Caractère :

Kshitiz Sonam est une jeune femme qui est très posée. Elle connait le poids des mots et en fera bon usage... Dans ses moments sérieux. Car elle adore passer du bon temps, rire, s'amuser. Mais cela dépend des gens. Si elle se sent à l'aise ou non avec eux, si elle les connait bien ou non...

Elle se montre très objective et réaliste. Elle connait la valeur des choses et n'en abusera pas venant d'un milieu pauvre. Elle n'aime pas le gaspillage ou encore l'ignorance face aux cruautés de ce monde.

Comme dit plus haut elle adore s'amuser et ne recule devant rien pour. Mais elle n'aime pas que ça, elle aime aussi énormément le sport.Les Trecks sur l'Himalaya, l'alpinisme, la course, la randonnée... Ainsi que beaucoup d'autres sports de ce genre sont des grandes passions pour elle.

Malgré son temps scolaire la jeune femme a gardé un grand attachement à sa croyance hindou elle continue de réciter ses mantras, faire ses fêtes, pratiquer ses traditions et croyances. De par ses croyances religieuses, elle a beaucoup de mal sur certaines choses et reste assez coincé d'esprit sur certaines idées alors que d'autres points ne lui pose aucun problème.

Elle a aussi tendance à faire de son mieux pour aider les plus démunis qu'elle. Elle tentera par tous les moyens possible pour elle de leur donner ce qu'ils n'ont pas ou plus sans pour autant que ça ne l'handicape. Elle a beaucoup de compassion et d'empathie pour ces camarades.

Bien qu'elle ai déjà passée 6 ans à Poudlard elle souffre d'un mal du pays. Certes beaucoup moins fort que lors de son arrivé mais il persiste.

Physique :

La jeune Népalaise n'est pas vraiment ce qu'on pourrait qualifier de "grand" du haut de son mètre 55 mais elle n'est pas ce qu'on pourrait qualifier de "gros" avec ses 50 kilos. Elle a une peau basanée et aborde assez souvent sur ses mains des tatouages au henné. Ses cheveux noirs de jais sont long, très long. Ils lui arrivent un peu au dessus de la taille. Ses yeux ont une forme amande assez prononcé et aborde une couleur noire de l'iris à la pupille. Ils sont surligné de longs cils noirs. Elle a des pommettes légèrement marquées. Elle a un petit nez retroussé percé à la narine gauche, le piercing est très simple et en argent. Les lèvres de Kshitiz ne sont ni trop pulpeuses ni trop fines. Elle a une forme de visage ovale. Entre ses sourcils un Tilaka de type bindi rouge est visible.

Avant d'arriver à Poudlard la jeune fille était une personne attachée à ses traditions. Elle veillait à porter le plus souvent portait le sari traditionnel le Haku Patasihh. Il s'agit d'une robe constituée d'une sorte de chemise noire à points blanc, une jupe fluide bordée de rouge et d'or et d'un grand pan de tissu blanc enroulé autour de la taille et venant reposer sur son épaule. (Haku Patasihh). Elle portait aussi énormément de bracelets aux poignets et de grand colliers rouges autour de son cou. Ses cheveux étaient à ces occasions attachés en chignon. Elle avait l'habitude de chasser des mocassins/ballerines rouges brodés d'or aux pieds.

La jeune Népalaise porte souvent quant elle n'a pas cours une tenue des sherpa en veillant à varier les couleurs. Il s'agit d'une robe en laine de Yack nouée à la taille par une corde de la même couleur que la robe. Les manches et le col sont d'une même teinte avec une fine bordure au niveau du col d'une couleur encore différente. La jupe lui cache presque totalement les pieds. (tenue de Sherpa). À ses pieds elle porte des bottes en peau de yack de couleur grise clair.

Lorsqu'elle ne porte pas ce genre de tenue elle porte des tenues plus de styles hippie. Les vestes sans manches à franges, les lunettes colorés, les headbands... Elle adore porter ces habits et ne compte pas en changer.

Lorsqu'elle se déplace et marche de manière très gracile et fait très attention à rester féminine dans ses geste ou même parfois sa façon de parler.

Histoire :

Quant elle est venue au monde Kshitiz n'a pas émit le moindre son. Elle s'est contenté de regarde ses parents. D'abord son père qui la tenait dans ses bras puis sa mère exténuée, allongée dans le petit lit miteux dans lequel elle avait accouchée. Etant Pahari elle avait voulu mettre son enfant au monde dans la maison de Jhocchen Tole aujourd'hui rebaptisée Freak Street par tous les hippies de passage où elle même était née, autrement dit accoucher dans la Vallée de Katmandou. Tout s'était parfaitement bien passé, aucun problème à déplorer. Quelques jours à peine après ce jour merveilleux ils étaient tous les trois remonté dans leur petit village Sherpa perché sur l'Himalaya dans lequel ils vivaient sans se soucier du reste du monde et des problèmes extérieurs mais aussi intérieur à leur pays. Ses parents avaient d'ailleurs choisi ce prénom "Kshitiz" voulant dire "horizon" car ils adoraient regarder les levés et couchés de soleil. Et pour qu'elle ai une belle vie son père avait tenue à ajouté sa touche en l’appelant "Sonam" signifiant "chance" en Sherpa.

Elle a toujours menée la belle vie dans son petit village montagnard, elle n'avait certes qu'un repas ou deux par jours mais c'était amplement suffisant. Elle aimait apprendre à lire, écrire, compter tout ce dont elle avait besoin pour vivre. Tous les matins elle allait dans la seule classe de son village. C'était un ancien qui leur faisait cours, il leur lisait des mantras, leur apprenait un Nepalais convenable et parfois un peu de tibétain. Il tenait à leur apprendre les différences entre les deux langages, leur montrait les arts du sanskrit leur enseignait les secrets des chiffres. Et chaque après midi après l'école et un rapide repas elle partait garder le troupeau de Yack de son père dans les hauteurs pendant que sa mère tissait et que son père servait de guide sherpa pour rapporter un peu plus d'argent. Parfois en de rares occasions elle restait  l'école tout une journée et en profitait pour lire les livres. Elle les avait déjà lu et relu mais ne s'en lassait pas. Et quand elle arrivait à avoir encore plus de temps libre elle le passait à jouer avec tous ses amis, tous les enfants du village. Depuis ses 7 ans elle arrivait parfois à faire des choses bizarre et aimait le montrer à ses amis. Cette chose que sa maman appelait "magie". Sauf qu'un jour son père l'avait surpris. Elle se prit une gifle monumentale avant de se faire traîner chez elle par la peau du cou et de se faire encore plus disputer par sa mère avant de devoir passer avec elle une promesse. "Ne jamais plus utiliser la magie avant le bon moment".  Bon moment qu'elle ne voyait pas arriver. Après ça, tous les jours sont redevenus les même avec une chose en plus. Une impression lassante de routine, sans changement, sans étincelle fantaisiste. Elle fut retiré de la petite classe juste après cet incident.Elle ne savait presque pas lire, écrire ni compter. De toute façon à quoi cela allait-il lui servir dans sa vie futur de femme au foyer d'agriculteur ou éleveur ?

Aucune étincelle jusqu'à ce jour si spéciale qui marqua un tournant majeur de sa vie. La lettre. Un hiboux était perché sur le fenêtre. Première chose étrange. La seconde chose étrange c'est qu'il avait une lettre, et sa famille ne recevait jamais de courrier. Cette lettre était un espoir mais aussi un grand soulagement pour sa mère. Enfin ! Enfin sa fille allait pouvoir avoir la possibilité d'un avenir. Un vrai ! Sans crier garde elle transplana avec sa fille dans le quartier magique de Katmandou pour lui acheter les affaires nécessaire à sa rentré futur. Cape et robes neuves, Baguette, Chaudron, Livres, toutes leurs maigres économies y étaient passé. Kshitiz ne comprenait pas... Elle voyait l'argent partir et avait l'impression de voler sa famille. Juste après ça ce fut le retour à la maison. Il ne fallait pas traîner. La rentré allait être bientôt.

Quelques jours pleus tard toute la famille repartit à Katdmandou pour prendre un portoloin direction Londres la capitale de l'Angleterre. Elle en avait entendu parler par-ci, par-là. Un ancien empire dont leur voisin d'un Sud n'était qu'une colonie. Londres. Une ville dont elle aurait pu tomber amoureuse du premier regard si elle ne souffrait pas de ce mal de pays. Tout était différent. Aucune nature visible, la différence de temps, rien de ce qu'elle ne connaissait n'était présent. Encore moins la langue. Elle ne parlait qu'à peine quelques mots d'anglais mais pas de quoi survire dans la grande ville. A la gare elle n'arrivait pas à se défaire de l'étreinte de sa mère, elle n'arrivait pas à lâcher la main de son père pour monter dans le train qui allait l'amener à sa futur école. Finalement au dernier avertissement du contrôleur elle se résolu à le faire et se dépêcha de monter dans le véhicule.

Elle trouva un compartiment où il restait une place. Elle ne connaissait pas les gens présent dedans et se contenta simplement de s’asseoir sur la banquette avant de s'endormir tombant de fatigue à cause du décalage horaire. Tout le trajet se passa sans aucun soucis ni mal. Un des élèves du compartiment la réveilla pour la prévenir de leur arrivé prochaine et qu'il fallait qu'elle se change ce qu'elle fit après avoir eu du mal à comprendre ce qu'il disait. Après être descendue du wagon elle découvrit un nouveau véhicule à prendre avant d'arriver au château. Un moyen de transport qu'elle n'avait encore jamais pris et qu'elle n'allait plus jamais reprendre de sa vie. Les bateaux. Ce fut tout bonnement un calvaire pour elle. Elle sauta presque hors de la barque quand cette dernière arriva à destination. En entrant dans le château elle senti l'anxiété la gagner. En arrivant dans la grande salle elle avait la boule au ventre. Elle avait plus peur que jamais. Qu'allait-il se passer ? Elle fut presque déçue de voir le Choixpeau posé sur le tabouret. Mais quand elle vit la première personne passer et annoncer. Hélas, dans les premier de l'alphabet elle n'eu pas plus le temps de réfléchir à ses craintes que ce fut à son tour. Elle senti le couvre chef se poser sur ses cheveux et entendit tout le débat interne. Serdaigle ou Serpentard ? 5 minutes... 8 minutes... 9 minutes... Elle entendit chuchoter dans les rangs Choixpeau flou elle s'écrasa un peu sur elle de honte en pensant à une insulte. Avant la 9ème minute la réponse de Choixpeau retenti dans la salle. Serdaigle ! Elle soupira de soulagement sous les applaudissements avant de vivement se lever et rejoindre sa maison pour les 7 ans à venir.