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[24 Décembre 1991] Trois p'tits chats, trois p'tits chats... ft. Ayunda Gunawan

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MessageSujet: [24 Décembre 1991] Trois p'tits chats, trois p'tits chats... ft. Ayunda Gunawan [24 Décembre 1991] Trois p'tits chats, trois p'tits chats... ft. Ayunda Gunawan Icon_minitimeSam 24 Déc - 14:40

So... It's a female...
#ft. Ayunda Gunawan
( Les Aristochats → les aristocats )
D'un pas étrangement assuré, rapide et qui ne lui convenait pas plus que cela, Feliciano entraîna sa camarade de Poufsouffle dans le hall, jusque dans le couloir qui menait à leur salle commune. L'italien rentra directement dans la salle commune pour une fois il s'était souvenu correctement de comment faire, en tapant sur le bon tonneau, sans se tromper, c'était bien une première depuis son entrée dans le collège de Poudlard et la maison des jaunes et noirs . Déjà cela aurait dû l'étonner mais il était bien trop sous le choc pour cela. Il aurait pu s'étonner d'être sorti dans le parc enneigé sans manteau alors que d'habitude il était emmitouflé jusqu'à la pointe des cheveux, ne laissant que peu de peau visible et accessible au froid mordant. Il y avait également le fait qu'il était aussi le fait de ne pas être tombé une seule fois depuis la découverte quelques heures plus tôt. Il avait mis un moment avant de pouvoir bouger pour aller chercher Ayunda. Et tout naturellement il ne parvenait pas a réaliser. Dernièrement il s'était pris des claques, ses propres fondements avaient été détruit, et en voilà un autre qui s'effondrait. Bientôt il n'aurait plus rien sur quoi se reposer.

Il continua son chemin sans trop se formaliser des gens autour d'eux, ni même le fait qu'il n'avait pas lâché la main de sa cadette. De toute manière les contacts physiques étaient naturels chez lui, et puis il n'était pas rare de voir arriver dans le salle commune les deux élèves bras dessus, bras dessous. Il dépassa rapidement la salle commune, et monta avec la même vitesse jusque dans le dortoir des garçons de septième année. Et toujours sans lâcher la pauvre indonésienne qui devait se demander se qui était en train de se passer, Feliciano lui présenta son lit d'un revers de main, en se moquant complètement du foutoir qu'était ses affaires qui se trouvaient de part et d'autre dudit lit. Habituellement souriant, il n'affichait qu'une expression neutre, purement choquée et complètement chamboulée par ce qui se trouvait sur son lit.

C'était arrivé le matin même, ça l'avait réveillé alors qu'il dormait paisiblement, plongé dans un sommeil sans rêve pour une fois depuis un moment, ça ne pouvait clairement pas lui faire du mal, mais malheureusement pour lui, le Destin en avait décidé autrement. Et lui qui avait le sommeil lourd, il en avait fallut du bruit pour qu'il se redresse. Feliciano avait regardé autour de lui, forcément il était tout seul dans le dortoir. Il avait rapidement cherché ce qui causait ce vacarme, ces hurlements animaliers stridents qui résonnaient bien trop pour que ce soit normal. En se relevant, parce qu'il avait une nouvelle fois dû tomber de son lit durant son sommeil, il l'avait vu, sur son lit.

D'abord il avait vu du sang. Beaucoup de sang. Et il avait faillit tourner de l’œil. Il s'était tout de même effondré, assit par terre pendant au moins trois minutes, puis il s'était relevé et avait faillit tomber à nouveau. Puis il l'avait vu. Durant une dizaine de minute il n'avait pas pu bouger. Il ne pouvait même plus penser. Tout était bloqué sur ce qui se trouvait sur son lit.

Panzani.

C'était Panzani qui poussait ces cris stridents a réveiller les morts. C'était aussi de Panzani que sortait tout ce sang. Puis Feliciano avait frotté ses yeux, pour être bien certain que ce qu'il voyait n'était pas dû, au final, à un rêve. Mais non. Tout sous ses yeux était bien réel, et qu'il n'était pas en plein milieu d'un rêvé étrange comme il savait si bien les faire.

Panzani venait de mettre bas sur son lit.
Panzani était donc une femelle.
Panzani avait des chatons.

La première chose qui était passé dans l'esprit de l'italien, c'était qu'il savait alors pourquoi Panzani était pratiquement obèse. Puis la seconde était qu'il devait le dire à son père. Son cœur s'était serré a cette pensée. Mais il n'avait pas eu le temps de s'apitoyer plus de cinq secondes sur cela qu'Hitam avait sauté sur son lit pour rejoindre alors la nouvellement mère en grognant un peu trop férocement sur l'italien qui avait tenté une approche vers son animal... Feliciano n'était pas inintelligent et savait faire fonctionner ses cellules grises. Et s'il avait pris cinq minutes il aurait pu savoir pourquoi Panzani était aussi gros... Grosse. Panzani était une femelle, et il allait devoir se mettre ça dans le crâne. Il aurait également pu savoir, facilement, que si Hitam laissait Panzani envahir son espace vital ce n'était pas parce que « ce dernier était extrêmement collant ». Non. Il y avait anguille sous roche. Un chat ne change pas aussi facilement. Mais persuadé que son chat était un mâle, il n'y avait pas prêté plus attention que cela. Et par conclusion, il était très facile de savoir que le père des chatons était Hitam. Et Feliciano avait alors tilté. Il devait prévenir Ayunda, elle était concernée elle aussi par cette soudaine naissance. Ce qu'il avait fait, et ne lui avait pas trop laissé le choix en l'entraînant avec lui pour lui montrer parce qu'il n'arrivait pas à le dire. Il l'avait cherché partout, enfin, dans le dortoir des filles - il avait demandé, on n'entrait pas chez les demoiselles comme cela -, puis dans la salle commune, dans les cuisines, dans la grande salle et finalement dans le parc, où il l'avait trouvé. Pour lui, c'était encore irréel. Panzani ne pouvait pas avoir eu des bébés, ni être une femelle. Et pourtant...

Actuellement, Panzani se trouvait toujours sur le lit de son propriétaire, semblant se reposer après son dur labeur, les muscles relâchés, étendue de tout son long. Elle semblait vraiment paisible et calme. Mais il ne fallait pas se fier à cela, elle avait ouvert ses deux grands yeux verts à peine les deux élèves eurent posé un pied dans le dortoir, et ne les avait pas lâché depuis. Contre son ventre encore rond, se trouvait trois petites boules de poils, qui avaient une respiration bien rapide et étaient certainement en train de prendre leur repas, de manière plus que bruyante.

Feliciano se tourna alors vers Ayunda, le visage très pâle, il se remettait du choc reçu plus tôt, et sa gorge décida d'enfin laisser se mettre a fonctionner, pour expliquer ne serait-ce qu'un minimum la situation. Même si bien entendu Ayunda avait des yeux, savait très bien s'en servir et n'avait pas besoin d'un topo, pas vrai ? Et puis il ne savait pas trop comment annoncer de la bonne façon ce qu'il y avait. Si bonne façon de l'annoncer il existait...

- Ve, je sais pourquoi Panzani avait grossi...! E Buon Natale... Enfin Joyeux Noël...
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Dernière édition par Feliciano Vargas le Mar 9 Mai - 16:35, édité 1 fois
Connerie ambulante
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Feliciano Vargas

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Citation: « I am and always will be the optimist. The hoper of far-flung hopes and the dreamer of improbable dreams. »
Feliciano Vargas
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MessageSujet: Re: [24 Décembre 1991] Trois p'tits chats, trois p'tits chats... ft. Ayunda Gunawan [24 Décembre 1991] Trois p'tits chats, trois p'tits chats... ft. Ayunda Gunawan Icon_minitimeVen 13 Jan - 22:27

Nyan nyan nyan

ft. Feliciano V.

En voyant Feliciano aussi pâle, mal à l'aise et bégayant, Ayunda pensait qu'il avait à nouveau attrapé froid. Mais lorsqu'il lui avait prit la main avec un peu plus de sérieux dans la voix, elle ravala cette pensée : il s'était passé quelque chose, et ça n'avait pas l'air très marrant. Ou du moins, ça n'était pas à prendre à la rigolade. C'est donc dans une marche précipitée que l'indonésienne suivit son camarade italien, sans que ce dernier ne la lâche. Quelques fois, elle anima leur course avec de petits « qu'est ce qui se passe ? » ou des « ce n'est pas grave, au moins... ? » mais soit il ne disait rien, soit il répondait à côté de la plaque. Et Ayunda n'eut sa réponse qu'en arrivant.

Elle se sentit un peu prise au dépourvu – comme depuis le parc, faut dire – lorsqu'il l'amena dans le dortoir masculin, mais oublia bien vite ce détail en découvrant Panzani allongée de manière à nourrir ses petits.

… Quoi, des petits ?

« Euh, mais, attend, c'est... ? » tenta l'asiatique. Puis d'autres mots qui ressemblaient davantage à d'autres onomatopées. Ça n'avait pourtant rien d'extraordinaire : c'était des chatons qui venaient vraisemblablement de naître, se remplissant pour la première fois l'estomac grâce au lait de leur mè- mais Panzani n'est pas censé être un mâle ?! Surprise, et l'information peinant à arriver au cerveau, Ayunda ne sut quoi rajouter. Maintenant, elle comprenait pourquoi Feliciano avait autant de mal à s'exprimer; c'était contagieux.

« Ve, je sais pourquoi Panzani avait grossi...! E Buon Natale... Enfin Joyeux Noël... »

Ben, tu parles d'un cadeau !

- Mais... Mais alors... Panzani est... ? Oh... Oh bah ça ! Mais pourquoi à moi tu-

Elle venait de comprendre.
Oh, ah.

Elle trouvait étonnant que Hitam soit aussi social – voire tendre ! - avec un autre chat. Les deux matous avaient disparu pendant si longtemps, quotidiennement, sans jamais accorder à leur maître le moindre indice sur leurs activités. Même l'indonésienne était inquiète quant à la loyauté de son chat noir, qui d'habitude, avait cet instinct à la protéger ! Qu'il s'absente comme ça du jour au lendemain était suspect, mais elle n'aurait jamais cru que... oh bon sang !

Son Hitam était papa !

- Tuhan! s'exclama-t-elle dans son langage.

Feliciano et elle étaient en quelques sortes devenu « grand-parents »... Trois chatons noirs étaient là, adorables et tout petits... si petits qu'évidemment, Ayunda se sentait déjà faillir avec la folle envie de les frotter contre son visage. Mais même si l'émotion était là – oui, enfin, elle réalisa – elle s'abstint d'approcher sa main de l'un d'eux, eux qui étaient sous la protection bienveillante, mais possiblement agressive, de Panzani. Panzani qui était donc une femelle. Eh ben. Et Hitam, dans tout ça ?

Justement, le chat apparu en sautant sur le lit depuis l'autre côté, et fit sursauter sa maîtresse. Elle l'interpella, et comme si l'animal voulait se montrer mesquin, il s'allongea à côté de sa... sa... « compagne » ? À l'évidence, tout les deux allaient rester ensemble pendant encore un bon moment.

- Je comprends, maintenant, ya... reprit-elle avant de regarder Feliciano... un sourire enfantin apparaissant soudainement sur le visage. Ils sont adorables, tu as vu ?! Tout petits ! Aaah, mais qu'est ce qu'on va en faire ?

À comprendre plutôt par « je ne veux pas m'en séparer, c'est trop mignon, trop chou, trop truc, ils sont à moi, enfin à nous ». Adoratrice des chats comme elle était, l'italien allait devoir se préparer à bon nombres d'attentions venant d'elle pour trois simples petits chatons qui venaient tout juste de voir le jour... Animaux sacrés, ils allaient bien porter leur pseudo.

- Ce sont des mâles ou des femelles ? Tu as regardé ? Tu as pu ? Et comment on va les appeler ? Il faut qu'on leur aménage un coin, Feli' ! Regarde ! Ah ! Il essaye d'attraper sa patte ! C'est trop mignon !

L'indonésienne avait déjà perdu la partie « urgente » de la situation.

DEV NERD GIRL

Poufsouffle
Poufsouffle
Ayunda Gunawan

Mon personnage
Citation: Don't be just a good girl : own yourself.
Ayunda Gunawan
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