| | | Ne prêtez pas attention à moi, je ne fais qu'arriver... |  |
|  Sujet: Ne prêtez pas attention à moi, je ne fais qu'arriver...  Sam 9 Mai - 6:28 | |
| NGuyen Ái Vân  Vietnam Nom : Nguyen
Prénom : Ái Vân
Date de naissance : 02/09
Lieu de naissance : Hải Phòng
Âge : 16
Année scolaire : Elève de 6 ème année
Maison : Serpentard
Animal de compagnie : Chat
Ascendance : Né-moldu
Fratrie : Aucune
Motivation : ...
Don : ...
Baguette : Bois de Pin. Plume de phœnix. 21 centimètres et fine
Patronus : Un Hebius andreae, soit un serpent endémique du Vietnam, car oui nous sommes précis
Epouvantard : la vision d’un corps calciné
Reflet dans le miroir du Riséd : Elle en train d'étudier
Odeur de l'Amortentia : l'odeur des livres neufs, l'odeur des bibliothèques, l'odeur du thé
Votre personnage peut-il voir les Sombrals : Oui
Matière préférée : Histoire de la magie
Matière détestée : Aucune
Options : Arithmancie, Divination, Étude des Runes, Alchimie Qualité Défaut Qualité Défaut Qualité Défaut Qualité Défaut Qualité Défaut Qualité Défaut Caractère : Ma très chère Ái Vân, tu ne te laisse vraiment pas facilement décrypter n’est-ce pas ? Comme te définir sans se tromper ! Voila une tâche bien ardue qui m’attend. Lorsque nous te rencontrons pour la première fois, tu nous sembles des plus calmes, rien ne vient troubler ton expression et ton visage neutre n’arbore ni sourire ni larme. D’une droiture sans pareil, tu n’as pas le verbe haut le moins du monde. Polie comme il se doit, tu en demeure néanmoins plutôt froide et distante. Tu préfèreras surement être seule que le centre d’une quelconque attention et tu sais te faire discrète pour te fondre dans la masse. Ce qui doit le mieux te caractériser est ta force de caractère qui t’oblige à ne jamais te laisser abattre et ne jamais montrer tes sentiments en public. Tu n’es pourtant pas exempte de ces derniers et c’est pour cela que tu désires des liens avec des personnes auxquels tu pourras faire confiance. Tu n’es d’ailleurs que rarement complètement sereine et si on te retrouve assoupie, nous pouvons être sur que ton dos sera contre un mur, comme pour que l’on ne puisse t’attaquer par derrière. Cette insécurité est étrange aux vues du peu de fois où tu sembles t’emporter puisque si tu ne t’emportes point et que personne ne te remarque, pourquoi quelque chose te menacerait-il ? Ce n’est malheureusement une question sans réponse, peut-être que ton histoire nous en dira un peu plus mais ce n’est point ici le sujet. Comme nous l’avons dit, tu tempêtes rarement, mais lorsque cela arrive, tu es des plus menaçantes et ta politesse devient une arme à ta voix glaçante. Tu envoies des piques non pas vulgaires mais réfléchies et tu ne te laisses point marcher sur les pieds, faisant valoir ton opinion, la défendant avec ferveur.
Si nous te connaissons désormais un peu mieux et que tu as su nous donner ta confiance ce qui est, somme toute, plutôt rare, on te découvrira sous un jour nouveau. Tu deviendras de très bonne compagnie, sachant te montrer joviale, sans excès évidemment, et intéressante. Tu pourrais même être parfois décrite comme mignonne. Oh voyons, n’en rougis pas ! Il est vrai que les compliments te font toujours cet effet et que tu as du mal à les accepter. Tu ne montres malgré tout toujours pas tes sentiments à moins que nous ne soyons vraiment très proche de toi mais par contre, nous pouvons être surs qu’une fois le plus petit lien tissé avec toi, tu deviendras protectrice et ne nous abandonneras en cas de danger.
Si nous pouvions être à l’intérieur de toi, nous trouverions bien souvent une mer paisible mais, lorsque celle si se déchaîne, bien que cela ne soit point visible de l’extérieur la plupart du temps, rien ne peut y résister. Tes sentiments sont forts et violents, et te perdent parfois sans que tu n’y puisses rien. Tu te sens parfois comme tiraillée entre deux personnalités distinctes qui veulent s’exprimer. L’une est pourtant réduite au silence. Tu entendrais presque parfois comme des voix te souffler comment te conduire avec cette voix que tu ne suis jamais et qui te dirait d’aller vers les autres par exemple, et l’autre voix qui est comme ta raison et te pousse à tout analyser et à rester à l’écart. La voix qui semble la plus extravertie tend pourtant à se faire de plus en plus silencieuse.
Si nous devions enfin t’envisager dans le cadre scolaire, tu es une élève exemplaire dont la discipline et la rigueur n’ont d’égal que ton envie d’apprendre. Tu n’es pas forcément la plus intelligente de ta classe mais tu n’es point la dernière non plus et fait partie de la tête de classe sans difficulté. Ta soif d’apprendre se ressent par le temps que tu passes à la bibliothèque. Tu n’es ni appréciée, ni dépréciée des professeurs, après tout, tu tends presque à faire oublier ta présence en cours malgré ta participation parfois active à la leçon ! Physique : Quelle joie est-ce de désormais pouvoir faire l’éloge de ta beauté. Tu n’es pas forcément spéciale, voir même banale, mais tu es de ces filles qui laisse une impression sans pourtant être marquante. Tu n’es pas celle que l’on peut qualifier de grande, tu es même plutôt petite avec ton mètre cinquante-cinq. Tu demeures cependant fine sans pratiquer énormément de sport. Sur la peau opaline de ton visage tombe ta frange d’un brun sombré, semblable à l’ébène, et le reste de tes cheveux, d’une longueur respectable, son attaché d’un ruban précédemment rouge mais désormais vert en l’honneur de ta maison, Serpentard. Tes traits son fins et marqués, ton nez aquilin au milieu de ton visage surmonte tes lèvres fines et rosées. Tes yeux, quant-à eux, sont deux orbes dorées qui brillent d’intelligence et de curiosité lorsque nous prenons la peine de nous y plonger.
Si nous nous attardons sur ta morphologie, ta poitrine semble plutôt généreuses sans trop d’excès mais bien accentuée par une taille fine. Tes hanches sont elles aussi fines et tes jambes ne sont pas vraiment longues. Tu restes cependant agréable à regarder.
Si nous te croisons au détour d’un couloir, tu seras bien évidemment droite et le menton levé, non pas par fierté mais pas refus d’avoir l’air vaincu. Ton uniforme sera des plus impeccables bien sur et rien ne sera froissé car l’apparence est le premier tableau annonçant une personnalité. Il sera aussi plus que probable que tu ais au moins un livre sous le bras et que ton chat ne traine pas loin. Histoire : Pour toi, tout a commencé un jour de Septembre. Le deux pour être plus exact. Nous étions au nord du Vietnam dans la ville portuaire de Hải Phòng, c’était l’été 1974. Il ne faisait pas vraiment bon vivre par ici en ces temps troublés. La guerre venait tout juste de finir avec la victoire du nord Vietnam communiste sur le sud néo-capitaliste. Tu naissais d’une mère à la beauté incroyable et d’un père que la guerre n’avait point épargné. Ta mère, si elle n’avait point été aussi occupée, t’aurais compté la beauté de ton père que la guerre lui avait arraché. Le napalm lui eu volé son visage et un éclat d’obus une jambe. Ta mère l’aimait encore tendrement malgré tout, bien que le travail l’éreintait. Mais reprenons plutôt dans l’ordre. Tu naissais donc dans une famille devenue pauvre depuis que ton père n’était plus en mesure de travailler. Tu avais quelques frères et sœurs ainés dont certains aidaient ta mère à ramener de l’argent à la maison, mais il était dur de gagner vraiment beaucoup d’argent avec le système communiste du pays. En naissant, tu avais un jumeau dont tu ne lâchais presque jamais la main. Tu pleurais quand nous t’en éloignions trop. Malheureusement, il ne passa la première année, la dysenterie et la maladie ayant raison de lui. Après son départ, tu recommenças à ne plus faire tes nuits, réveillant ta famille par tes cris et tes larmes. Vous dormiez tous dans la même pièce, alors personne ne pouvait nier t’entendre. Tu ne repassas finalement des nuits complètes que lorsque ta mère te fit dormir contre elle. Elle te criait cependant beaucoup dessus à cause de tes larmes, non pas parce qu’elle ne t’aimait pas, mais le travail qui l’épuisait et son mari ne pouvant l’aider ne faisait rien pour lui alléger le poids qu’était de voir son bébé pleurer encore et encore. Tu devins finalement un bébé sage et calme, au plus grand plaisir de ta mère.
Tu te mis à marcher sans grande difficulté et tu appris vite ce que l’on tentait de t’enseigner, que ce soit parler ou manger seule. Tu ne voulais cependant encore à l’époque approcher de ton père qui te terrifiait. Lorsque tu pus enfin te débrouiller seule, ta mère te délaissa afin de pouvoir se remettre à travailler plus. Il fallait vraiment une rentrée d’argent pour faire tourner le foyer et ne pas lésiner sur le travail était très important pour ne pas perdre sa source de revenus lorsqu’on voyait le taux de chômage qu’il y avait dans le pays. Les salaires étaient misérables aux vues du nombre d’heures de travail. Alors les parents envoyaient souvent leurs enfants travailler au noir, plutôt qu’aller étudier à l’école, dès qu’ils étaient assez grand, et c’est ce que faisait tes grands frères et grandes sœurs. Toi par contre, qui ne pouvais travailler, tu n’étais encore qu’une bouche en trop à nourrir et qui ne servait à rien.
Tu passas toute ton enfance cloitrée dans ta maison. L’école était bien trop cher pour t’y inscrire mais tes frères et sœurs te ramenait parfois de quoi lire ou écrire, ce qui devint très important pour toi. Un chat errant du quartier avait élu domicile chez toi et te tenait souvent compagnie. Tu n’avais pourtant que partagé une fois ton maigre repas avec lui et pourtant, cela avait suffit à l’animal pour s’attacher à toi. Ta mère essaya de le chasser à de nombreuses reprises en vain et te prévint alors que sa ration proviendrait de la tienne. Tu acceptas sans broncher, après tout, il était ta seule compagnie. Enfin, il n’était pas vraiment la seule étant donné que ton père demeurait aussi avec toi, ne pouvant guère se déplacer de son lit. Il tenta de son mieux de tisser des liens avec toi, de te rassurer de son apparence. Il te raconta de nombreuses histoire comment il vivait avant, de la guerre et des atrocités que tu écoutas sans mot dire, tu ne grimaçais aux horreurs de la guerre que lorsque ton père ne pouvait le voir mais tu finis malgré tout par apprécier cet homme, car il ne se laissait pas abattre malgré sa condition.
Ce ne fut qu’à l’âge de dix ans que tu devins « utile ». Tu n’avais plus vraiment peur d’approcher ton père qui en retirait la plus grande joie et tu étais enfin en âge de travailler. Tu n’eus pas trop de mal à trouver un petit travail de femme de ménage dans une grande maison de la ville. Les riches avaient toujours besoin de petites mains pas chères après tout.
Finalement arriva tes onze ans qui furent un changement brutal dans ta vie. Une femme de des plus étranges arriva à la maison, munie d’une lettre à ton nom. Ta mère fut déconcertée, jamais personne n’avait envoyé de lettre ici alors pourquoi diable sa petite dernière en recevait une si soudainement ? Elle fit cependant entrer la femme qui lui expliqua alors la situation. Tu étais une sorcière et l’école Poudlard, apparemment une prestigieuse école, te recrutais. Elle n’était pas payante et tu vivrais là-bas, sans plus être à la charge de tes parents. Les yeux de ta mère s’illuminèrent alors qu’elle annonçait d’une voix forte :
« Mais prenez-la donc si c’est une sorcière ! Je n’en veux plus sous mon toi si c’est le cas ! Qui sait ce que les Dieux nous feraient si je la gardais ici en sachant cela désormais ! »
La femme qui était venue pour toi fut choquée de tels propos alors que ton père tentait de tempérer ta mère qui ne semblait se calmer. Tu remarquais malgré tout que si la voix de ta mère disait une chose, ses yeux en disaient une tout autre. Tu réfléchis alors. Après tout, en partant, tu ne serais plus un poids pour ta famille mais aussi, ton avenir serait assuré ! Tu pourrais étudier autant que tu le voudrais en plus et puis, ta mère voulait que tu y ailles alors tu suivrais sa volonté, même si quitter ta famille te faisait mal. Tu avais alors rassemblé le peu d’affaires qui t’appartenais sans montrer le moindre état d’âme malgré la manière dont ta mère te jetait de la maison et tu avais annoncé à cette inconnue que tu venais avec elle. Cette histoire te semblait cependant étrange et tu ne faisais pas confiance à cette femme, mais encore une fois, tu suivrais la volonté de ta mère. Tu saluas toute ta famille, le cœur lourd mai le visage neutre, puis tu quittas la maison à jamais.
Le trajet jusqu’à une ville où florissait de nombreuses boutiques de magie fut relativement long mais tu fus contente que ton chat ne t’ait pas abandonnée. Il n’était pas câlin, il ne l’avait jamais été, mais il était là et sa présence te rassurait.. Tu dus en plus te débrouiller lorsqu’il en vint à se fournir ton matériel telle que ta baguette et les précieux conseils du marchand te furent d’un grand secours.
Voici alors le 1er Septembre 1985 arriver. Tu pris le Poudlard express avec ton chat et t’assis dans un compartiment vide. Tu te fis la plus discrète possible et personne ne vint dans ton compartiment en queue de train, il devait y avoir assez de place devant pour ne pas venir jusqu’ici. Lorsque tu arrivas à l’école, tu n’en revins pas. L’école était magnifique, jamais tu n’aurais cru cela vrai. De nombreux élèves étaient arrivés avec toi et tu te demandais s’il avait appris comme toi qu’ils étaient des sorciers. On vous fit à tous visiter l’école et tu t’évertuas à retenir jusqu’au plus petit couloir que l’on te présenta. Puis on vous emmena dans une grande salle. C’était le choix de la maison. Tu avais appris rapidement ce qu’était les maisons mais ne savait vraiment ce que cela représentait. Contrairement à d’autres élèves, tu ne voulais pas une maison en particulier après tout, tant que tu en avais une. Lorsque ton nom fut appeler, un grand malaise te prit mais dont tu ne laissas rien paraître. Tu détestais être le centre de l’attention comme cela mais tout le monde te fixait désormais, comme si tu étais la personne la plus importante du moment. Tu t’assis sur la chaise qu’on te présenta et le choixpeau fut posé sur ta tête. Un petit silence se fit tandis que le choixpeau marmonnait de nombreuse chose. Soudain, il éleva la voix :
« Serpentard ! »
On te retira alors le chapeau et, le plus rapidement et discrètement possible, tu rejoignis la table de la maison, t’asseyant dans dire un mot, ton expression toujours inchangé.
Après cette journée, tu devins une élève de Poudlard à plein temps, ne lésinant pas sur le travail à fournir pour le cours. Tu ne t’étais encore lié avec personne ni de ta classe, ni de ta maison, ni même de l’école entière. Tu passais le plus clair de ton temps à apprendre et cela te plaisait. Depuis que tu étais entrée ici, tu n’avais plus jamais contacté ta famille et tu ne savais ce qu’ils étaient devenus. Ton cœur était lourds quand tu pensais à eux mais peut être était-ce mieux ainsi.
Cela faisait désormais cinq ans que tu étais ici, tu avais 16 ans et pas vraiment d’ambition pour le futur. Tu préférais te consacrer au présent, à tes études. Tu t’occupais beaucoup de ton chat aussi, qui ne t’avait toujours pas quitté et que tu ne laissais personne approché. Enfin, tu étais simplement une sorcière normale de seize ans, élève à Poudlard.  Pseudo : Cattleya Âge : 18 ans Sexe : Femme Comment avez-vous connu le forum : Quelques amis qui en ont parlé puis quelques pubs que des membres on fait Commentaire : ... Code du règlement : envoyé
Dernière édition par Ái Vân Nguyen le Dim 6 Sep - 0:56, édité 5 fois |
| Invité | | | | Sujet: Re: Ne prêtez pas attention à moi, je ne fais qu'arriver... Sam 9 Mai - 8:25 | |
| Alors laisse moi te dire pourquoi je t'aime :
- j'adore Vietnam
- je n'en vois pas des masses sur les forums
- mon double-compte, c'est Laos, elle va te sauter dessus quand tu viendras sur la Chatbox
- un pays indochinois quoi <3
- Grand-Frère France approuve même si j'ai été vraiment nul avec toi :,c
- maintenant, avec Chhean (Cambodge), on forme l'Indochine Française Triooooo !
Bref, je n'approuve que ton personnage, il nous faut plus qu'un Thaïlande et ça serait le top ! (-w-)v
Ta fiche est très bien :3
Pour ton avatar, il faudrait soit Vietnam en uniforme de Poudlard, soit avec une cravate aux couleurs de Serpentard, soit Vietnam normale avec le symbole des Serpentard ! Il faudrait juste changer ça !
Et aussi remplir ta feuille de personnage se trouvant dans ton profil s'il te plait ;3 (tu mets "/" dans don, "/" dans titre :3 même si, je vois très bien Viêt rejoindre l'équipe de Quidditch en tant que batteuse si jamais ce poste se libère (puisque certains sont inactifs huhu)
N'oublie pas de m'envoyer le code de validation du règlement par MP aussi o/
Encore bienvenue et courage, tu es bientôt à la fin de cette étape :3 en tout cas je suis vraiment content quoi. |
| Les pensées suicidaires
Mon personnage
Citation: “What you gave me was a reason. Not an excuse. Because there’s sex, making love and fucking. And then there’s you.”  ϟ Nation représentée : Franceϟ Parchemins : 1425 | | | | Sujet: Re: Ne prêtez pas attention à moi, je ne fais qu'arriver... Sam 9 Mai - 10:08 | |
| Ho ho ho, une nouvelle femelle chez les Serpyllères ~ Welcome ♥
*révérence du préfet* Pas besoin d'en rajouter, l'horripilante grenouille a tout dit !
Édit : sache que l'horripilante Grenouille t'emmerde, sale rosbif en kilt. |
| Petite COUUUILLÈRE
Mon personnage
Citation: London bridge is falling down, falling down, falling down...  ϟ Nation représentée : Angleterre.ϟ Parchemins : 1002 | | | | Sujet: Re: Ne prêtez pas attention à moi, je ne fais qu'arriver... Sam 9 Mai - 11:29 | |
| Tu joues Vietnam, tu écris à la deuxième personne du singulier omg ich lieb- /PAF/
....Pardon je m'emporte.
Bienvenue. ♥ |
| Tampon de sauvetage  ϟ Nation représentée : Prusseϟ Parchemins : 1369 | | | | Sujet: Re: Ne prêtez pas attention à moi, je ne fais qu'arriver... Sam 9 Mai - 12:13 | |
| Bienvenue, nous avons tous hâte de rôle player avec toi. |
| Le roi des loupes
Mon personnage
Citation: "Les Serdaigle, en particulier, s'imaginent que tous les plus grands sorciers sortent forcément de chez eux." - J.K Rowling  ϟ Nation représentée : Allemagneϟ Parchemins : 1386 | | | | Sujet: Re: Ne prêtez pas attention à moi, je ne fais qu'arriver... Sam 9 Mai - 13:35 | |
| Merci à tous pour votre accueille, ça fait plaisir! (>//<)
Francis: Je t'aime moi aussi, puis tu m'as un peu aider aussi, il faut retenir ça! -cache les livres d'histoire pour qu'on cherche pas pour le moment- Du coup, je rajoute le symbole, je remanie la fiche et surtout, j'envoie le MP à la bonne personne!
Angleterre: Oh, le premier mâle venant de Serpentard que je rencontre! Merci~ -s'incline en retour-
Gilbert: De nouveau, moi aussi je t'aime! Il ne manquerait plus qu'Espagne et j'aime tout le Bad Friend Trio ici décidément! Merci pour l'accueil!
Ludwig: Merci Ludwig, j'ai hâte moi aussi! |
| Invité | | | | Sujet: Re: Ne prêtez pas attention à moi, je ne fais qu'arriver... Sam 9 Mai - 13:35 | |
| Bienvenue à toi. J'espère que tu te plaira ici ~ |
| Invité | | | | Sujet: Re: Ne prêtez pas attention à moi, je ne fais qu'arriver... Sam 9 Mai - 13:54 | |
| Bienvenuuuue o/ ! Ouiiii un pays asiatique o/ *t'inquiète pas moi aussi je vais te sauter dessus dès que je vais te voir :'3* |
| Invité | | | | Sujet: Re: Ne prêtez pas attention à moi, je ne fais qu'arriver... Sam 9 Mai - 14:24 | |
| Merci beaucoup pour l'accueil Feliciano et Yao! Je me plais déjà! |
| Invité | | | | Sujet: Re: Ne prêtez pas attention à moi, je ne fais qu'arriver... Dim 10 Mai - 19:12 | |
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| Celle qui n'a jamais joui
Mon personnage
Citation: Le courageux n'est pas celui qui donne les coups, mais celui qui y résiste.  ϟ Nation représentée : Hongrieϟ Parchemins : 1839 | | | | Sujet: Re: Ne prêtez pas attention à moi, je ne fais qu'arriver... Lun 11 Mai - 18:54 | |
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| Invité | | | | Sujet: Re: Ne prêtez pas attention à moi, je ne fais qu'arriver... Lun 11 Mai - 20:57 | |
| Bienvenue à toi Ai!~(ça te va comme surnom j'espère?) *Hug*
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| Serdaigle  ϟ Nation représentée : Kugelmugelϟ Parchemins : 94 | | | | Sujet: Re: Ne prêtez pas attention à moi, je ne fais qu'arriver... Mar 12 Mai - 21:15 | |
| Merciiii *hug* (Tout le monde me surnomme déjà comme ça alors ça me va~) |
| Invité | | | | Sujet: Re: Ne prêtez pas attention à moi, je ne fais qu'arriver... | |
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| | | | | | Ne prêtez pas attention à moi, je ne fais qu'arriver... | |
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