Le Deal du moment : -45%
WHIRLPOOL OWFC3C26X – Lave-vaisselle pose libre ...
Voir le deal
339 €

Partagez|

[Juin 1990] Sweets of our dreams. (feat. Christen)

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas
MessageSujet: [Juin 1990] Sweets of our dreams. (feat. Christen) [Juin 1990] Sweets of our dreams. (feat. Christen) Icon_minitimeSam 6 Juin - 15:21

「 Sweets of our dreams 」


Il faisait très chaud.
C'est bien simple : le soleil était haut dans le ciel, et tapait si fort les environs qu'il était dur de se balader dans la robe de sorcier habituelle portée par les élèves de Poudlard. Aussi, beaucoup avait décidé de sortir sans, de remplacer les chemises à manches longues par des plus courtes, sous peine de mourir étouffé avant la tombée de la nuit, qui elle même promettait d'être peu rafraîchissante. La température et le soleil avaient au moins quelques points positifs. Les habitués des pays chauds se sentaient chez eux, et ce ne l'étant pas pouvait découvrir à nouveau la beauté d'un ciel clair, d'une route illuminée sans l'aide d'aucune lumière artificielle. Le beau temps montait dans les coeurs, rendait les gens heureux, ou du moins... Remontait le moral des élèves. Après tout ce qui s'était passé dans l'école, tous en avaient bien besoin.

Ludwig était désolé pour ceux qu'on avait fait rentré chez eux, car ils ne pouvaient pas profiter du magnifique Pré-au-Lard ensoleillé, où les élèves passaient en groupe d'ami, à la recherche de distraction, de joie, de quoi penser à autre chose. L'allemand n'était pas venu pour ceci : il avait en mental fort, et ne s'était pas laissé emporté par la vague de tristesse qui envahissait le château. Il se trouvait là uniquement afin de prendre l'air, de faire une pause sur son travail. Ceci ne l'empêchait pourtant pas de profiter du sourire des gens alentours, saluant poliment les commerçants qui se tenaient dans les rues et discutaient entre eux d'une maison à l'autre.

Le serdaigle sortit son achat récent de son sac : quelques plumes pour écrire, la sienne commençant sérieusement à s’abîmer. Il avait eu beaucoup de chance : il n'y avait pas grand monde au magasin de plumes Scribenpenne, les gens cherchant plus à s'amuser, par ce temps, qu'à acheter du matériel de travail. Il avait du mal à comprendre comment on pouvait ainsi abandonner toute production pour aller se remonter en allant dépenser ses gallions en stupidité, mais il n'allait pas s'en plaindre : ses commerces favoris étaient libres de tout fauteurs de trouble. Il avait aussi pu passer chez Gaichiffon, plus rempli, pour s'acheter une nouvelle paire de chaussettes. On pouvait se dire : "Qu'est-ce que la vie de Ludwig Beilschmidt semble être ennuyante !". Peut être bien. Mais il en était pleinement satisfait, et il n'y avait, pour lui, rien de mieux au monde que l'auto-suffisante et la prévoyance.

Un groupe d'élève, des deuxième année surement, passa devant lui : Deux poufsouffles, un serdaigle, qu'il ne connaissait que de vu, et trois serpentards, qui semblaient se ruer sur un seul et même endroit, le lieux de tous les rêves d'enfant, et parfois d'adulte : Honeydukes. Une boutique colorée, qui dégageait une forte et agréable odeur de sucre quand on passait devant. Le blond avait déjà eu l'occasion de goûter à de nombreux produits vendus ici, mais n'était jamais rentré dans la boutique. Il n'en connaissait que le parfum et les vitraux, avec les nouveautés et les produits favoris exposés. Parmi eux, les chocogrenouilles, enfermées dans des boîtes de verre transparent pour ne pas qu'elles s'échappent, des fondants aux chaudrons, qui réussirent à donner envie à l'allemand, ainsi que des fizwizbiz, qui eux, le repoussèrent un peu plus.

Ses yeux passèrent sur les étalages, puis sur la porte d'entrée, qui semblait constamment ouverte tant le monde sortait et entrait, pour, enfin, s'arrêter sur un serpentard qu'il connaissait quelques peu : Christen Nielson, connu pour sa passion incontrôlable pour les sucreries. Aussi, le voire rôder prêt du magasin n'était pas vraiment une surprise.

Ce qu'il l'était, c'était la scène qui se déroulait devant ses yeux.



Dernière édition par Ludwig Beilschmidt le Lun 8 Juin - 9:38, édité 1 fois
Le roi des loupes
Le roi des loupes
Ludwig Beilschmidt

Mon personnage
Citation: "Les Serdaigle, en particulier, s'imaginent que tous les plus grands sorciers sortent forcément de chez eux." - J.K Rowling
Ludwig Beilschmidt
Les Serdaigle, en particulier, s'imaginent que tous les plus grands sorciers sortent forcément de chez eux.

ϟ Nation représentée : Allemagne
ϟ Parchemins : 1386
Revenir en haut Aller en bas
MessageSujet: Re: [Juin 1990] Sweets of our dreams. (feat. Christen) [Juin 1990] Sweets of our dreams. (feat. Christen) Icon_minitimeDim 7 Juin - 21:14

SWEETS OF OUR DREAMS
Christen.N Ft Ludwig.B




En ce jour du mois de juin, le soleil était particulièrement clément. Il est vrai que Christen n’avait jamais connu de telles températures auparavant. En effet, celle du Groenland, son pays natal, s’élevait rarement au-dessus des vingt degrés. C’est pourquoi, après maints aller-retour entre l’extérieur et la salle commune des Serpentards, le garçon décida de rester dans l’obscure mais néanmoins fraiche pièce à vivre de sa maison. Assis sur un canapé, il avait dégainé, comme à son habitude, son manuel de sortilèges bien supérieur à son véritable niveau. Sachant pertinemment qu’un seul de ces sorts mal contrôlé risquait fort de le réduire en cendre, Christen se plaisait cependant à jouer les têtes brulées. Njall, son fidèle renard blanc, était confortablement posé sur ses genoux, baillant tranquillement lorsque le Serpentards fut soudain pris d’une panique que seul lui pouvait comprendre. En effet, le paquet de paquet de dragées surprises de Berthie Corchue, avait funestement atteint son terme.

Dans le cas où vous ne comprendriez pas la panique de Christen, il est important de rappeler que celui-ci éprouve une attirance quasi mystique pour les friandises. De plus, à la vue des récents évènements survenus à l’école, en particulier la mort de McCall, un élève de Serpentard qu’il connaissait bien, son appétence au sucre était devenue permanente. C’est pourquoi Christen se leva soudainement, laissant Njall retomber au sol. Celui-ci jappa de mécontentement. Christen commença à se fouiller les poches à la recherche d’une précieuse douceur sucrée. Mais rien. Il balaya la salle du regard rapidement mais son « radar » à friandise ne lui indiquait aucunement la présence de celles-ci. Déterminé, il posa son livre sur un petit buffet. C’était une priorité des plus urgentes. Sa quête pour les bonbons allait commencer…

Christen, dont les yeux obscures brillaient d’une étrange lueur résolue, ce qui, dans la situation présente, rendait les choses quelques peux cocasses, se dirigea alors vers les dortoirs. Il ouvrit sa malle et la fouilla de fond en comble. Toujours rien. Le brun grimaça. Pourquoi fallait-il toujours employer les grands moyens… Il sorti sa baguette et fit un sortilège de Failamalle afin de ranger rapidement le bazar provoqué par sa quête. Le résultat fut mitigé et un de ses caleçons se retrouva pendu à la balustrade de son lit. Christen soupira et enfila rapidement une chemise blanche par-dessus laquelle il attacha la cravate verte de sa maison. Il sorti en trombe de la salle commune, l’appelle du sucre étant puissant. Cependant, il ne remarquera que bien plus tard qu’il avait oublié son renard et son argent de poche…
Il faisait très chaud. C’était le cas de le dire.

Christen, dans les couloirs en plein air, avait du mal à respirer. Il profitait de temps à autres de l’air doux d’une brise passagère. Il croisa plusieurs personnes qu’il connaissait. Deux ou trois Serpentards, un groupe de Serdaigles se rendant à la bibliothèque sûrement et plusieurs Griffondors que l’on pouvait entendre de loin tant ils parlaient fort. Christen se retint d’ailleurs de faire discrètement le maléfice de Folloreille sur l’un d’eux. Il dévala dans les couloirs à vive allure et se retrouva bien vite dans l’ensoleillé village de Prè-au-lard. Le brun aurait pu apprécier entendre les rires et les cris de joie des élèves, humer le doux parfum des pâtisseries et des plats émanant des différents bars, sentir agréablement les rayons du soleil sur sa peau, allongé dans l’herbe verte, si l’envie de bonbons n’avait pas été si forte.

Après quelques minutes de marche rapide, arriva son but, sa caverne d’Ali Baba : Honeydukes. Le magasin dégageait une odeur de sucre et de caramel chaud, de sorbets et de gâteaux, de gommes et de fruit. Toutes ces fragrances enivraient le Serpentards qui, comme mystérieusement envouter se colla contre les vitres de son endroit préféré. Fusionnant avec les odeurs l’entourant, le garçon tâta ses poches à la recherche de précieux gallions. Cependant, il était trop tard. L’argent, il l’avait oublié au fin fond de sa lugubre salle commune. Ses pupilles doublèrent de taille. Comment allait-il faire. Il n’allait tout de même pas faire demi-tour. Marcher c’est dur, c’est long, et sous ce soleil infernal, il finirait sûrement évanoui dans un coin sombre. Ainsi, on ne retrouverait son corps  que deux semaines plus tard, à moitié dévoré par des bergers allemands. Le Brun frissonna. Non, il ne pouvait pas se permettre une fin si stupide. Il balaya l’ensemble du flux va et vient du magasin et sorti sa baguette. A situation désespérée, mesure désespérée. Il voulait ses bonbons.

Parlant d’Allemand, il ne remarqua guère le grand blond qui le regardait rôder autour de l’échoppe. Tout comme il ne se doutait pas que ce qu’il allait faire risquait de lui valoir un allez simple pour le bureau du directeur si le Serdaigle le dénonçait. Christen remarqua de suite un petit sorcier de première année sortir avec un sac rempli de friandises diverses et trois paquets de choco-grenouilles. Christen eut un sourire amusé. Cela allait être plus facile que prévu. Il prit à part le jeune garçon, n’échappant cependant pas à la vue du grand Serdaigle.

- Hey toi, petit, je veux quelque chose qui t’appartient… Donne-moi tes bonbons. Tout de suite. Annonça Christen, prenant son air le plus menaçant. Il se réjouit de jouer si bien la comédie.

- C’est mes bonbons…Allez-vous en acheter si vous en voulez ! Laissez-moi tranquille sinon je vous dénonce à mon directeur de maison. Bredouilla le première année, arborant fièrement les couleurs de Poufsouffle.

Christen réfléchi deux secondes à la technique à prendre avec ce petit poufsouffle qui semblait plus terrorisé que sûr de lui.

- Si tu me les donnes pas de suite, je te ferai un Rictusempra…C’est un maléfice qui fait beaucoup souffrir pouvant aller parfois… Il s’approcha de l’oreille du petit garçon. Jusqu’à la mort. Christen bluffait bien évidement, le sort en question était un simple maléfice provoquant des chatouilles. Il n’aurait jamais osé blesser ce garçon, qui s’avéra plus intelligent que prévu…

- Mais…mais… Si tu me fais un sort comme ça, le ministère de la magie va t’attraper… Et..et... Tu seras envoyé à Azkaban. Termina le petit Poufsouffle dans un éclair de lucidité.

Le Brun sembla désemparé. Le première année était un intello… Il n’aurait jamais ses bonbons. Il sorti sa baguette et entama l’incantation d’un Petrificus Totalus bien chargé lorsque, par hasard ses yeux croisières ceux de Ludwig, ce qui le stoppa net. Un long silence s’abattit. Le petit garçon profita de ce moment de confusion pour partir discrètement, Christen, quant à lui, semblait gêné.

- Hey, Ludwig ! Quel plaisir de te voir… C’est pas du tout ce que tu crois hein…




Invité
avatar
Invité
Revenir en haut Aller en bas
MessageSujet: Re: [Juin 1990] Sweets of our dreams. (feat. Christen) [Juin 1990] Sweets of our dreams. (feat. Christen) Icon_minitimeLun 8 Juin - 10:15

「 Sweets of our dreams 」


Ce que Ludwig observa à ce moment fut sûrement la chose la plus étrange qu'il ai jamais vu, si on oubliait, bien sur, Antonio jouant aux montagnes russes avec sa tortue et perchant celle-ci à un des lustres de la grande salle. Le serpentard qu'il avait devant les yeux, Christen, se collait aux vitres du magasin de bonbon, de manière presque mystique ou sensuelle, comme pour fusionner avec la vitrine, les pupilles dilatées, le cerveau comme sous l'effet d'une drogue puissante qu'était ici le sucre. Le manège dura un certain temps, le garçon semblant perdu, comme une mouche attirée par la lumière d'une ampoule, venu s'y écraser lamentablement pour s'y brûler les ailes. L'allemand comprit rapidement que Christen n'avait tout simplement d'argent sur lui, et était condamné à, à la manière d'un singe enfermé dans un zoo, regarder les petits enfants derrière la vitre se goinfrer de friandises, sans pouvoir lui même les atteindre.

Plus surprenant encore, il sortit sa baguette, cherchant une bonne poire qui pourrait lui fournir ce dont il avait besoin. Ludwig trouva intéressant de remarquer que le jeune homme avait bien trop de respect envers le fameux magasin Honeydukes pour aller voler les sucreries directement à l'intérieur, mais qu'il préférait, à la place, racketter un pauvre client qui, lui, avait eu le mérite de donner de quoi vivre aux dirigeant de la boutique.

Tout à fait charmant.

Le blond n'entendit pas vraiment la menace du pauvre serpentard agitant sa baguette devant le petit poufsouffle, qui semblait être en première année. Car en plus de traumatiser les passants après avoir bavé sur les vitres de la boutique, le brun ressentait apparemment la nécessité de traumatiser un première année, qui de toute manière devait déjà être assez traumatisé à cause des événements récents. Un tableau... De toute beauté.

Ludwig s'approcha alors de la scène, baguette en main au cas où les choses tourneraient mal. Heureusement, ceci sembla distraire le sorcier, qui avait déjà entamé un sortilège de pétrification. Décidément, ce garçon regorgeait de surprise, mais pas forcément de bonnes. Il le fixa alors, un air menaçant sur le visage. C'était bien simple de faire peur aux première année, n'est-ce pas ? Lui allait montrer qu'il pouvait faire peur à n'importe qui, et peu importe son âge. Le poufsouffle en profita pour fuir : tant mieux, au moins il était sauf.

-Hey, Ludwig ! Quel plaisir de te voir… C’est pas du tout ce que tu crois hein…
-Bonjour, Christen. Crois moi, le plaisir n'est pas rendu.

Il n'aurait habituellement pas dit ceci. Le serpentard était certes agaçant avec lui, mais jusqu'à maintenant, il n'avait jamais fait de mal à l'allemand. Enfin, ceci n'était pas une raison pour s'attaquer à plus faible que soit sans être puni, ou au moins avoir une bonne leçon : ce que Ludwig entreprit de faire d'ailleurs.

-Si tu as tant envie de bonbon, tente au moins de faire comme les autres. Pour cela, il faut rentrer dans la boutique, un pas devant l'autre, pour ensuite aller donner son argent à la caisse, le choix des sucreries une fois terminé. En revanche, aller s'écraser sur la vitre comme un mollusque avant de racketter un enfant ne t'amènera pas à grand chose, à part de finir dans le bureau de Monsieur Vargas.

Il soupira, passant sa main sur son visage. Il ne savait même pas si l'élève en face de lui l'écoutait vraiment. Il y avait deux cas de personnes. Celles qui avaient peur de lui, et qui, tétanisées, hochaient la tête en disant "oui, bien sur", et qui ne l'écoutaient même pas, trop occupées à chercher un moyen pour fuir. Puis il y avait les autres personnes, qu'il préférait tout de même, et qui était celle qui ne le trouvaient pas effrayant. En revanche, le problème avec ces gens là, c'étaient qu'ils pensaient certainement : "Pourquoi il me fait la morale celui-là ? Il est pas prof à ce que je sache !". Bref, dans la majorité des cas, on ne l'écoutait pas, et il se doutait parfaitement que Christen faisait parti d'un de ces deux cas. Ce qui ne l'empêcha pas de continuer.

-Or, Monsieur Vargas a d'autre choses à faire actuellement que de s'occuper d'élèves voleurs de bonbons. Pense au travail des adultes qui sont dans une situation importante et qui souhaiteraient que les élèves éprouvent un peu de compassion, car le personnel et les professeur aussi sont humains et ont des sentiments, ainsi que des problèmes. Alors ne viens pas en ajouter de nouveaux.

Il se tut enfin, attendant la réponse de l'autre, l'observant de haut en bas. Il avait bien appuyé ses mots, tentant de défendre la cause des règlements qu'il aimait tant, en espérant, tout de même, que son interlocuteur l'aurait écouté. On pouvait toujours rêver, n'est-ce pas ?

Le roi des loupes
Le roi des loupes
Ludwig Beilschmidt

Mon personnage
Citation: "Les Serdaigle, en particulier, s'imaginent que tous les plus grands sorciers sortent forcément de chez eux." - J.K Rowling
Ludwig Beilschmidt
Les Serdaigle, en particulier, s'imaginent que tous les plus grands sorciers sortent forcément de chez eux.

ϟ Nation représentée : Allemagne
ϟ Parchemins : 1386
Revenir en haut Aller en bas
MessageSujet: Re: [Juin 1990] Sweets of our dreams. (feat. Christen) [Juin 1990] Sweets of our dreams. (feat. Christen) Icon_minitimeVen 2 Oct - 11:40

SWEETS OF OUR DREAMS
Christen.N Ft Ludwig.B




-Bonjour, Christen. Crois-moi, le plaisir n'est pas rendu.

Christen dégluti bruyamment face au visage impassible du Blond, reconsidérant le fait que se faire dévorer par des bergers allemands n’était pas un si mauvaise idée après tout. Il balaya les options du regard, cherchant un espace par où s’enfuir. Soudain le Serpentard remarqua qu’il tenait toujours sa baguette, fièrement pointé vers son camarade germanique. La rangeant discrètement, il sourit de toutes ses dents.

-Si tu as tant envie de bonbon, tente au moins de faire comme les autres. Pour cela, il faut rentrer dans la boutique, un pas devant l'autre, pour ensuite aller donner son argent à la caisse, le choix des sucreries une fois terminé. En revanche, aller s'écraser sur la vitre comme un mollusque avant de racketter un enfant ne t'amènera pas à grand-chose, à part de finir dans le bureau de Monsieur Vargas.

A ces mots, Christen ouvrit grand les yeux, paraissant encore plus stupide qu’à son habitude. Comment ça ? Le grand blond ne comprenait donc pas ? L’Allemand ne comprenait pas la sublime attirance des friandises, des douceurs, des sucreries. Plaisir universel et sucré dont le Serdaigle aurait bien besoin, selon Christen, pour décoincer cette grimace neutre qu’il avait en permanence sur le visage.

Christen continuait de divaguer dans ses pensées, ses digressions  noyant le flot de parole que déblatérait le Blond. Que disait-il déjà ? Mollusque ? Christen continua de contempler Ludwig qui le sermonnait dans le vide. Le blond était impressionnant mais ne faisait aucunement peur au Serpentard. En effet, il le trouverait presque sympathique s’il ne faisait pas constamment la tête en se prenant pour un professeur qu’il n’est pas. Il est vrai qu’a maintes reprises Christen avait voulu faire de Ludwig son ami, pour pouvoir rester avec lui. La présence du grand Blond lui rappelait ces viking d’autrefois et suscitait chez le Serpentard, un je-ne-sais-quoi d’admiration. Pourquoi fallait-il que cet Allemand débarque toujours au mauvais moment ?

Le petit Poufsoufle enfui, l’air menaçant du Blond n’avait aucun effet sur Christen, habitué aux menaces depuis sa tendre enfance. Son regard bleu pénétrait dans celui de Christen essayant, il le supposait, de le foudroyer. Même si la situation était, disons-le, inconfortable pour le Serpentard, celui-ci, à la fin du monologue de son « ami » ne put que lui sourire à pleine dents. Mais voyant le fort peu de résultat, voir le contraire, que cela créait chez son interlocuteur Christen décida d’user de ses « Talents Cachés ». Il s’agenouilla devant Ludwig et commença à l’implorer. Le manque de sucre lui faisait perdre la tête telle des jeunes filles en fleur devant le dernier sorcier à la mode.

- Ludwig, ai pitié ! Je ne suis qu’un pauvre Orphelin de père qui cherche un peu d’attention dans les bonbons. Ils sont mon unique…Quoique non…Ils sont ma DEUXIEME raison de vivre ! Comment peux-tu être aussi sans-cœur ?! Moi qui avait CONFIANCE en toi ! Tu oserais dénoncer une pauvre créature sans défense telle que moi. Regarde, je pleure des larmes ! Tu comprends ce que cela veut dire. Je vais mourir de faim et de froid dans un coin, dévoré par des Bergers Al…Australiens... Aurais-tu la bonté de mon donner un...deux...VINGT galions afin que je puisse étancher mon âme en peine ? Termina-t-il en tendant les mains. On aurait presque pu apercevoir des oreilles basses apparaitre sur la tête du Serpentard qui n’avait d’autre pensée que les bonbons.

La scène, bien que pathétique à voir était cependant empreinte de….De…Bon ok c’est vrai, c’était juste pathétique. Mais Christen était, au fond de lui,  persuader que son jeu d’acteur « Merveilleux » aurait raison du cœur glacé du Blond. Pendant ce temps, les gens passaient regardant la scène avec un brin de pitié pour la dignité, déjà bien loin, de ce garçon agenouillé devant son camarade.




Invité
avatar
Invité
Revenir en haut Aller en bas
MessageSujet: Re: [Juin 1990] Sweets of our dreams. (feat. Christen) [Juin 1990] Sweets of our dreams. (feat. Christen) Icon_minitimeVen 2 Oct - 15:09

「 Sweets of our dreams 」


Le sourcil gauche de Ludwig se haussa de plus en plus à chaque mot prononcés par l'imbécile de serpentard se trouvant devant lui. C'est bien simple : jamais Ludwig n'avait pensé qu'il pourrait levé son sourcil aussi haut. Il fallait préciser que c'était la première fois que le blond entendait un discours aussi stupide. Lui qui appréciait les bonnes lectures, il avait pourtant dévoré de nombreuses pièces de théâtre, parfois d'humour, et bien fournie de monologue visant à tourner les personnage ridicule en risée du public. Et pourtant. Pourtant Christen avait eu là la plaidoirie la plus idiote qu'il n'ait jamais connu.

Le premier élément à faire grimacer le serdaigle fut sans aucun doute les mimiques exagérées du groenlandais. On voyait qu'il pensait ce qu'il disait, mais dans sa tentative d'être convainquant, il se rendait tout simplement ridicule et pitoyable. Ses mains partaient dans tout les sens pour illustrer ses propos, comme un mauvais acteur, son genoux posé au sol comme si il proclamait une sérénade. Bien sur, Ludwig garda sa stature droite et sérieuse. Le voleur lui foutait la honte, certes, mais il devait montrer qu'il était plus fort que cela.

Le deuxième élément fut la sois-disante confiance du serpentard envers lui. "Moi qui avait CONFIANCE en toi ! Tu oserais dénoncer une pauvre créature sans défense telle que moi !". Mais de quelle confiance parlait-il ? Et quel était ce manque de défense qu'il évoquait ? Ce type venait juste d'agresser un élève avec sa baguette ! Se moquait-il complètement de lui ? Il grogna, mais continua d'écouter le discours. Ridicule. Le reste était tout aussi stupide que le départ. Ludwig se fit commentaire mental que "Quand on pleure, évidemment qu'on pleure des larmes. Tout autant que quand on vole, bien sur qu'on est un enfoiré.", mais il garda cette petite remarque pour lui seul. Il soupira, passa sa main sur son visage comme pour reprendre son calme.

-Premièrement, non, tu ne vas pas mourir de faim. Tu as mangé ce midi, à Poudlard, avec tous tes camarades, et tu répéteras la même action dès ce soir.

Il se massa les tempes, tout de même agacé d'avoir à expliquer ce genre d'évidence, mais il continua, vu que l'idiot en face de lui ne semblait pas cerner la situation.

-Deuxièmement, les bergers australiens ne mangent pas d'homme. Ce sont de magnifique créature qui peuvent être parfaitement dressée, et donc tout à fait non dangereuse. Bien sur, il est possible de les dresser pour le combat, mais ce genre de chose devraient être réservée aux races taillées pour. Le berger australien, lui, est un chien d'éleveur, éduqué pour conduire ou garder les troupeau de ferme, ou pour tout simplement tenir compagnie. Leur caractère est très joueur et ils...

Il s'arrêta un instant, se rendant compte qu'il s'attachait bien trop à un détail sans aucune importance.

-Dans tous les cas, ils ne te mangeront pas. Et troisièmement, si tu souhaites acheter des bonbons à Honeyduke, ait au moins le respect de payer les artisans qui les ont produit. Aussi, comme tu n'as pas d'argent... Tu ne peux pas en avoir, tout simplement. Bonne journée.

Il se retourna, commença à s'éloigner du serpentard au sol, quand une idée apparu dans son esprit. Un mauvais pressentiment. Il se tourna à nouveau, fixant Christen de son regard glacé, avant de s'assurer de quelque chose.

-... Si tu n'as pas d'argent... Tu ne vas pas recommencer à agresser des élèves pour en avoir, n'est-ce pas ?

Le roi des loupes
Le roi des loupes
Ludwig Beilschmidt

Mon personnage
Citation: "Les Serdaigle, en particulier, s'imaginent que tous les plus grands sorciers sortent forcément de chez eux." - J.K Rowling
Ludwig Beilschmidt
Les Serdaigle, en particulier, s'imaginent que tous les plus grands sorciers sortent forcément de chez eux.

ϟ Nation représentée : Allemagne
ϟ Parchemins : 1386
Revenir en haut Aller en bas
MessageSujet: Re: [Juin 1990] Sweets of our dreams. (feat. Christen) [Juin 1990] Sweets of our dreams. (feat. Christen) Icon_minitimeMar 10 Nov - 14:20

SWEETS OF OUR DREAMS
Christen.N Ft Ludwig.B




-... Si tu n'as pas d'argent... Tu ne vas pas recommencer à agresser des élèves pour en avoir, n'est-ce pas ?

Christen, à genoux, toute dignité disparue, telle une pauvre bête battue, releva la tête. Il croisa alors le regard de Ludwig, regard glacial et sans émotion. Celui-ci marque de fabrique de l’Allemand, transperçait le corps de Christen qui aurait été tué sur le coup si les yeux du blond avait été des revolvers. Celui du Serpentard ne saurait être descriptible par des mots simples, ni même par des complexe. Mélange d’une pierre tombale et d’un merlu pêché depuis quatre jours, le regard de Christen à ce moment précis, était encore plus vide que celui d’un homme embrassé par un Détraqueur le jour de la Saint valentin. La question du Serdaigle raisonnait dans la tête du Brun comme un écho sans fin. Doucement mais sûrement son regard évolua pour passer de vide, à sa stupidité naturelle puis, pour finir, à un aspect plus mesquin.

- Bien sûr que si voyons ! Les premières années sont si drôles quand tu les menaces de mort ! Tu les vois changer de couleur quasi instantanément. Du beige au blanc pâle, parfois vert ou rouge, c’est relativement amusant. Voler c’est cool ! C’est comme si je m’achetais tous les bonbons que je voulais, sauf que c’est gratuit ! Ajouta idiotement Christen.

En disant ces mots le Serpentard s’était relevé et bougeait ses mains pour illustrer son propos qui de ce fait paraissait encore plus stupide qu’a l’accoutumé. La rhétorique n’était pas son fort mais ça, il ne le savait pas. Cependant, jamais le Brun n’aurait tenu de pareil propos si le sucre ne lui faisait pas défaut. Il délirait quelques peux. Sa Glycémo-dépendance était en train de s’aggraver et celle-ci lui pourrissait vraiment la vie. Vous imaginez ? Stupide et dépendant ! On ne pouvait que le plaindre n’est-ce pas ?

Malgré tout Christen comprenait que ce qu’il faisait n’était pas forcément très très…légal (c’est ce qui rendait le vol aux yeux de Christen). Soudain, le cerveau du Groenlandais, bien que fonctionnant au ralenti, réussi à faire à accoucher d’une idée. S’il ne pouvait pas aller chercher des bonbons, une bonne poire le ferait pour lui de son plein gré.  Et actuellement, la bonne poire était à Serdaigle, avait les cheveux blonds et les yeux bleus. Il se retourna théâtralement vers Ludwig et lui souris d’un air idiot. C’était un géni il en était sûr ! Il s’avança vers l’Allemand et s'adressa à lui de manière excessivement mielleuse.


- Ahhh mon cher Ludwig…Tu sais que tu es mon MEILLEUR ami ! Vraiment ! Que ferai-je sans toi ? Je ne pourrais vivre que dans la fiction sans fin d’une vie éternellement triste. Tu illumines mes journées de tes merveilleux cheveux jaunes ! (faudra que tu me dises le sort pour ça d’ailleurs…) J’aimerai tellement te faire plaisir ! Mais je me vautre dans la bêtise éternelle et, par manque d’argent, je ne saurai assouvir tes idées de justices et d’honnêteté. D’autre part…Si une âme bonne et charitable comme la tienne pouvait m’offrir quelques sucreries, je la saurai gré pour le restant de mes jours. Malheureusement, aucune bonne âme ne m’a proposé son aide…Je me sens siiiiii seul ! Siiiii délaissé ! Ludwig, tu es mon seul espoir !  Tu ne voudrais pas que je MEURS ? Je sais que tu ne me porte pas dans ton cœur et que tu es sous doute déborder. Mais pourrais-tu faire ça pour moi…Tu auras ma gratitude éternelle.

Christen s’approchait de plus en plus de Ludwig avec la ferme intention de le faire céder. Il savait que le blond ne pourrait refuser et appuya ses dires avec une tête de chiens battu qui le faisait plus ressembler à un lama victime d’un strabisme convergent qu’a un chien à bonnement parler.
Il en était persuader, Ludwig ne pourrait résister plus longtemps.


 




Invité
avatar
Invité
Revenir en haut Aller en bas
MessageSujet: Re: [Juin 1990] Sweets of our dreams. (feat. Christen) [Juin 1990] Sweets of our dreams. (feat. Christen) Icon_minitimeMar 10 Nov - 20:39

「 Sweets of our dreams 」


-Ludwig, tu es mon seul espoir !  Tu ne voudrais pas que je MEURS ? Je sais que tu ne me porte pas dans ton cœur et que tu es sous doute déborder. Mais pourrais-tu faire ça pour moi…Tu auras ma gratitude éternelle.

Bah tiens. Ou plutôt la gratitude de sept minutes, le temps d'acheter les bonbons et de ressortir. Ou voire même seize minutes, vu la queue à la caisse.

La bêtise de cette créature idiote qui s'approchait de lui avec le regard d'un rat cherchant à atteindre le fromage coincé dans une souricière était si grande, si profonde, que si elle avait été un trou, il serait devenu l'attraction touristique de tout un siècle. On l'aurait appelé "Le trou sans fin", et les gens seraient venus des quatre coins du monde pour jeter déchets, mauvaises notes, voisins bruyants, ou autre petits rien désagréables qu'on ne souhaitait plus jamais voir. Tel cet animal qui hante nos plafonds, il était en train de s'approcher un peu trop de la friandise qui se trouvait dans la souricière. La friandise, c'était l'argent. La souricière... C'était Ludwig. Et Ludwig n'était pas content, du tout. Car il fallait dire les choses comme elles l'étaient : Christen était sacrément con de penser qu'il pouvait ainsi berner un serdaigle.

Meilleurs amis ? Ils n'avaient du parler que quatre fois tout au plus. De plus, les questions rhétorique commençait à l'agacer, et l'allemand ressentait cette envie urticante de répondre à chacune d'entre elle de façon sèche, d'une voix si pointue qu'elle aurait pu égorger n'importe quel homme. "Que ferais-je sans toi ?"... Eh bien ? N'était-ce pas évident ? Le serpentard resterait là, seul, à baver sur le sol du Près-aux-lards, recevant parfois quelques sous de braves gens qui le regarderaient de haut avec pitié. Il fallait dire qu'avec sa dégénérescence mentales, Christen avait l'air d'un handicapé profond, et encore, peut être un véritable handicapé profond était moins à plaindre.

Non vraiment. La seule chose que le brun pouvait utiliser contre Ludwig, et qu'il possédait sans même s'en rendre compte, c'était la menace. Le risque, si le serdaigle partait, était que cet imbécile commette à nouveau son racket. Et vu le regard semblable au psychopathe en manque de drogue qu'il avait, il était tout à fait probable que son méfait soit commit à nouveau. Et le but du blond était de protéger les élèves. Il regarde la boutique, et lança un soupire, comme résigné.

-Je veux bien t'acheter quelques sucreries.

Les yeux fermés, il énonça sa condition directement, de peur de voir son interlocuteur se mettre à baver sur ses propres chaussure avec le parfait air de l'imbécile heureux.

-Cependant, je réclame remboursement par la suite, dans un délai de une semaine. Si tu penses ne pas pouvoir remplir cette condition, alors je serais dans l'obligation de te ramener directement à Poudlard, pour éviter une autre histoire de vol. Suis-je clair ?

Le roi des loupes
Le roi des loupes
Ludwig Beilschmidt

Mon personnage
Citation: "Les Serdaigle, en particulier, s'imaginent que tous les plus grands sorciers sortent forcément de chez eux." - J.K Rowling
Ludwig Beilschmidt
Les Serdaigle, en particulier, s'imaginent que tous les plus grands sorciers sortent forcément de chez eux.

ϟ Nation représentée : Allemagne
ϟ Parchemins : 1386
Revenir en haut Aller en bas
MessageSujet: Re: [Juin 1990] Sweets of our dreams. (feat. Christen) [Juin 1990] Sweets of our dreams. (feat. Christen) Icon_minitimeVen 15 Jan - 19:44

SWEETS OF OUR DREAMS
Christen.N Ft Ludwig.B




-Je veux bien t'acheter quelques sucreries.Cependant, je réclame remboursement par la suite, dans un délai de une semaine. Si tu penses ne pas pouvoir remplir cette condition, alors je serais dans l'obligation de te ramener directement à Poudlard, pour éviter une autre histoire de vol.

Christen, les pupilles devenues soudainement très sombres, commençait à baver alors que le mot "sucreries" était venu s'écraser contre ses oreilles. Le jeune garçon sentait déjà dans sa bouche le goût du sucre. Il faut dire que le serpentard le connaissant par coeur. Il en connaissait également les déclinaisons. Les sucreries qui piquent, les sucreries douces, les sucreries chocolaté. Celles aux fruits, les molles, les durs, les longues. Plus elles étaient grosse plus Christen jouissait de les avoir dans la bouche. Sa relation avec les sucreries outrepassait largement la normalité.

L'Allemand venait par ses dires, d'aggraver le cas de Christen, car après tout...l'Allemand n'avait pas dit UNE mais QUELQUES sucreries. Sans le savoir, l'élève germanique venait de s'élever au rang de dieu pendant une demi-seconde dans l'esprit embrumé du jeune Groënlandais.

- Suis-je clair ?

Christen, qui avait bien entendu, décroché après le mot "sucreries", se contenta d'acquiescer stupidement en balançant sa tête de nombreuses fois d'avant en arrière, la langue à moitié dehors. Un chien ! Quoique...Non, cela insulterai les chiens. Sur l'échelle de la dignité, Christen était plus proche de l'étron que du reste.

- Oui oui oui oui oui oui Ludwig ! Parfaitement clair ! De l'eau de roche ! Un cristal limpide ! Clair comme un miroir. Maintenant allons faire la queue !


C'est en tenant pratiquement la main du Serdaigle qu'il l'amena dans la queue qui était, il fallait le dire, longue. La honte de l'Allemand devait être à son couble lorsque, sous les yeux remplis de pitié des autres personnes, Christen, d'impatience, se mit à sautiller sur place ne supportant plus la douloureuse distance entre lui et ses précieuses futurs friandises. Qu'est ce qui n'allait définitivement pas dans sa tête ?

Voyant que la file d'attente ne diminuait pas, Christen s'impatienta. Il regarda son camarade germanique et attendit que celui-ci ne le surveille plus pour sortir discrètement sa baguette. Existait-il un sortilège pour faire avancer les gens plus vite ? Existait-il un charme pour arrêter le temps et voler les friandises...Le brun chercha dans son esprit un sort qui lui permettrait d'accéder le plus rapidement possible à ses préciseuses douceurs. Le sortilège Doloris était bien trop cruel et Christen n'était vraiment pas un mauvais sorcier. Il aimait juste faire des blagues. Il farfouilla dans son esprit à la recherche d'un sort qui lui correspondait. Un sortilège drôle...Tarentallegra ! La malédiction dansante ! Pas bien méchante et vraiment très drôle.

Hors de la vue du Serdaigle, Christen commença alors à incanter un sourir radieux sur le visage.  




Invité
avatar
Invité
Revenir en haut Aller en bas
MessageSujet: Re: [Juin 1990] Sweets of our dreams. (feat. Christen) [Juin 1990] Sweets of our dreams. (feat. Christen) Icon_minitime

Contenu sponsorisé
Revenir en haut Aller en bas

[Juin 1990] Sweets of our dreams. (feat. Christen)

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut

Sujets similaires

-
» [Juin 1990] Cul sec ! (feat. Maria)» [TERMINÉ][Juin 1990] Wow...mon beau-père est un pas-doué. -feat Ulrich Beilschmidt-» [Juin 1990] I want a pet !» [Juin 1992] Chat versus Fourmis ! [Feat. Ermenegildo]» [TERMINÉ][9 juin 1990] One more night... [ Ft. Altan]
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
 :: Pré au Lard :: Honeydukes-
Sauter vers: