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[Le Berlin sorcier - Août 1990] Il faut bien une première fois à tout. [Feat Feliciano Vargas]

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MessageSujet: [Le Berlin sorcier - Août 1990] Il faut bien une première fois à tout. [Feat Feliciano Vargas] [Le Berlin sorcier - Août 1990] Il faut bien une première fois à tout. [Feat Feliciano Vargas] Icon_minitimeSam 29 Aoû - 20:55

Il faut bien une première fois à tout.
Ludwig Beilschmidt
Feliciano Vargas


Il faisait chaud. Il n'y avait rien de véritablement étonnant quant à ceci, après tout, le mois d'août était réputé pour être particulièrement beau. Mais la température actuelle contrastait énormément avec les froids habituels de la ville de Berlin. Heureusement, la partie sorcière de la capitale allemande était composée de ruelles très serrées, qui parfois aboutissaient sur un parc ou un immense monument très espacé, ce qui la rendait pleine de surprise. Mais surtout, cela voulait dire qu'il était facile de trouver des coins d'ombres où pouvoir marcher, et heureusement d'ailleurs, car Ludwig n'avait jamais bien supporté le soleil.

L'allemand était en compagnie de Feliciano, lui faisant visiter les environs, ou du moins les quartiers qu'il connaissait. Certains étaient simplement remplis d'habitations et il n'avait jamais vu l'intérêt de s'aventurer plus loin. Aussi, la connaissance qu'il avait de Berlin s'arrêtait au Berlin sorcier, et encore, le serdaigle n'avait jamais réellement visité son intégralité. Cela dit, il avait parfaite mémoire des coins qui valaient le coup, de où se trouvait le centre ville, les magasins, les restaurants et surtout... Les meilleurs bars du coin. Car même les sorciers avaient la "petite" habitude de fêter l'Oktoberfest tout le long de l'année, et un peu plus en Octobre tout de même. Ludwig continuait sa petite visite, montrant une statut à son compagnon, d'un air toujours aussi sérieux et travailleur, si bien qu'on aurait pu le prendre pour un guide professionnel.

-Celle-ci a été construite en l'honneur du sorcier qui a gagné la petite bataille inconnue de 1457, Bernhardt Kirschenbaum Wiedenfeld. Elle n'est évoquée que dans peu de livre, mais mon père m'en avait déjà parlé, quelque peu. Et ici se trouve...

Se tournant, son regard se posa sur la taverne la plus grande du Berlin sorcier. Ah... Il en avait passé, du temps ici, pendant ses vacances. Ce n'était pas là qu'il avait eu sa première bière, celle-ci ayant été bue à l'extérieur autour d'une tables en bois, installée là à l'occasion de la fameuse fête de la bière. Mais tout de même, le lieu se trouvant devant lui lui rappelait quelques souvenirs. Des blondes, des brunes... Pétillantes... Même si parfois les bulles partaient vite.

Une idée parcourra bien vite son esprit. Lui et l'italien étaient là pour s'amuser n'est-ce pas ? Et puis, son compagnon voulait découvrir l'Allemagne, après tout. Et comment découvrir ce magnifique pays sans goûter aux spécialités ? Et l'une d'entre elle, tout le monde le sait... C'est la bière. Leur boisson favorite, à tous, ou bien la majorité... Car après tout, il y a des enfants en dessous de huit ans qui ne savent pas ce qu'ils ratent. Oui, Feliciano se devait de goûter au breuvage. Il l'avait déjà entendu dire, dans une conversation dont il ne se souvenait que partiellement, que le poufsouffle n'avait jamais bu de bière. Ludwig s'était tout simplement dit qu'il devait avoir une préférence pour le vin. Mais pourquoi ne pas essayer de lui faire goûter ?

-Hm... Feliciano ? Demanda t'il d'abord. Nous pourrions nous arrêter ici et peut être boire une bière. Après tout, tu n'y as jamais goûté, n'est-ce pas ?

Ce qu'il ne savait pas, c'est que chez Ludwig, boire une bière signifie en boire bien plus.







Dernière édition par Ludwig Beilschmidt le Dim 20 Sep - 10:00, édité 1 fois
Le roi des loupes
Le roi des loupes
Ludwig Beilschmidt

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Citation: "Les Serdaigle, en particulier, s'imaginent que tous les plus grands sorciers sortent forcément de chez eux." - J.K Rowling
Ludwig Beilschmidt
Les Serdaigle, en particulier, s'imaginent que tous les plus grands sorciers sortent forcément de chez eux.

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MessageSujet: Re: [Le Berlin sorcier - Août 1990] Il faut bien une première fois à tout. [Feat Feliciano Vargas] [Le Berlin sorcier - Août 1990] Il faut bien une première fois à tout. [Feat Feliciano Vargas] Icon_minitimeJeu 17 Sep - 1:09

Il faut bien une première fois à tout.

Feat. Ludwig Beilschmidt





Dans les rues de Berlin sorcier, gambadé joyeusement Feliciano aux côtés de son amant, sous les rayons du soleil qui les éclairaient. Il se serait bien mis à courir de temps à autre pour exprimer sa gaieté, mais, mieux valait se retenir, pour essayer de paraître un tant soit peu discret. Il se contentait donc de tenir la main de Ludwig. Depuis bientôt un mois, les deux avaient décidé de se mettre ensemble, ils avaient donc maintenant le droit de montrer leurs affections l'un pour l'autre face aux autres. Quoi que, pour beaucoup, c'était très mal vue, un homme qui en aime un autre. Alors le simple fait de tenir la main attirait déjà quelques regards interrogateurs. Mais l'italien n'en avait que faire de leurs regards, lui il était bien, il savait que son compagnon aussi, et c'était le plus important.

Ses yeux lumineux parcouraient les paysages qui s'offraient à sa vue, tous lui semblaient intéressants... De la petite fille qui jouait avec son chien aux monuments qui surplombaient la ville. Le cadet des Vargas n'avait jamais visité d'autre endroit que sa maison et ses alentours, et l'école en Écosse. Alors là, il avait l'impression de partir à l'aventure. Son sourire habituel aux lèvres, le poufsouffle posait pas mal de questions sur la ville, son histoire, ses habitudes... Même s'il ne se souviendrait sûrement pas de tout ce que l'allemand lui disait, sur le coup, tout était fascinant. Ça s'entendait dans les explications du plus jeune des frères Beilschmidt qu'il connaissait vraiment la matière. Feliciano aimait beaucoup écouter Ludwig exprimer ses connaissances. Il avait envie de profiter au maximum de leurs instants seuls, loin de tous, et cette petite escapade en ville était parfaite pour ça. Et puis y avais pas à dire, Ludwig était le guide parfait pour visiter la ville. Il semblait connaître tous les recoins de celle-ci, et tous ce qui l'habille. Ils passèrent devant une statue, ou l'Allemand prit directement la parole, pour renseigner Feliciano sur son histoire. Comme s'il savait déjà que le Vargas allait le lui demander.


-Celle-ci a été construite en l'honneur du sorcier qui a gagné la petite bataille inconnue de 1457, Bernhardt Kirschenbaum Wiedenfeld. Elle n'est évoquée que dans peu de livre, mais mon père m'en avait déjà parlé, quelque peu. Et ici se trouve...


Bernhardt Krish- Ewww... Il avait un nom compliqué lui, jamais il s'en souviendra. Mais il était curieux, alors il écoutait attentivement, lorsqu'il entendit la voix de son compagnon s'arrêter d'un coup. Il se tourna dans la même direction que lui, pour essayer de voir ce qui avait attiré ainsi son regard. Mais il ne vit pas grand-chose, à part des passants, une place, des bars et des restaurants... Tout ce qu'on trouvait dans les rues les plus normaux. Il releva la tête vers Ludwig d'un air interrogateur. Qu'avait-il bien pu voir ? Ça l'intriguait au plus haut point. Mais le cadet des Beilschmidt posa enfin ses yeux que l'italien, s’apprêtant à lui apporter une réponse.


-Hm... Feliciano ?... Nous pourrions nous arrêter ici et peut être boire une bière. Après tout, tu n'y as jamais goûté, n'est-ce pas ?


Ah ! C'était donc ce bar qui l'avait arrêté ainsi. Il donna alors son attention à celui-ci, le fixant un moment. Boire une bière? Pourquoi pas? Il n'était pas très porté sur l'alcool en temps normal. Il lui arrivait d'en boire bien sur, comme pendant son séjour en Italie en juillet où il but un ou deux verre de vin pendant quand il était avec la famille, mais jamais plus. Un léger sourire s'afficha sur ses lèvres, il savait que son amant aimait la bière, et lui, il n'en avait jamais goûté une, alors ça faisait un coup deux pierres. Lui se testait de cet alcool, et Ludwig pouvait en boire à sa guise. Après tout, ils étaient là pour s'amuser, non ?


-Allons y ! Je me demande quel goût ça a !


Il s'avança, se mettant face à l'allemand un grand sourire aux lèvres pour le tirer un peu avant de presque sautiller vers la porte d'entrée.



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MessageSujet: Re: [Le Berlin sorcier - Août 1990] Il faut bien une première fois à tout. [Feat Feliciano Vargas] [Le Berlin sorcier - Août 1990] Il faut bien une première fois à tout. [Feat Feliciano Vargas] Icon_minitimeDim 20 Sep - 10:00

Il faut bien une première fois à tout.
Ludwig Beilschmidt
Feliciano Vargas


Le sourire de l'italien fit son apparition : le parfait sourire que Ludwig appréciait tant. Il communiquait la joie de partager une passion avec son amant, ou bien tout simplement la joie de découvrir. Après tout, Feliciano avait semblé intéressé par toute la petite visite du Berlin sorcier, buvant les paroles de l'allemand comme si il s'agissait d'informations importantes et délicieuse. Lui même se sentais parfaitement bien dans son activité de guide, surtout avec un auditoire aussi passionné. Ludwig ne comprenait pas vraiment pourquoi le poufsouffle n'arrivait pas à retenir ses leçons d'histoire avec une telle motivation, mais surement son père, Mr Beilschmidt, était aux yeux de l'élève bien moins digne d'attention. Au moins, le préfet des serdaigle avait ce mérite : savoir le captiver en abordant pourtant les même sujets. Mais la leçon improvisée changeait de chapitre : et la bière devenait le centre du cours d'aujourd'hui.

-Allons y ! Je me demande quel goût ça a !

"Un goût de liberté et de bêtise.", voilà le goût qu'avait une bonne bière. Mais pourquoi s'empêcher de faire des bêtises alors qu'on est en vacance ? Il n'y avait personne en particulier qu'il voulait impressionner avec son air sérieux et ses manières polies, à part peut être Feliciano : mais lui et l'allemand se connaissait depuis maintenant des années, et Ludwig savait parfaitement qu'il avait le droit de se relâcher devant celui qu'il appelait maintenant son amant.

-C'est très différent du vin, mais j'espère que tu aimeras tout de même. Précisa t'il, comme pour avertir l'italien.

Le son de leur pas passa inaperçue dans le brouhaha de la taverne. Les gens riaient, pleuraient, chantait ce genre de chanson idiote et paillarde qu'on cachait aux enfants pour conserver leur innocence. Heureusement, il n'y en avait aucun, les parents tentaient souvent de les éloigner de l'endroit. Ludwig se souvenait d'ailleurs ne jamais être rentré dans le bâtiment sacré de la bière avant ses quinze ans. Ici, les vendeurs se moquaient bien de l'âge, tant que le chiffre d'affaire rapportait gros. Et c'était simple : lors des vacances, le préfet des serdaigle était une très bonne source de revenus pour les taverniers. Il venait boire dans l'après midi, rentrait chez lui, pour consommer à nouveau le soir, et rentrer bien joyeux chez lui afin de dormir. A force, il avait appris à très bien résister aux gueules de bois, mais le fait qu'il ne soit pas du matin, lui, ne partait jamais.

En voyant les deux clients entrer, le barman repéra tout de suite lequel d'entre les deux seraient la bourse sur patte, celui qui donnerait le plus pour boire le plus. La réponse était évidente. Il leva son bras, faisant signe aux nouveaux arrivants.

-Hey le fils Beilschmidt ! En vacance à c'que je vois ?
-Deux bières s'il te plaît.

Le tavernier ne pu s'empêcher de rire à gorge déployée.

-Toujours aussi coincé et sérieux, hein ? Bah... Ca "passera".

Les deux partirent s'asseoir à une table libre, l'homme se retirant pour aller servir les boissons. Aujourd'hui, Ludwig n'avait pas envie de trop parler : Feliciano était là, et ne comprenait pas l'allemand. Il serait dommage de commencer une conversation dans le dit langage et d'en exclure son compagnon. Ce voyage en Allemagne était fait pour distraire l'italien, lui faire oublier ses soucis, le rendre heureux. Ce voyage était pour Feliciano. Le rendre mal à l'aise serait une des pires choses à faire, car l'allemand connaissait parfaitement la sensation donnée lorsqu'on est invité quelque part et que l'on se dit "je veux rentrer". Et bien entendu, ce n'est pas agréable. C'est donc pour cette raison qu'il débuta la conversation, alors que le tavernier faisait son travail.

-C'est assez bruyant à l'intérieur, alors dis le moi si tu aimerais boire sur les tables extérieur.

Quand les deux bières furent posée à leur table, par réflexe, la main de Ludwig attrapa la poignée sans même que celui-ci ai à regarder le verre.





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MessageSujet: Re: [Le Berlin sorcier - Août 1990] Il faut bien une première fois à tout. [Feat Feliciano Vargas] [Le Berlin sorcier - Août 1990] Il faut bien une première fois à tout. [Feat Feliciano Vargas] Icon_minitime

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