Caractère : Henry n'est pas compliqué à cerner. Il est avant tout très proche de sa famille. Il suit les traces de son grand frère avec une grande ferveur. Il sait qu'il sera toujours plus petit que lui, mais compte bien lui montrer sa valeur et son utilité. Ses relations avec sa sœur sont cordiales et les moment souvent magique, notamment grâce à son « don ». Elle réussit à atténuer la mauvaise influence qu'a son aîné sur lui. Henry se sent toujours heureux avec sa famille, et même s'il est faible et ne peut se défendre lui même contre des individus plus imposants, il fera tout pour défendre sa famille. Peu importe ce qui lui en coûtera, il ferait tout pour son frère et sa sœur. C'est d'ailleurs en raison de ce lien très fort qui les uni que le caractère d'Henry est très étrange, simple, mais étrange. 

D'après son père, si on veut expliquer Henry, il faut d'abord prendre Tim et Anri puis les mélanger. Cette explication est plus que judicieuse vu qu'il s'est bâtis en fonction de son frère et sa sœur. Cela donne un certain contraste. D'un côté il est gentil et ouvert. De l'autre, il est  pingre voire cupide. Par ailleurs, l'intérêt financier passe avant l'intérêt humain le plus souvent. Il est donc difficile de savoir sur quel pied danser. Par ailleurs, sa gentillesse n'est pas l'égale de celle de sa soeur. Il est certes très gentil, mais il est bien trop sérieux pour que cela soit de la même façon qu'Anri. Elle remet tout au lendemain alors que lui s'y prenait à l'avance. Au plus il en faisait au mieux s'était. Sa petite taille donne donc une envie de faire plus que la moyenne afin de faire ses preuves. Son côté sérieux l'a donc rendu quelques peu sarcastiques face au manque de rigueur ou d'intelligence des personnes qu'il a parfois en face de lui. Il peut donc être, soit quelqu'un de jovial avec qui il est bon de discuter, soit  quelqu'un qui reprend tout ce qui a été dit afin de tourner l'autre en ridicule.

Toutefois, même dans le deuxième cas, Henry ne tombe pas dans le vulgaire. Il se distingue par son contrôle. Ce contrôle est en grande partie du à sa faible force physique qui l'oblige à être diplomate. Ne pouvant se défendre lui-même il ne pouvait donc pas prendre de haut les autres ouvertement. Tout se faisait donc dans le fond de se qu'il disait et non pas la forme. Il aime être agréable, charmant, et le plus distingué possible. Tout est donc fait pour éviter de tomber dans le vulgaire. Et s'il doit faire comprendre à son interlocuteur que sa génitrice a bâti sa fortune sur la vente de service à certains hommes, il ne passera jamais par un langage brute et insultant, sauf dans des cas extrêmes où la bonne tenu n'est plus de rigueur au vu de la gravité de la situation. 

Le principale reproche que l'on peut faire au plus jeune des Janssen, est qu'il a tendance à jouer sur plusieurs tableaux. Non pas qu'il soit hypocrite. Néanmoins, il ne comprend pas en quoi c'est manqué de loyauté que de s'assurer son propre intérêt. Jamais il ne trahira son ami, néanmoins il peut tirer bénéfices de son ennemis il le fera. Si le bénéfice est suffisamment important pour compenser la perte que son ami subira, il le fera, et remboursera la perte qu'a subit son ami sans délais, mais les deux sont gagnants dans ce cas. Ce n'est pas une question de loyauté dans ce cas, mais bel et bien de profit. Les gens mettent trop de côté cet aspect important, ce qui semble idiot pour Henry. Si l'on gagne quelque chose, que l'on a plus de choses à notre disposition, comment cela pourrait-il être mauvais ? Il n'avait jamais compris cet morale au niveau de l'intérêt personnel.  

Physique : Il est le plus petit de la famille. Cela n'est pas réellement du à son jeune âge, on le voit au premier coup d'oeil, Henry ne sera jamais grand et fort comme pourra l'être son grand frère. Il est loin d'avoir un corps musclé. Il est mince et est moins grand que sa sœur Anri. Son corps mince lui permet une certaine agilité qui lui est très utiles dans bien des cas. Par ailleurs, il est d'un naturel discret, bien que quand on y fait attention on a du mal à passer à côté de son charme. Il n'était certes pas l'adolescent le plus beau de la Terre, mais une certaine aura se dégageait de lui. C'était sans doute du à sa petite taille allié avec son air sérieux. Lui-même ne se trouve particulièrement charmant, c'était selon sa mère là l'une des clés de son charmes. Il y avait un certain charme à la prétention, mais le charme qui dur de manière durable sa agacer était le charme dans la simplicité, chose qu'Henry avait en quantité.

Il se distingue même de son frère à ce niveau là. On peut voir chez Tim son caractère assez bien trempé. Chez Henry c'est tout l'inverse. Là où Tim est un livre ouvert aux yeux de tous, Henry a quant à lui un visage plus renfermé. C'est donc avec curiosité que l'on s'amuse à découvrir les secrets que peut renfermer ce visage. Puis cette curiosité devient envie, puis plaisir. Sa chevelure blonde cache d'ailleurs une partie de son visage ce qui cache une partie de son visage. Il est rare de le voir dans les deux yeux, chose pouvant être assez perturbante. Son visage est long et affiné. Ses lèvres sont fines. Son sourire est d'ailleurs le plus souvent timide ou alors ironique. Souvent d'ailleurs on a l'impression que les deux sourires sont semblables tant il est difficile de lire sur le visage d'Henry.

En réalité, le secret pour percé l'âme d'Henry est son regard. On voit dans son regard l'attitude qu'il a envers une personne. Quand il est avec sa sœur, son regard est pétillant, il s'amuse et aime le moment qu'il passe avec elle. Quand il est avec son frère par contre, le regard est plus renfermé, mais beaucoup plus profond sans doute car bien plus concentré dans ce que fait son frère, qu'avec sa sœur. Enfin, quand il est avec quelqu'un qu'il apprécie moyennement voire qu'il n'apprécie pas du tout, le regard se fait plus froid et on a plus de mal à voir ce qu'il pense de l'autre. Pourtant, malgré ces trois grandes différences au niveau de son regard, l'expression générale de son visage ne bouge que très peu. Quand on veut connaître Henry, il faut connaître ses yeux, chose que peu de personne arrivent à faire.

Il utilise ces avantages physiques afin de se déplacer avec une certaine légèreté et élégance. On n'entend que très peu le bruit de ses pas. Lorsqu'il est sur un balais ses cheveux volent au gré du vent ce qui renforce encore plus le charme que dégage son visage et son agilité sur un balais compense amplement son manque de force physique. Cette agilité lui permet d'ailleurs de se faufiler dans une foule assez danse. Il ne peut toutefois pas s'imposer au milieu d'une foule très dense comme certains le ferait. Il préfère donc éviter les foule avec une trop forte densité, au risque de finir comme une crêpe comme à toutes les festivité organisées par l'école.

Histoire : C'est au Luxembourg que madame Janssen donna naissance à Henry, le troisième et dernier fils de la famille Janssen. Pourquoi cette ville ? Après tout, les Janssen vivaient depuis quelques temps à Londres. La raison reste floue. C'était en raison du travail du père d'Henry. Le ministère de la magie avait envoyé leur père réglé un soucis dans cette ville. Henry n'avait jamais eu les détails de l'affaire et il ne les aurait sans doute jamais. Cependant, son père en avait profité pour emmener sa famille en voyage, y compris sa femme enceinte, le temps d'une semaine ou deux. Si on en croyait les médecin elle aurait du accoucher le mois d'après, mais finalement l'accouchement se déroula plutôt que prévu. Un cauchemars pour madame Janssen qui ne parlait pas le Luxembourgeois, langue officielle de ce pays. Il fallait ajouter à cela le fait que son mari était encore au travail, et qu'elle n'avait donc personne pour la soutenir, si ce n'était ses deux enfants affolés et qu'elle devait rassurer. En résumé, ce début d'accouchement fut atroce et éprouvant pour la jeune femme.

Néanmoins, le père Janssen arriva vite, et calma sa femme. A partir de ce moment là, ce qui était un véritable cauchemars se transforma peu à peu en un moment inoubliable pour les parents. Tout accouchement était difficile et douloureux, mais Henry ne causait aucun problème. Même quand il vint au monde, il ne posa que peu de soucis. En effet, alors que la plupart des enfants hurlaient à la mort, les pleurs et les cris de l'enfant étaient discrets, ou du moins assez faible par rapport à ses deux aînés. Henry naquit ainsi entouré par sa famille à la fois folle de joie d’accueillir un nouveau membre, mais aussi inquiète de savoir si l'enfant allait bien. Cette inquiétude venait de la faible constitution de l'enfant. Les jours passèrent et tout allait bien pour l'enfant et pour la mère si bien que la famille put rentrer à Londres sans autre problème ou aventure.

Son enfance fut très paisible. Lors de ses première années, il passait la majorité de son temps avec sa sœur, Anri. Ils s'amusaient beaucoup. Le plus souvent, elle changeait son visage. Aujourd'hui encore il chéri ces instants passé avec sa sœur, bien qu'au départ il ne comprenait pas comment elle faisait. Cependant, ces moments de rire et de parfaite complicité se firent plus rare quand Henry grandi. En effet, il se rapprocha de son frère Tim au fil du temps. Ce dernier lui semblait froid au premier abord. Le temps changea cette vision et Henry découvrit un frère aimant et protecteur, bien que sérieux et quelque peu avare. C'est à son contact que le plus jeune des frère devint un gestionnaire de portefeuille hors pair. Alors qu'il n'était même pas âgé de six ans, Tim marchandait déjà la location de ses jouets contre une certaine somme. Ses parents ne s'étonnèrent donc pas que le jeune Henry appris très vite la valeur de l'argent, un peu trop à leur goût d'ailleurs. Heureusement, sa sœur était là pour le rappeler à l'ordre, afin que son amour de sa famille ne devienne pas, ça aussi, objet à monétisation.

Tout était donc parfait pour le jeune enfant, jusqu'à ce que son frère reçu sa lettre pour Poudlard. Ce fut un choc pour Henry de ne plus avoir son frère avec lui constamment, et quand ce fut le tour de sa sœur il eut besoin de sa mère pour encaisser ce second choc. Il ne voulait pas qu'ils partent. Anri l'avait alors rassuré en lui disant que l'année d'après ce serait son tour de les rejoindre. Mais Henry savait bien que plus rien ne serait comme avant. Plus jamais sa sœur ne serait presque qu'à lui, et plus jamais son frère ne pourrait veiller sur lui. L'école était une chose importante certes, mais le jeune Janssen avait du mal à la faire passer avant sa famille. Lui qui était devenu si sérieux au contact de Tim, il avait du mal à être sérieux au point de mettre de côté son affection pour ceux qui l'avaient vu grandir. Puis quand son tour fut venu, il n'était pas si heureux que ça. C'était d'ailleurs paradoxale, lui qui voulait être proche de sa famille, il avait l'occasion de retrouvé son frère et sa sœur durant leur scolarité. Pourtant, d'un coup il sentit un poids s'abattre sur ses épaules. Il allait devoir montrer à Anri et Tim qu'il savait se débrouiller seul. Les rendre fier. A défaut d'être le plus fort des Janssen, il voulait être celui qui réussissait le mieux à l'école. Il angoissait aussi de savoir à quelle maison il appartiendrait. Il avait une chance sur deux d'être avec quelqu'un de sa famille, mais il avait surtout une chance sur deux d'être seul.

De plus, il allait devoir quitter ses parents, et bien qu'il voulait les rendre fier, il voulait aussi restait avec eux qu'ils puissent s'occuper de lui. C'est au quai neuf ¾ qu'Henry senti à quel point il était faible. Il avait du mal à avancé alors que les autres marchaient voir courraient comme si de rien n'étaient, comme si rien ne les retenait. Bien que ce fut difficile, il prit son courage à deux mains et avança jusqu'au train. Sa sœur alla avec ses amies de poufsouffle, et son frère lui... Et bien ils avaient certaines choses à vendre dans le train. Henry se retrouva donc seul dans le train, seul dans sa cabine. Une fois que le train démarra, une boule au niveau de son ventre se forma. Et s'il n'était pas fait pour ça ? Après tout rien qu'à le regarder, on voyait bien qu'il n'était pas fait pour faire de grande chose. Pourtant, quand la porte de sa cabine s'ouvrit, la boule disparu. Des élèves plus âgés que lui entrèrent. Ils avaient l'air sympathiques. La solitude s'envola alors, et toute inquiétude avec elle.

Au lendemain de la cérémonie de répartition, Tim lui présenta les lieu. Il semblait content d'avoir son petit frère avec lui. Anri, elle, était moins content de savoir Henry sous influence constante de Tim, si bien qu'elle le fit promettre de la voir aussi souvent qu'il pouvait. L'aîné avait rit en entendant ça, disant que tout allait bien se passer, qu'avec lui Henry allait très bien s'intégré. Le jeune Janssen était d'ailleurs encore étonné du choix du choixpeau. Il pensait être plus digne d'aller à poufsouffle qu'à serdaigle. C'était sans doute son côté sérieux et travailleur qui l'avait incité à faire ce choix. Après tout, le choixpeau ne se trompait jamais si on en croyait la légende. Après lui avoir présenté les lieux, l'aîné Janssen expliqué à Henry quelques règles. Au départ c'était des règles basiques, puis il en vint à lui expliquer comment il devrait se comporter afin que ses affaires tournent bien. En effet, bien qu'il n'était qu'en troisième année, Tim vendait déjà certaine chose aux élèves. Henry ne savait pas ce qu'il vendait, des friandises sans aucun doute, c'était d'ailleurs très rentable si on en croyait son aîné. Cependant, si Henry entaché le nom des Janssen, les affaires de Tim allaient se porter moins bien, du coup il établi un code de conduite pour son plus jeune frère.

En suivant le code de conduite de son frère ainsi qu'en écoutant les conseils de sa sœur, Henry devint un réel gentleman. Son charme était souvent reconnu, ainsi que son élégance. Sa place à Serdaigle était assurée, grâce à l'intervention de son frère. Et au début de la quatrième année, il décida même de commencer le quidditch. Anri en était devenue folle d'inquiétude au départ. Avec sa faible constitution, le jeune Janssen était presque sûr de se faire mettre en pièce. Pourtant, il se débrouillé avec talent sur un balais. Il volait entre les cognards, esquivait les tacle. Ce n'était pas un très bon butteur ou tacleur, mais ses passes étaient précises, il savait substiliser le souafle à son adversaire et il était très dur de l'attraper. En dehors du sport, il était très assidu en cours, rendait toujours ses devoirs en avance et connaissait le bibliothèque comme sa poche.

En résumé, Henry Janssen, au début de sa quatrième année était en train de devenir un parfait serdaigle.