pour s'occuper de ses plantes. Et à cause de ça, il possède souvent les mains abîmées, qui sente la terre et l'herbe fraîche.

Tonio se tient d'une façon plutôt décontracté sans avoir l'air de quelqu'un de complètement débauché. Il parle beaucoup avec ses mains et a un visage extrêmement expressif.

Il se démarque notamment à cause de ses traits typés méditerranéens incluant une peau sombre aux reflets pourtant dorés. Il possède des lèvres assez pulpeuses, pâles, ou en tout cas plus que sa peau, surmonté d'un nez fin, un peu long, à la courbe dure et droite qui sculte son visage d'une manière masculine. Son puissant regard vert forêt est souligné des sourcils très légèrement épais alors que des cheveux bruns aux reflets cuivres se retrouvent à serpenter sur son front et venir se courber sur les deux côtés de son visage. Il a les cheveux ondulés, coupés de manière très aléatoire mais dans l'ensemble, il possède les cheveux courts et en permanence en bataille.

Pour ce qui s'agit des habits, en dehors de Poudlard, il laisse Francis l'habiller mais il privilégie les vêtements confortables aux couleurs chatoyantes
Histoire : Né à dans la petite ville de Hueva, située au Sud de son Espagne natale, Antonio y a passé toute son enfance. Vivant dans une modeste famille de moldus catholiques, il a toujours été comblé de tout l'amour et l'affection dont il avait besoin. Ne se doutant de rien et vivant dans l'hypocrisie de la famille parfaitement heureuse dans laquelle ses parents le baignaient depuis tout petit, tout se brisa à l'annonce de l'arrivée de son demi-frère, Benjamin. Car c'est après un an après la naissance du petit espagnol que la famille Carriedo déménagea dans une plus grosse ville, celle de Séville, un peu plus au Nord. A leur arrivée, ils furent très bien accueillis par la petite communauté du quartier  et une soirée fut organisée comme pot de bienvenue. Cette fête, à l'ambiance incroyablement festive, fut aussi bien arrosée en alcool et le père d'Antonio n'y échappa pas. Le cerveau embrumé par l'alcool, il fit des avances à cette femme à la beauté envoûtante, toute aussi saoule, qui les accepta. Passant au travers de ses principes religieux, sa luxure produisit le petit Benjamin. La semaine suivant l'accident, c'est le coeur gros que le paternel Carriedo alla avouer son infidélité à sa femme. Evidemment, une dispute éclata mais elle ne dura pas très longtemps étant donné que la femme, aveuglée par son amour pour son mari et les belles paroles qui sortaient de sa bouche, elle lui pardonne tout. Quelques mois passèrent durant lesquels le couple tentait d'oublier cette sordide histoire. Ils ne pouvaient pas risquer de laisser tomber leur masque de la famille heureuse et comblée qu'ils présentaient, c'était impensable, notamment pour le bien de leur fils Antonio, qui de son côté, vivait son petit train-train habituel, dans une vie douce et calme, baigné dans l'amour de ses parents.
Alors que les esprits venaient à peine de se calmer, la femme source de leurs disputes, revint avec la pire des nouvelles qu'ils auraient pu imaginer; l'arrivée d'un bébé. Ce fut un coup de couteau en plein coeur pour la mère d'Antonio qui avait tout fait pour fermer les yeux sur l'infidélité de son mari et pourtant la réalité était revenue au galop. Elle haïssait déjà ce fruit de la luxure et ne rêvait que de l'avoir entre ses mains et de le tuer.
Pourtant tous furent obligés d'accepter la nouvelle mais ce n'est pas sans l'optimisme du petit Tonio à peine âgé de 2 ans qui était tout excité à l'idée d'avoir un petit-frère qu'il pourrait protéger, aimer, divertir, faire rire, partager ses secrets. Il était bien le seul à être ravi de l'arrivée de celui qu'il allait surnommé Benji et bouillonnait d'impatience.
Le jour de l'accouchement, seule la mère était restée à la maison, ne pouvant supporter de voir le bébé et sa mère. Pour Antonio et son père cependant, les secondes, les minutes et les heures étaient terriblement longues et stressantes mais le petit Carriedo attendait sagement, tout excité mais patient. Les seules choses qu'il s'autorisait de temps à autre étaient des questions sur l'avenir de son petit-frère:

"-Papa, comment 'va s'appeler?
-….je sais pas.
-Hm…Benjamin c'est bien!
-Oui, oui Antonio mais ce n'est pas toi qui doit lui donner son prénom.
-Pourquoi?Je l'aime déjà moi!
-Je sais, mais c'est à sa maman de lui donner un prénom.
-Oui, oui mais c'est elle qui m'a dit qu'elle voulait l'appeler comme ça!
-Ne dis pas de bêtises et reste sage d'accord?
-Oui!"

Attendri par l'innocence de son fils, il alla déposer un baiser sur son front en plaquant ses cheveux en arrière et le mit assis sur ses genoux. Si son fils n'avait pas été là, il aurait certainement craqué et serait parti. Après de longues heures d'attente, une sage-femme s'approcha, d'eux l'air grave pour leur annoncer la mort de la mère à l'accouchement, l'enfant pour seul survivant. La mère étant morte sans donner de prénom à l'enfant, elle demanda au père qui proposa automatiquement "Benjamin" comme son fils l'avait proposé plutôt.

Les premiers jours, alors que le père partait travailler tôt le matin, la mère d'Antonio se retrouvait seule avec son fils à devoir s'occuper de l'enfant qui ne lui appartenait pas. Plus les jours passaient plus une idée lui revenait en tête; le tuer. Alors qu'elle faisait la toilette du nourrisson, elle tenta de le noyer dans l'eau de son bain. A peine avait-elle commencé que le petit Tonio entra en lui demandant:

"-Qu'est-ce que tu fais Mama?
-Rien, rien Antonio, retourne dans ta chambre!"

Malgré les ordres de sa mère, il ne fit que plus s'approcher et à attendre sagement. La mère elle, rattrapa le nourrisson en pleurs et le serra contre lui en lui frottant la tête pour le rassurer. Ce fut la dernière et première fois qu'elle tenta de tuer le jeune Benjamin.

Le reste de son enfance, Antonio le passa dans la plus paisible des vies. Une semaine sur deux, son petit frère venait à la maison et c'était lorsqu'il était là qu'il se sentait le plus heureux. Clairement, celui qu'il surnommait Benji était la personne qu'il chérissait le plus au monde. Antonio a d'ailleurs toujours été très présent pour son frère et aujourd'hui encore, il lui donnerait tout sans concession rien que pour le rendre heureux. Malheureusement plus les années passaient, plus Tonio voyait que son frère devenait de plus en plus distant avec lui, ce qui le chagrinait beaucoup mais ça ne l'empêchait pas de continuer à le couvrir d'amour. Mais Tonio découvrit aussi d'autres amis qui n'étaient d'autres que ses voisins tels que Luciano ou encore Martin avec qui il aimait jouer au football pendant des après-midis entières.

Le jour où il sut qu'il était un sorcier fut celui où il reçut une lettre de la part de Poudlard, l'invitant à venir apprendre la magie dans la plus grande et prestigieuse école de sorciers au monde. Lui qui avait toujours vécu dans le monde des moldus, il venait à peine de réaliser sa nouvelle vie qu'il fut envoyé en Poufsouffle. Loin de Benjamin, il devait avouer qu'il avait un peu de mal, son petit-frère lui manquant terriblement mais il savait que dans deux ans il viendrait le rejoindre dans les rangs de l'école des sorciers. Mais c'est aussi en première année qu'il rencontra ses deux meilleurs amis, Gilbert et Francis par un pur hasard. Un jour, alors qu'ils étaient tous les trois seuls dans un couloir, ils se rendirent vite compte qu'ils lisaient la même chose: Sorcière Hebdo.
Et tout était parti d'un simple fait mais se fut une véritable révélation puisqu'ils formèrent bientôt le Bad Friend Trio, l'un des groupes d'amis les plus populaires mais aussi redoutés de Poudlard. Connus pour leurs bêtises en tout genre et transgressions des règles, cela ne rendit la scolarité d'Antonio que plus amusante et trépidante.
Étonnant mélange de deux serpentards, un sang-pur et l'autre sang mêlé de vélane avec un simple poufsouffle né moldu comme lui.

Alors que Tonio commençait sa troisième année, Benjamin entra enfin à Poudlard dans la maison Serpentard et il était ravi puisqu'il ne pouvait pas être plus proche de son frère que maintenant. Il rattrapa le temps perdu et colla son frère comme pour le protéger du moindre danger ce qui avait le don d'exaspérer ce dernier. Mais un soir, après le couvre-feu il sortirent dehors dans la totale illégalité. C'était idiot de faire ça, mais le danger les excitait mais c'est aussi au pied du Saule cogneur qu'avait poussé une plante dont Tonio avait absolument besoin pour sa collection de botanique. Il avait emmené avec lui Benji, profitant du fait qu'il fasse nuit pour aller cueillir le fameux végétal. Mais ils ne s'étaient pas doutés qu'un loup-garou s'était réfugié sous cet arbre et se sentait agressé, il s'était jeté sur les deux sorciers. Par réflexe, Antonio eut protégé Benjamin en se mettant devant lui mais se fit également mordre. Il n'en eut jamais voulu à son frère pour ça, ne considérant même pas que c'était de sa faute et pourtant il remarqua que Benji s'éloigna un peu plus de lui après cet accident. Depuis il est un loup-garou et en assume totalement la responsabilité, cependant il le vit assez mal. Mais c'était cette année aussi qu'il entra dans l'équipe de Quidditch des Poufsouffles.

La cinquième année, il devint capitaine de son équipe de Quidditch mais aussi préfet des Poufsouffles.
Pseudo :  Call me Doki. Doki Bond.
Âge : pouet pouet pouet!
Sexe : Sans modération :v
Comment avez-vous connu le forum : Peut être parce que je l'ai crée?
Commentaire : Matez pas trop mes fesses!
Code du règlement : Validé pff-



Dernière édition par Antonio F. Carriedo le Lun 12 Jan - 17:39, édité 1 fois
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