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Anything you can do, I can do better ! || Arthur K.

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MessageSujet: Anything you can do, I can do better ! || Arthur K. Anything you can do, I can do better ! || Arthur K. Icon_minitimeMer 21 Jan - 21:58

KIRKLAND Arthur
Angleterre
Nom : Kirkland.
Prénom : Arthur; Alan; Edwin.
Date de naissance : 23/04.
Lieu de naissance : Écosse.
Âge : 18 ans.
Année scolaire : 8ème.
Maison : Serpentard.
Animal de compagnie : Mint, une chouette rayée adorable, mais qui n'en fait généralement qu'à sa tête. Accessoirement, il lui arrive de parler à Choukoulélie, une couleuvre inoffensive ramenée d'un campement de Poudlard, qui vit depuis dans la serre. Mais elle n'est pas particulièrement dressée.
Ascendance : Sang-pur (des familles Kirkland et Benbow)
Fratrie : Britannia et Celt (parents) Aberthol / Keith / Gareth / Peter (frères) Kenneth (oncle)
Motivation : Il fut préfet de la maison Serpentard en 5ème et 6ème année. Malgré sa volonté à vouloir être préfet-en-chef, il ne possède aujourd'hui plus aucun titre.
Don : Fourchelang (hérité de l'ancêtre Salazar Serpentard par le sang des Benbow...) il peinait à différencier cette langue de la sienne durant un temps, mais en est aujourd'hui parfaitement capable.

Baguette : Bois de noyer / Crins de licorne / 30 centimètres / Assez rigide
Patronus : Un lion.
Epouvantard : Autrefois, c'était lui-même, sous la forme d'un cadavre noyé, dû à son traumatisme. Aujourd'hui, il s'agit du Basilic, bien plus petit que l'original cependant; un peu plus de deux mètres de hauteur. C'est la métaphore et la combinaison de deux de ses pires craintes : les événements à Poudlard et la rancœur de l'école sur son secret dévoilé.
Reflet dans le miroir du Riséd : Lui-même, bien plus adulte, Ministre de la Magie.
Odeur de l'Amortentia : L'odeur de la menthe, de la cuisine britannique et du shampoing de Francis.
Votre personnage peut-il voir les Sombrals : Oui, depuis la tragédie du campement.
Matière préférée : Sortilèges.
Matière détestée : Potions.
Options : Soins aux créatures magiques ; Divination.
Cursus : Justice Magique.
Déterminé
Têtu
Gentleman
Égocentrique
Bon couturier
Danger culinaire
Courtois
Vantard
Appliqué
Mauvaise foi
Réfléchi
Possessif
Caractère :
« Heard you heard about me. What did they say ?
Cold, rude and egoist man ? Wouldn't you better make your own opinion?
 
»

Arthur. Tout le monde le connaît. Malheureusement, et bien rarement heureusement. Ce qu'on dit de lui n'est pas souvent positif. Qu'il envoie paître n’importe qui et qu'il ne rend service que lorsque ça lui apporte quelque chose en retour. Qu'il est la plupart du temps seul et qu'il n'a de toutes manières aucun ami. Qu'il est intelligent en classe, snob, égocentrique et pas généreux pour un sou. Tout ceci est vrai, dans la grande globalité. Le jeune homme-là n'a pas grande réputation à s'entendre avec à peu près tout le monde; au contraire. Il est désigné du doigt comme quelqu'un d'asocial, d'égoïste, et bien gentil uniquement quand ça l'arrange – notamment pour bien se faire voir du personnel. Il faut avouer qu'il a bien la stratégie à organiser les choses de façon à ce qu'elles lui arrangent ses affaires. Bien que juste, il range rapidement la situation de son côté, afin que celle-ci ne tourne pas en sa défaveur. Il a son côté bien rustre, et paraîtra toujours trop loin des élèves lorsque ces derniers l'approcheront pour raison X ou Y. Hélas, tout cela est partiellement la vérité, juste partiellement, car il n'en est rien de toute sa personne !

« Now now, take my hand...
My words may be poisonous, but you won't die.
 »

Car malgré tout, aussi méchant et cruel peut-il semblait être – et être – Arthur n'est pas aussi bougre que cela. Aussi bien pour ses proches que pour les plus flous de son entourage, il conserve un tant soit peu ses manières, ainsi qu'un bien-aimé côté « gentleman » caché au plus profond de lui – exclusivement réservé à la gente féminine. Misses, préparez-vous. Il ne flirte pas, ne fait pas de clin d'oeil sauvage, et pourtant il est poli et bien élevé. Le Fourchelang conserve une attitude bien plus conventionnelle aux occasions plus raffinées ou même durant la vie de tout les jours – envers élèves à la bonne droiture et professeurs. Il a pour ainsi dire l'habitude d'appeler toutes les élèves-là par leur prénom, pour introduire un petit privilège affectif. Inutile d'être rustre envers les jeunes filles... ! De même pour les plus jeunes de la maison (oui, surtout de la maison), il ne refusera pas la demande d'un coup de main ou deux. Arthur sera toujours ravi de faire apprendre à ses cadets à mieux connaître la magie ou à remplir quelques devoirs – du moment qu'il ne les fait pas à leur place, autrement il se gardera bien de conserver le peu de patience qui le contient.

« Close your mouth. Seriously...
Don't open it until I give you the permission.
 »

Arthur, c'est un petit peu deux personnes à la fois... Ouvert envers certains et têtu envers d'autres. Ce que peu d'élèves (comparés au reste de l'école) ne savent pas, c'est qu'il est aussi bien capable de perdre ses gongs en quelques minutes que de rire à gorge déployée. Et rares, vraiment rares, sont les personnes à pouvoir en témoigner. Même s'il a en effet une petite tendance à rester seul ou volontairement dans un coin du château sans rien dire à personne, il n'en est pas moins complètement seul. Il ne se plaint pas de solitude et conserve de toutes façons avec attention ses quelques liens forts qu'il protège comme il peut. Se faire détesté d'Arthur est aussi facile que de s'en faire aimé; la première impression est toujours la plus importante, gardez cela en tête. C'est vrai : devenir intime avec lui est un défi, mais également l'occasion de découvrir l'envers du décor à son sujet. Il n'a peut-être pas l'humour très profond, mais il n'en reste pas moins jovial par moments, quoiqu'il est plus destiné à faire la gueule qu'à se montrer enjoué à chaque coin de couloir. Devenez sincère avec Arthur, il vous le rendra.

« I have secrets like you do.
I just keep yours but never tell mine.
 »

Sans parler de sa réputation avec autrui, Arthur est truffé de petites choses diverses. Il cache beaucoup de détails quant à ses goûts, sans qu'il n'en ait forcément honte. Certains pensent que la broderie est exclusivement féminine, alors que lui-même la pratique depuis ses huit ans. Sang-pur comme il est, il ne connaît presque rien à la culture moldu, hormis celle de l'Angleterre – et quasiment rien sur son pays d'origine qu'est l'Écosse. Ainsi, Arthur se passionne du rock écouté par ces êtres non-magiques, ainsi que de leur cuisine – bien qu'il ne maîtrise absolument pas cette compétence... Mais il est bien évidemment mieux instruit dans le monde sorcier. Les Créatures n'ont que peu de secrets pour lui – la licorne, rêve d'enfance, en particulier - parfaitement à l'aise avec, et il est l'un des meilleurs de sa classe en matière de Sortilèges. Malgré son âge, il ne sait à proprement pas nager, craintif de l'eau suite à un traumatisme de l'enfance. Bien que fier de son statut, il a cependant honte de son don de Fourchelang; et en même temps, l'use avec parcimonie, sans pour autant en abuser... Dans le fond, il reste tout de même un égocentrique Serpentard, voulant remettre à sa place quiconque ose critiquer ses pouvoirs. Arthur se plaît tel qu'il est, mais préfère rester majoritairement secret pour sa seconde origine – à savoir, son vieux sang de Serpentard. Sa relation avec les serpents est presque plus naturelle que celle qu'il entretient de jour en jour avec le genre humain...
Physique :

''Tall – Slim – Away''

Arthur, si on le connaît bien, c'est surtout de loin. Depuis l'autre bout du couloir, toujours de dos, à marcher avec le pas tranquille, et pourtant avec cette indifférence si froide dans les yeux. Arthur, c'est ce type dans l'école dont on connaît l'existence et qu'on a croisé quelque part au moins une fois. Mais jamais il ne nous a parlé, jamais on ne l'a fait de notre gré. Il ne paraît intimidant qu'avec sa droiture, une image qu'il renvoie volontairement dû à son impression d'être souvent observé. Ce qui n'est pas complètement faux, puisqu'il suscite autant l'intrigue que l'antipathie – ainsi, se retourner à son passage pour faire la grimace est assez courant. Arthur est juste froid, et c'est tout ce qui fait sa seule « supériorité ». Il n'est d'ailleurs pas excessivement grand, mais dans la moyenne, du haut de son mètre 75, pour 62 kilos. Il est généreusement musclé sans que cela ne se voit; ça ne l'est que lorsqu'il est torse-nu, mais bien sûr, qui voudrait le voir ? Les plus méchants diront qu'il est maigre, mais il est en fait mince, et même s'il préfère se servir de sa baguette que de ses poings pour se battre, il a de la force à revendre.

''Blond – Deep emerald eyes – Grinning face''

Le visage d'Arthur est sujet à quelques moqueries bien connues du château. Et en même temps, on les connaît si bien qu'on ne les raconte plus. La plus répandue des remarques reste celle sur ses sourcils, plus épais que le suggère la moyenne. Pourtant, Arthur niera ce fait en s'exclamant qu'ils sont tout à fait ordinaires. Ce petit défaut est de toutes évidences rattrapé par la couleur verte et particulière de ses yeux; sans doute son meilleur atout physique. Le visage ni trop rond, ni trop allongé, il est tout aussi reconnaissable grâce à ses courts cheveux, blonds comme le sable et aussi coiffés qu'un balais. Ces derniers peinent à rester convenables, si bien qu'il a finit par abandonner. Plus jeune, il espérait bien changer cela. Aujourd'hui, il attache moins d'importance à l'apparence – mais répond toujours face aux moqueries des siennes. Arthur n'embellira que rarement son visage de beaux sourires et d'expressions chaleureuses : sa froideur est justement tout ce qui fait son « charme »...

''Strict – Tie – Good dressed''

Arthur n'est jamais plus fier que lorsqu'il porte l'uniforme de sa maison. La couleur verte des serpents s'accorde à merveille avec lui, mais il est tout aussi à l'aise avec que s'il était vêtu normalement. C'est pourquoi le dit uniforme est toujours porté de manière impeccable. Chemise fermée jusqu'au dernier bouton de col, cravate correctement nouée, et aucun pli négligeable sur la robe de sorcier. Même lorsqu'il porte ses habits du week-end et des vacances, il reste toujours proche du même genre de vêtements. On le voit donc presque toujours avec une chemise, un pull, et une cravate quand il est d'humeur assez maussade. Ça ne lui ôte cependant pas son bon goût au bien connu style punk dont il fut victime pendant presque deux ans, de sa troisième année à avant la fin de la quatrième. Il ne conserve d'ailleurs de cette époque que de discrets trous aux oreilles. Bien qu'il possède encore quelques affaires évoquant cette mode, il les met rarement – mais surtout une fois en dehors de l'école, comme à Londres ou ailleurs en voyage. Arthur porte également un tatouage magique, représentant un petit serpent ondulé sur le flanc. Celui-ci s'anime en fonction de son rythme cardiaque, et ne va pas plus loin que les hanches et épaules.
Histoire :

    « Il n'y a aucune honte à descendre de Salazar Serpentard. Soyez fiers d'être ses héritiers. »- sa mère, alors qu'il jouait avec Gareth, du haut de ses six ans.


Peut-être avait-il compris, peut-être que non. Il était trop jeune pour s'en souvenir jusqu'à aujourd'hui. Ce qu'il savait, c'est que sa famille était nombreuse, aisée... et de Sang-pur.


-------- 1974 à 1980 --------
and so go the peaceful days


Arthur, Alan, Edwin Kirkland, était né sous le signe du Taureau un 23 avril 1974. Comme ses deux frères aînés, il avait vu le jour en Écosse, puis passé toute son enfance dans ce grand manoir occupé par bientôt une famille comptant deux parents responsables et cinq rejetons, presque tous entièrement différents les uns des autres. Mais pendant deux ans encore, Arthur fut le petit cadet du cocon. Outre son intelligence encore peu visible à cause de son si petit âge, il s'avéra également attaché à sa famille après la naissance des deux derniers, Gareth et Peter. Mais comme le temps était cruel, plus le sourcilleux blondinet grandissait, plus il dévoilait sa tendance à être têtu, voire même obstiné. Il était bien tout le portrait craché de sa mère, aussi bien moralement que physiquement. Il était d'ailleurs sans aucun doute le fils le plus proche de celle-ci, au niveau de la ressemblance. Le reste obtenu de son père, il était surtout dans sa passion pour les Créatures magiques : celles-ci faisaient tout aussi bien offices de peluches, et Arthur se retrouva souvent à jouer avec elles plutôt qu'avec ses frères (question d'affinité). Le père Kirkland, doué dans son domaine, avait donc amené et apprivoisé toutes les espèces qui se trouvaient dans leur jardin.

Mais quand bien même il semblait presque plus proche de celles-ci que de sa fratrie, il affectionnait particulièrement ces rares jours de jeu où il se réunissait avec ses quatre autres frères. Ça s'atténua vite, car il fallait reconnaître que s'amuser aux chevaliers dans toute la maison, entre les parents qui souhaitaient le calme et l'elfe de maison qui cherchait à faire tranquillement son boulot, ça rendait vite nerveux. Ils étaient bruyants, les cinq fils (pas la moindre fille !), mais au fur et à mesure que le temps passait, chacun se trouvait une manière toute aussi différente de se distraire. En groupe ou tout seul. Arthur, alors qu'il n'était encore que dans sa petite enfance, avait le chic également pour suivre Keith, tel un caneton fidèle aux traces de pas de sa mère. Toujours de loin, pas de trop près, il était étrangement fasciné par cette queue de cheval qui pendouillait de la nuque du roux... Mais au moins, s'il tirait dessus, il ne se rendait pas compte qu'il lui faisait mal... normalement.

On aurait facilement oublié qu'il était sorcier, avec ce comportement à la fois si farouche et si puéril. Puis vint le premier signe, vers ses sept ans, où Arthur commença seulement à se rendre compte de ses futurs capacités.


-------- 1980 à 1983 --------
here comes the magic in a wizard's life


Des pleurs d'enfants résonnèrent dans la chambre d'Arthur. Lorsqu'on vint voir ce qui se passait, on découvrit quelques jouets et peluches appartenant au petit garçon flotter très près du plafond. À l'évidence, ses pouvoirs venaient enfin de s'éveiller. C'était toujours chez les Sang-pur que ça arrivait le plus tôt. Mais étant encore loin de pouvoir le maîtriser ou d'avoir sa propre baguette, les premiers jours risquaient de s'avérer laborieux. C'était le temps que les choses s'amenuisent, et qu'Arthur se fasse à sa nouvelle condition de sorcier. Bien sûr, avant que les jouets ne redescendent d'eux-même, il a bien essayé de les récupérer en grimpant sur les meubles... avant d'être rattrapé par un de ses grands frères tandis que l'autre lui criait de descendre. Mais ça n'était qu'un jour banal dans la croissance d'une si grande famille magique. Et l'essentiel, c'était que « le petit » s'y fasse. Ayant toujours vécu dans ce cercle, rien ne l'étonnait trop et rien ne l'effrayait exagérément non plus.

En grandissant encore, Arthur tomba sur l'âge où il put commencer à apprendre. Mais pas question d'amener les enfants à des petites écoles sorcières alors qu'ils étaient de toutes les années; ça compliquerait inutilement les choses ! À la place de cela, des précepteurs venaient régulièrement au manoir, enseigner aussi bien à lui qu'à ses frères les bases de ce que même un moldu apprenait : la lecture, l'écriture, et bien sûr quelques mathématiques afin de travailler la logique. Pour ce qui est des bonnes manières devenues aujourd'hui les habitudes d'Arthur, ce dernier fut guidé (et bien souvent par imitation) par ses parents, veillant à prendre l'exemple du gentleman anglais... Oui, anglais, et même pas écossais. C'est de l'autre côté de l'île qu'on parlait beaucoup de ce genre de personnages. Vivant donc du côté sorcier, il voulut connaître avec attention les moindres détails de ce pays voisin. Et par quoi passa-t-il d'abord ?

La lecture. Arthur, toujours partant pour satisfaire son égoïsme, avait découvert les écrits contant les aventures de Sherlock, ou même les histoires d'Agatha Christie, Allan Edgar Poe... (il ne portait presque que les mêmes prénoms que ses auteurs favoris!) Ils étaient moldus, mais... d'un autre côté, Arthur n'accordait aucune importance au sang. Il jugeait toujours le monde sorcier plus fascinant et pratique que l'autre, mais en même temps, ne jugeait rien dans une optique trop.. raciste. Lui, sa famille et ses ancêtres ont toujours été des Sang-purs, mais personne ici ne rejetait l'existence des moldus, des Cracmols, ou encore moins des Né-moldus. Peu à peu, la culture anglaise le captiva, si bien que ça le rendait autant savant sur cette partie du monde non-magique que celle sorcière de l'Écosse.

Quand bien même il se passionnait de choses qui n'avaient rien à voir avec ses cours personnels, il suivit avec attention ces derniers. Et un de ses précepteurs, très calé sur l'Histoire de la Magie (mais qu'il n'enseignait pas, il allait de toutes façons y avoir droit à Poudlard), parla brièvement des fondateurs de l'école de magie bien connue de Grande-Bretagne. Il n'était pas spécialement au courant de la descendance qui liait les Kirkland (ou plus précisément, les Benbow, nom de jeune fille de la mère), mais c'est lors de son cours qu'Arthur apprit un peu plus sur son ancêtre Salazar. Ce qu'on disait sur lui, ce qu'il a dit (ou plutôt, ce qu'il voulait). Et c'est lorsqu'il parla d'une pièce abritant un monstre qu'il se rendit compte qu'il se perdait en futilité, et reprit son enseignement. Savoir des choses sur le dit ancêtre était aussi intéressant que tout le reste, et en entendant sa mère en parler juste brièvement, il s'imagina un grand mage qui avait accomplit des choses parfaites;  il était l'un des quatre fondateurs de sa future école, après tout !

Il pouvait être fier de son sang.


-------- 1983 à 1986 --------
deep, deep into the revealed secrets


Arthur n'était plus juste un petit garçon. Il grandissait encore, et ses idées aussi. Sa conception du monde se faisait plus clair, et enfin son sale caractère se montra. Il était têtu, obstiné, toujours un peu farouche, mais il élevait déjà la voix si on « l'embêtait ». Sa relation avec son frère Keith se transforma alors doucement; lui, alors qu'il le suivait un peu partout comme son ombre. Pas de haine, juste un peu d'amour vache. C'était peut-être une forme de timidité, après tout ? Pas de bagarre, juste des petites disputes puériles. Des « méchants mots » d'enfant. Rien de grave. Que du jeu mal mené et rien d'alarmant. Ça arrivait dans toutes les familles, toutes les fratries, et la situation allait sûrement s'arranger avec le temps. Jusqu'à ce jour, en août 1984. Arthur, malgré ses dix ans, ne savait pas nager. Son père l'encourageait à prendre les leçons qu'il lui donnait, voire même à s'y essayer avec les créatures aquatiques. Le lac situé à plusieurs mètres du manoir était parfait pour occuper l'été, et pourtant il ne faisait qu'y tremper les pieds. Même Dylwenn, le kelpie de la famille et sans doute la Créature élevée favorite d'Arthur à ce jour, n'était pas suffisant pour lui faire sauter le pas. Alors, il ne nageait pas.

Ses frères, et Keith surtout, savaient. Keith qui, malgré son jeune âge, avait tissé des liens avec le célèbre monstre du Loch Ness, Nessie. Le blondinet l'enviait un peu pour ça. Cette bête n'était ni plus ni moins qu'un autre kelpie immense, auquel les moldus ne croyaient pas forcément l'existence. Mais s'il y avait bien une chose qui liait les deux mondes, c'était que la plupart de légendes moldus étaient vraies chez les sorciers. Veinard de grand frère. S'il savait nager, lui aussi aurait-il eu ce privilège ? Il allait peut-être reconsidérer ces leçons, tiens... Et c'est sûrement ce qu'il aurait fait si son imbécile de même frère roux n'avait pas commit sa bêtise.

Les enfants, c'est innocent. Quand ça faute, ça ne le fait pas forcément exprès. Ça peut agir méchamment sans s'en rendre compte. Eh bien, ça n'a jamais été aussi vrai ce jour-là. Voulant forcer un peu la main à Arthur, il embarqua ce dernier sous l'eau, prenant le tout comme un jeu. Mais le jeune Arthur, paniqué de se faire emmené dans les profondeurs du lac sans son accord, n'était pas de ce même avis. Il se débattait, voulait crier sous l'eau s'il le pouvait, appeler à l'aide pour sortir. Non seulement personne ne venait, mais en plus Keith ne remarquait rien. Il prenait cela pour un caprice, un refus à jouer. Il le lâcha donc au fond de l'eau. Grossière erreur, puisque Arthur était incapable de remonter tout seul. En voyant son frère s'éloigner, il se persuada que Keith était en réalité plus méchant qu'il ne semblait l'être. Manquant de se noyer, Arthur fut cependant sauvé à temps par ce même frangin, avant qu'il ne s'en éloigne juste après avoir retrouvé l'air frais. Cet épisode de sa vie donna ainsi forme à son premier Épouvantard, lui donnant l'image de sa personne aussi cadavérique qu'un garçon noyé.

Leur relation n'en pâtit qu'à peine, car comparé à aujourd'hui, la différence était minime. Mais Arthur refusa à reprendre les leçons de nage de son père, tout comme à fréquenter Keith de nouveau. Il l'ignorait à table et l'évitait dans les couloirs du manoir. Même les études avec les précepteurs semblaient plus libératrices – alors que tout ça n'était que caprice, mais il lui en a bel et bien voulu. Il s'isola alors souvent à l'extérieur, assez loin de la maison même, pour être certain de ne pas trop le voir. Arthur déjà, à l'époque, était rancunier. Et ce fort sentiment têtu lui valut une découverte pour le moins inattendue. Après avoir passé quelques jours à se rendre seul au bout de son jardin boisé, il brava son couvre-feu de l'époque en lisant quelque chose sur le bien connu fondateur de la maison Serpentard. Assis en tailleurs sous la couette, la lumière de la lune suffisante pour distinguer les lettres, il se renseigna afin d'achever la faim qui tiraillait sa curiosité; le précepteur n'avait qu'à s'exprimer un peu plus.

- « La langue des serpents »... murmura-t-il en caressant la page.

Don dorénavant lié à Salazar, il est considéré comme le signe évident de sorciers peu fréquentables, puisque pouvoir provenant de « magie noire ». À Arthur, pour qui le savoir de l'Histoire était important, ça devait donc tomber sous le sens. Même si son ancêtre a vécu au Moyen-Âge, il est évident que les mentalités ont changé, mais qu'une chose restait malgré tout : les avis sur le Fourchelang. Ainsi donc il descendait d'un homme mal considéré, mais personne n'était obligé de le savoir. Sa mère en était fière, mais par sécurité, il s'inventa le prétexte que le fait n'était pas à ébruiter. Et pas à l'école, bientôt. La décision du fameux Choixpeau qui lui attribuera sa maison lui parût tout à coup moins mystérieuse... mais ça ne voulait rien dire ! Aberthol, son frère aîné, avait rejoint les Poufsouffle l'année précédente, comme quoi ça n'avait pas forcément de lien ! Lui-même n'avait aucune préférence... Et si c'était Serpentard, eh bien, sa mère serait fière de lui.

Soudainement, il sursauta. Une voix venue de nulle part lui fit lâcher le livre. Il sortit la tête du drap; sa famille l'avait-elle remarqué ? Il n'y avait pourtant personne... « Le maître... Le maître... » entendait-il. Ça provenait... de la fenêtre ? En effet, il avait laissé celle-ci entrouverte à cause de la chaleur, et quelqu'un en avait profité pour entrer.

- Q-Qui est-ce...?!
- Le maître... Le maître...

Ce n'était pas quelqu'un, mais quelque chose. La moitié du corps d'un serpent, long et souple, était entré dans la chambre et reposait sur le rebord, faisant de légères ondulations avec la gueule ouverte et ses petits yeux qui le fixaient. Arthur se retint à temps de crier, ne voulant pas alarmer quiconque dans la maison. Il fut même d'autant plus incapable de prononcer le moindre mot lorsque le reptile acheva de glisser pour ramper le long de son lit, se rapprochant dangereusement de lui; lui, qui se cachait peu à peu derrière sa couverture. Il ne voulait pas tenter de geste brusque, de peur de rendre l'animal agressif. Mais celui-ci, au contraire, semblait parfaitement à l'aise. Pourquoi cette bestiole était venue à lui et se posait là, comme si elle avait été dressée... ? Arthur resta interdit, observant le serpent sans oser déguerpir, et pria même à voix haute pour qu'il s'en aille... ce à quoi il répondit non. Son cœur sursauta. Le serpent venait de... parler ?

- E... Est ce que tu me comprends...?

Le serpent hocha la tête. Puis, des pas retentirent. Juste avant que la porte ne s'ouvre (dans un grincement qui indiquait clairement qu'on voulait entrer sans réveiller) l'animal prit la fuite et ressortit par la fenêtre. La tête de l'elfe de maison des Kirkland se montra alors, aussi haute que la table de chevet. Il venait demander à son jeune maître si tout allait bien, car il avait entendu un bruit bizarre.

Un bruit bizarre... Le jeune sorcier tourna la tête vers le livre qu'il avait toujours entre les jambes. Apparemment, les autres n'entendaient que des sifflements si leur homologue Fourchelang parlait.

Arthur ne parvint à terminer sa nuit.

Il cogita encore, pendant deux-trois jours, sans jamais réaliser pleinement ce qui est arrivé cette nuit. Il en oubliait presque son froid avec Keith, et s'isola cette fois-ci pour raisons diverses. Lorsqu'il tenta de retourner à l'autre bout du jardin, il le trouva. Ce serpent qui était entré dans sa chambre, il l'avait tout de suite reconnu. Si bien que ça en était inquiétant. Sa voix pourtant étrange à ses oreilles lui sonnait comme celle de tout ceux qu'il connaissait. Elle était claire, avec un léger « accent » qui, en même temps, n'en était pas. La bouche de l'animal ne s'ouvrait même pas, il ne faisait que siffler. Et lorsque Arthur lui répondait en tremblant, il sentait lui aussi que quelque chose clochait au niveau de sa propre langue. Il n'avait pas la sensation d'avoir un cheveu sur celle-ci, mais en même temps, il se découvrit un réflexe. Il l'ignora une première fois, mais ne put faire autrement lorsqu'il revint après qu'il ait ressenti une mauvaise émotion (frustré d'avoir mal parlé à son frère roux, sans doute).

Arthur avait lui-même sifflé, comme si sa langue avait fourché alors qu'il ne disait rien. Cette fois-ci, le doute n'était plus permis. Contrairement à ses frères, il était Fourchelang, et le craignait.

Les jours suivants, il se mit à paranoïer, craignant qu'un serpent n'entre à nouveau dans sa chambre ou qu'une voix venue de nulle part ne résonne. Il avait peur de répondre à quelqu'un que lui seul pouvait entendre, mettant ainsi le doute au creux de sa famille. Il avait peur de ne pas pouvoir cacher trop longtemps, car après tout... Salazar Serpentard, et ses héritiers Fourchelang, étaient mal vus. Il avait peur d'être mal vu. Il le refusait. À dix ans, il n'avait pas le recul nécessaire pour réfléchir plus posément à la question et en parler aux autres. Pourtant, sa mère était si fière d'être de cette lignée ! Quel mal y avait-il à avouer ? Eh bien non, le garçon se tût. Et jamais il n'avoua. Il préféra même oublier ses origines. Oublier d'où venait ce do-... cette malédiction. Il ne se reprochait rien, sauf ça. Être Fourchelang, c'était mal.

Son isolement dura et s'amenuisa jusqu'au départ de Keith, qui entra à Poudlard. De même, entre eux, ils étaient réconciliés. Silencieusement puisque aucun malaise il n'y eut.


-------- 1986 à 1990 --------
cunning, ambitious, creative, resourceful


Il lui fallut quelques semaines pour quitter cette paranoïa d'enfant et s'assurer qu'il ne fasse aucune bévue avec cette « malédiction » qui lui était innée. Arthur garda le secret pour lui, et reprit doucement son « tout-les-jours » ordinaire avec les précepteurs, ses petits frères, ses parents... La seule chose qui le rendait un tant soit peu mal à l'aise, c'était l'évocation de sa future maison. Avant, il aimait avoir la question qui pendouillait au bout de toutes les lèvres. Maintenant, l'évidence lui semblait de plus en plus facile. Ses origines, et donc ce second langage, c'était des facteurs importants pour entrer dans la création faite par son ancêtre... D'une part, encore un peu naïf, il espérait avoir tort, et d'une autre, il était cruellement réaliste. Ça tombait sous le sens, alors qu'il ne savait rien. Puis le jour tomba.

Sa rentrée rendit fier son père, ses frères... sa mère, évidemment. Mais allait-elle l'être encore plus ? Arthur oublia cet inévitable instant durant ses premières courses et son trajet à l'école des sorciers. Le Chemin de Traverse de Londres (de Londres !) le fascina, mêlant aussi bien magasins extravagants que sorciers et sorcières qu'il n'avait encore jamais croisé dans cette foule qui surgissait chaque année. Il se sentit toute chose à l'achat de sa baguette, tout joyeux – à son grand malheur puisque exposé aux yeux de ses frères – d'apprendre qu'un bout de bois magique composé d'un crin de licorne l'avait choisit. Il se sentait quasiment fier de devoir faire faire ces emplettes à sa famille, puisqu'il était le seul encore, cette année, à entrer dans l'école. Alors qu'il prenait tout sous les conseils de ses aînés comme de ses parents, il se retrouva seul en choisissant l'animal qui allait l'accompagner. Une toute petite chouette, au regard curieux et toute calme, fixait Arthur comme avec la supplication de l'emmener. Il craqua facilement, nommant l'adorable créature « Mint ».

Son cœur s'affola lorsqu'ils traversèrent le mur pour rejoindre la voie 9¾, où Arthur monta pour la première fois dans le Poudlard Express, dans le même compartiment que ses grands frères. Le voyage le fascinait, lui aussi. Il pouvait croiser de temps à autre des élèves aussi nouveaux que lui, ou même des dernières années. Mais une fois à destination, il dût se séparer de ses aînés afin d'emprunter le chemin des premières. Avec regret, Arthur grimpa dans une barque en regardant l'eau avec angoisse, mais l'image du château dans la nuit s'y reflétant lui fit lever les yeux. Il était plus grand que sur les photos, et le blondinet sentit une chaleur dans sa poitrine qui lui fit comprendre que enfin, il était là.

La cérémonie d'entrée était exactement comme on le lui avait décrite. Les noms résonnaient dans la Grande Salle, chaque élève se faisait répartir dans sa maison sous les regards de tous... puis on l'appela. Aussitôt, son enthousiasme disparu, et il parût froid et presque incertain en s'asseyant sur le tabouret. Tout ses mauvais sentiments balayés par les préoccupations précédentes pour l'école lui revinrent alors en plein visage. Le Choixpeau fut posé sur son crâne... puis il l'entendit lui parler.

- Ah ! Encore un Kirkland... Les deux derniers étaient si opposés, je me demande duquel tu es le plus proche... Hm, voyons... Oh... Tiens donc, c'est très intéressant... Avec toi, je n'ai même pas à peser le pour et le contre... Serpentard !

Ça ne l'étonna même pas. Les élèves assis à la dite table applaudirent, et il se leva pour marcher jusqu'à eux, les mots du Choixpeau résonnant trois fois dans son esprit avant qu'ils ne disparaissent complètement... C'était donc si évident que ça ? Il prit place à côté de son frère Keith, ainsi que d'un garçon blond qui faisait la taille de celui-ci. Son regard indifférent – alors qu'il était en fait en pleine réflexion – dût évoquer de l'antipathie, puisque l'inconnu ne cessa de le fixer. Il répondit donc à ce malaise... et le garçon l'insulta. Ou plutôt, il se moqua gentiment de lui, mais gentiment ou pas, c'était déjà de trop. La table prit vite un peu d'animation et on dût les calmer. Pour une première impression, c'était fichu. Mais loin d'être une perte de temps, puisqu'il venait visiblement de se faire un ennemi.

Francis Bonnefoy, qu'il s'appelait, l'animal. Tout le monde l'adorait. Lui, l'exécrait. Il s'en ramassa des mauvaises remarques mais n'en retourna pas sa chemise pour autant. Qu'à cela ne tienne, il se sentait de plus en plus à l'aise à Poudlard, au fil des jours qui passaient. Il rencontra bien assez vite les deux autres idiots qui composaient avec « Frog » un trio d'imbéciles parfaits. Sans compter quelques amis qui s'avéraient être de bonne compagnie. En deuxième année, il fit la connaissance d'un jeune Gryffondor duquel il se prit d'affection - Alfred. Il le prit plus ou moins sous son aile, lui faisant office de guide dans le domaine de la magie – et qu'il le trouvait adorable, à dépendre de lui ! Hélas, c'était sans compter cet envol soudain de sa part, duquel n'en restait que, pendant un temps, une relation assez houleuse. Il jonglait entre ses bonnes aventures, les mauvaises, et même un jour en troisième année où, fuyant sa rancune envers Keith, il découvrit par hasard la Salle sur Demande. Il y resta caché pendant près de trois heures, inquiétant son entourage qui se demandait où il était passé.

Il faut dire qu'entre ses 13 et 14 ans, Arthur était un brin plus colérique qu'à l'époque. La crise d'adolescence l'avait inspiré à s'habiller d'une mode bien moldu (et anglaise, ça va de soi), c'est-à-dire le « punk ». Même période où il connut la musique rock'n'roll, et étoffa alors son peu de culture non-magico-britannique. Cette époque fut bon prétexte pour Arthur à faire souvent la tête à ses frères (mais jamais de manque de respect envers ses parents professeurs). Toutefois, il changea bien vite d'avis quant à cette image lorsqu'il se mit en tête de devenir préfet... Il abandonna alors quelques mois avant la fin de l'année ses tenues excentriques et ses bijoux, pour les remplacer par une attitude plus correcte – sans compter la galanterie ! Pari tenu, pari remporté. En cinquième année, Arthur devint le « bourreau » parmi les préfets, se réjouissant de toutes évidences de son poste ainsi que de son pouvoir au-dessus des élèves (et de sa maison en particulier !). D'autres événements s'ajoutèrent à ses petites joies, comme l'arrivée de ses cadets à l'école (placés à Gryffondor. Bel exploit).

La scolarité d'Arthur, révélée bonne par ses bonnes notes et son don pour la magie, semblait promise à un avenir pour le moins radieux. Exactement comme il l'avait imaginé. À un détail près... Il n'avait pas oublié ce qu'il était capable de faire. Enfouissant son secret, il étouffa ce dernier ainsi que les pensées adéquates sous son travail et son quotidien à l'école. Persuadé de bien faire en se conservant dans le mensonge, il ne savait plus exactement, à ce moment-là, si c'était avec son entourage qu'il jouait... ou avec lui-même.



-------- Janvier 1990 débute... --------
and the Heir of Slytherin is here.



    « Merci de ne pas m'avoir effacé la mémoire, Arthur. »- Francis, après que celui-ci ait découvert son don.

Pseudo : Asahi (Alex)
Âge : 21 patates
Sexe : Eveuh
Comment avez-vous connu le forum : Partenaire d'un ancien forum, puis de mail en mail~
Commentaire : #Choupette<\3 #EnnemiDel'HéritierPrenezGarde
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Dernière édition par Arthur Kirkland le Lun 20 Nov - 20:11, édité 41 fois
Petite COUUUILLÈRE
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MessageSujet: Re: Anything you can do, I can do better ! || Arthur K. Anything you can do, I can do better ! || Arthur K. Icon_minitimeMer 21 Jan - 22:05

Arthur Kirkland a écrit:

❯ MATIÈRE PRÉFÉRÉE : Sortilèges

La matière qu'enseignera Brit... Petit fayot :p
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MessageSujet: Re: Anything you can do, I can do better ! || Arthur K. Anything you can do, I can do better ! || Arthur K. Icon_minitimeMer 21 Jan - 22:31

Bienvenue bienvenue ♥ (en vrai, c'est France caché derrière un masque romain).

Le code du règlo est ok !
La fiche est ok !
L'avatar est ok !
Il faudrait juste me remplir ta fiche de personnage et ton profil en entier s'il te plait ~ Pour "don" tu mets fourchelang et pour "titre" tu mets préfet de la maison Serpentard. Je te fais confiance pour que tu le fasses dès maintenant !

En attendant, je t'ajoute tes 30 gallions et je te mets ta couleur quand tu auras fais ce que je t'ai dis °w°/

Bon jeu !
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MessageSujet: Re: Anything you can do, I can do better ! || Arthur K. Anything you can do, I can do better ! || Arthur K. Icon_minitimeJeu 22 Jan - 8:13

ARTHUUUUUUUUUUUUUUUUUR

*HUG*
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MessageSujet: Re: Anything you can do, I can do better ! || Arthur K. Anything you can do, I can do better ! || Arthur K. Icon_minitimeJeu 22 Jan - 13:31

Bienvenue toi la.

Anything you can do, I can do better ! || Arthur K. Tumblr_lsgv5msO101qabn2bo1_500
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MessageSujet: Re: Anything you can do, I can do better ! || Arthur K. Anything you can do, I can do better ! || Arthur K. Icon_minitimeVen 30 Jan - 9:12

Grand frère \O/
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MessageSujet: Re: Anything you can do, I can do better ! || Arthur K. Anything you can do, I can do better ! || Arthur K. Icon_minitime

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