Caractère : D'un naturel à la fois doux et assuré, Geneviève est l'archétype de la mère aimante, voire très envahissante lorsqu'il s'agit de ses enfants. Ce petit bout de femme ferait tout pour le bonheur d'autrui, se gargarisant du contentement qu'elle provoque avec ses bonnes actions, avec ses sourires ou avec ses idées loufoques. C'est pour ça qu'elle n'est pas femme à chercher le conflit, sauf si on la cherche mais ça tombe sous le sens, et préfère largement trouver un statu quo qui satisfasse tout le monde. Se disputer, batailler ou hurler à la mort ne rentre pas dans ses compétences principales. Par ailleurs, cette jolie Vélane peut être très créative lorsqu'elle doit former un plan (non, pas un plan de conquête du monde, non plus, mais vous voyez le genre) alors faites très attention à ne pas ingurgiter quelque chose lui appartenant si vous n'êtes pas sûr à 100% que c'est de la cuisine. Rappelons-nous qu'elle côtoie quotidiennement des plantes en tout genre... Heureusement, elle sait inspirer la confiance par ses tendre sourires et son air amical.
Finalement, il s'agit juste de ne pas porter préjudice à sa famille ou à ses élèves. Geneviève peut devenir amère et redoutable si l'on ose approcher ses enfants avec de mauvaises intentions. La vengeance pourrait être salée (à vous d’interpréter cette phrase).
A part cela, elle prend son rôle d'enseignante très à cœur et n'hésite pas une seconde à venir en aide aux élèves en difficulté (que ce soit dans sa matière ou dans une autre). Grande tolérante dans l'âme, elle apprend d'abord à connaitre son interlocuteur avant de la juger, n'ayez donc aucune crainte quand à lui parler. Bien habituée à être jugée pour son origine Vélane, elle ne reproduit pas la même erreur sur les autres et vous donne votre chance comme à tout autre. 

Physique : Du haut de sa quarantaine d'années, Geneviève est une charmante Vélane au corps élancée, ni trop grande ni trop petite, dont les courbes harmonieuses ne sont pas sans rappeler sa vraie nature. Elle aime s'entretenir pour rester belle aux yeux de son mari, tout en sachant que cette beauté peut lui avoir quelques avantages (puis, avouons que c'est amusant de regarder certains élèves lui loucher dessus en rougissant). La maturité de son âge se dessine vaguement sur ses traits élégants, soulignant un teint net et radieux que son sourire accentue avec plaisir, puis tranché par de fines lèvres rouges sur lesquelles passe une petite langue taquine lorsque madame s'amuse.
Elle a également donné à ses enfants ses magnifiques iris bleus étincelants, dont la couleur varie à la lumière entre le bleu océan ou le bleu céleste. Et lorsqu'elle vous parle, sa voix reste toujours assez chantante et amicale, preuve de sa joie de vivre évidente.
Bien sûr, il serait peu judicieux d'omettre sa longue et magnifique crinière ondulée, dorée au soleil et châtain clair le reste du temps. Il lui prend parfois l'envie de tresser deux longues nattes posées au devant de son corps pour encadrer son fin visage amusé. Ce petit tic, appuyé par son goût prononcé pour les plantes et autres potions, lui a valut le surnom tout trouvé de "Gauloise" et, entre nous, ça ne l'aurait pas dérangé d'en être vraiment une. D'ailleurs, elle rêverait de jouer du carnyx au moins une fois dans sa vie.

Histoire :
L'enfance de Geneviève se passa au sein d'un cercle assez particulier, toujours entouré de magie, elle y grandit paisiblement intéressait comme ces semblables par ce qui les envelopper. Vivant dans un cadre rural, la jeune fille préférait parfois passer de longs moments seule en pleine nature. Elle appréciait faire partager ce qu'elle aimait aux autres, par contre Geneviève avait une sainte horreur qu'on lui donne des ordres, suivant alors ses propres règles. Quand elle reçut sa lettre pour l'école Poudlard,  Geneviève brisa alors ses chaînes de la monotonie et du train-train quotidien.
Dans l'école, au sein de la maison Serpentard, elle y étancha sa soif de curiosité, cherchant toujours à aller au-delà, Geneviève s'amusait à faire tourner la tête à quelques garçons pour arrivait à ces fins. La notion de sang pur était quelque chose qui l'énervait au plus au point, en tant qu'élève elle était bien déterminée à faire changer quelque mentalité, et se faisait particulièrement remarquer par ses talents en botanique, et potion. Elle prit sous son aile une bande d'élèves avec qui elle sentait plutôt bien, s'entraidant pour les cours et autres. Se mettant parfois dans les pires situations, pour Geneviève les expéditions punitives en Forêt interdite, étaient plus un amusement qu'autre chose.
A la fin de ses études, elle ne retourna pas chez elle, préférant voyager, c'est d'ailleurs durant son périple qu'elle constata que la civilisation moldu dévoré de plus en plus les espaces verts,  Geneviève vit alors les nombreuses hostilités entre le monde des sorciers et ceux des moldus. Elle prit la ferme résolution de préserver le plus d'espaces naturels sans pour autant nuire aux moldus, elle se retrouva ainsi au milieu des camps opposés. C'est d'ailleurs parmi les débats houleux qu'elle rencontra Louis Bonnefoy, un sorcier de sang-pur plutôt réservé sur le cas des moldus et né-moldus, Geneviève trouva cela curieux, vu que la quasi-majorité des sangs-purs était tout simplement contre les moldus. Au début de leurs relations Geneviève ne prenait pas cela très au sérieux, voyant juste en ce sorcier une autre victime succombant à ses charmes dus à son sang Vélane, de plus Louis était tout de même un peu arrogant et orgueilleux. Leurs caractères opposés donner souvent des face-à-face tumultueux, malgré tout Louis respectait les convictions Geneviève. Petit à petit ils s'apprécièrent sans se donner entièrement à l'autre. Au bout de quelques années Geneviève se rendit compte que ses charmes n'étaient pas le tout dans leurs relations, il y avait bien plus, et cela se confirma quand Louis la demanda en mariage, en dépit des réticences de ses parents. Finalement elle accepta de se faire passer la bague au doigt.
Avec son mari,  Geneviève s'établit à Paris dans un manoir assez aisé tenu par la famille Bonnefoy. Les premières années à Paris furent assez frustrantes pour elle, sa belle-famille ne voyait en elle qu'une « infâme créature au pouvoir envoûtant », Geneviève tenta de nombreuses fois de rentrer dans leurs bonnes grâces mais cela échoua, son monde restreint n'était alors composé que de son mari, qui était malheureusement très prit par son travail au Ministère des Affaires Étrangères Magiques Françaises, et de son jardin. Elle connut le bonheur par deux fois en donnant naissance à ses enfants, et mena une vie un peu plus paisible au manoir, ignorant parfaitement les commentaires désagréables de sa belle-famille. Geneviève se consacra pleinement à ces enfants, préférant même leur faire leur premier apprentissage, de sorte qu'ils soient le plus ouvert possible au monde. Ce rapprochant ainsi de son utopie, un monde aux mentalités plus évoluées, sachant préserver et partager. Mais les disputes reprirent dans le couple quand  Geneviève trouvait les méthodes de son mari bien trop strict avec leurs enfants, autant que possible elle faisait en sort d'être le contrepoids. Parfois dans le grand manoir, elle était prise d'une terrible nostalgie, se rappelant sa jeunesse dans la campagne, cette sensation de liberté durant ses études.
Quand son fils Francis eut atteint ces onze ans, Geneviève débattue un long moment avec son mari pour le choix de l'école, refusant que son enfant rejoint l'école de Durmstang trouvant les critères « fort et viril » bien trop pauvres à ces yeux. La jeune femme argumenta en faveur de l'école Poudlard, son éloquence parvint à faire pencher le choix envers son ancienne école. Après avoir demandé un formulaire d'inscription, la jeune mère constata que son ancien établissement ne l'avait pas oublié,  parmi les listes de fourniture pour Francis il y avait une lettre lui proposant un poste d'enseignante. La jeune femme n'hésita pas une seule seconde, ayant toujours considéré l'école comme son vrai foyer, et se sentait guère à sa place dans le manoir familial. Louis les suivit, peut être pour se délaissé de la pression exercé par sa famille en France, et ils s’installèrent dans une habitation bien plus humble que la précédente. A Poudlard, Geneviève s'épanouit en donnant ces cours, et en tentant de les rendre les plus accessibles possibles, chose pas facile, surtout quand elle voit les résultats de son fils. Elle se permet donc de pousser ce dernier à faire plus d'effort dans cette matières, car après tout les ingrédients pour les potions sont souvent des plantes, et de plus elles ne sont pas si innocente qu'elles ont en l'air. Pouvant aider comme nuire.>