L'élève peut se tenir droit, comme il peut être complètement avachi sur sa chaise. Ça dépend de son humeur et de ce qu'il fait. En cours, il préfère utiliser la technique du 'je disparais sous ma table tellement que je glisse de ma chaise et je compte les secondes', trouvant les études ennuyantes à mourir. Mais dès qu'il est intéressé par un sujet ou quelque chose dans le cours, il se met droit et écoute, avec des yeux remplit d'étoiles et d'attention. Ce qui est très très rare, à vrai dire : Son énergie est égale à celle d'un lapin Duracell, et sa concentration égal à zéro. Il est très difficile de suivre le mouvement, avec l'américain. Il veut tout faire, maintenant, tout de suite. L’américain est aussi mégalomane. Il pense qu'il est le meilleur, et s'il ne l'est pas, c'est un complot des russes. Parce qu'il n'y a aucun doute sur le fait qu'il est le meilleur : C'est un héros. Depuis son plus jeune âge, Alfred a toujours été attiré par les superhéros des moldus, Superman, Batman, ou encore Spiderman, ces héros sauvant la veuve et l'orphelin, et se promit de devenir comme eux plus tard.
Il semble aussi être très effrayé par son problème de poids, il a même avoué à un moment que c'était son plus grand ennemi, mais l'a nié tout de suite après.
Il est bruyant, très bruyant. Plus bruyant que lui, c'est limite impossible. Quand il parle, tout Poudlard doit l'entendre. Il ne se rend pas compte qu'il gêne les gens en parlant à ce débit. Et il ne cherche pas vraiment à s'en rendre compte, à vrai dire. Il ne sait pas lire l'atmosphère, il arrivera à éclater de rire lors d'un drame, ou alors à ne pas remarquer que quelque chose va mal. Il voit et entends que ce qu'il veut, ce qui pourrait lui amener de gros problèmes dans le futur si cela ne change pas. Mais malgré ce que l'on peut penser, Alfred est très intelligent. Il ne sait juste pas l'utiliser à bon escient. Il peut faire preuve d'une grande maturité et d'une grande logique. L'américain a une confiance en lui extrêmement élevée. Tout ce qu'il fait sert pour la justice et la liberté. Absolument tout. Il parle vite, il parle fort, il parle en mangeant, il parle en buvant, il parle à n'importe qui, il parle à n'importe quoi (oui, même à un mur. Parce que même les murs ont besoin de héros.). Il est très à l'aise en publique, voire peut-être trop.
Alfred est quelqu'un de très social. Dès qu'il rencontrera quelqu'un, cette personne sera immédiatement son ami. Ou sa victime. Vu sa position de héros, il est obligé de bien s'occuper de vous, de mettra son nez dans votre vie privé et vous trouver un problème pour le vous résoudre, sans même vous demander votre avis. Parce qu'il est persuadé que vous êtes trop timide ou vous avez peur pour de le lui demander.
Comme dit plus haut, Alfred est TRÈS bruyant. Il est également très excentrique : Il vient de la Première Puissance Mondiale, il le fait savoir à qui veut l'entendre, à ce qui ne veut pas et il en est très fier. Il ne fume pas et ne boit pas, il ne trouve pas ça sain et pas du tout héroïque, c'est déjà cela. Quelques bagarres sont à déplorer, cependant. Il a aussi la mauvaise manie de tout enjolivé pour passer pour un héros, et arrive même à s'auto-persuader qu'une situation s'est passé ainsi et non comme tout le monde le dit.  

L'américain est un jeune homme blonds aux yeux bleu, porteur de lunettes rectangulaires qui ne quitte jamais son nez, sauf pour la douche et dormir (il paraît qu'il lui arrive de s'endormir avec ses lunettes....). Ses cheveux, courts, sont coiffés à la va-vite (ou peut-être est-ce qu'il souhaite nous faire croire) et mit sur le côté, avec une mèche rebelle, restant en l'air, comme une sorte d'antenne [Dire de l'élève : « C'est pour capter les Aliens ! »].
Il porte l'uniforme de sorcier de manière presque impeccable (les plis, ce n’est pas parce qu'il s'est endormi sur ses vêtements, c'est juste qu'il a beaucoup bougé aujourd'hui.), il faut montrer l'exemple quand on est un héros. Il tient souvent dans ses mains un hamburger et une grande boisson de soda, sortant tout droit d'un fastfood quelconque (donc, la grande boisson est pratiquement une piscine municipal.).
L'américain est plutôt fort. Dans tous les sens du terme. Il a une grande force, mais il a également des soucis de poids inquiétant. S'il continue ainsi avec son alimentation, il aura de réel problème.
Il porte en pendentif une croix chrétienne avec sur la même chaîne, un dog tag‏ avec inscrit son nom et prénom dessus.

Avant de commencer de l'histoire d'Alfred, je fais une légère parenthèse pour expliquer un peu l'histoire des parents.

Armendo Jones, américain d'origine espagnol du côté maternel, actuellement 48 ans, chef d'une grande entreprise américaine moldu. Sang-mêlé, cadet d'une famille de 3 enfants.

Dorothy Jones, né Simons, anglaise britannique, actuellement 49 ans, couturière dans une grande boite de mode sorcier. Sang-mêlé, sœur de la mère de Matthew Williams.


Voilà qui est fait, on peut continuer sur le plus intéressant ; Notre héros.

Alfred est né à New-York, le jour de la fête nationale américaine. (Une grande joie pour son père, très patriotique dans l'âme.) Un bébé en pleine forme, qui grandit normalement. (Même la normalité est assez relative, mais cela n'est point le sujet actuellement.)

Le jeune américain réussit assez rapidement à découvrir et à maitriser sa magie, au grand bonheur de ses parents, qui sentaient que leur chtiot était destiné à faire de grande chose dans sa vie, vu la facilité et la rapidité de son autodidaxie magique. Malheureusement, il ne semblait pas vraiment comprendre que la magie, bah ça devait rester cacher. Ça arrivait que la « monstre moldu avec la grosse verrue sur le nez de la maison d'à côté » se retrouvait la tête en bas, ou que la pauvre institutrice, aussi moldu, retrouvait tous les objets qui étaient sur son bureau dans les airs et s'évanouissait devant cette activité paranormal. Ça faisait d'ailleurs beaucoup rire Alfred (qui était un petit con à l'époque, il faut l'avouer. Il se savait différent des autres et en profitait énormément.), mais pas ses parents. Ceux-ci décidèrent de le faire faire étudier à la maison, comme ça, il ne créera pas de problèmes aux autres et le secret sur l'existence des sorciers restaient sauve. Ils engagèrent une institutrice sorcière et lâchèrent leur fils dissident avec elle.

Même s'il ne l'avouera jamais vraiment, cette institutrice répondant au jolie prénom de Abigail O'Colasso, était quelqu'un de très importante à ses yeux. (Et il devait certainement avoir un tout innocent crush sur elle, aussi.) Alfred apprit beaucoup d'elle, autant sur la vie et l'histoire moldu que celle des sorciers. Il finit par comprendre que, exposer la magie aux autres, c'est une très mauvaise idée, de l'utiliser à des fins personnelles, encore plus. Abi' lui montra les comics de héros moldus : Superman, Wonderwoman (son deuxième crush, mais chuuut, faut pas le dire, Mrs Abigail, elle est plus badass d'abeurd), Spiderman, Captain America (son préféré). Son amour pour eux commença à l'instant où son regard toucha leur première de couverture. Il décida que tout ce qu'il fera avec sa magie sera pour aider les autres. La graine d'un héros était désormais plantée. Abigail, voyant qu'elle n'avait plus rien à apprendre à son jeune prodige, décida qu'elle n'avait plus rien à faire ici et mit fin à son contrat, non sans avoir fait donner des posters et figurine de Captain America à son petit protégé. D'une certaine manière, ça a brisé le petit cœur d'enfant d'Alfred. Ses parents décidèrent donc de le remettre dans une école pour qu'il soit un enfant normal. (Encore une fois, c'est relativement relatif, bien entendu.) Non seulement, il était devenu doué, mais en plus, Alfred trouvait toujours le moyen d'aider les autres élèves, avec ou sans magie. Il se sentait aimer, et il aimait ça.

Parfois, il entendait parler d'un cousin, qui n'était pas du tout doué en magie, pauvre de lui. Il se dit que dès qu'il le rencontrerait, il l'aiderait. Sauf que ça ne s’est pas passé comme prévu. Ce Matthew n'était décidément pas du tout doué pour la magie. Ennuyait de ne pas réussir, il laissa tomber (de toute façon, s'il ne peut pas utiliser la magie, ce n’est pas très grave en soit. La logique Alfredienne.) A chaque fois que les cousins se voyaient, Alfred montrait ses nouveaux tours de magie apprit à son cousin, tout heureux, espérant d'une certaine façon que lui aussi le félicite.
Le jour où il vit que Matthew fit bouger son ours en peluche, il se sentit très fier (En se disant que c'était forcément grâce à lui, bien entendu.) de son cousin nul en magie.


Un jour, pour son anniversaire des onze ans, il reçut une lettre pas comme les autres. Il comprit rapidement ce que c'était, Poudelard, l'école de magie, le voulait dans son école. Bien qu'il montrai qu'il le savait que ça allait arriver, un héros comme lui, au fond de lui, il était très rassuré. Ses parents l'aidèrent à faire ses valises et à acheter tout ce qu'il avait besoin pour sa première année d'étude. L'américain avait aussi entendu que son cousin aussi avait été demandé dans l'école, il se sentit d'autant plus fier. Son cousin avait une chance de prouver qu'il pouvait être tel Robin pour Batman ; un partenaire. Dès qu'il entra dans le train (et après avoir dit au revoir à ses parents), il chercha son cousin dans les wagons. Et Alfred le trouva. Il passa tout le voyage avec lui à fantasmer sur leur vie après les études, à ce qu'il deviendrait, ect. (Et accessoirement certainement ennuyer son pauvre cousin qui voulait sans doute être tranquille.)


Il se retrouva dans la maison Gryffondor.
La maison rouge.
La meilleure des maisons.
La maison des Héros.

❯ PSEUDO : Лучший. (Loutshchiy) Qui veux dire "meilleur" en russe. Donc je suis le meilleur. CQFD. (plus sérieusement, Nashira.)
❯ AGE : Majeur mais pas encore partout.
❯ SEXE : Tony.
❯ COMMENT AS-TU CONNU LE FORUM ? Partenaire.
❯ NIVEAU RP : Relativement relatif.