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[1985] Le mur brisé.

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MessageSujet: [1985] Le mur brisé. [1985] Le mur brisé. Icon_minitimeLun 29 Juin - 18:44

Le mur brisé.
Ludwig Beilschmidt
Gilbert Beilschmidt




Il était seul, parmi les nombreux élèves qui pénétraient dans le train du quai neuf trois quart. L'entrée n'avait pas été dure à trouver : il suffisait de savoir compter et voilà tout. Ce qui était plus compliqué en revanche, c'était de pouvoir atteindre un des wagons. Tout son entourage semblait surexcité à l'idée de découvrir Poudlard, ou pour les plus anciens, d'y retourner. Cela le rassura légèrement, car bien que fier de pouvoir entrer dans la prestigieuse école, il gardait avec lui ses inquiétudes d'enfants, sa peur d'être séparé de son père pendant autant de mois. Il craignait que les attentes qu'il avait envers l'école soient brisées.

Ludwig Beilschmidt avait onze ans. Il allait enfin rentrer dans la vie active de sorcier, du moins, c'est ainsi qu'il le voyait. Il avait enfin la possibilité de se servir de toutes ses connaissances, de toute sa détermination afin de devenir quelqu'un. Et si ce quelqu'un pouvait être un grand sorcier, c'était encore mieux. Il baissa la tête afin de se regarder, comme pour faire un récapitulatif de ce qu'il était maintenant, afin de pouvoir faire un bilan dans quelques années. De taille moyenne pour un enfant de son âge, son corps était chétif, fin, pâle. Il avait une certaine assurance dans ses pas, une posture droite et bien élevée qui redonnait à son apparence beaucoup d'allure, mais ceci n'empêchait malheureusement pas les rougeurs parcourant ses joues de lui donner un air timide. Il s'était en revanche très bien préparé le matin même, afin de faire directement bonne impression sur ses camarades, ses professeurs, et surtout, son grand frère. Ses cheveux blonds lui tombaient sur le front, mais étaient parfaitement lisses et bien coiffés. Sa robe noir de sorcier n'avait aucun faux plis, et portait cette odeur fraîche de propreté indiquant qu'elle avait sûrement été lavée la veille. Son père, Ulrich Beilschmidt, l'avait conduit à la gare lui même, lui faisant mille recommandations d'un air neutre, même si il était clairement visible que le papa poule était tout aussi excité intérieurement que son fils. Il avait donc été abandonné après avoir passé le mur du quai, qui avait un peu gâché sa préparation capillaire matinale, qu'il replaça du mieux qu'il pu, obtenant un résultat plutôt satisfaisant.

Son chien, Blackie, avait beaucoup de mal à le suivre dans la foule, aussi, il le prit dans ses bras avant de le poser sur son épaule. Une bonne idée, car quand les portes du Poudlard Express s'ouvrirent, ce fut la cohue générale. Certains élèves plus grands et plus matures attendirent à côté, cédant leur place aux plus petits, les première année étant les plus déchaînés et impatients. Lui ne faisait pas parti de cette catégorie, mais tenta tout de même d'entrer de le train, de façon plus calme. Une fois à l'intérieur, il parcouru les différents compartiments, regardant par la fenêtre des petites pièces pour tenter de se trouver une place, si possible, avec peu de monde. Il trouva son bonheur quand il vit un compartiment libre avec, pour seule occupante, une fille que l'on pouvait deviner serdaigle grâce à la couleur de son uniforme. Ludwig regarda le sien, pour l'instant monochrome, en se demandant quelle serait sa futur maison.

"Serpentard. Je veux aller à serpentard." pensa t'il tout en s'asseyant, regardant par la fenêtre, silencieux afin de ne pas déranger la fille qui semblait plongée dans sa lecture. La couleur vert lui évoquait son frère. Il avait entendu dire que celui-ci avait été placé dans la maison réputée pour ses élèves ambitieux. Les yeux du garçon blond se fermèrent légèrement : il rêvassait. Son grand frère, Gilbert, était donc quelqu'un de rusé, d'intelligent, de déterminé, et surtout, de puissant. C'étaient là les caractéristiques des serpentards, et il ne pouvait se baser que sur celles ci pour identifier l’aîné des Beilschmidt, qu'il n'avait pas vu depuis dix ans, et dont il n'avait aucun souvenir.
"Moi aussi, je suis intelligent, et j'ai aussi beaucoup de détermination. J'étudie tous les jours et je m'entraîne beaucoup. J'approfondis même mes leçons avec des recherches personnelles que j'affectionne. N'est-ce pas là un signe de mon ambition ?" se demanda t'il à lui même afin de se rassurer. Il leva le menton, se plaçant droit. Avec une telle posture, il se sentait puissant, prêt à réussir tout ce qu'il voulait entreprendre : un flacon de Felix Felicis à lui tout seul.

Une fois à serpentard, qu'allait-il faire ? C'était bien simple : étudier, étudier énormément afin de devenir le meilleur. Mais par dessus tout : montrer à son grand frère de quoi il était capable. Il avait toujours imaginé Gilbert comme étant un héro à part entière, quelqu'un d'à la fois redoutable et puissant, mais souriant avec ceux qu'il aimait, protecteur. Un véritable grand frère, comme il en avait entendu parler dans les livres et les contes. Et pour recevoir son attention, il fallait être parfait, ce que Ludwig avait bien l'attention d'accomplir. Il avait hâte de l'impressionner avec les quelques sorts de première année qu'il avait appris à l'avance, tout en évitant ceux avec lesquels il avait du mal. Lui montrer aussi comment il pouvait dresser son chien, tout en procédant à quelques démonstrations de tours que Blackie avait appris. Il l'avait décidé ainsi : son frère le regarderait avec émerveillement, et lui dirait « Ludwig, tu es digne d'être mon petit frère ! ».

Rien que d'y penser, un sourire satisfait se forma sur son visage, ses yeux couleur glace fermés afin de lui permettre d'apprécier au mieux son rêve éveillé. Il ne remarqua même pas la jeune fille partageant son compartiment le regarder avec un sourcil levé, tant le garçon semblait se satisfaire de lui même en étant juste assis là. Il n'y avait rien d'extraordinaire à être assis, et pourtant, Ludwig arborait la plus belle expression de fierté qu'on ai jamais vu. Celle ci lui resta collée au visage lorsque le train démarra. Le voila qui partait vers sa nouvelle vie, vers son grand frère !

Pourtant, il perdit sa stabilité mentale lorsqu'il entendit une voix crier son nom.







Dernière édition par Ludwig Beilschmidt le Mer 2 Déc - 22:34, édité 1 fois
Le roi des loupes
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MessageSujet: Re: [1985] Le mur brisé. [1985] Le mur brisé. Icon_minitimeSam 10 Oct - 15:05



Le mur brisé ft Ludwig Beilschmidt


[Septembre 1984 – Gare de Londres]

Gilbert Beilschmidt Hohenlohe, 12 ans, s'apprêtait à entrer dans la gare de Londres, se dirigeant vers le quai neuf trois-quart au pas de course. Loin d'être en retard pour attraper son train, l'enfant n'était simplement que surexcité : Non pas parce qu'il s'apprêtait à retourner à l'école, non. Pas qu'il n'aimait pas apprendre et qu'être entouré de ses amis ne lui plaisait pas -au contraire, il préférait être à Poudlard que chez lui à Leipzig- mais cette année.... Cette année, cette rentrée, tout, tout allait être spécial. Génial même.
Cette année, son petit-frère, Ludwig Beilschmidt, celui qu'il n'avait pas revu depuis la séparation de leurs parents, celui qu'il n'avait jamais vraiment connu, celui dont il n'avait pas le moindre souvenir rentrait à Poudlard...
Dit comme ça, ça sonnait presque triste, uh.
Mais qu'importe ! Gilbert se fichait complètement de ça pour le moment. Il ne savait pas à quoi ressemblait son frère ? Et alors ? Il le saurait bientôt, dans les heures, voir peut-être les minutes qui viennent, qui sait ! De toutes façons, le jeune Serpentard ne doutait de rien : son petit-frère ne pouvait qu'être génial.
...Bon, il entendait souvent Swanhilde, sa mère, critiquer Ulrich, son père, celui qui a élevé Ludwig.. Mais ça ne pouvait pas être si terrible, hein ?
Il était à moitié Hohenlohe aussi après tout.

L'allemand continua de se perdre dans ses pensées un moment, et sans même s'en rendre compte, il se retrouva sur le fameux quai, face au Poudlard express. Il ne le réalisa que lorsqu'il revint sur Terre...


— Oh ! On y est déjà ! !


Il recommença aussitôt à trépigner, s'occupant d'aller déposer ses bagages là où il le fallait.

— Je vais aller chercher Francis et..


Il s'arrêta un instant. Parler de Antonio n'était pas une bonne idée.

— ...Et Elizaveta !


Le petit blond sourit à la femme qui l'avait accompagné jusque là, sa grande tante à vrai dire. Elle avait souvent eu à s'occuper de Gilbert par le passé, et bien qu'elle ne soit pas la plus douce des femmes, nul-doute qu'elle avait toujours été plus tendre que Swanhilde avec Gilbert. Elle s'était occupée elle aussi d'une partie de son éducation, lui inculquant avec soin et rigueur les préceptes de la famille, sa mère n'étant pas toujours disponible pour le faire...
Mais le jeune sorcier ne lui en voulait pas. A cette époque il n'en voulait encore à personne, de toutes façons.
Il salua donc sa tante d'une courte étreinte et d'un baiser sur la joue, avant de finalement s'éclipser dans la foule, retrouvant sans trop de mal ses deux meilleurs amis, avec qui il attendit -bien qu'impatient-, l'ouverture des portes du train.

Les choses passèrent à la fois vite et trop lentement pour le Serpentard qui, toujours trop impatient, n'avait cessé de trouver le temps trop long alors qu'en quelques minutes à peine lui ainsi que Francis et Antonio étaient à présents installés dans un compartiment.
Assis à côté de la fenêtre, dans le sens de la marche, il écoutait vaguement ses deux amis raconter leurs vacances, essayant de penser à autre chose qu'à sa rencontre avec son frère.

Il ne l'aurait pas avouer, mais il enviait un peu Francis et Antonio, alors qu'il les écoutait. Visiblement les deux s'étaient beaucoup amusé chacun de leur côté, et avaient tout un tas de choses à raconter... Lui par contre... Il gonfla un peu les joues en y repensant, et commença à regarder dehors. De toutes ses vacances, il n'avait fait que travailler. Revoir les cours de sa première année, retravailler encore et encore... Commencer à se préparer pour l'année qui allait arriver. Ah, sans le moindre doute, il était prêt, il était plus qu'au top... Mais à part ça, il n'avait pas fait grand chose. Il avait un peu honte d'en parler, alors quand on lui posa la question... Il se contenta d'éviter le sujet.

—Mes vacances ? Je vous dirai plus tard, c'est pas important ! Vous savez ce qui est important, ce qui est vraiment cool ?


Il ricana, tournant les yeux vers ses deux meilleurs amis alors que le train démarrait.

— C'est que mon petit-frère est à bord de ce train, et qu'il va entrer en première année ! Je vais enfin le rencontrer !


Il se leva d'un bond.

— Maintenant que le train a démarré, je suis sûr qu'il est installé quelque part ! Ca vous dit pas d'aller le chercher ?!


Il n'attendit même pas l'accord de l'autre Serpentard et du Poufsouffle pour sortir en trombe de leur compartiment.

— -Un premier année qui s'appelle Ludwig Beilschmidt ! Normalement à nous trois, on devrait pas avoir de mal à le retrouver !


Il partit sans attendre, sous les rires des deux autres qui finirent par lui emboîter le pas.
Ils cherchèrent ainsi un long moment, parcourant le train en long et en large, jusqu'à finir par se faire renvoyer à leur place par un préfet qui trouvait qu'ils faisaient trop de grabuge.
Et on avait beau eu dire à Gilbert « Mais t'en fais pas, tu le retrouveras ce soir, ton frère ! », il avait quand même boudé tout le reste du trajet.
A trois, ils n'avaient pas réussi à retrouver un premier année s'appelant Ludwig Beilschmidt.

C'était la faute de Antonio et Francis. Ils étaient trop nuls de toutes façons.

Cela dura tout le reste du voyage, Francis et Antonio discutant joyeusement à côté d'un Gilbert bêtement vexé.

Mais une fois arrivés à l'école, ses affaires déposées, son uniforme enfilé, une fois que Gilbert était installé à sa table à côté de Francis et Keith, discutant de tout et rien, sa mauvaise humeur était depuis bien longtemps passée.

La cérémonie de répartition était sur le point de commencer... Et cette fois-ci, l'allemand ne comptait pas le louper, son petit-frère.

— Allez Lud... A Serpentard... A Serpentard... Je sais que tu me décevras pas !


De toutes façons, son digne petit frère ne pourrait aller ailleurs que dans la meilleure maison de cette école, hein ?


© Halloween


Tampon de sauvetage
Tampon de sauvetage
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Gilbert Beilschmidt
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MessageSujet: Re: [1985] Le mur brisé. [1985] Le mur brisé. Icon_minitimeSam 10 Oct - 16:55

Le mur brisé.
Ludwig Beilschmidt
Gilbert Beilschmidt




"Serpentard, serpentard, je ne peux qu'aller à serpentard. Je ne le décevrais pas."

C'étaient les mots inlassablement répétés au fond de l'enfant, debout, en rang avec les autres, le groupe de nouveaux élèves rentrant dans la grande salle. Ludwig n'avait pas voulu parler à son frère dans le train. Trois. Ils avaient été trois à avoir crié son nom, et il n'y avait pas répondu. Premièrement car il n'avait pas su qui parmi les trois enfants était Gilbert. Il savait son frère blond, il l'avait vu sur une vieille photo, mais deux parmi le trio d'ami avaient cette même couleur de cheveux, et étaient à serpentard. Il avait pu éliminer le troisième facilement de sa liste de frère potentiel : un brun portant l'uniforme jaune de la maison poufsouffle. Deuxièmement, car il n'avait encore aucune maison attribué, il n'était pas encore "quelqu'un", et il voulait s'adresser à Gilbert une fois après avoir eu la fierté de rejoindre la maison de celui-ci.

Il voulait que son grand frère le guide dans l'école, lui fasse visiter tout l'établissement, lui présente ses amis, mais surtout, il voulait qu'il lui répète à quel point il était fier de lui. Ses pas étaient décidés, sa tête haute. Il observa son environnement : beaucoup d'élève, une foule immense, allaient assister à sa gloire, à sa première montée dans l'ascension d'une carrière de grand sorcier au sang pur. Son regard montrait une fierté infinie, il s'y voyait déjà.

Dans son imagination, le choixpeau lui disait :

"Quel sorcier fascinant ! Un sang des plus purs, comme son frère, un immense travail fourni, à la taille de son ambition. Une très grande personne, sans aucun doute, qui accomplira d'excellents travaux dans sa vie. Il n'y a pas de doute à avoir, la maison est serpentard !"
C'est à ce moment que tous les élèves se lèvaient pour applaudir, heureux d'avoir quelqu'un d'aussi brillant dans leur maison, et son frère faisait de même, avec un sourire, en disant "Il est mon frère, et il est exactement ce que j'attendais de lui !" Alors Ludwig serait heureux, et construirait avec Gilbert une complicité redoutable, afin de rattraper tous les moments qu'ils avaient perdu.

Sa rêverie fut cela dit rapidement brisée par le discours du directeur, Monsieur Vargas lui semblait-il. Il avait l'air de quelqu'un d'important, au grand charisme, aussi Ludwig se trouva immédiatement admiratif envers lui, ainsi qu'envers tous les professeurs qu'il présentait. Il savait déjà qu'il serait un bon élément en histoire de la magie, son père lui ayant déjà appris bien plus que nécessaire sur la matière : le jeune Beilschmidt baignait dedans depuis sa plus tendre enfance. Bien sur, il fallait qu'il soit fort partout : c'est son objectif, et en tant que futur serpentard, il saurait comment le réaliser.

Les noms commencèrent à défiler, et, nerveux, le petit blond se mordit l'intérieur des joues. "Poufsouffle !", "serpentard !", "Pouffsoufle !", "Gryffondor !", les maisons étaient récitées totalement aléatoirement, et des élèves semblaient satisfaits, d'autres non : surement ces derniers n'avaient ils pas fait un bon calcul, ou n'avaient pas su s'évaluer eux même. "Ils se sont fait des espoirs idiots", pensa l'enfant avec un peu de mépris, "quand on n'est pas sur de où on va finir, on n'en rêve pas." : que d'arrogance en cette jeune pousse n'ayant même pas passé l'épreuve du choix de maison. Si sur de lui...

-Ludwig Beilschmidt !

Aussi, quand son nom fut appelé, il s'avança fièrement, regardant la table des serpentards d'un air de dire "attend moi, j'arrive bientôt, et vous les bancs, vous aurez l'honneur de sentir mes fesses sur vous durant les prochaines années à suivre.", même si bien sur ce n'était pas formulé ainsi.

Parmi les enfants vêtu de vert, il y avait celui ci, aux cheveux très clair, et qui avait les même yeux que lui, d'une couleur différente, mais d'une forme particulièrement ressemblante. Il s'arrêta un instant, le regarda, se souvint de sa course entre les wagons du train à crier son nom. Il détacha son regard de lui, comme n'étant pas autorisé à le regarder tant qu'il n'aurait pas de maison, avant de se placer à l'endroit demandé, fermant les yeux.

"Hmm..." commença le choixpeau. "Un gamin fier, sans aucun doute, mais aussi très travailleur, très curieux du monde qui l'entoure, des connaissances qu'il pourrait emmagasiner..."

"Oui", pensa Ludwig, "prêt à tout pour réussir. Le travail sera mon moyen d'obtenir ce que je souhaite."

"Il y a beaucoup de violence et de rage, mais bien plus de calme, de politesse, de sérénité. Quelqu'un d'organisé, de sage, d'érudit."

Le dernier mot fit grimacer l'enfant. Non ! Ceci était la définition des-

"SERDAIGLE !"




La sentence lui était tombé dessus avec l'effet d'une guillotine.





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