: Les amis… on fait la fête ? S’amuser encore et encore, sincèrement, la vie mérite d’être vécue alors autant s’éclater à fond non ? A quoi bon rester sérieux alors qu’on a toute notre jeunesse pour s’amuser hein ? On se concentrera plus tard, on travaillera plus tard, quand on sera vieux et rabat-joie mais pour le moment faut profiter ! S’éclater ! Bien sûr, je ne suis pas qu’une brute écervelée qui tape et qui réfléchit ensuite…enfin peut-être que si en fait ! Mais bon, je sais que je ne mettrais jamais de ma vie mes amis en danger, que ce soit ceux que je me suis fait à Poudlard et qui comptent plus que tout au monde pour moi, que ceux du zoo de mes parents avec qui j’ai tissé un lien indescriptible et qui resteront à jamais gravés dans mon âme. Et sans oublier celui qui n’entre dans aucune de ces deux catégories, celui qui est pour moi comme mon frère, à celui qui semble tout faire pour que ma vie soit un enfer mais qui pour autant reste une boule de tendresse et d’amour : mon petit Alcide ! C’est un adorable koala au pelage gris et blanc qui en a déjà fait fondre plus d’un. La plupart, c’est une boule de tendresse, c’est un des êtres les plus loyaux qu’il m’ai été donné de rencontrer dans ma vie, son seul défaut : il ne peut pas résister à la vue du moindre aliment comestible. Bon, là-dessus j’admets que je suis aussi un estomac sur pieds, mais je ne fais pas le poids face à lui ! Avec Alcide c’est simple : toute nourriture est faite pour être mangée, alors dès qu’il en voit, il ne peut s’empêcher d’en voler. Encore, quand il vole dans mon assiette ça m’énerve mais ça passe encore, mais le pire c’est qu’il vole même dans les assiettes des autres. Mais ce qui est évident chez Alcide, c’est qu’il est doux comme personne. Seulement voilà, il y a une seule personne avec qui le simple fait de croiser le regard force à se batte : Scone le tout aussi adorable chat d’Aisling. Je n’ai jamais compris ce qu’il y avait entre ces deux-là, et lorsque je leur ait demandé, ils se sont réfugiés dans un silence tellement profond… Je ne perds pas espoir, je sais que je découvrirais un jour ce qu’il s’est passé !  
Alors qu’est-ce que tu fais à Poudlard si tu ne veux pas travailler me direz-vous ! Eh bien sachez que je ne suis certainement pas le plus grand travailleur des quatrièmes années, mais mes résultats, notamment en formules et métamorphoses ne sont pas si terribles que ça. En fait, pour ce qui est des sortilèges, j’ai une excellente mémoire dont je ne suis pas peu fier de me vanter et qui me permet de me remémorer d’une tonne de formules presque sans le moindre problème. Pour ce qui est de la classe de métamorphose, je trouve cette matière tout simplement passionnante alors c’est sans doutes la seule matière pendant laquelle je suis totalement captivé. Je trouve ça tellement drôle comment on peut transformer un animal ou un objet en autre chose qui n’a rien a voir, c’est époustouflant. Cette année encore, je n’ai pas appris à lancer de sorts sur les vrais humains, mais peut-être qu’un jour je serais assez fort pour le faire et je pourrais tester mes nouveaux sorts de métamorphose sur Alex qu’en pensez-vous ? Je suis très doué en langues aussi, même si ça n’a pas réellement d’importance à Poudlard. En fait, grâce au zoo de mes parents, j’ai pu apprendre plusieurs langues couramment, et d’autres dans lesquelles je connais quelques mots utiles. Pour l’instant, je n’ai pas vraiment eu l’occasion de me servir de ce talent caché, et rares sont les personnes qui y sont au courant, j’attends le bon moment pour surprendre l’assemblée et recevoir la gloire du peuple ! *éclate de rire puis redevient sérieux* En lisant cette partie de moi on pourrait croire que je ne suis qu’un simple plaisantin immature. Mais il y a une bonne raison pour cela. Au fond,  je sais qu’il sommeille quelqu’un de posé, intelligent avec les pieds sur Terre, mais il doit toujours être en hibernation prolongée. La raison est quelque peu personnelle et le simple fait de l’évoquer m’émeut. Depuis toujours, mes parents, mon entourage, bref, presque tous les adultes autour de moi ne cessaient de me répéter que le monde dans lequel ils vivaient étaient compliqué et qu’il fallait travailler dur pour y arriver, certains même avec de longues études n’y arrivaient pas dans la vie. En fait, ils ne cessaient de me rappeler de profiter de mes jeunes années car les problèmes viendraient en masse plus tard. Alors, j’ai décidé de profiter de mon enfance comme ils me l’ont recommandé, et d’en profiter aussi longtemps que possible. Ne jamais devenir adulte est alors devenu en quelque sorte mon objectif, et c’est aussi pour cela que j’essaie toujours d’être de bonne humeur ; ne jamais avoir de problèmes, ne jamais devenir adulte. Plus tard même, j’aimerais rappeler à autant d’adultes possibles leurs jeunes années en ouvrant un parc d’attraction magique, pour leur faire comprendre à tous, qu’il ne faut jamais oublier ses rêves d’enfant...

Le moins qu’on puisse dire en me voyant arriver la plupart du temps : c’est qu’on m’entend de loin. Avant même d’avoir pu savoir à quoi je ressemble, la plupart des personnes que je rencontre pour la première fois connaissent ma voix. Mais ce n’est pas ma faute aussi si j’ai une voix qui porte et que je ne sais pas chuchoter ! Bien que je ne sois certainement pas la personne qui ait la voix la plus grave de l’école, je peux quand même me vanter de me classer dans le top 10 au moins. Donc, une fois qu’on s’est habitué à ma voix, les gens qui me rencontrent son souvent surpris par ma manière de marche, de m’agiter constamment dans tous les sens. Mais encore une fois c’est pas de ma faute ! Je n’ai pas honte de ce que je suis, la timidité ? Je ne connais pas ça moi désolé, faudra repasser un autre jour. Et même si je suis de taille moyenne, je n’ai pas besoin d’être grand comme Matthew et Alfred pour pouvoir attirer l’attention.
Pour faire simple, j’ai les yeux verts, les yeux bruns, et un pansement sur le nez, voilà ce que quelqu’un qui n’a aucun goût dirait. Mais c’est plus qu’un simple pincement, c’est ma marque de fabrique comme on dit, ma manière de me différencier des autres, d’attirer encore plus l’attention sur moi. Mes yeux, je n’en suis pas peu fier, et même si je suis loin d’être narcissique, c’est sans doute la seule chose que je trouve de réellement séduisante lorsque je me regarde dans le miroir. Je sais…ma coupe à l’air travaillée et je passe parfois pour un fou furieux de la mèche mais c’est pas vrai ! Là-dessus aussi j’ai eu de la chance, ma coupe reste potable dans n’importe quelle situation, c’est d’ailleurs pratique parce qu’avec tout ce que je fais j’ai mieux à m’occuper que quelques mèche récalcitrantes.
Pour mes vêtements, c’est très variable. Lorsque je suis Poudlard, je n’ai pas d’autre choix que de m’habiller comme tous les autres sorciers, soi-disant que cela fait partis d’une des capacités que je dois avoir pour vivre en société, mais lorsque pendant les vacances, je rentre chez moi, ce n’est plus du tout la même chose. Tout d’abord, je veux des vêtements qui ne me portent pas trop chaud et qui ne soient pas trop dérangeants pour pouvoir faire du sport ou tout simplement me balader en compagnie d’animaux que j’adore. Le plus souvent j’opte pour une chemise marron, rappelant quelque peu mon teint mate, et une un short ou un pantalon court. Et pour finir, je ne sors jamais sans mon chapeau…tout simplement parce que c’est classe un chapeau !

Par quoi commencer pour raconter toute ma vie… Par le commencement peut-être non ? *rires* Je suis issu d’une famille composée de mes parents et de mon petit frère, mes parents qui d’ailleurs sont tous les deux moldus purs et durs. Pour ce qui en est de Marc, mon petit frère, on n’en sait toujours rien même si je pense pas qu’il y ait de grandes chances qu’un jour lui aussi mette les pieds à Poudlard ( mon frère qui d’ailleurs n’est au courant de rien sur le monde magique qui nous entoure et qui pense que je en fait en pension dans un lycée on ne peut plus banal ). Mes parents et moi avons vécu jusqu’à mes huit ans en Angleterre, et lorsque mon frère est arrivé, ils ont réalisé à quel point le temps s’écoulait rapidement et qu’il était peut-être temps de réaliser enfin leur rêve, celui d’ouvrir un immense zoo à l’autre bout de la planète. Un projet fou et qui fait rêver, mais que très peu arrivent à mener à bout, et mes parents font partie de cette brochette de personnes, j’en suis extrêmement fier vous savez ! Nous sommes donc arrivés en Australie alors que mon frère venait de souffler sa première bougie, j’avais donc neuf ans. Mes parents qui jusque-là avaient pu mettre de l’argent de côté n’eurent pas de réels problèmes pour trouver un logement décent en attendant d’acheter le zoo qui deviendra plus tard notre lieu de vie à tous.    
Le zoo que mes parents trouvèrent d’ailleurs apparut comme une réelle bénédiction. C’était en fait une immense réserve naturelle, en plus d’un zoo classique dans lequel on pouvait retrouver des créatures venant du monde entier, malheureusement, le propriétaire était veuf, et ses enfant devenus adultes étaient partis à l’étranger après le décès de leur mère. Le vieil homme ne mettait plus de cœur à l’ouvrage, toujours profondément touché par la mort de sa femme, et le zoo était alors menacé de fermeture puisque il ne payait plus les factures depuis un certain temps. Mes parents touchés par la détresse de l’homme décidèrent que le moment était venu pour rendre leur rêve réalité et ils achetèrent finalement le zoo pour une bouchée de pain. Et après plusieurs longs moins de constructions et de réparation, le zoo Wilson ouvrit enfin ses portes ! Tout d’abord méfiants à cause de la mauvaise réputation de l’endroit ( nous avons appris quelques temps plus tard que le vieil homme qui avait l’air tellement doux en apparence était alcoolique et des rumeurs disaient qu’il était parfois violent avec les membres de sa famille ), mais notre accueil qui se voulait toujours plus chaleureux, et le bouche à oreille disant que le propriétaire était parti jouait un grand rôle. Rapidement, nous sommes devenus le plus grand zoo de la région, et mes parents commencent à imaginer construire un hôtel dans le zoo pour que les visiteurs puissent y passer la nuit et se restaurer.
Le zoo était donc devenu notre lieu de vie à moi, mon frère et mes parents. Je prenais des cours par correspondance, et je passais une grande partie de ma journée à me balader dans le zoo et donc, j’étais très proche des animaux qui s’y trouvaient. En fait j’ai mis plusieurs mois avant de comprendre qu’il se créait entre nous un lien anormal. Lorsque un animal ne se sentait pas bien, j’étais le premier à le ressentir, et au fil  du temps je pouvais même deviner de quel mal il était atteint. Puis, c’était lorsque une femelle venait de tomber enceinte et que les instruments conventionnels ne pouvaient toujours pas détecter la présence d’un nourrisson. Evidemment, croyant que le problème venait de moi, je n’en ai jamais osé parler ni à mes parents, ni même à mon petit frère avec qui pourtant j’ai toujours été proche. Plus le temps passait, et plus les liens que j’entretenais avec les animaux devenaient forts, et j’étais capables, non pas uniquement de ressentir leurs problèmes, mais aussi leurs émotions, leurs joies, leurs tristesses, et c’est lorsque j’atteignis mes neuf ans, que je pouvais clairement communiquer avec eux, leur langage étant devenu pour moi encore plus simple à déchiffrer que celui des humains, mais pour le moment, je pensais toujours que je n’étais pas normal, et même si cela devenait de plus en plus difficile parce que mes parents se doutaient bien que quelque chose me tracassait, personne dans mon entourage n’était au courant. Mais cela ne pouvait pas durer éternellement…
Un beau matin, alors que le soleil s’était levé depuis plusieurs heures déjà, je me réveillais lentement comme à mon habitude, par des bruits de pas et des cris semblant venir de partout à la fois. Sortant de ma chambre en essayant de reprendre aussi vite que je pouvais mes esprits, j’allais vers la cuisine pour déjeuner et j’y trouvais mon frère qui m’expliqua ce qui se passait. En fait, si tout le zoo était en effervescence, c’est que la veille, pendant la nuit, ils avaient reçu un nouvel habitant, un adorable petit koala au pelage gris et blanc doux comme de la soie. Le problème c’est que le nouvel arrivant ne semblait pas se plaire dans cet endroit pourtant aux allures paradisiaques, depuis son arrivée il ne cessait de pousser des longs cris aigus, et refusait de se nourrir. Seulement, il n’avait que quelques mois et si il ne se décidait pas à manger, il risquait d’y laisser la vie. Aussitôt touché par l’histoire que m’avait raconté mon frère, j’ai reposé ma tasse encore pleine sans prendre la peine de petit-déjeuner. Connaissant les lieux par cœur, je ne mis que quelques minutes avant d’arriver devant le nouvel habitat du koala, et je de jouer des coudes pour pouvoir me faufiler entre les adultes pour arriver  devant lui. Dès que nos regards se croisèrent, je compris quel était son problème. Cela n’avait rien à voir avec une quelconque maladie ou je ne sais quoi : l’animal en face de moi était tout simplement mort de peur. Terrifié d’avoir été séparé brusquement de sa mère morte en lui donnant la vie. Alors, un des employés de mon père s’approcha du prénommé Alcide et sortit de sa poche une seringue, faisant pousser au koala des cris encore plus stridents. J’ai alors hurlé d’arrêter, de toutes mes forces, sans savoir si mon cri allait être entendu. Poussant les autres employés qui assistaient à la scène, j’ai alors pénétré dans l’enclos et j’ai simplement pris Alcide entre mes bras. Je sentis les muscles crispés du koala se détendre petit à petit, et alors qu’il s’agrippait désespérément à mon épaule, je réussis à lui faire manger quelques bouchées, au moins que quoi rester en vie aujourd’hui. Tout le monde autour de moi me regardait avec des gros yeux ronds, et je faillis éclater de rire si la situation n’était pas aussi gênante. Je n’avais pas eu le choix pour sauver Alcide que de révéler à tout le monde mon don. Mais je ne le regrettais pas, car les jours qui suivirent, plus qu’avec n’importe quel animal de ce zoo que je considérais comme un ami, je créais un lien indestructible avec Alcide. J’étais le seul avec qui il acceptait de manger et de boire, et le soir, malgré les hautes barrière qui entouraient son enclos, il trouvait toujours un moyen de se faufiler le soir, et de venir se blottir contre moi dans mon lit, si bien qu’au bout de plusieurs mois, mon père accepta de m’offrir ce petit être adorable, mais le même jour, celui de mes dix ans, il me fit une révélation qui changea à jamais ma vie : j’étais un sorcier. Finalement, cette annonce, au lieu de me choquer ou de m’effrayer, me réconforta. Je savais désormais que mon pouvoir n’était pas une anomalie de la nature et qu’il existait sans doutes pleins d’autres jeune du même âge que moi, avec les mêmes dont. Alors, c’était sans hésiter que j’ai accepté de venir à Poudlard, pour apprendre à maîtriser mon don, et je ne suis pas venu seul : Alcide aussi fait partie de la fête, il ne voulait pas me laisser partir seul, mais je suis certain que c’est parce que mon père a dit que la nourriture de Poudlard était sans égale…
Cela fait donc maintenant trois ans que je suis à Poudlard et je suis sur le point d’entamer ma quatrième année. J’ai certes appris énormément de choses, mais j’ai surtout fait la fête, et rencontré tout pleins de gens trop marrants ! Je sens que cette quatrième année va être explosive !  

❯ PSEUDO : Engeliste
❯ AGE : 16 ans
❯ SEXE : Masculin
❯ COMMENT AS-TU CONNU LE FORUM ? A cause de Espagne qui m'a dit qu'elle créait un forum pottertalia alors je suis venu par curiosité
❯ NIVEAU RP : intermédiaire

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